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Carrière
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(06/11/2006 17:23:51)
De nouvelles destructions d'emplois en informatique par l'offshore
Les 500 premières entreprises européennes vont faire face dans la décennie qui vient à une perte d'emplois locaux estimée à 1,3 millions de postes sur la chaîne administrative de l'entreprise. Cette thèse est celle du groupe Hackett (études de benchmarking et d'accompagnement des entreprises) qui vient de rendre les conclusions d'une étude, à partir de 2100 grandes entreprises internationales. Après les métiers informatique, ceux du back-office délocalisés Michael Janssen, PDG de Hackett, indique : « de nos jours les entreprises peuvent faire appel aux ressources dites d'offshore, pour tirer partie des zones de travail à coût réduit, tout en maintenant et en développant les compétences de leur personnel. Les gains liés à ces économies, évalués par nos analystes à 96 millions d'Euros par an et par entreprise présente dans le panel des 500 sociétés européennes étudiées, sont trop énormes pour être ignorés. » L'étude indique que l'informatique constituait pendant longtemps la fonction la plus prompte à basculer en dehors des frontières de l'entreprise. Or aujourd'hui, c'est aux fonctions dites de back office (services informatiques, comptabilité, ressources humaines, fonction achat) d'être touchées à leur tour par la tendance. Mais quelle valeur accorder au signal d'alarme tiré par Hackett ? En France, le Sénat va dans un sens similaire : en juin 2005, une étude de Jean Arthuis, président de la commission des finances du Sénat, complétée par l'analyse du cabinet Karlyse, prévoyait pour 2006-2010 la délocalisation de 202 000 emplois de services (dont près de 40 000 dans l'informatique, environ 12 000 dans le domaine des télécommunications et 90 000 dans le secteur « services aux entreprises »). Or ce chiffre de 202 000 représente 22 % de la création nette d'emplois salariés au cours de la période 1999-2003. Même si les analystes s'accordent sur le fait qu'il est difficile d'envisager des prospectives dans ce domaine, une étude d'IDC confirme également la tendance et estime à 20% environ la croissance de l'offshore chaque année (janvier 2006). Le Syntec Informatique minimise en revanche le risque de généralisation de l'offshore : certes, cette pratique paraît inéluctable, mais elle serait structurellement limitée, puisque sa part dans le CA du secteur pourrait être comprise entre 4% et 6% à l'horizon 2009 et que le plafond théorique des prestations « offshorisables » serait inférieur à 15 % du CA des services informatiques. (...)
(06/11/2006 17:25:10)Deux salons pour l'emploi informatique à Marseille et à Rennes
Est-il encore temps de trouver un emploi dans l'informatique avant fin 2006 ? Oui, puisque deux organisateurs de salons, Kavesta et lesjeudis, donnent en région l'occasion d'une rencontre entre candidats et entreprises qui recrutent. Pour Kavesta, la manifestation se déroulera le 8 novembre à Marseille (Parc Chanot, palais des congrès). Les profils les plus recherchés sont essentiellement destinés aux secteurs des études et développement ; banque/finance/assurance ; exploitation et production ; conseil ; réseau et sécurité ; industrie. Quant à la rencontre organisée par lesjeudis, elle aura lieu le lendemain 9 novembre à Rennes (Halle Martenot). Outre des recruteurs, les candidats pourront également découvrir les formations continues et diplômantes (masters, VAE) dispensées dans la région. (...)
(03/11/2006 17:52:22)9 et 10 novembre : l'Epitech présente les projets de fin d'études de ses étudiants
Ecole d'ingénieurs créée en 1999, l'Epitech (groupe Ionis) est ouverte à tous les bacheliers passionnés d'informatique qui obtiennent leur diplôme en 5 ans. Elle présente sa « vitrine » les 9 et 10 novembre, les projets de fin d'études (PFE) menés en 4e et 5e années et réalisés par groupes de 5 personnes au minimum. Ce forum rassemblera étudiants, entreprises et public. Directeur de l'Epitech, Nicola Sadirac indique que « le PFE fait référence au chef d'?uvre réalisé par les compagnons du devoir, artisans qui se transmettent un savoir millénaire : il représente le travail final. Le but est de porter à un niveau d'achèvement total, montrable et utilisable à l'extérieur, la réalisation produite. Le projet doit avoir son mode d'emploi pour les utilisateurs et sa notice technique. C'est un vrai travail d'entreprise : imaginé, conçu, développé, formalisé, finalisé, présenté et souvent vendu.» Une Twingo modifiée autoguidée En effet, les projets peuvent soit sortir de l'imagination des futurs diplômés et servir ensuite de carte de visite, soit être proposés et financés par des entreprises. Une cinquantaine d'exposants, diplômés ayant monté leurs entreprises et étudiants en fin d'études à l'Epitech présenteront leurs réalisations. Ainsi, le projet Scope (Twingo modifiée autoguidée, conçue en collaboration avec le laboratoire Imara de l'Inria) disputera la vedette à Fantasy Chess (intelligence artificielle appliquée aux échecs) ou à Magrathea Engine (moteur graphique permettant de visualiser en 3D et en temps réel, des systèmes solaires complets). D'autres applications comme SPIR (système de prévention des intrusions réseaux) ou Easy Decision (développement d'un logiciel d'aide à la décision) devraient également intéresser les visiteurs en quête de tendances et de nouveaux talents. (...)
(03/11/2006 17:54:30)L'internationale syndicale pourrait se pencher sur l'offshore
La CSI (confédération syndicale internationale), qui vient d'être créée au congrès de Vienne (1er-3 novembre 2006) et représente plus de 190 millions de syndiqués dans 170 pays, pourrait se pencher sur le monde informatique, et en particulier l'offshore. L'annonce paraît surtout symbolique, puisque les organisations étaient divisées depuis plus de 60 ans et que le syndicalisme semble parfois à bout de souffle, comme en France : à peine plus de 8 % de salariés syndiqués en 2003, soit deux fois moins que 25 ans auparavant, selon une analyse du ministère du Travail (Dares, octobre 2004). Pourtant, la même étude nuançait la tendance, indiquant une progression de la présence syndicale, sous forme de délégués ou de représentants élus, dans les établissements et les entreprises. A l'heure où l'off-shore et la mondialisation concernent l'informatique dans son ensemble, un vaste champ de réflexion sur le travail débutera-t-il ? Invité d'honneur de la CSI, Juan Samovia, directeur général de l'OIT (organisation internationale du travail, créée en 1919 et devenue en 1946 la première institution spécialisée du système des Nations Unies) a ouvert le débat. Il a demandé à la nouvelle confédération de développer un dialogue avec les employeurs internationaux, afin de réduire la pauvreté de moitié d'ici à 2015 au moyen d'opportunités de travail décent. (...)
(03/11/2006 10:54:45)L'Intranet pour flécher les parcours de formation chez Xerox
Avec le "forum des métiers" ouvert sur l'Intranet, les salariés de Xerox ont non seulement accès sur écran à la bourse des emplois ouverts dans l'entreprise, mais aussi la possibilité d'anticiper l'évolution de leur carrière. Une description des parcours possibles, notamment cross-fonctionnels, des postes correspondants et des compétences et responsabilités qui leur sont associées, leur permet de se positionner. Et ce, tant en termes du complément de formation qui leur faut demander à la DRH et à leur hiérarchie, que pour baliser ce parcours dans le temps. Signe des temps, cette initiative tend à confirmer la convergence de l'attente des salariés et des priorités mises en avant par les entreprises. Selon une étude en ligne du Journal du management (avril 2006), 62% des salariés aspirent à avoir plus d'information de la part de leur DRH au sujet des formations qui leur sont accessibles et 49% aimeraient avoir visibilité sur les postes à pourvoir en interne. Selon la 4e édition du baromètre de la fonction RH, organisée et publiée en octobre 2006 par l'intégrateur CSC France, avec Liaisons Sociales et Entreprise & Personnel, la moitié des entreprises du panel (130 entreprises de plus de 1000 salariés) a déjà instauré la pratique de "bourse de mobilité". La gestion des compétences clés "au plus près des besoins du business" vient en tête des priorités des DRH, ainsi que la capacité à anticiper les nouvelles organisations du travail. Et ce, au moyen d'outils qui permettent de relayer l'information voulue auprès des salariés concernés. Les progrès attendus des portails RH et SIRH (systèmes d'information pour les ressources humaines) vont dans ce sens. Ce qui met du pain sur la planche tant des DRH que des informaticiens chargés d'intégrer et de paramétrer ces outils. (...)
(02/11/2006 18:08:36)Les prévisions d'embauche des SSII confortées par le bilan des trois premiers trimestres
Depuis janvier 2006, le tarif journalier des prestations des SSII a augmenté de 3,2%. Signe, selon la place de marché HiTechPros, d'une reprise confirmée, marquée par un relatif équilibre entre l'offre et la demande. Sans réelle inflation, donc. De fait, sur les neuf premiers mois de 2006, la demande de prestations a progressé de 28% par rapport à la même période de 2005 et de 63% par rapport à 2004. En même temps, les SSII ont beaucoup embauché. Après sept mois d'équilibre quasi parfait entre l'offre et la demande, en août et septembre, l'offre d'assistance technique (des SSII qui ont anticipé) est légèrement supérieure à la demande de renfort des entreprises. Un décalage temporel lié "au temps nécessaire pour placer les nouvelles ressources sur des projets", avance l'analyse de HiTechPros. Sans surprise, les profils qui profitent de la reprise sont ceux qui interviennent sur les chantiers relevant des nouvelles technologies (java, serveurs d'applications, architectures Web, etc.) pour lesquels la demande de renfort a progressé de plus de 60% par rapport à 2005 (28% de la demande globale, contre 22% en 2004). La demande a de même progressé fortement pour le "consulting" (+58% entre 2005 et 2006) qui représente 13% de la demande globale. Les chantiers "mainframe" ne sont pas en reste avec une progression significative de 44% entre 2005 et 2006 (7% de la demande globale). Et les projets "client-serveur" suscitent une hausse de la demande de 41%. Le secteur bancaire mène la demande La reprise est surtout bien marquée pour le secteur banques-finances qui représente 43,9% de la demande de prestations (37% en 2005). Second dans la clientèle des SSII, le secteur assurances ne pèse que pour 11,5% dans la demande de prestations. A l'inverse du secteur bancaire, la part du secteur public-administration régresse (de 8% de la demande en 2004 à 4,7% en 2006), de même que celle des télécoms (6,9% en 2006, contre 10,3% en 2004) ou encore celle du secteur "transports" (1,6% en 2006 contre 4,2% en 2004). Un rattrapage pour les uns, une pause pour les autres. Ce qui explique notamment la bonne tenue de la demande de prestations autour des mainframes (les grands silos des établissements bancaires). (...)
(31/10/2006 17:33:24)Le chômage baisse, le travail précaire augmente et les spécialistes s'arrachent
Le nombre de demandeurs d'emploi a baissé de 1,4% entre août et septembre 2006 et le ministère de l'Emploi annonce un taux de chômage de 8,8% (selon les chiffres de l'Insee qui servent de baromètre officiel). Mieux : sur un an, le chômage a perdu un point. Il faut se reporter au second semestre 2001 pour retrouver des données équivalentes. +23% des offres cadres dans l'informatique au 3ème trimestre 2006, selon l'Apec Dans le domaine de l'informatique, l'annonce du Gouvernement était anticipée dès le premier trimestre 2006 par la Dares (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques) : « les tensions augmentent surtout pour les ingénieurs et cadres, sans toutefois atteindre les niveaux très importants de 1998-1999. » Le dernier indicateur de l'Apec (note de conjoncture trimestrielle) va dans un sens similaire : avec 14 037 offres proposées au troisième trimestre 2006 contre 11 401 un an auparavant, l'augmentation des offres cadres est de 23%. L'Apec indique encore que les propositions d'emplois dans l'informatique représentent désormais un tiers des offres totales. Cette excellente tendance doit pourtant être nuancée : d'une part Pierre Lamblin, directeur du département études et recherche de l'Apec, indique « qu'une offre n'est pas égale à un recrutement » et estime à 50% environ les offres qui débouchent sur un recrutement effectif. D'autre part, la double « pénurie » sur certains profils (.Net, Java, J2EE) et sur quelques métiers qui ont le vent en poupe (chef de projet) pourrait être l'arbre qui cache la forêt. En effet, certains informaticiens sont très convoités et les jeunes diplômés à fort potentiel tirent désormais leur épingle du jeu (la part des offres Apec qui leur sont ouvertes est passée de 29% à 32% un an). Mais le nombre de demandeurs d'emplois en informatique était toujours de 27 970 fin août 2006. De plus, plus de 37 000 chômeurs ont été radiés des listes de l'ANPE (approximativement le même chiffre qu'en septembre 2005). Enfin, la précarité est en forte augmentation : l'ANPE indique que les emplois occasionnels de moins d'un mois sont en augmentation de 13,4% sur un an, tandis que les emplois durables (plus de 6 mois) sont en diminution de 2,6%. (...)
(31/10/2006 17:35:11)IDS Scheer France : 100 collaborateurs recherchés pour 2007
La filiale française d'IDS Scheer (CA de 16 M€), éditeur de solutions de modélisation des processus métier (BPM), prévoit d'embaucher 100 personnes environ sur 2007 (et sans doute aussi 100 collaborateurs en 2008). L'entreprise recherche des consultants avec une forte expertise métier et/ou SAP. Toutefois, les candidats possédant à la fois une expertise BPM, métier et SAP étant peu nombreux, IDS Scheer France propose à ses futurs collaborateurs un cycle de formation intense dispensé en interne. Autre cible : les jeunes diplômés. L'entreprise prévoit leur encadrement par des consultants seniors au cours de leurs premiers projets, leur permettant ainsi de gagner en expérience. Pour ce faire, IDS Scheer France collabore avec plusieurs écoles telles que l'INSA Lyon, l'Ecole Supérieure de Logistique de Metz ou encore l'Université de Clermont-Ferrand. Et ouvre son espace de recrutement à tous les jeunes ingénieurs. (...)
(31/10/2006 09:51:57)L'effondrement de BenQ-Siemens contraint Infineon à licencier
Frappé de plein fouet par la faillite de BenQ Mobile, qui avait repris les activités mobiles de Siemens, Infineon Technologies va provisionner près de 100 M$ et restructurer sa division mobile dont les ventes devraient fortement chuter au cours de l'année à venir. La disparition de Benq Mobile, qui était l'un de ses principaux clients, devrait se traduire par la perte de près de 190 M$ de contrats pour la seule année 2007, ce qui devrait amener Infineon à se recentrer sur ses contrats avec des constructeurs comme LG et Samsung. Dans le cadre de cette restructuration, Infineon devrait supprimer près de 400 emplois dans sa division communications dont près de la moitié en Allemagne. Infineon avait déjà souffert au cours des dernières années du recul des ventes de Siemens puis plus récemment de la mauvaise santé des ventes de BenQ Mobile. Il est à noter que comme tous les grands des puces pour téléphones Mobile, Infineon a développé son activité en s'adossant à un grand client. Pour Infineon, il s'agissait de Siemens. FreeScale, de son côté, est largement tributaire des fortunes de Motorola tandis que TI est très lié au succès de Nokia... (...)
(30/10/2006 17:48:05)Descente en force de Syntec sur les campus de banlieue
Dans la vague d'intérêt pour l'égalité des chances et la promotion de la diversité, la fédération Syntec (informatique, conseil, management et recrutement) s'est alliée à l'association APC Recrutement pour organiser une série de forums sur les six campus de la périphérie parisienne. Avec le soutien des présidents des universités concernées. L'opération baptisée UniverSyntec commence vendredi 10 novembre par une journée de rencontre (à l'allure de forum-emploi) à Nanterre (Amphi Bernard Marie Koltès). L'université des Hauts-de-Seine représente un vivier de 30 000 étudiants, parmi lesquels divers licences et mastères (en gestion, informatique, maths appliquées) sont directement concernés par les emplois ouverts aux jeunes diplômés par les entreprises membres du Syntec (15 000 emplois cette année, selon la Fédération). Selon la formule habituelle des forums étudiants, la matinée est dédiée à des présentations/débats. Avec pour originalité de cette opération, un focus mis sur les mutations en cours dans les méthodes de recrutement face au défi de la non discrimination à l'embauche, et une prise de position du Syntec allant dans le sens de la promotion de l'égalité des chances. L'après-midi est dédiée aux rencontres employeurs-étudiants sur des stands, où seront présents les chargés de recrutement d'Accenture, Atos Origin, Cap Gemini, Demos, Ineum, Sogeti, Sopra, Unilog, Weave Management, etc. Soit un potentiel de 3 000 emplois et stages. Les prochains rendez-vous UniverSyntec sont en cours de préparation (avec les présidents d'université et les directeurs des "fac" UFR concernées) à Paris-12 Créteil (en décembre), Paris 11-Orsay, Paris-13 Villetaneuse, Evry-Val d'Essonne et Marne-la-Vallée. (...)
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