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(08/09/2006 12:38:56)

Cognos licencie 6% de ses effectifs sur fond de bons résultats

Cognos s'apprête à se délester d'environ 6% de ses effectifs à travers le monde, alors même que le groupe canadien annonce qu'il dépassera les objectifs qu'il s'était fixés pour le compte du deuxième trimestre 2007. L'éditeur de business intelligence se séparera de 210 salariés afin de doper la rentabilité opérationnelle. Principales cibles : les postes d'encadrement et ceux "n'engendrant pas de revenu". Cognos espère réaliser une économie de 13 M$ sur la fin de l'exercice en cours puis de 28 M$ par an à l'issue de cette réorganisation. Parallèlement, ce spécialiste du décisionnel devrait recruter de 20 à 25 personnes pour renforcer le secteur des ventes qui compte actuellement 366 salariés. L'annonce de cette restructuration intervient à l'heure où l'éditeur fait état de résultats trimestriels qui devraient dépasser les prévisions. Les revenus devraient ainsi atteindre 228 M$, soit le haut de la fourchette communiquée à la fin du mois de juin. De même, le bénéfice par action devrait dépasser les 16 à 20 cents précédemment annoncés. (...)

(08/09/2006 12:37:33)

L'Indien Infosys se renforce en République Tchèque

Infosys, le spécialiste indien de l'externalisation, renforce sa présence en Europe en augmentant les effectifs qu'il compte à Brno, en République Tchèque. Objectif de cette décision a priori paradoxale : accroître ses capacités afin de mieux répondre à la demande de ses clients issus du Vieux Continent qui préfèrent le nearshore à l'offshore : cela évite des problèmes de décalage horaire et souvent de langue. En janvier, le groupe de Bangalore ajoutera 350 salariés aux 130 qu'il compte actuellement à Brno. Le site tchèque fournit des services dans l'externalisation du processus métier comme la gestion des commandes, la finance et la gestion, les études de marchés, etc. Plus de 80% des salariés y sont recrutés localement et y conduisent des opérations en 13 langues, dont le français, l'allemand et l'espagnol. En plus de ses activités actuelles, le concurrent de Tata et de Wipro prévoit de proposer à ses clients européens la gestion de leurs infrastructures et le déploiement de PGI ou autres GRC. Si les entreprises britanniques ont pris l'habitude de se tourner vers l'externalisation du développement logiciel et du processus métier, dans le reste de l'Europe le recours à l'offshore est plus timide. Les groupes d'Europe continentale représentent environ 12 à 13% des revenus des spécialistes indiens selon la Nasscom (India's National Association of Software and Service Companies). Outre son développement à Brno, Infosys prépare l'agrandissement de son site britannique, basé à Swindon. Le groupe dispose également d'un centre localisé en Allemagne. (...)

(07/09/2006 18:04:04)

Recrutement : SQLI récompense le meilleur cooptant

Il y a six mois, la SSII SQLI a lancé une opération pour relancer la cooptation au sein de son agence parisienne (500 personnes). Elle a organisé un concours rémunérant par des primes tous les trois mois les meilleurs apporteurs de candidats, puis le cooptant le plus prolixe au bout de 9 mois. Tout cela en plus des primes accordées lorsque les candidats présentés ont reçu une proposition d'embauche. A l'heure des premiers bilans, Alexandra Lecordier, responsable du recrutement au sein de la SSII, se félicite de l'initiative. Elle a permis de recruter environ 25 personnes soit 20% des 120 à 130 nouveaux embauchés de l'agence parisienne et ce dans un processus souvent optimisé. « La cooptation nous apporte les meilleurs CV grâce à la sélection naturelle qui s'opère. Neuf fois sur dix, les entretiens qui s'effectuent avec des personnes cooptées débouchent ainsi sur des propositions d'embauche ». Parallèlement au bilan quantitatif, d'autres enseignements sont tirés de l'expérience. « Favoriser la cooptation nécessite de communiquer très régulièrement auprès de ses équipes sur le sujet, via différents supports internes. Nos collaborateurs sont absorbés par leur mission et n'ont donc toujours le réflexe de recommander d'autres personnes si rien ne vient le leur rappeler », explique Alexandra Lecordier. Autre point capital, ce processus nécessite de « bichonner » ses collaborateurs. Ceux-ci auront envie de faire venir des gens qu'ils apprécient au sein de leur société uniquement si ils s'y sentent bien. « Nous avons engagé une démarche qualité (People CMM) au niveau de la gestion de ressources humaines au sein de SQLI qui pose le socle, entre autre, d'un suivi régulier de nos collaborateurs », poursuit Alexandra Lecordier. « Ce suivi se concrétise par exemple par des points annuels et semestriels avec chacun, ce qui permet de bien savoir où ils en sont ». SQLI pourrait renouveler l'expérience du concours sur son agence Lyonnaise (180 personnes). (...)

(07/09/2006 18:05:47)

Le Plan de suppressions de postes suspendu chez Capgemini Outsourcing

Le juge des référés du tribunal de grande instance de Nanterre a déclaré recevable l'action menée par le CCE (Comité central d'entreprise) de Capgemini, le CE Outsourcing (comité d'entreprise de la division Outsourcing Services) et les représentants syndicaux contre la direction de la SSII. Ces instances avaient engagé une action en justice visant à faire annuler ou reporter la procédure du plan de sauvegarde de l'emploi lancée le 17 juillet dernier et portant sur 210 postes. Le principal motif invoqué était la non application d'une partie de l'accord GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) signé le 9 mai 2005 entre Capgemini et une certains syndicats (CFDT, CFTC, CFE-CGC), qui aurait pu, selon eux, éviter le risque de licenciements. Connaître les métiers à risques Le juge invite les partenaires sociaux à mettre en ?uvre l'accord GPEC. En attendant, il suspend les procédures de consultation des CCE et CE engagées dans le cadre de la suppression de 210 emplois dans la division Outsourcing Services (Livre IV et III). « Nous sommes satisfaits de cette décision », se félicite l'un des représentants des partenaires sociaux. « Nous demeurons toutefois préoccupés par l'avenir de l'activité infogérance chez Capgemini. Ce plan de suppression de postes fait suite à la session de l'activité maintenance matérielle de la division Outsourcing à Unysis en février dernier, qui a déjà donné lieu au transfert de 143 emplois vers cette société. Notre volonté est de contribuer à faire vivre cette activité ». Pour la suite, les syndicats attendent que la direction leur donne des informations sur les métiers éventuellement menacés et sur les plans de redéploiement et de formation envisagés pour les collaborateurs concernés. La direction n'a pas souhaité apporté de commentaires à cette décision. De source syndicale, elle aurait décidé de ne pas faire appel. (...)

(06/09/2006 18:24:36)

Intel supprime 10% de ses effectifs et économise 5 milliards de dollars

Hier soir, comme attendu, Paul Otellini, le PDG d'Intel, a annoncé à ses salariés qu'il prévoyait de supprimer 10 500 postes d'ici à la mi-2007, soit 10% de son effectif qui atteint 102 500 personnes. « Bien que difficiles, ces actions sont indispensables pour qu'Intel soit une société plus souple et plus efficace à l'avenir », a-t-il déclaré. Il n'a pas précisé quel serait l'impact de cette décision sur les effectifs européens. En France (120 collaborateurs), on estime qu'il pourrait être proportionnel à ce qui est prévu sur le plan mondial. Une dizaine de postes pourraient être touchés. Des négociations sont déjà en cours dans le cadre de ces restructurations. « Nous travaillons sur des reclassements internes, explique le porte-parole d'Intel France, aucun licenciement n'est engagé. » Ces baisses d'effectifs devraient coûter 200 millions de dollars à Intel. Elles s'inscrivent dans un vaste plan de restructuration qui doit faire économiser à l'Américain 2 milliards de dollars en 2007 et 3 milliards l'année suivante. Ce plan fait suite aux résultats de l'audit lancé au printemps dernier par Paul Otellini sur l'activité d'Intel en vue d'améliorer sa compétitivité. Il s'est déjà traduit par le licenciement de 1000 cadres dirigeants qui a été annoncé en juillet (inclus dans les 10 500 suppressions de postes) et par la vente des divisions XScale (1400 personnes) en juin et Icon (signalisation électronique, 600 personnes) en août. L'objectif d'Intel est de baisser ses effectifs à hauteur de 95 000 personnes à la fin de l'année. 3000 postes supplémentaires seront supprimés en 2007, touchant l'encadrement, les activités industrielles, la fabrication, le design des produits et le marketing. « Intel estime que ses équipes marketing sont trop importantes. Elles vont être réduites notamment au profit d'un renforcement des forces de vente. En France, plusieurs personnes se sont déjà vues proposer de rejoindre cette activité commerciale afin d'amplifier notre présence sur le terrain ». (...)

(05/09/2006 18:24:17)

Recrutement : pensez aux éditeurs

Les éditeurs sont moins présents sur la scène du recrutement que dans les SSII. Ils présentent toutefois comme leurs partenaires des opportunités d'emploi en ce moment. Cegid, le groupe détenu par le célèbre patron de l'Olympique Lyonnais Jean-Michel Aulas (ayant fusionné avec son homologue CCMX il y a deux ans), est par exemple en pleine campagne de recrutement, comme son homologue, l'éditeur de progiciels de gestion intégré Lawson (fruit lui aussi d'une fusion avec le suédois Intentia). Le premier cherche à pourvoir 70 postes d'ici à la fin de l'année (30 ingénieurs commerciaux, 20 consultants formateurs et 20 développeurs ayant une bonne maîtrise de Forms 9, 10, de PL/SQL ou de Delphi) le second une trentaine, dont une dizaine de consultants juniors, des spécialistes de la production, de l'EDI (échanges de données informatiques) et des directeurs de projets. Les besoins concernent des profils techniques, fonctionnels et commerciaux. Et des exigences particulières leur sont associées sur les compétences attendues qui tiennent notamment aux spécialisations « verticales » (par secteur d'activité, hôtellerie, BTP, mode, etc.) des éditeurs. « Pour le déploiement des solutions de gestion chez nos clients, nous avons besoin de personnes qui soient capables de faire le pont entre l'informatique et les utilisateurs, des consultants ayant à la fois des compétences techniques et métier», résume Didier Serrat, directeur général adjoint de Cegid. Il ajoute que les spécificités touchent aussi les profils commerciaux. « Nous cherchons des personnes capables de vendre des projets complexes et de grande ampleur. Il faut des collaborateurs capables de négocier des installations touchant des réseaux de plusieurs centaines de magasins et impliquant d'installer de nombreux matériels et logiciels ». (...)

(05/09/2006 18:10:18)

Sopra et SAP montent une formation avec des embauches à la clé

L'éditeur allemand SAP et la SSII Sopra ont en projet, avec une école d'ingénieurs parisienne, le lancement d'une formation de six mois en février prochain sur les progiciels de gestion intégrés (PGI) en général... et en particulier sur la solution de SAP. Cette formation, qui doit être labellisée par la Conférence des Grandes Ecoles comme un Mastère professionnel, s'adresse aux jeunes ingénieurs tout juste diplômés. Elle leur proposera des contenus pédagogiques génériques sur les PGI et des cours sur l'outil de SAP, qui sera le seul PGI a être utilisé comme support pédagogique (en particulier ses modules de gestion financière et logistique). Ils effectueront leur stage chez Sopra qui fera ensuite une proposition d'embauche aux étudiants qui auront réussi la formation et décroché le diplôme. Le lancement de ce projet doit être finalisé dans les prochains jours. Il est complémentaire aux chantiers déjà lancés pour accroître le nombre de compétences SAP sur le marché à court et à long terme. L'un d'eux concerne l'éditeur et quatre SSII. Il a pour objectif de créer une série de formations - dont la première devrait avoir lieu à l'Escem (Ecole Supérieure de Commerce et de Management Tours-Poitiers) pour former des professionnels de l'informatique et des systèmes d'information aux technologies de SAP. L'éditeur essaie parallèlement de convaincre un nombre croissant d'écoles d'utiliser mySAP ERP comme support de cours afin de sensibiliser les décideurs de demain, leurs étudiants, à sa solution de gestion. La prochaine étape sera d'aborder l'enseignement supérieur par le biais de ses chercheurs. L'éditeur souhaite leur montrer qu'il peut leur apporter une collaboration intéressante, via ses travaux et ses unités de R&D. (...)

(04/09/2006 17:59:58)

Recrutement : un site de recrutement en ligne 100% SAP

L'acteur du recrutement en ligne britannique Job Board Enterprises network s'est engouffré dans la niche créée par la pénurie de compétences SAP déplorées par les SSII. Il a lancé au mois de juin un site portail consacré à l'emploi autour du progiciel de gestion intégré de l'allemand. Il y revendique 2700 petites annonces issues de sociétés et d'agences de recrutement cherchant des compétences SAP et assure ne publier que des propositions correspondant à des emplois réellement vacants. Il insiste sur ce point en raison des pratiques de certaines SSII qui consistent à lancer des procédures de recrutement en vue de projets et d'appels d'offre qu'ils ne sont pas sûrs de gagner. Des pratiques qui font gonfler le marché de l'offre artificiellement. Pour éviter que ce type de procédé ne se retrouve sur son site, thesapjobboard.com n'effectue pas de vérification directe sur les annonces publiées mais compte sur la relation de confiance qu'il entretient avec ses clients. « Nous avons une très bonne relation avec les agences de recrutement et nos clients directs. Nous les prévenons que nous n'acceptons que de « vraies » annonces d'emploi. Dans le cas contraire, cela pourrait léser la crédibilité des agences de recrutement. Pour elles, il serait inconscient d'avoir ce type de stratégie ». SAP Job Board présente l'intérêt d'être international. Disponible en quatre langues, il regroupe des offres d'emploi de nombreux pays. Il est par ailleurs gratuit pour les candidats qui l'ont déjà largement fréquenté. Quelques 25 000 visiteurs uniques sur le seul mois d'août sont revendiqués par la direction du site. Au top des fonctions les plus recherchées par les candidats sur le moteur de recherche du site, on trouve Abap (langage de développement du PGI SAP), MM (achats-stocks), SD (gestion commerciale) et CRM (gestion de la relation client). (...)

(01/09/2006 16:18:40)

L'ECE sensibilise ses élèves ingénieurs aux métiers du conseil

Les SSII et cabinets de conseil déplorent une méconnaissance de leur métier auprès des étudiants. L'ECE (Ecole centrale d'électronique) l'a entendu. L'établissement de formation d'ingénieurs propose à partir du mois d'octobre prochain une session de 70 heures de cours sur les métiers du conseil. Elle a mis en place cet enseignement pour les élèves de deuxième année du cycle d'ingénieurs afin que ceux-ci puissent se familiariser avec le domaine d'activité avant de choisir leur stage de troisième année. Ce dernier est en effet souvent décisif pour décrocher le premier emploi. Calmer l'impatience des étudiants Cette formation vise à donner aux étudiants une vision réaliste du métier. Dans cette optique, l'ECE fait appel à des intervenants issus de sociétés telles qu'Accenture, Ernst&Young ou Sogeti. Elle mixe par ailleurs des enseignements sur les différents domaines de compétences que couvrent ces métiers : méthodologie, compétences relationnelles ou commerciales, management des RH, nouvelles technologies, etc. « Nous présentons aux étudiants quatre familles de prestations : le conseil en stratégie, en management et organisation, en TIC et en infrastructures, sachant que les deux dernières sont les principaux pôles d'embauche pour nos étudiants », développe Corinne Goetz, responsable de la formation. Nous allons ainsi pouvoir leur expliquer que l'on commence rarement par faire du conseil en stratégie », ajoute-elle évoquant l'impatience de certains jeunes ingénieurs à occuper ce type de fonction. Près d'un quart de la promotion est inscrite L'ECE a mis en place cette formation car beaucoup de ses étudiants vont vers ces métiers en sortant de l'école. Sur la dernière promotion, elle en recense de 15 à 20% dans le conseil et davantage (proportion exacte non connue) en comptant ceux qui exercent des prestations de conseil en SSII sans avoir le titre de consultant. La proposition séduit en tout cas, puisque 67 étudiants sur 275 se sont déjà inscrits pour la première session qui démarre au mois d'octobre prochain. Elle vient s'ajouter aux 7 autres enseignements du même type (Ingénierie d'affaires est le plus plébiscité) proposés à l'ECE, destinés à sensibiliser les étudiants aux domaines d'activité de leur choix. (...)

(01/09/2006 16:20:45)

Intel pourrait supprimer des milliers de postes

Les collaborateurs d'Intel pourraient éprouver douloureusement les réorganisations évoquées en avril dernier par Paul Otellini, leur président. Mardi prochain, le géant des processeurs devrait leur annoncer des réductions drastiques d'effectifs. Le Wall Street Journal et le New York Times, qui relatent la nouvelle, parlent de plusieurs milliers de suppressions d'emploi (sur 100 000 employés au total chez Intel). Cette annonce devrait intervenir dans le cadre de la présentation de l'étude qui avait été lancée par le fabricant américain pour examiner son activité. Selon le New York Times - qui rapporte les propos d'un collaborateur d'Intel souhaitant garder l'anonymat - Paul Otellini aurait prévenu ses employés hier, jeudi, par e-mail de la tenue d'une conférence web mardi prochain pour leur faire part des résultats de l'étude. Interrogé à ce sujet, Chuck Mulloy, le porte-parole d'Intel, a déclaré que le géant du processeur s'engageait à communiquer sur ses plans de réorganisation avant la fin du troisième trimestre, mais qu'il n'avait rien à dire pour l'instant. Il a qualifié de spéculations les présomptions de licenciements. Economiser plus d'un milliard de dollars Des restructurations de grande ampleur devraient de toute façon s'engager. Elles avaient été annoncées au printemps après un trimestre décevant et la révision à la baisse de ses prévisions pour l'année 2006. "Nous allons restructurer, réorganiser et retailler Intel pour l'avenir », avait asséné Paul Otellini, l'objectif étant de baisser les dépenses à hauteur de plus d'un milliard de dollars. Au mois de juillet, il avait déjà évoqué la suppression de 1000 postes d'encadrement. Intel se remet en ordre de bataille pour affronter la concurrence et récupérer les parts de marché perdues sur AMD. Dans cette optique, l'Américain a d'ailleurs lancé une offensive sur les processeurs double-coeur avec Core 2 Duo sorti en juin et sur les microprocesseurs avec Tulsa. (...)

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