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(30/05/2006 18:12:08)

Recrutement : des emplois informatiques sur le « Paris du premier emploi »

L'informatique sera représenté sur le premier forum du recrutement, Paris de la diversité et du premier emploi qui se déroule le 1er juin à la Cité des Sciences et de l'Industrie de Paris. Quelques SSII seront présentes, telles Atos Origin, Keyrus et Sophia Conseil. Les jeunes pourront aussi rencontrer des petites sociétés peu présentes sur les salons du recrutement informatique habituels, tels Mediatools (conseil) ou Atomiz (multimedia, streaming audio-vidéo) et des société de secteurs d'activité très variés ayant des emplois à proposer de tous niveaux dans le domaine informatique, comme par exemple le spécialiste du crédit à la consommation Cetelem qui cherche un chef de projet informatique et la Direction régionale des services pénitentiaires de Paris qui propose un poste de technicien de maintenance en informatique. En marge du salon, un site web dédié est ouvert et recense les offres d'emploi des acteurs présents. Ceux-ci sont tenus de proposer sur ce forum uniquement les postes qui sont immédiatement à pourvoir. (...)

(30/05/2006 18:11:46)

Grandes Ecoles : un pôle de développement de compétences informatiques en pleine gestation

Deux école d'ingénieurs vont unir leurs compétences et leurs approches pédagogiques, l'Eisti (école internationale des sciences du traitement de l'information) et SupMeca, (l'institut supérieur de Mécanique de Paris). Ces établissements ont conclu un partenariat pour quatre ans destiné à étoffer leurs offres de formations et à renforcer leur poids sur le marché. Dans ce cadre, les étudiants de l'Eisti pourront suivre une filière de Supmeca et réciproquement, trois options de l'Eisti seront ouvertes aux jeunes de Supmeca, leur donnant des compétences notamment dans le domaine de l'ingénierie des systèmes informatiques complexes et du conseil aux entreprises. Des projets mixtes de fin d'études seront aussi organisés pour les étudiants, ainsi que des travaux de recherche dans la « méca-info-tronique » des systèmes embarqués. L'Eisti s'engage par ailleurs à assurer un transfert de compétences dans le domaine informatique auprès de Supméca. Les relations et les contacts avec les entreprises seront enfin mutualisées entre les deux écoles, offrant des possibilités de partenariats étendues. Ce rattachement préfigure la création en Ile de France d'un INP (Institut National Polytechnique) associant en priorité l'Ensea (Ecole nationale supérieure de l'électronique et de ses applications), l'Eisti et Supmeca. A terme, il pourrait aboutir à l'émergence d'un grand pôle d'enseignement supérieur dédié aux sciences conjuguées de l'électronique, de la Mécanique et de l'informatique. Intervenant quelques temps après le rapprochement des écoles Supaero et Ensica , ce mouvement s'inscrit dans la tendance à la concentration qui sévit sur le marché des grandes écoles afin d'accroître leur visibilité. (...)

(30/05/2006 18:11:22)

Gestion de compétences : Resadia ouvre ses formations internes aux techniciens

Le groupe Résadia, ce réseau de 42 sociétés spécialisées dans les services et l'intégration en réseaux, informatique, télécom et sécurité, a monté un programme de formation maison qui était jusque là réservé à sa population commerciale. Depuis le début de l'année, il est ouvert aux 2800 personnes (sur 3900 personnes au total) occupant des postes techniques, cadres et techniciens. Ce programme a pour objectif de les former à l'art de la gestion de la relation client. Il ne contient pas de formation aux technologies mais des cursus liés à la connaissance des métiers des clients, à l'écoute active, à la gestion du travail en équipe et des projets. Il a été bâti sur mesure par un groupe de travail qui réunit un consultant externe spécialisé, des dirigeants, des managers des sociétés membres du réseau et des permanents de Résadia. Cette initiative, lancée il y a 4 ans est partie de la difficulté à trouver sur le marché des formations permettant aux équipes commerciales de faire évoluer leur processus de vente orientés produits vers des stratégies commerciales centrées sur le vente de solutions. Par ailleurs, comme l'explique Philippe Limantour, directeur des opérations du réseau, « il était complexe d'identifier des offres de formation nous permettant de créer un cursus de montée en compétences cohérent et adapté à en terme budgétaire ». Pour monter un programme de formation progressif, Resadia s'est attaché à élaborer un référentiel qui recense une centaine de compétences à maîtriser autour de la gestion de la relation client et définit quatre niveaux d'expertise. Ces niveaux sont sanctionnés par l'attribution de certifications internes qui sont délivrées à l'issue de sessions d'examens qui ont lieu une à deux fois par an. Pour les décrocher, les candidats doivent répondre à un questionnaire puis se plier à un exercice oral devant un jury - composé d'un dirigeant, d'un responsable technique et d'un responsable commercial, formés à cet exercice- qui jugera de ses qualités d'écoute et de conseil au client. Chaque niveau d'expertise est accessible après 9 à 10 jours de formation théorique par an en moyenne - une durée variable selon les besoins. Il faut y ajouter des « travaux pratiques » en entreprise, dirigés par des managers qui coachent les collaborateurs concernés. Ces derniers sont également formés dans cette optique. (...)

(29/05/2006 17:41:51)

Jeunes diplômés : la reprise se confirme comme les inégalités hommes femmes

L'insertion des jeunes ingénieurs sur le marché du travail est de plus en plus rapide, selon les premiers résultats de l'enquête annuelle (*) de la Conférence des grandes écoles (CGE). A l'instar de l'étude de Télécom Paris sur le même sujet, ils montrent que la hausse du taux net d'emploi (**) des diplômés grimpe. Il approche 80% (79,1% contre 72,7% en 2005) et retrouve les niveaux enregistrés en 1997-1998, au moment de la reprise économique de la fin des années 90. Le nombre de diplômés en recherche d'emploi baisse aussi naturellement. Au moment de l'étude, 16,8 % des ingénieurs interrogés se trouvaient dans cette situation, contre 21,2% l'année précédente. De la même façon, ils ne sont que 16,9% à suivre des études dans le promotion 2005, alors qu'ils étaient 19,1% dans ce cas dans la promotion 2004. Globalement, ces constats valident la reprise sur le marché de l'emploi qui s'était amorcée en 2004 pour les jeunes diplômés. Elle s'était alors traduite par une progression du taux net d'emploi alors que celui-ci était en chute continue depuis 2001. Encourageante, cette tendance doit toutefois perdurer pour que l'on puisse parler de croissance durable. Le nombre de jeunes ingénieurs en recherche d'emploi reste par exemple significatif, même s'il est difficile de tirer des conclusions fermes sur ce ratio eu égard à la diversité des situations considérées au moment de l'étude - la CGE estime qu'un tiers des diplômés était sortis de l'école depuis plus de six mois, un tiers depuis 4 mois, et le dernier depuis moins de 2 mois- Parallèlement, les salaires proposés sont en hausse (+2% sur l'ensemble des jeunes diplômés d'écoles d'ingénieurs et de management). Leur progression reste toutefois relativement corrélée à l'évolution du coût de la vie, l'indice des prix à la consommation ayant crû de 1,7% entre avril 2005 et avril 2006 (source Insee). Elle ne traduit pas une tension particulière sur le marché de l'emploi avec une offre d'emploi prépondérante sur la demande. 2400 euros d'écart de salaire entre les hommes et les femmes Cette étude montre parallèlement que les inégalités hommes femmes perdurent puisque le taux de jeunes diplômées en activité professionnelle s'élevait à 59,4% pour les femmes au moment de l'étude et à 65% pour les hommes. Cette disparité se retrouve au niveau des salaires. Le revenu brut moyen annuel des femmes ingénieurs est celui qui progresse le plus (+ 3,6%) pour atteindre 28500 euros. Mais il reste inférieur à celui des hommes (+1,8%) qui se monte à 30 900 euros. (*) Insertion des jeunes diplômés. Enquête lancée en janvier 2006. (**) le taux net d'emploi est mesuré par Dap / (Dap+Dre), avec Dap : diplômés ayant une activité professionnelle et Dre: diplômés en recherche d'emploi. Utilisé pour mieux rendre compte de la réalité de l'insertion professionnelle car exclut les diplômés en poursuite d'études, en volontariat international et sans emploi volontaire. (...)

(19/05/2006 17:30:49)

Recrutement : les débouchés s'élargissent pour les jeunes diplômés

L'enquête premier emploi 2006 (*) réalisée par l'école d'ingénieurs Télécom Paris confirme le regain d'intérêt des entreprises pour les jeunes diplômés. Premier constat, le délai de recherche d'emploi - déjà court pour cette école prestigieuse- s'est réduit. 99% des diplômés de la dernière promotion ont trouvé un emploi en moins de 4 mois, (contre respectivement 95% et 89% en 2005) et 91% en moins de deux mois (contre 84% en 2005). Deuxième constat, les débouchés professionnels se diversifient même si les principaux recruteurs restent les cabinets de conseil et les SSII (45% des recrutements). 9% des jeunes diplômés ont par exemple intégré le secteur bancaire contre 7% en 2005 et 4% en 2004. La tendance est similaire dans les autres industries (automobile et énergie), ce qui témoigne de l'importance croissance des technologies de l'information et de la communication dans ces métiers. A l'inverse, la part des opérateurs de télécommunications, le débouché historique de Télécom Paris, baisse d'année en année (17% en 2004, 14% en 2005, 13% en 2006). De la même façon, les métiers les plus représentés restent ceux du conseil, suivi par les études et le développement informatique. Mais 10% des ingénieurs ont tout de même intégré des fonctions de financiers là où ils n'étaient que 3% en 2004 et 7% l'année dernière. (*) L'enquête a été effectuée entre janvier et avril 2006, auprès des diplômés des trois dernières promotions, avec un taux de réponse entre 74 et 76% selon les promotions. (...)

(19/05/2006 17:30:25)

Recrutement : 500 postes d'informaticiens y compris sur Cobol

Les cobolistes sont encore convoités par les SSII et les spécialistes des environnements Sap (langage Abap) demeurent les plus recherchés. Tels sont les enseignements que l'on peut tirer de la campagne de recrutement massive menée actuellement par Accenture Technology Solutions (société du groupe Accenture dédiée aux métiers du service informatique). La société de conseil et d'ingénierie projette de recruter pas moins de 500 informaticiens d'ici à la fin de son année fiscale 2007 (fin août 2007), avec dans l'ordre des compétences technologiques les plus recherchées, celles concernant les environnements Sap, Oracle, Unix et Cobol (proportions non communiquées) Plus précisément, elle cherche à pourvoir 37 postes à Nantes et 77 à Paris d'ici la fin Août 2006 et respectivement 120 et 267 l'année suivante dans ces deux mêmes villes. Les profils demandés par les directeurs de projet sont en majorité des jeunes diplômés (de niveau Bac+ 2 à bac +4) qui occuperont des postes de développeurs et d'ingénieurs d'études. Pour répondre à ses ambitions sur un marché de l'emploi tendu, Accenture diversifie ses sources d'identification de candidatures, parallèlement à l'utilisation des voies de recherche de Cv traditionnelles (cabinets de recrutement et sites web emploi). La société de conseil a institutionnalisé la cooptation en offrant des bons cadeau aux collaborateurs qui lui présente des candidats, lorsque ces derniers sont embauchés. Ces rétributions sont accordées avant même la fin de la période d'essai du candidat coopté, puisqu'elles visent avant tout à faire venir des profils intéressants. Le groupe souhaite ensuite développer un partenariat avec l'anpe. Il s'inscrit parallèlement dans des opérations de recrutement d'un nouveau type comme «Nos quartiers ont du talent» . Il renforce enfin ses relations avec les écoles afin de monter avec certains établissements, des formations correspondant à ses besoins. Dans la même optique, Accenture devrait aussi embaucher des jeunes en contrats de professionnalisation (contrats qui remplacent les anciens contrats de formation en alternance) afin de les former et de les fidéliser. (...)

(12/04/2006 17:49:42)

Gestion de carrières : des aides financières pour les quadra

A partir du 15 avril, les informaticiens pourront s'adresser à leur service RH pour bénéficier d'un nouveau dispositif de formation. En particulier s'ils ont plus de 40 ans et travaillent dans des entreprises de moins de 50 salariés. Ce dispositif est en effet conçu en priorité pour ces catégories de populations et d'entreprise. Il s'agit de l'Engagement de Développement de la Formation professionnelle (EDDF) qui vise à proposer des bilans de compétences et des actions de formation et/ou de vae (validation des acquis et des compétences) découlant des besoins identifiés pour obtenir des nouvelles qualifications, y compris des certifications d'éditeurs. L'objectif est de former 1000 informaticiens dans ce cadre d'ici à la fin 2007. Pour faciliter l'adhésion des entreprises, les initiateurs du dispositif, l'Etat, la branche Syntec et le Fafiec (l'organisme qui assure son suivi) ont prévu des aides financières pour que tout ou partie des dépenses de formation soient prises en charges. Ce dispositif vient se cumuler avec les périodes de professionnalisation et les actions de formation prévues au titre du Dif (droit individuel à la formation). (...)

(12/04/2006 17:49:23)

Recrutement : 40 000 embauches de cadres informaticiens en 2006

L'année 2006 s'avère plus que prometteuse pour l'emploi des informaticiens. Les entreprises envisagent de recruter 40 000 cadres dans ce métier cette année, selon l'Apec, soit autant qu'en l'an 2000 estime l'agence. Ces prévisions représentent une croissance de 43% des recrutements par rapport à 2005 (28 000 recrutements recensés en 2005) Elles font de l'informatique le domaine de compétences le plus convoité après la fonction commerciale. Elles confirment par ailleurs la reprise du marché et montrent un regain de confiance des entreprises. L'enquête emploi réalisée par l'Apec fin 2005 auprès d'entreprises de tout secteur souligne aussi que leurs recrutements se feront essentiellement en Ile de France, Rhône-Alpes et Provence Alpes Côte d'Azur, les régions qui représentent traditionnellement 75% de l'effectif cadre en France. Elle confirme en outre le regain d'intérêt qui se manifeste pour les jeunes diplômés depuis 2005. 58% des offres conduisent à des recrutements La tendance s'avère donc favorable. Toutefois les chiffres ne traduisent pas les créations nettes d'emploi du secteur qui tiennent compte des promotions et des départs (non communiqués). Ils ne reflètent pas par conséquent toute sa dynamique. L'Apec confirme par ailleurs que des poches de chômage persistent (taux de chômage estimé entre 4 de 5% des 300 000 cadres informaticiens) alors qu'il y a parallèlement des difficultés pour trouver certains profils d'informaticiens (par exemple des consultants Sap). Dans les recherches d'emploi, il convient par ailleurs de prendre les offres avec précaution. Toutes ne sont pas synonyme d'embauche. En 2005, l'Apec a ainsi recensé 48 000 offres d'emploi mais seulement 28 000 recrutements de cadres dans l'informatique, soit un taux de transformation de seulement 58%. Elle explique ce différentiel par deux phénomènes. D'abord par les plans de recrutement prévisionnels lancés simultanément par plusieurs SSII dans la perspective d'une réponse favorable à un même appel d'offre. A l'arrivée, il n'y a qu'une seule élue pour la réalisation du projet correspondant et un seul recruteur au lieu des cinq ou six qui ont publié des offres d'emploi. Ensuite par les entreprises qui publient des petites annonces pour se constituer des « Cvthèques » alors qu'elles n'ont pas de besoins immédiats. Rappelons que le Munci (mouvement pour une union nationale des consultants informaticiens) estime que « l'on peut compter en moyenne une création d'emploi nette pour 4 à 5 recrutements bruts et 8 a 10 offres d'emploi dans notre secteur ». (...)

(12/04/2006 16:53:33)

La technopole Rennes Atalante s'ouvre au grand large

L'accord entre les communautés urbaines de Rennes et du pays de Saint-Malo est bien concrétisé. La technopole de Rennes Atalante a désormais une antenne à Saint-Malo. La zone destinée à accueillir les entreprises, située à l'entrée de la ville sur la route de Rennes, est en cours d'aménagement. Mais l'hôtel de la technopole est déjà ouvert. Il propose aux entreprises technologiques des surfaces de bureau en location et des services partagés. Il est également destiné à favoriser les rencontres entre les différents acteurs des filières de biotechnologies marines et des technologies de l'information qui constituent les deux axes propres au territoire de Saint-Malo. Actuellement, trois entreprises technologiques et trois équipes de recherche de l'IUT de Saint-Malo - Université de Rennes 1 sont installées à l'hôtel de la technopole. Au début du mois d'avril, les parisiens ont pu mieux découvrir le Pays de Saint-Malo sur le parvis de la gare Montparnasse, avec des stands et la présence du Renard, réplique du dernier bateau corsaire de Robert Surcouf. Une manière pour les malouins de relier leur histoire aux entreprises d'aujourd'hui. (...)

(12/04/2006 12:21:53)

HP France : l'accord sur l'aménagement du temps de travail sur le point d'être signé

L'accord sur l'aménagement du temps de travail (ARTT) devrait être signé par quatre syndicats de HP-France - l'entité commerciale du groupe - indique l'AFP. La CFTC, la CFE-CGC, la CGT et FO "ont manifesté leur intention de signer cet accord" selon Jean-Paul Vouiller, délégué CFTC. Une position confirmée par Michel Soumet, responsable CGT, qui se félicite du retrait d'une clause litigieuse concernant la cinquième semaine de congés payés. Une réunion consultative des comités d'entreprises de HP-CCF - rassemblant les activités internationales du groupe - se tiendra ce 13 avril et, là aussi, les syndicats semblent s'orienter vers un accueil favorable à l'ARTT. Un accord "gagnant-gagnant" estime Didier Pasquini, délégué CFE-CGC qui précise que si son syndicat n'avait pas signé la première mouture du projet en raison, notamment d'un cadrage du forfait-jour "totalement débridé", la nouvelle version "permet un aménagement plus facile du temps de travail : un certain nombre de congés pourront être épargnés voire donner lieu à rémunération. Notre accord ne laisse planer aucun doute". En contre-partie du réaménagement du temps de travail, et d'un nombre de jours de travail accru - il passe de 206 à 214 sur l'année - le plan de sauvegarde de l'emploi prévoit des suppressions d'emplois moindres. Devant concerner initialement 1240 postes, les licenciements devraient être ramenés à 886. (...)

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