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Carrière
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(04/04/2007 18:11:48)
La France fait sienne l'Année européenne de l'égalité des chances
La discrimination est désormais traquée à tous les niveaux de la société par les pouvoirs publics. Dans le domaine professionnel, une convention récemment signée entre la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité) et l'ANPE (Agence nationale pour l'emploi) comprend quatre axes majeurs : échanges réguliers d'informations entre les deux institutions ; participation à des groupes de travail ; mutualisation des bonnes pratiques identifiées ; actions de sensibilisation conjointes. Cette convention est d'une durée d'un an à l'issue de laquelle, elle fera l'objet d'une évaluation commune dans le but de mesurer l'impact et procéder aux mesures correctives en fonction des résultats. Autre innovation : un guide téléchargeable destiné aux professionnels du recrutement : « Prévention des discriminations à l'embauche : les actions menées par les intermédiaires de l'emploi, ANPE/Apec, entreprises de travail temporaire, cabinets de recrutement.» Ce guide recense les principales actions menées par les intermédiaires de l'emploi afin de prévenir les discriminations et de promouvoir l'égalité. 44% des réclamations reçues par la Halde concerne le domaine professionnel Malgré des avancées sur le sujet, la situation demeure préoccupante, d'où la nécessité pour le marché du travail de se doter d'outils comme ce guide : parmi les 5 478 réclamations reçues par la Halde, 44 % concerne le domaine de l'emploi, et un tiers d'entre elles est directement lié à des discriminations rencontrées lors de la phase d'embauche. L'enquête nationale par testing conduite en France entre la fin 2005 et la mi-2006 sous l'égide du BIT (Bureau International du Travail) sur les bassins d'emploi de Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris et Strasbourg et sur des offres d'emploi peu qualifiées, est même plus inquiétante. Elle révèle des « discriminations à l'embauche dans quatre cas sur cinq en France ». Un passage de cette enquête montre des réalités sur le terrain : « Lorsque les employeurs ont fait un choix entre les deux candidates strasbourgeoises, ce choix s'est porté 2 fois sur 3 sur celle qui évoquait une « origine hexagonale ancienne » plutôt que sur la candidate d'«origine maghrébine ». En terme de discrimination, un tel résultat ne peut être jugé satisfaisant. C'est de loin, pourtant, le meilleur de toute l'enquête. » L'enquête montre enfin que seuls 11 % des employeurs offrent une égalité de chances aux candidats tout au long du processus de recrutement. Pour tenter de remédier à ce problème, la Halde a également ouvert il y a quelques jours, une formation en ligne destinée aux employeurs et aux recruteurs. La formation passe en revue les questions du recruteur et donne des conseils pour mener un entretien de recrutement, comme pour gérer les évolutions de la carrière. Cet outil offre par un jeu de questions/ réponses, la possibilité d'aborder concrètement la lutte contre les discriminations et les mesures pour promouvoir l'égalité. Grâce au travail en commun réalisé entre des institutionnels et des professionnels, cette formation répond concrètement aux difficultés rencontrées sur le terrain. Pourquoi autant d'actions sur le terrain ? « Faire changer les regards, les mentalités, les comportements : voilà l'objectif de la lutte contre les discriminations », avait déclaré le Premier ministre en donnant, le 27 février, le coup d'envoi en France de l'Année européenne de l'égalité des chances pour tous. Et c'est à la Halde qu'est revenue sa mise en oeuvre, qui donnera lieu à de nombreux colloques et manifestations visant à sensibiliser le public aux enjeux de la lutte contre les discriminations, et à mieux intégrer l'objectif d'égalité des chances pour tous dans les politiques et programmes publics. (...)
(04/04/2007 18:11:02)Le Syntec Informatique table sur une croissance de 6% à 8% pour 2007
La réalité d'une faible croissance du PIB en France (2% en 2006, attendue entre 1,5% et 2,3% en 2007) n'affecte pas le secteur des logiciels et services. Jean Mounet, Président de Syntec Informatique, affichait un bel optimisme lors de la présentation du bilan 2006 et des perspectives dans ce domaine. « En 2007, la croissance, toujours soutenue, devrait se situer entre 6% et 8%. Une nouvelle fois, la croissance du secteur représente trois à quatre fois celle du PIB. » Dans le détail, le Syntec Informatique et PAC prévoient que le conseil et le conseil en technologies /R&D externalisée seront les deux pôles qui augmenteront le plus par rapport à 2006 (+8%). C'est dans le secteur banque/assurance que l'augmentation devrait être la plus forte (+8%), puis dans celui du secteur public, des télécoms/médias, du commerce/distribution et des « utilities » (+6%). Est-ce vraiment une surprise ? L'industrie arrive en dernière position, avec une augmentation qui pourrait, malgré tout, être de 4%. Enfin, Jean Mounet souligne « une uniformisation au niveau européen, l'Allemagne s'est redressée et seule l'Italie reste en difficulté. » La France dépasse d'un demi-point la moyenne européenne en 2006 et devrait être dans une fourchette au moins identique sinon supérieure en 2007. 33% des salariés a moins de 2 ans d'ancienneté dans l'entreprise, 50% est en poste depuis 6 ans La cartographie du secteur des logiciels et services détaillée par l'observatoire social de Syntec Informatique (mars 2007) montre que son dynamisme se répercute sur l'emploi : 80% de cadres, 34 ans en moyenne et en CDI à 95%. Par rapport au reste du secteur informatique qui a tendance à parfois malmener ses seniors, les logiciels et services montrent une différence : 42% des salariés ont plus de 40 ans (18% seulement de jeunes diplômés) et plus de la moitié des informaticiens est en poste depuis 6 ans ou plus, près d'un tiers seulement a moins de deux ans d'ancienneté dans l'entreprise. Alain Donzeaud, président de la commission sociale/emploi/formation de Syntec Informatique a lié ce chiffre à « un turn-over en croissance », 66% des entreprises ayant rencontré « des difficultés à recruter » en 2006 dans un secteur qui représente entre 40 000 et 50 000 recrutements, pour 10 000 à 15 000 créations nettes d'emplois. D'ailleurs, le taux de chômage dans le secteur logiciels et services a diminué de 43% entre décembre 2005 et décembre 2006, passant de 4,4% à 2,5%. A titre de comparaison, sur la même période, le chômage en France n'a baissé que de 10,4% (passant de 9,6% à 8,7%). Toutefois, cette bonne nouvelle est à relativiser : malgré des tensions annoncées sur le marché de l'emploi informatique, selon le Syntec Informatique et l'ANPE, il y avait encore 28 829 informaticiens au chômage en décembre 2006 (contre 37 323 un an avant) dont un quart venant du secteur logiciels et services. (...)
(03/04/2007 16:49:50)Mulhouse et Lyon ont un même ami : Microsoft
Après le grand Lyon et le sénateur-maire Gérard Collomb, le 1er février dernier, c'est au tour du pays de Mulhouse et de son sénateur-maire Jean-Marie Bockel (également membre du groupe socialiste et de la commission des affaires culturelles du Sénat) de s'allier les bonnes intentions du numéro un du logiciel. Avec un même objectif : dynamiser la croissance des start-up locales qui peuvent, par ce biais, accéder au programme Idées de l'éditeur (Initiatives pour le développement économique des éditeurs de logiciels et des start-up). La convention de partenariat signée le 30 mars avec Microsoft France concerne également la communauté d'agglomération de Mulhouse Sud Alsace (Camsa) et le technopôle de Mulhouse, animateur du réseau d'entreprise Rhenatic (63 entreprises). Sur cette région frontalière (le réseau Rhenatic entretient des relations d'affaires avec des correspondants en Suisse et en Allemagne), comme autour de Lyon, la direction de Microsoft France s'engage ainsi à proposer aux entreprises « les plus prometteuses, recommandées par les acteurs locaux de l'innovation » , une assistance technologique, un support commercial et marketing, un support technique mutualisé et un soutien à l'internationalisation. Une palette d'aides dont bénéficie déjà, dans cette région, la start-up Airsoft, spécialiste des solutions de gestion de contenu. Pour la France, premier pays européen à instaurer ce programme de parrainage, depuis octobre 2005, parmi les 350 start-up qui se sont portées candidates, une cinquantaine est parrainée, 32 ont levé des fonds et 11 ont passé la barre du million d'euro de chiffre d'affaires. (...)
(03/04/2007 16:45:30)Les métiers de l'informatique domestique entrent à l'argus officiel des diplômes
Signe des temps. Désormais, les lycées professionnels et les centres de formation d'apprentis ne prépareront plus leurs étudiants au métier de câbleur, ni aux « métiers de l'électronique », mais à un parcours professionnel de « technicien en systèmes électroniques industriels et domestiques ». Depuis le 20 mars (arrêté paru au Journal officiel du 30 mars) est rendue officielle la fin programmée des brevets professionnels « électronique » et « installations en télécommunication ». La dernière session d'examen de ces deux brevets aura lieu en 2008, avec session de rattrapage en 2009. Par ailleurs, l'édition du 31 mars du JO rend compte de la création (par arrêté également daté du 20 mars) d'un nouveau brevet qui entérine en quelque sorte la reconnaissance de l'essor de l'informatique domestique parallèlement à celui de l'équipement informatique, télécom et réseaux des entreprises. Avis aux employeurs. La préparation de ce nouveau brevet d'études professionnelles « systèmes électroniques industriels et domestiques » inclut, selon l'arrêté en question, un stage de trois semaines en entreprise. L'obtention du diplôme passe par un dispositif de contrôle continu des connaissances couronné par un examen final (en sept épreuves) dont la première session aura lieu en 2009. Les détails de ce nouveau programme (cursus et diplôme) seront publiés au bulletin officiel du ministère de l'Education nationale en date du 3 mai 2007. Et diffusés en ligne sur le site du Centre national de documentation pédagogique. (...)
(02/04/2007 18:16:47)"Innovative Teachers Forum 2007": à l'Unesco et au Louvre, les TIC se mettent au service de la pédagogie
Le programme Innovative Teachers Forum est né en 2002 et pour la quatrième édition, la France a été choisie pour cette rencontre de deux jours (29 et 30 mars) qui vise à relier entre eux des enseignants d'horizons et de pays différents, afin de former une sorte de communauté de réflexion pédagogique grâce aux Tice (Technologies de l'information et de la communication dans l'éducation). A l'initiative de cette opération, Microsoft. Mais l'éditeur s'est volontairement mis en retrait pour promouvoir l'aspect éducatif de ce rendez-vous international et évoquer d'autres partenaires comme l'Unesco, les ministères français de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, le Louvre, France5, le Café Pédagogique, Projetice et les Clionautes (ces associations du monde enseignant réfléchissent de manière complémentaire à l'usage des Tice) ainsi que Samsung (prêt des tablets PC). Les enseignants se sont retrouvés autour de l'exposition des « Virtual Classroom Tour » (VCT) destinée à présenter les projets conçus dans leurs établissements. Les meilleurs ont été récompensés à l'issue de cette rencontre. Autre moment fort : sur un thème donné (le Louvre), des équipes ont concocté des sujets filmés, à but pédagogique et exploitant toutes les palettes qu'offre l'interactivité. Ces sujets ont ensuite été montés par des élèves de l'Eisti (Ecole internationale des sciences du traitement de l'information) avant d'être présentés. Des Tice pour faire évoluer le partage et l'érudition Thierry de Vulpillières est directeur des partenariats éducation chez Microsoft. Il a en charge le développement des partenariats avec l'ensemble des acteurs du monde de l'éducation (enseignants, établissements scolaires, associations, syndicats, encadrements, éditeurs) dans le but de faciliter le développement des usages des Tice : « Microsoft est l'initiateur de cette opération, l'an dernier nous étions à Tallin. Tous les ans, des partenaires se rajoutent ou se substituent. Cette année, avec le Louvre, nous avons monté un projet très intéressant. Des coachs accompagnaient les enseignants présents et le montage a été fait avec des ingénieurs. Il est très important de mettre les Tice au service de l'éducation et des communautés enseignantes, mais il ne faut pas se tromper : Innovative Teachers Forum n'a pas pour ambition de transformer les professeurs en informaticiens, c'est pourquoi des ingénieurs avaient pour mission de monter les travaux réalisés pendant les ateliers. » Des éléments des travaux multimédias à vocation pédagogique ont été projetés avant la remise des prix des Virtual Classroom Tour : ils sont consultables sur le site de France 5. C'est un véritable laboratoire d'idées qui devrait inspirer d'autres enseignants et faire évoluer l'usage des Tice, de la maternelle au supérieur. (...)
(02/04/2007 18:09:45)Hummingbird France : le PSE est validé en appel
Vendredi 30 mars, la décision de l'appel est tombée : elle infirme l'ordonnance des référés (janvier 2007) et valide le PSE (Plan de sauvegarde de l'emploi) proposé par la direction de Hummingbird France à la fin de l'année 2006. Il s'agissait de supprimer 49 emplois sur 81, suite au rachat par OpenText. Ce jugement constitue une victoire pour la direction et le Comité d'entreprise, un échec pour la CFDT. « Cette décision est fort satisfaisante du point de vue du Comité d'entreprise que je représente », commente maître Christine Lussault. Selon l'avocat du CE, « la décision relève que le CE a, de manière éclairée, pris sa décision. Il n'appartient pas au juge d'apprécier le mérite de la décision du CE. » Pour mémoire, le CE avait soutenu la direction de Hummigbird et s'était opposé au syndicat CFDT qui avait demandé (et obtenu) l'annulation du PSE au juge des référés. Aujourd'hui donc, les demandes de la CFDT sont rejetées, le syndicat ayant en outre à payer 1 000E au CE et 1 000E à la direction de Hummingbird (article 700). La décision de l'Appel le condamne aux dépens. Selon la CFDT, « le juge n'était pas un spécialiste des plans sociaux, et a juste considéré le fait que la majorité des salariés souhaitait partir dans les conditions actuelles. Nous n'avons pas encore décidé de la suite à donner. » Le syndicat pourrait se pourvoir en cassation ? Mais même si c'était le cas, le PSE est exécutoire, ce qui signifie que la direction peut l'appliquer immédiatement. (...)
(30/03/2007 16:55:27)Les informaticiens ont meilleur moral que les autres salariés
Heureux informaticiens, particulièrement sensibles au retour à une conjoncture favorable. Satisfaits globalement de la façon dont leurs employeurs les considèrent, ils estiment (dans près de 80% des cas) que leur entreprise est performante, réactive, innovante. Et que celle-ci traite bien ses clients, ses fournisseurs, ses actionnaires et ses salariés - sauf pour un tiers d'entre eux qui se montrent plus critiques. Ainsi, selon l'enquête réalisée en février pour l'Association nationale des informaticiens de France (Anif) par OpinionWay auprès d'un échantillon représentatif de 1184 informaticiens (échantillon représentatif des diverses catégories d'employeurs - SSII, entreprises utilisatrices, éditeurs, distributeurs, opérateurs -, des tranches d'âge, de la répartition géographique), le camp des optimistes est nettement plus fourni chez les professionnels de l'informatique que parmi les salariés cadres et non cadres (échantillon comparable de 1012 personnes travaillant dans des grandes entreprises, baromètre HR Tracking d'OpinionWay). Un optimisme manifeste, tant pour la pérennité de leur emploi (75% des informaticiens se disent optimistes, contre 63% pour l'ensemble des salariés), que pour l'intérêt de leur travail (65% contre 51%), ou pour l'évolution de leur parcours professionnel (62% contre 38% pour les salariés). Tout juste se montrent-ils plus critiques concernant la charge de travail (alourdie pour 46% d'entre eux), l'évolution de leur rémunération (en dessous de leurs espérances pour 56%) et sceptiques quant au niveau de leur future retraite (pour 74%). Une certaine fierté Le fait le plus marquant de cette enquête : en large majorité, les informaticiens ne doutent guère de leur valeur sur le marché de l'emploi. Ils se sentent capables d'intéresser d'autres employeurs (81%) et d'échapper à la discrimination à l'embauche (76%). « Sans doute, la conjoncture actuelle joue-t-elle à plein, commente Michèle Avelka, vice-présidente de l'Anif, et la même enquête faite trois ans plus tôt n'aurait pas donné les mêmes résultats ». D'ailleurs, à 90%, ils estiment que l'état actuel du marché est clairement en leur faveur. A 88%, ils sont plutôt fiers d'exercer ce métier qui, pensent-ils, conserve une bonne image (86%). Néanmoins, ils doutent un peu plus de leur capacité à garder un emploi jusqu'à la retraite (46% en doutent). [[page]] Et c'est là tout le paradoxe relevé par cette enquête d'opinion. Car si, globalement, l'optimisme l'emporte au vu de leur situation actuelle (avec de bonnes relations avec les collègues de travail, un travail de qualité, de bonnes conditions et une bonne ambiance de travail, une sécurité de l'emploi supérieure à la moyenne des salariés, etc.), l'avenir est pour eux beaucoup plus flou. Des besoins de formation non assumés Ainsi, près de la moitié note l'insuffisance des possibilités de formations (49%) et des perspectives d'évolution dans leur entreprise (57%). Et 36% des informaticiens interrogés se disent prêts à changer d'entreprise (contre 31% pour l'ensemble des salariés). Voire, si nécessaire, à changer de région (52%) ou de pays (41%). Ils reconnaissent (pour 83%) qu'être capable de mobilité fonctionnelle est un atout incontestable pour leur évolution professionnelle, mais que leur entreprise ne le leur propose pas (63%) et qu'ils ne comptent pas trop non plus sur leur entreprise pour le leur permettre (45%). De fait, pour plus d'un informaticien sur deux, les besoins de formation ne sont pas suffisamment couverts par l'entreprise. Un comble à l'heure du DIF (droit individuel à la formation), pour une profession qui dépend de façon quasi-existentielle de l'actualisation des compétences. De même, si les informaticiens ont pris conscience des risques de perdre de leur valeur sur le marché du travail (la fameuse employabilité), ces risques sont pour eux liés à l'externalisation (pour 56%), à l'offshore (54%), à l'évolution accélérée des technologies (49%) plus qu'à leur âge (28%, probablement du fait de la constitution de l'échantillon de l'enquête). Si, globalement, les informaticiens ont une critique à formuler à l'égard de la gestion des ressources humaines, c'est majoritairement sur le volet de la gestion des carrières (pour 63% d'entre eux) et de la prise en compte de leurs besoins de formation (pour 55%), plus que sur le volet des relations sociales (56% se disent satisfaits). Mais en prennent-ils leur parti ? Indifférents car opportunistes ou résignés, ou encore naïfs ? Toute la question est là, selon l'état major de l'Anif. Pour cette association qui a pour vocation d'aider les informaticiens à prendre en mains l'évolution de leur parcours professionnel, sur la base d'une information actualisée et concrète, la suite de ce relevé barométrique de l'état d'esprit et du moral des informaticiens passe par la mise à disposition sur le site de l'Anif du questionnaire qui a servi de base à l'enquête, afin que chacun puisse librement se « benchmarker ». Avec un relais assuré - probablement - par le site de Microsoft France. Et avec l'espoir de pouvoir renouveler, l'an prochain, le constat d'une profession consciente de ses atouts, mais aussi de ses risques. (...)
(30/03/2007 12:43:52)Trois écoles en finale du concours de développement Ricoh-Sun
Aujourd'hui, 30 mars, trois équipes d'étudiants sélectionnées pour participer à la deuxième manche du concours européen de développement organisé par Ricoh et Sun, se confrontent au siège francilien du fournisseur de solutions d'impression Ricoh. Et les gagnants français de la première manche de sélection sont... les étudiants de l'université du Havre, de Supinfo et de l'IIE (Institut Informatique & Entreprises) de Valenciennes. L'épreuve d'aujourd'hui consiste à présenter les travaux de migration vers un périphérique multifonction de l'application innovante (application Java, développée à l'aide de l'atelier SDK/J) qui leur a permis de se distinguer. A savoir : - pour l'équipe de l'IEE Valenciennes, un « ChatTools » qui permet d'instaurer un dialogue en temps réel entre un client en difficulté sur un équipement multifonction et la hotline ; - pour l'équipe du Havre, l'application « Timager » qui permet d'automatiser des tâches sur une imprimante multifonctions, et modulaire, de façon à ce que l'utilisateur puisse configurer lui-même les fonctionnalités qu'il souhaite ; - pour l'équipe de Supinfo, l'application «Get&Print» qui permet de simplifier la gestion distribuée des documents de l'entreprise (en intégrant les connexions Samba et FTP) avec un suivi du parcours des documents sur les différentes connexions via un explorateur, doté de fonctions de filtrage et de recherche. Dans la sélection des projets-étudiants entrait également un critère pédagogique, notamment la confrontation aux contraintes du matériel, que ne manquent pas de souligner les enseignants qui ont encadré ces équipes. Avec de plus, en ligne de mire, une invitation à la grand-messe JavaOne de San Francisco. L'équipe gagnante de cette seconde manche nationale sera invitée à participer à l'épreuve de sélection européenne qui aura lieu les 19 et 20 avril à Prague, au Centre de développement de Sun Microsystems. (...)
(29/03/2007 16:50:02)Informaticiens demandés au salon de l'emploi public
Le salon de l'emploi public se déroule jusqu'à samedi 31 mars au Palais des Congrès (Paris) mais d'ores et déjà se dégage une tendance nouvelle : les informaticiens et les nouveaux métiers liés à l'informatique sont les bienvenus ! Monster Public et Acteurs Publics ont réalisé une étude qui montre qu'en raison du papy boom, de la diminution prévue des cadres dans le secteur public, et de l'augmentation des nouveaux systèmes d'informations dans les administrations, les collectivités ne peuvent plus se permettre de faire l'impasse sur les compétences liées à tous les nouveaux métiers de l'informatique en se contentant d'avoir exclusivement recours à l'externalisation. La révolution du numérique touche l'administration Jusqu'à présent en effet, les pouvoirs publics avaient eu recours aux systèmes informatiques pour moderniser ministères et administrations et quelques-unes des plus grosses SSII de Paris ont joué le rôle de conseil et de prescripteur depuis quelques années. De nombreux informaticiens travaillent donc régulièrement pour le secteur public ou même en son sein mais avec un statut de salarié de leur entreprise. Il semble qu'aujourd'hui un nouveau cap soit franchi par l'administration avec le recrutement, pour ses propres besoins, d'un personnel du monde informatique, habitué aux sites d'emplois. L'étude Monster Public/Acteurs Public confirme cette évolution : « pour la première fois, un état comparatif chiffre les usages de l'Internet en matière de recrutement public parmi les 27 pays membres de l'union européenne. Les Pays Bas, le Royaume-Uni et l'Allemagne arrivent en tête de ce classement, la France est en septième position. » (...)
(29/03/2007 12:23:21)L'Apec explique les clefs du recrutement aux jeunes diplômés de France
L'Apec (Association pour l'emploi des cadres) organise la deuxième édition des semaines « jeunes diplômés » entre le 2 et le 27 avril, dans toute la France. A l'occasion de la première édition, ils étaient plus de 4 000 à se rendre au rendez-vous qui s'organise autour de conférences, de tables rondes et de discussions avec des experts de l'emploi. Des entreprises jouent également le jeu en expliquant leurs problématiques RH. Ces journées seront en fait des demi-journées thématiques, avec des présentations méthodologiques. L'idée est vraiment de sensibiliser des jeunes gens à une recherche d'emploi efficace en amont, et aux entretiens d'embauche en aval. Cette année, les rendez-vous se dérouleront dans 12 villes : Strasbourg les 2 et 3 avril ; Orléans les 5 et 6 avril ; Clermont-Ferrand les 17 et 18 avril ; Nancy les 18 et 19 avril ; Lille et Lyon du 23 au 25 avril ; Nantes les 23 et 24 avril ; Bordeaux, Montpellier et Toulouse du 24 au 26 avril ; Paris (boulevard Lenoir) du 25 au 27 avril ; Rennes, du 26 au 27 avril. (...)
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