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(18/06/2007 16:00:15)

Une relance du DIF, du CIF et des périodes de professionnalisation chaudement recommandée

Il est urgent de renforcer l'articulation entre formation et emploi. En tant que moyens d'accéder à des parcours qualifiants, les dispositifs du DIF (droit individuel à la formation), du CIF (congé individuel de formation) et des périodes de professionnalisation, méritent d'être mieux accompagnés. Telles sont les consignes sur lesquelles se rejoignent l'analyse du CAS (Centre d'analyse stratégique, organe de veille stratégique du gouvernement) et les initiatives de certains organismes paritaires. Dont le Fafiec, fonds de formation de la branche Syntec. Pour les SSII, sociétés de conseil et bureaux d'études, après une rapide montée en charge des demandes de financement de formations longues correspondant à la formule de périodes de professionnalisation, le soufflé est aussi vite retombé. A mi-2007, selon le Fafiec, c'est le calme plat sur ce front de la demande. Sans doute du fait « d'une forte activité des entreprises qui rend plus difficile la réalisation de formations longues ». Et de rappeler que ce mode d'investissement dans le développement des compétences a, néanmoins, commencé à faire ses preuves. Et que le financement par la branche de ces périodes d'alternance (formation et terrain), à raison de 50 euros de l'heure, peut aller jusqu'à 600 heures de formation pour les salariés de plus de quarante ans ou ceux préparant un diplôme ou une certification (CQP). La dictature du court-terme La même insistance sur « l'investissement fort » dans des parcours qualifiants , tous métiers et tous secteurs confondus, se retrouve dans l'analyse du CAS présentée dans la note de veille datée du 11 juin. Principal grief : l'accès à la formation continue reste très inégal, « traduisant la tendance des entreprises à concentrer la formation sur les catégories dont elles peuvent attendre le meilleur retour sur investissement ». Priorité au court-terme. Avec, pour conséquence, une contre-performance notoire : « la formation ne profite guère à ceux dont les mobilités sur le marché du travail seraient les moins sécurisées ». Les informaticiens s'y reconnaîtront. Plus généralement, face aux critiques récurrentes soulignant le manque d'efficacité du dispositif de formation professionnelle français, le CAS relève cependant que les réformes récentes ont posé certains jalons: avec le DIF (crédit d'heures de formation cumulable) qui accorde au salarié une part d'initiative, avec la VAE (validation des acquis de l'expérience) qui enchaîne sur la prise en charge de périodes de professionnalisation; avec le CIF (40 000 bénéficiaires en 2005). Des dispositifs insuffisamment exploités jusqu'à présent, et dont l'extension, insistent les analystes du CAS, « mériterait d'être encouragée par un abondement des fonds publics » et par de meilleures garanties au sujet des qualifications-cibles. Nos dossiers à lire sur le sujet : - SSII et salariés s'approprient enfin le DIF - Les périodes de professionnalisation : une opportunité de doper la formation continue (...)

(15/06/2007 15:27:35)

Quelques compensations en créations de postes chez Alcatel-Lucent

Les négociations se poursuivent chez Alcatel-Lucent France. Lors de la seconde partie du comité central d'entreprise (CCE) qui s'est déroulé les 12 et 13 juin sur le site de l'équipementier de Vélizy, dans les Yvelines, la direction, qui refuse de revenir sur le plan de suppressions de 1 468 postes en France, s'est néanmoins engagée à créer 135 postes : 80 emplois ont été annoncés sur le site d'Orvault (fortement impacté par le plan de sauvegarde de l'emploi, avec 27 % des effectifs supprimés, soit 218 postes), 15 à Vélizy, 30 à Châteaufort et 10 à Lannion. Fin mai, la direction de l'équipementier télécoms avait déjà porté de 140 à plus de 300, le nombre de créations de postes dans ses activités en forte croissance. Pour les syndicats, ces mesures constituent un « progrès », mais elles restent loin d'être suffisantes. « Ces décisions sont loin d'être équitables, déplore Christian Le Bouhart, secrétaire du CCE. Certains sites ne sont pas logés à la même enseigne. Notamment Lannion et EU, confrontés à un problème de pyramide des âges, qui appelle à un renforcement de leurs activités. Nous demandons à ce que la direction, qui réfléchit actuellement à des solutions, soit en mesure de résoudre le problème. » Réponse le 18 juillet, date du prochain CCE de l'équipementier. (...)

(15/06/2007 12:48:27)

L'ENST Bretagne ouvre son campus virtuel sur Second Life

D'ici à 2011, 80% des internautes et les entreprises les plus importantes auront une seconde vie virtuelle, prévoient certains analystes. Déjà, Second Life, en tant qu'agence de recrutement, intéresse les entreprises du secteur, comme Accenture, Capgemini et Unilog (groupe Logica CMG), et les cabinets spécialisés tels Expectra. Désormais, c'est au tour des établissements de l'enseignement supérieur de leur emboîter le pas. Après l'Insead et l'institut Ingémédia de l'université de Toulon, l'École nationale supérieure des télécommunications de Bretagne (ENST Bretagne), à la fois grande école et centre de recherche, ouvre son premier campus virtuel sur Second Life. L'île Telecom Bretagne, qui sera inauguré le 25 juin prochain, s'est fixée pour ambition de devenir un véritable lieu d'échanges virtuel pour les futurs candidats, les étudiants, les enseignants-chercheurs et les entreprises. Dans un premier temps, les lauréats du concours d'entrée pourront visiter le campus, s'entretenir avec professeurs et étudiants, et ainsi obtenir tous les éléments d'information nécessaires avant d'effectuer leur inscription. L'accès en 3D à des bâtiments dédiés à la recherche permettra également aux visiteurs de consulter les travaux des chercheurs et des thésards de l'école, de télécharger des documents, ou de diffuser des vidéos. Par la suite, les élèves seront amenés à développer des activités propres sur le campus Second Life : organisation de soirées, rencontres sportives. Ils développeront eux-mêmes les modules informatiques nécessaires à leurs activités. À terme, l'établissement développera des dispositifs de formations initiales et continues sur le principe de l'univers virtuel. Il faudra se connecter pour obtenir un suivi et un retour d'expérience. (...)

(15/06/2007 12:42:09)

Seulement 10% des formations sont consacrées à l'informatique et à la bureautique

Le secteur de la formation va plutôt bien... en dehors de l'informatique. La FFP (Fédération de la formation professionnelle) publie chaque année son observatoire. D'un point de vue général, les nouvelles sont donc bonnes, puisqu'en 2005, les organismes de formation ont réalisé un milliard d'euros de CA. L'analyse indique en outre « une progression de 4,3% pour 2005 et une évolution moyenne de 2,9% par an depuis 10 ans, à périmètre constant ». Pour ce qui est de l'activité en revanche, les résultats sont plus mitigés dans le secteur informatique : les fonctions administratives, bureautiques et informatiques représentent 10% de l'activité, classées au cinquième rang. Ces chiffres sont toutefois à relativiser puisqu'on trouve en tête, avec 27%, les formations spécifiques à des métiers, dans lesquelles on retrouve de manière transversale des modules pour les métiers de l'informatique. Ces résultats sont malgré tout très encourageants. Résultent-ils, au moins en partie, de la politique de « la formation tout au long de la vie » mise en place par Jean-Louis Borloo dans le précédent gouvernement ? La part de la VAE (validation des acquis de l'expérience) par exemple est en forte augmentation : en 2005, 32% des organismes ont reçu des demandes de VAE, soit 4 points de plus qu'en 2004. A noter que ces demandes émanent toujours en priorité des particuliers (61% contre 39% pour les entreprises). Mais des manques subsistent : sans grande surprise, le DIF (droit individuel de formation) reste marginal par rapport aux autres formations : sa part n'est que de 1,2%. Cependant pour 2006, elle passe à 2,2% et les organismes pensent qu'elle sera de 5,8% en 2007. Logiquement, sa part devrait continuer à croître chaque année. Les informaticiens, jusqu'alors réticents, résisteront-ils encore longtemps à l'appel que leur lancent les centres de formation ? (...)

(14/06/2007 17:42:03)

Les mastères spécialisés : un léger plus pour l'insertion professionnelle

Comparativement aux Sup de Co et autres étudiants en gestion, les élèves-ingénieurs (ou assimilés) sont plus enclins au cumul des diplômes. Voire au retour sur les bancs des campus après quelques années de vie active. C'est vérifié pour les études doctorales. Et la partie de l'enquête annuelle sur l'insertion des jeunes issus des grandes écoles dédiée aux diplômés de mastères spécialisés (MS) le confirme. Avec ce volet d'enquête ajouté, pour la première fois, à son étude traditionnelle, la Conférence des grandes écoles (CGE) entendait cerner autant que possible l'impact de ce complément d'études sur l'insertion professionnelle. Au vu du taux de réponses à l'enquête (12% des diplômés de mastères spécialisés de 2005), la synthèse de cette ébauche de radioscopie présentée par la CGE se veut plus qualitative - et générale - que quantitative. Et reste à affiner lors des prochaines éditions de l'enquête d'insertion. Ces précautions liminaires étant prises, selon l'analyse de la CGE, cette première enquête établit déjà une nette distinction des profils d'étudiants inscrits aux MS et de leurs « stratégies » selon le type d'école concernée : les MS préparés en école d'ingénieur s'adressent le plus souvent à un public ingénieur alors que ceux préparés en école de management s'adressent à un public de formation antérieure plus diversifiée (master, bac+4 et expérience professionnelle, école d'ingénieur ou de management). Le MS en école d'ingénieurs correspond de façon générale à une stratégie de spécialisation, et en école de management à une optique d'élargissement des compétences. Dans les deux cas, le taux d'insertion après MS dépasse les 85% (et 7% poursuivent leur activité antérieure). Avec un taux net d'emploi dépassant les 93%, l'effet MS sur l'insertion reste cependant difficile à évaluer puisqu'il est équivalent à celui des promos 2005 (deux ans après la sortie de l'école). Un élargissement des fonctions occupées La répartition des débouchés ouverts aux MS ne se distingue guère de celle des diplômés de formation initiale (bac+5). Les emplois occupés relèvent plutôt de grandes entreprises (plus de la moitié dans des firmes de plus de 2000 salariés), à un statut de cadre (95%), avec une proportion tout à fait comparable de diplômés trouvant un emploi à l'étranger (15%). Les trois grandes fonctions occupées pour les ingénieurs mastériens sont les fonctions de R&D, d'études-conseil et de production (40% des emplois, contre 48% pour les jeunes diplômés non mastériens). L'élargissement des fonctions occupées est plus net pour les diplômés des MS en école de management. Avec un élargissement également pour les secteurs d'activité des employeurs et des points de chute en termes de lieu géographique. Enfin, l'effet sur les salaires, là encore du fait du taux limité de réponses, est difficile à appréhender. Le salaire actuel moyen est de 35 740 euros, quasiment identique pour les MS ingénieurs ou les MS de management. Avec l'habituel delta entre hommes (36 500 euros) et femmes (34 100 euros). Le diplômé MS-type gagne 7 % de plus que les diplômés bac+5 de 2005, 13% de plus que les diplômés bac+5 de 2006. Mais sachant que ces candidats aux mastères correspondent à une population mélangée (2/3 en poursuite de formation initale, 1/3 en reprise d'étude), il est vraisemblable que cette moyenne des salaires soit tirée vers le haut par les plus expérimentés. « Il semblerait que le salaire moyen des jeunes MS sortants soit de même niveau que celui des sortants de formation initiale bac+5 », conclut l'analyse de la CGE. Pas d'effet salaire bien net, donc, alors que le « plus » apporté au CV se traduit dans l'intérêt des employeurs à accueillir ces bac+5/+6 à des fonctions plus diversifiées. (...)

(14/06/2007 17:13:07)

Inquiétudes sur 700 postes au sein d'Atos Origin en France

Depuis l'annonce du plan de restructuration en avril dernier par Claude Aulagnon, PDG d'Atos Origin Systems Integration, la SSII est en pleine mutation. 700 postes d'Ile-de-France sont en cours de redéploiement en province. Ce qui suscite beaucoup d'inquiétude en interne. Pour des salariés, cette évolution ne serait qu'une manière de « maquiller les intentions de la société », à savoir supprimer ces 700 postes. Des salariés d'autant plus inquiets qu'une rumeur d'acquisition par Cap Gemini court depuis quelques semaines. D'après le journal l'Expansion, la SSII concurrente aurait mandaté BNP Paribas, afin de préparer une offre de rachat des activités d'infogérance d'Atos Origin. La société emploie 7200 personnes dans le monde, dont 3800 en France. (...)

(14/06/2007 14:23:53)

A Nantes, après-midi « masterclass » sur le développement avec Eclipse

La fine fleur de l'informatique du grand Ouest a concocté, pour le mercredi 20 juin après-midi à la faculté des sciences de Nantes, un programme de partage d'expériences et de questions-réponses au sujet de l'environnement de développement Eclipse et de l'écosystème associé. Cette rencontre placée sous l'égide du club Irisatech, regroupement des partenaires du labo Irisa (unité de recherche mixte, université, Inria, CNRS) de Rennes, est en effet organisée en partenariat avec la fédération de laboratoires nantais AtlanStic. Avec pour objectif de faire le point, entre utilisateurs (actuels ou futurs) en entreprises de composants Eclipse pour la construction de systèmes d'information, et des organisations contributrices qui produisent officiellement des composants Open Source sous Eclipse. Du « déploiement massif pour une utilisation hétérogène » opéré par la délégation SI Voyageurs de la SNCF, au retour d'expérience d'une PME nantaise, Obeo, éditeur d'outils de modélisation, en passant par les collaborations avec le monde industriel issues des travaux en collaboration de divers labos, les présentations de la journée visent à alimenter le débat à la fois sur les modes de fonctionnement et les business models autour d'Eclipse, et les bonnes pratiques, le pourquoi et le comment de l'intégration concrète d'Eclipse dans les développements applicatifs. L'assistance à cette réunion est gratuite, mais avec inscription obligatoire. (...)

(12/06/2007 16:55:04)

Martin Hirsch en appelle à la solidarité active du secteur informatique

L'étiquette-slogan « changeurs de monde », choisie par la chambre syndicale des SSII et des éditeurs de logiciels pour la campagne de communication destinée à sensibiliser les lycéens à l'intérêt des métiers du secteur, est aussi censée faire « rêver » les dirigeants de ces firmes. Ayant opté pour ce thème des « entreprises qui changent le monde » pour animer l'Assemblée générale du 7 juin, l'Etat-major de Syntec Informatique s'est vu interpellé par Martin Hirsch, invité pour la circonstance, au sujet de « la nécessaire implication des entreprises dans la gestion des conséquences du progrès technologique sur la transformation des emplois et des métiers ». Dans son nouveau costume de Haut Commissaire, membre du gouvernement, l'énarque promoteur des solidarités actives s'est, de plus, chargé de ramener cette interpellation à un niveau bien concret. Et de proposer au président de Syntec Informatique, Jean Mounet, d'organiser un concours de conception-réalisation d'un logiciel facilitant la prise en charge et le traitement des personnes en difficultés. De quoi permettre aux entreprises adhérentes et à leurs salariés « de contribuer davantage à la transformation de la société » en prenant leur part d'initiative et de solidarité active contre la pauvreté. Transformation des métiers Sur le thème de la transformation des métiers... de l'informatique, et des conséquences sociales également évoquées lors de cette assemblée, l'opération « Changeurs de monde » trouve tout son sens dès lors qu'elle médiatise le passage de témoin entre la génération actuelle de jeunes cadres des SSII et les adolescents qui n'ont pas encore forcément choisi leur orientation professionnelle. Pour Jérôme Rideau, ingénieur d'affaires de la SSII Smile, l'un des « gourous » trentenaires qui ont répondu sur le site « changeursdemonde.com » aux questions des jeunes internautes, «ce genre d'initiative s'inscrit tout simplement dans la prolongation des échanges entretenus avec le monde étudiant». Echanges relevant «naturellement », selon lui, du comportement d'entreprise citoyenne, au renforcement duquel a exhorté, durant l'AG du Syntec Informatique, Jean-Marie Descarpentries, en tant de président de la Fnege (Fédération nationale pour l'enseignement de la gestion des entreprises). «A priori, nos métiers d'informaticiens, selon la façon dont on les exerce chez Smile, et notamment en s'impliquant dans les modèles économiques liés à l'Open Source, sont plutôt propices au développement de ces deux visions de l'entreprise : à la fois citoyenne, reliant la performance et le développement des activités à la capacité de l'entreprise à assurer le bien-être de ses salariés, mais aussi humaniste, tourné vers la société et la solidarité active », estime Jérôme Rideau. (...)

(12/06/2007 13:53:01)

Deux-tiers des lancements de TPE restent au stade du solo

Mais où sont les nouvelles générations d'entrepreneurs en France ? A cette question centrale d'une étude menée pour l'Agence pour la création d'entreprises (APCE) auprès d'un échantillon de créateurs/repreneurs d'entreprise ayant en moyenne trois ans d'exercice, force est de constater que les vocations réelles - et non contraintes et forcées - se font rares. Sur le millier de personnes interrogées dans quatre régions (Ile-de-France, Nord-Pas-de-Calais, Paca et Rhône-Alpes), 27% se considèrent comme chefs d'entreprise, développeurs, managers ou gestionnaires. Dans deux cas sur trois (62%), la création d'entreprise correspond d'abord au souhait - ou à la nécessité - de créer son propre emploi. Et trois ans après, la plupart de ces vrais-faux entrepreneurs continue de travailler en solo (50% de l'échantillon). Près de 30% ont un ou deux salariés, 20% ont au moins trois salariés. Mais au total, même quand la démarche est contrainte, la satisfaction est plutôt au rendez-vous, puisque moins de 10% regrettent de s'être lancé, même si 22% des personnes se déclarent disposées à reprendre leur ancienne activité si l'opportunité se présentait. Un quart des créateurs/repreneurs s'estime cependant plus en sécurité à la tête de l'entreprise qu'en tant que salarié. Au regard de ce constat plutôt lucide, publié en prélude au salon des entrepreneurs qui se tient mercredi 13 et jeudi 14 juin à Lyon, l'APCE, à l'origine de cette étude, ainsi que la Caisse des dépôts et les organisateurs de ce salon, proposent diverses pistes de réflexion concernant le renforcement de la culture entrepreneuriale, à partir de l'attention portée : - à la dynamique générée par les créations pérennes et à la satisfaction des créateurs, même si la sécurité n'est jamais acquise, plutôt qu'à la seule pérennité des entreprises ; - à la sensibilisation des personnes les plus susceptibles de réussir et de développer de l'emploi salarié dans la création, alors que pour le moment, celles-ci sont minoritaires dans l'acte de créer, notamment parmi les jeunes qu'il convient de préparer à cette culture ; - à l'accompagnement des créateurs indépendants qui, par leur expérience, peuvent devenir des chefs d'entreprise . (...)

(11/06/2007 18:01:41)

Mobilité nationale et internationale pour les élèves de Supinfo

Supinfo est l'une des rares écoles d'ingénieurs françaises qui donne à ses élèves la possibilité de suivre leur cursus, en France comme à l'étranger. L'établissement supérieur d'informatique parisien possède actuellement vingt huit établissements dans le monde, dont vingt deux écoles en France et dans les DOM, ainsi qu'en Chine, au Canada et au Royaume-Uni. Ce qui permet à tous ses étudiants de pouvoir profiter d'opportunités de mobilité, puisque chaque année d'étude peut se faire dans centre, ou dans un pays différent. Dès la rentrée 2007, Supinfo poursuivra son développement dans l'Hexagone en ouvrant six nouveaux établissements à Lyon, Clermont-Ferrand, Marseille, Lille, Limoges et Orléans. Prochaines destinations, d'ici à 2008, l'Espagne, l'Italie, la Russie, le Danemark, le Brésil, le Costa-Rica et les Emirats Arabes Unis. Avant d'ouvrir d'autres points de chute, en Russie, au Mexique et au Danemark. Si le Canada reste actuellement la destination première, la Chine et Londres attirent de plus en plus.. « Nous travaillons dans une logique de communauté d'étudiants et nous sommes heureux de voir l'accueil positif du système de notre école française par les étudiants des autres pays », a déclaré Alick Mouriesse, président de SupInfo. Si, jusqu'à cette année, la mobilité se faisait d'une année sur l'autre, pour 2007-2008, elle se fera même en cours d'année ». Les programmes étant les mêmes dans les différents pays, les élèves n'auront à subir aucun décalage dans leurs formations. (...)

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