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(28/06/2006 18:37:02)

L'Ecole du libre se poursuit et s'étoffe

L'école ouverte francophone (l'EOF) spécialisée dans la formation aux logiciels libres à distance, a ouvert ses portes virtuelles en janvier dernier. A l'époque, l'association n'avait pas de certitude quant à sa pérennité. Aujourd'hui, après six mois d'existence, elle poursuit l'aventure et étoffe son offre de formation. Elle lance d'abord sa deuxième session de formation longue (la certification professionnelle Cert, un cursus de 300 heures) au mois de septembre qui compte déjà une petite dizaine d'inscrits (notamment des salariés de conseils généraux). Celle-ci peut accueillir jusqu'à 20 personnes. Elle propose ensuite un nouveau cursus de trois semaines consacré à l'enseignement d'Asterisk, un routeur logiciel de voix sur IP qui fonctionne sous Linux. Dispensé lui aussi à distance, ce cours s'adresse aux personnes qui souhaitent installer un routeur voix sur IP au sein d'une entreprise, pour un groupe de sociétés ou sur un campus universitaire par exemple. Il vient compléter l'offre de formation courte de l'Eof qui se résumait jusqu'à présent à un module de découverte de Linux permettant d'installer et de manipuler une distribution Linux (Kubuntu). (...)

(28/06/2006 18:37:24)

Télécom Paris prépare un cursus qualifiant en téléphonie sur IP

Le département de la formation continue de Télécom Paris (Ecole nationale supérieure des télécommunications) devrait proposer en 2007 une formation qualifiante spécialisée dans le domaine de la téléphonie sur IP. L'école d'ingénieurs travaille à l'élaboration d'un cursus de 200 à 250 heures dispensé sur six mois et qui serait sanctionné soit par un certificat de l'école, soit par un Badge (Brevet d'aptitude délivré par les grandes écoles). Elle devrait confirmer ce projet à la rentrée. Elle est pour l'heure en discussion avec une entreprise qui a sollicité la création de ce cursus et pourrait l'inaugurer pour ses salariés. Indépendamment de cet accord, l'établissement pense de toute façon inclure ce cursus à son offre de formation étant donné l'ampleur de l'activité dans ce domaine et la forte demande de compétences induite qui ne faiblit pas, selon elle. Ce cursus viendra compléter les enseignements plus courts de technologies IP dispensés sous forme de modules dans d'autres cursus ( par exemple les badges « Convergence des réseaux, Architecture des réseaux, etc) et qui représentent déjà environ 30% de l'activité de la formation continue. La téléphonie sur IP est aussi présente dans le cursus de formation d'ingénieurs de l'école, pour les étudiants de deuxième et de troisième année. Ils se voient proposés des modules courts de 3 et de 5 jours plusieurs fois par an dans ce domaine, qui sont dispensés par des professionnels de la société Ilexia. (...)

(28/06/2006 12:33:06)

Nortel supprime plus de 1000 postes

Nortel va procéder à la suppression de 1100 postes à travers le monde, soit 3,2 % de ses effectifs. Nortel supprimera 1900 postes, dont 1200 dans les services opérationnels, 350 au sein des services de management et 350 dans les unités commerciales. Joint par téléphone, l'équipementier ignore encore à quel degré les 2300 effectifs français seront concernés par ces mesures. Parallèlement, le groupe va créer 800 nouveaux emplois dans deux "centres d'excellence" basés à Mexico et en Turquie. Des recrutements que Nortel justifie en rappelant la nécessité de se rapprocher de ses grands clients. Surtout, le Mexique et la Turquie offrent une main d'oeuvre à la fois abondante et bon marché, ce qui coïncide avec la stratégie du groupe visant à réduire les coûts. Enfin, Nortel entend modifier le programme de retraite pour ses effectifs basés en Amérique du Nord et économiser 400 M$ d'ici 2012. La restructuration annoncée par Nortel devrait se traduire par des économies de 100 M$ en 2007, et 175 M$ en 2008. Elle engendrera une charge de 100 M$ sur deux ans, dont 35 M$ impacteront le deuxième trimestre 2006. Cette annonce "poursuit nos efforts pour accroître notre compétitivité, la meilleure gestion de nos coûts et la sécurisation des revenus afin d'alimenter l'innovation", a explique le PDG Mike Zafirovski. L'équipementier canadien sort d'un "trimestre difficile", selon les mots de Mike Zafirovski : sur les trois premiers mois de son exercice, Nortel a ainsi publié une perte nette en augmentation et des revenus seulement stables sur un an. Pour l'homme fort de l'équipementier, à la tête du groupe depuis le mois d'octobre 2005, il s'agit donc de rassurer les actionnaires et de faire oublier les trois reports de publications de résultats au cours des trois dernières années consécutifs au scandale financier qui avait éclaboussé le groupe sur la période 2000-2003. (...)

(27/06/2006 17:52:42)

« Une arme de guerre anti turn over »

Lemondeinformatique.fr : Quels sont les enjeux et la philosophie du dispositif de gestion de carrières mis en place au sein de la DSI? Yves Caseau : Notre société évolue dans un environnement en perpétuel mouvement, qui change très vite et qui exige que nous nous adaptions en permanence pour continuer à accroître notre qualité de service. Pour s'adapter, le plus important n'est pas tant d'avoir les bonnes compétences que de bénéficier d'un processus qui permette de les accueillir et de les former. Face à ce constat, nous nous sommes posés la question de la façon dont nous pourrions faire vivre notre portefeuille de compétences, en dehors du mouvement des entrées et des sorties des collaborateurs et des actions de formation classiques, afin qu'il gagne en souplesse. Pour y répondre, nous avons monté un dispositif de formation et de transmission des compétences. L'idée qui se trouve au coeur de ce dispositif est de faire en sorte que l'ensemble des collaborateurs de la direction des systèmes d'information profite des connaissances des plus expérimentés. L'autre enjeu est de rendre la DSI plus attractive en offrant aux informaticiens des projets intéressants mais aussi un environnement intellectuellement stimulant, où chacun peut progresser. C'est une arme de guerre anti turn-over, bien que ce dernier soit pour l'instant peu élevé. Comment se concrétise ce dispositif ? Nous avons mis en place des « filières » ou parcours professionnels, qui permettent d'identifier et de récompenser l'excellence technique, mais aussi la volonté et la qualité de la transmission des compétences. Les personnes qui les intègrent ont à leur disposition un ensemble de « moyens » pour progresser, comme, par exemple, un accès facilité aux plus hauts niveaux de management, des accès à des conférences en France et à l'étranger, à certaines formations particulièrement pointues, etc. Elles intègrent par ailleurs le réseau interne de partage de connaissances et de bonnes pratiques qui leur permet de développer leurs savoirs et de participer à la croissance des compétences de la DSI, ce qui est essentiel. En effet, ce réseau constitue véritablement notre poumon interne. Enfin, pour accroître la visibilité et la reconnaissance des compétences de ces personnes à l'extérieur de la société, nous montons des parcours de formation certifiants dont elles pourront profiter. Combien avez-vous de filières ? Comment y accéder et combien de niveaux comptent-elles ? Nous avons trois filières qui comptent chacune deux niveaux de compétences distincts. La première rassemble 50 à 60 collaborateurs et s'adresse aux experts techniques de tout type, des architectes, des experts métiers, des spécialistes du développement, de l'exploitation et de l'intégration, etc. La deuxième totalise 30 à 40 collaborateurs et concernent les directeurs de projets La troisième, qui a été lancée il y a trois mois est réservée aux spécialistes des tests (40 à 50 collaborateurs). Tous les informaticiens peuvent faire la demande pour accéder à ces filières, à condition d'être cooptés par une personne déjà en place. Ils doivent remplir un dossier qui sera examiné par un comité de la DSI. Les candidats sont évalués sur trois axes : leur état d'esprit, disponibilité et qualités relationnelles, leurs compétences et leurs qualités pédagogiques. Ce dernier axe se mesure, par exemple, par leur capacité à produire des documents accessibles à tous, même sur un sujet très technique. Ce dispositif ne risque t-il pas de créer de différenciations entre les collaborateurs de la DSI ? Nous manquons encore de recul pour répondre à cette question puisque la première filière a un an environ. La meilleure façon d'y répondre jusqu'à présent est pour nous d'être totalement transparent sur le dispositif, de l'ouvrir à tous et de justifier les éventuels refus. Par ailleurs, jusqu'à présent, la sélectivité a plutôt un effet stimulant. Elle crée de l'émulation et de l'envie au sein de nos équipes. (...)

(27/06/2006 12:28:08)

EMC va investir 500 M$ en Chine pour l'ouverture d'un centre de développement logiciel

EMC fête ses 10 ans de présence en Chine en ouvrant un centre de développement logiciel. Basé à Shanghai, le centre devrait employer 100 développeurs d'ici à la fin de l'année. Ce chiffre sera porté à 500 d'ici à 2008. EMC a précisé qu'il allait investir en Chine 500 M$ sur les cinq prochaines années. Le centre de Shanghai assurera le service après-vente mais également la création de nouveaux produits logiciels destinés au monde entier. Bien sûr, cette base avancée chinoise permettra également à EMC d'investir le pays et le continent asiatique dans son ensemble. Avec cette décision, EMC renforce un peu plus sa présence en Asie. La semaine dernière, on apprenait que l'entreprise allait dépenser un montant identique en Inde. EMC compte débourser plus de 1,2 Md$ en recherche et développement, en 2006. (...)

(26/06/2006 18:22:30)

Syntec informatique cherche à cerner ses développeurs

Syntec informatique a lancé une étude (les premiers résultats sont attendus pour juillet) afin de mieux connaître les développeurs qui évoluent dans son secteur. L'objet de cette démarche est d'abord de faire un point quantitatif sur leurs effectifs et leurs profils (formation, CSP, etc). Ensuite d'avoir une vision qualitative du métier et de l'évolution de ses compétences par une enquête directe auprès de salariés, de leurs employeurs, de responsables de formation et d'étudiants. Le syndicat patronal se focalise en priorité sur ce métier car celui-ci fait partie des fonctions menacées par la concurrence internationale notamment issue du off-shore, les départs en retraite et la désaffection pour les carrières scientifiques. Il entre dans les professions qui devront sans doute se repositionner en partie pour faire face à cette concurrence et être en adéquation avec les besoins futurs des entreprises. Dans la foulée, la chambre professionnelle prévoit toutefois de lancer (à la rentrée) des enquêtes comparables autour des compétences dans les domaines des logiciels embarqués et des nouvelles technologies. L'objectif est de réunir les informations permettant de faire de la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences dans le secteur. (...)

(26/06/2006 18:22:02)

Les SSII délaissent les jeunes diplômés au profit des experts

Un besoin prononcé d'encadrement et d'expertise technique semble se faire sentir dans les projets informatiques. Les informaticiens expérimentés sont en tout cas beaucoup plus recherchés qu'au premier semestre par les SSII, tandis qu'une baisse d'intérêt se manifeste pour les jeunes diplômés. C'est ce que révèle l'observatoire semestriel LMI-Hitechpros* sur les intentions d'embauche des SSII (dont les principaux résultats sont publiés dans Le Monde Informatique du 20 juin 2006). La tendance est valable dans les petites et moyennes entreprises interrogées (CA < 100M€ et moins de 500 salariés) comme dans les grandes (CA > 100 M€) : seules 20% des premières prévoient d'embaucher des jeunes diplômés contre 37% en décembre dernier, et 27% des grandes contre 43,5% il y a six mois. Dans les petites structures, le mouvement bénéficie essentiellement à des informaticiens présentant entre trois et dix ans d'expérience - ce profil passe de 20% des intentions d'embauche en décembre 2005 à 40% en mai 2006. Il profite davantage à des experts (+ de dix ans d'expérience) dans les grandes SSII, puisque 18% d'entre elles souhaitent embaucher de tels profils contre 4% en décembre. L'observatoire confirme par ailleurs que les SSII continuent de recruter, malgré un léger fléchissement des prévisions par rapport au premier semestre, plus marqué dans les petites structures. 86% d'entre elles prévoient d'accroître leurs effectifs dans les mois qui viennent (contre 91% en décembre 2005), 11% leur stabilité (contre 7,5%) et 3% leur baisse (contre 1,5%). Parmi celles qui projettent une stagnation ou une baisse des effectifs, 38% déclarent qu'elles préfèrent placer en priorité leurs collaborateurs en inter-contrats, contre 25% en décembre. (*) Enquête réalisée en mai et juin 2006, réalisée par HitechPros pour Le Monde Informatique sur un panel de 83 entreprises, dont 18 réalisent plus de 100 millions d'euros de chiffre d'affaires. (...)

(23/06/2006 17:09:04)

Un livre blanc, une convention, des ponts jetés entre la recherche et l'emplois en R&D

"Les doctorants en informatique américains effectuent, deux ou trois fois pendant leur doctorat, un stage de trois mois dans un laboratoire ou une entreprise. Non sans résultats. Les perspectives et l'expérience du doctorant s'enrichissent, et l'entreprise peut tenter des expériences innovantes sans grand risque. Les deux s'habituent en douceur l'un à l'autre", constate Marc Shapiro, directeur de recherche à l'Inria. C'est une des pistes de réflexion que suggèrent les professionnels de la recherche systèmes (OS, systèmes embarqués, distribués, etc), membres de la société savante Eurosys, dans un livre blanc qui reprend les points forts et, surtout, les faiblesses de la position européenne dans ce domaine. Au premier rang desquelles l'isolement des chercheurs, le manque d'encouragement à jeter des passerelles entre le monde académique et celui de l'entreprise, et la difficulté qu'ont les institutions du Vieux Continent à accompagner l'interaction entre recherche publique et R&D, et à en faire le creuset de conditions de carrière attrayantes. Parallèlement, les premiers pas des pôles de compétitivité liés aux technologies (NTIC) sur la voie de partenariats européens en R&D apportent un début de réponse concrète à ce constat. Comme en témoignera, ce 29 juin à Saint-Quentin-en Yvelines, la première convention du pôle Systematic (un an d'existence), avec, notamment, la signature d'un accord de partenariat avec le cluster allemand SafeTRANS qui s'inscrit dans le cadre du programme EICOSE (European Institute for Complex & Safety Critical Embedded Systems Engineering). Un programme auquel est également associé le pôle Aerospace Valley (Toulouse, Aquitaine) pour la conception et le développement de systèmes embarqués critiques pour les transports. (...)

(23/06/2006 17:09:43)

Les grandes écoles se positionnent face à l'irrésistible attraction de la Chine et de l'Inde

Le mouvement s'accélère. Pas un mois sans qu'une série de partenariats franco-chinois ou franco-indien entérine les échanges de bons procédés -et surtout d'étudiants- entre écoles d'ingénieurs et de management des deux continents. Ces accords impliquant, de fait, les entreprises "clientes" de ces cursus. A Rouen, la filière internationale de l'Esigelec ouverte aux non-francophones de niveau bac+4 accueille cette année 19 étudiants chinois. Parmi les diplômés des promotions précédentes, certains ont intégré des multinationales partenaires du cursus tels qu'Alcatel à Shanghai, Peugeot à Wuhan ou China Southern Airlines. De futurs diplômés 2006 sont en stage ingénieur à France Telecom et SNCF. Réciproquement, 21 étudiants de l'ECE (Ecole centrale d'électronique de Paris) sont en Chine (Pékin, Wuhan), depuis février, pour effectuer leurs projets de fin d'études. Coachés par des universitaires chinois pendant un semestre, les élèves-ingénieurs travaillent, par petits groupes réunissant chinois et français, sur des projets liés à des problématiques de forte actualité comme la voix sur IP ou les systèmes embarqués. Les écoles des Mines de Nantes, Nancy, Douai ou Paris, prétendent former des ingénieurs globe-trotters. Avec l'attrait de double-diplômes dont certains, de plus, sont accrédités master européen. C'est notamment le cas de l'école nantaise (17% des effectifs étudiants sont étrangers) dont le cursus de master en génie logiciel débouche sur un diplôme de l'université de Bruxelles. Les écoles de commerce et de gestion ne sont pas en reste, chacune cultivant la différence de son antenne en Chine (pour l'Inseec de Paris et Bordeaux, Grenoble EM, Sup de Co Montpellier, ESC Tours-Poitiers) ou de ses partenariats en Inde (l'Ieseg de Lille avec un collège de Madras, Reims Management School avec l'EMPI de New Dehli). (...)

(21/06/2006 18:05:24)

Microsoft accélère le recrutement et la formation de développeurs .net

Cent postes de développeurs .net intégrant une formation certifiante de 4 semaines sur la plateforme, sont proposés chez des partenaires de Microsoft : les sociétés Avanade, Evaluant, Sidetrade, Neos-sdi.com, SideTrade, Sogeti, Sqli et WinWise. Ces dernières ont publié des annonces qui sont visibles sur MSEmploi , le service emploi de l'éditeur. Elles participent à l'opération Université.net montée par Microsoft pour accélérer le recrutement de développeurs.net. L'éditeur américain a investi en communication (150 000 euros pour deux campagnes en ligne ) pour informer les candidats. Il subventionne aussi une partie de la formation qui sera proposée aux nouvelles recrues par ses partenaires de formation habituels. L'opération s'adresse aussi à des personnes salariées qui pourront suivre la formation sans s'intégrer dans le processus de recrutement. Microsoft propose à ses partenaires (dont la SSII Steria) d'accueillir dans ce cursus certifiant les développeurs qui souhaitent se reconvertir sur .net. L'éditeur entend de cette façon compter 200 nouveaux développeurs certifiés sur sa plate-forme dès le mois de septembre. 37% de développeurs sur .net Il a lancé cette initiative pour accompagner la progression de la plate-forme .net sur le marché, qui serait désormais utilisée selon lui par environ 37% des développeurs contre 25% il y a six mois. Il estime que la formation des ressources humaines doit suivre le même rythme de croissance sous peine de freiner son adoption. Une pénurie de ressources pourrait en effet conduire ses partenaires à refuser des projets sur.net et entraîner la flambée des salaires des développeurs. (...)

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