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(07/06/2006 18:13:40)

InfoPro Worldwide embauche des ingénieurs français à New Dehli

Parce que les différences culturelles posent certaines limites à l'off-shore, le prestataire de services informatiques InfoPro Worldwide recrute des ingénieurs français pour rejoindre son centre indien. Spécialisé dans deux types de prestations, l'administration systèmes et réseaux à distance (sauvegarde y compris) et la conception de sites web (avec les services associés d'hébergement, nom de domaine...), le groupe américano-indien a choisi de centraliser toute sa production en Inde. Il estime toutefois que la barrière de la langue pourrait compliquer le suivi et nuire à la bonne compréhension des besoins des clients français. Afin d'anticiper cette éventualité, il embauche des « account manager » et des chefs de projets (bilingues anglais-français) pour assurer l'interface avec son réseau de franchisés en France qui est en contact direct avec les clients. Les premiers auront essentiellement un rôle de suivi commercial, les second assureront l'avant-vente, l'étude du cahier des charges des clients, la gestion et le suivi du projet. InfoPro Worlwide recrute parallèlement des ingénieurs hotline pour répondre directement au client sur des questions liées aux prestations d' administration de systèmes. Ces jeunes recrues doivent présenter entre 3 à 8 ans d'expérience selon les postes. Elles seront embauchées avec un contrat de travail indien à des niveaux de rémunération « mixtes » entre les niveaux français et indiens. Autrement dit, les salaires seront moins élevés qu'en France mais InfoPro Worldwide prendra en charge les frais logistiques (voyages, logement et cuisinier !) de ses futurs collaborateurs. Pour l'heure, deux account managers ont rejoint le centre de New Dehli, un chef de projet et un responsable hotline (un second est attendu pour juin). Les recrutements doivent se poursuivre au rythme du développement de l'activité française de InfoPro Worldwide. Le prestataire travaille pour l'instant avec trois franchisés en France mais a pour ambition d'en compter au moins 350 d'ici trois à quatre ans. Il a d'ailleurs embauché quatre directeurs de région qui sont en charge de développer ce réseau dans l'hexagone. A terme, il estime qu'il faudra à New Dehli un account manager pour dix franchisés et un chef de projet pour vingt partenaires. (...)

(06/06/2006 17:37:21)

Recrutement : 30 postes à Roanne chez Steria

La SSII Steria a ouvert au mois de mars dernier une nouvelle plate-forme de services à Roanne (Loire). Elle fait partie de son réseau européen de centres de services proposant des prestations industrialisées de hotline, de support bureautique et fonctionnel. Installée dans les locaux de la Chambre de commerce et d'industrie, celle-ci a pour objectif d'atteindre un effectif d'une vingtaine de personnes d'ici la fin de l'année 2006, de 30 personnes d'ici fin juillet 2007 et de 60 collaborateurs dans les 3 ans à venir. Les profils recherchés sont des informaticiens hot-liners et des superviseurs, les contrats de travail proposés des CDI. Après Nantes (Centre de Tierce maintenance applicative de 3ème Génération) en 2005 mais aussi Grenoble et Orléans début 2006, Roanne est la seizième ville française à accueillir une implantation Steria. (...)

(06/06/2006 17:37:36)

ZenMicro recrute pour créer un réseau de franchisés

Les services à la personne se développent, y compris dans l'informatique. Développer une telle activité accolé à une enseigne peut-être l'opportunité de créer son emploi, d'être indépendant avec des risques limités et de rejoindre sa région de coeur... C'est en tout cas le type d'opportunité que peut offrir la proposition de la société de dépannage informatique à domicile ZenMicro. L'enseigne créée à Troyes au début de l'année, recrute des candidats pour prendre la tête de franchises à ses couleurs. Il y a beaucoup de places à prendre puisque son ambition est d'ouvrir une vingtaine d'agences d'ici à la fin de l'année en France et à terme de couvrir tout le territoire national avec un maillage assez serré. ZenMicro vise le grand public - elle a une clientèle de particuliers dont 70% a plus de quarante ans et 35% plus de soixante ans. Elle se place donc sur un marché qui présente un potentiel extrêmement large. Elle bénéficie par ailleurs de l'agrément de « Société de services à la personne » et des mesures du plan Borloo prévues pour favoriser le développement de ce type de structure (TVA à 5,5%, déductions fiscales pour les clients, possibilité de payer bientôt avec le chèque emploi service universel, etc), ce qui lui permet de pratiquer des prix attractifs. Elle est par ailleurs porté par le succès qu'a rencontré son agence pilote. Celle-ci aurait réalisé en trois mois les objectifs fixés pour 18 mois, avec un chiffre d'affaires moyen par technicien de 4000 à 5000 euros par mois. Pour déployer ce scénario ailleurs, ZenMicro cherche des partenaires ayant un bagage technique - idéalement une expérience en gestion de parc et en maintenance informatique- mais surtout une fibre entrepreneuriale, un grand sens commercial et du service de proximité. Elle a concocté un portefeuille d'offres de services incluant des produits d'appels. Elle a aussi mis au point une méthode d'intervention rigoureuse qui évite de se laisser embarquer dans un temps de travail non facturé et d'entamer la rentabilité de l'activité. Elle a enfin prévu une formation de deux semaines pour les candidats qui veulent se lancer dans l'aventure et un accompagnement. En échange, elle leur demande un droit d'entrée de 4500 euros auxquels il faut ajouter les coûts de formation (1330 euros, tarif calculé en fonction des taux de prises en charge des assedic). Une fois l'affaire lancée, le franchisé devra en outre verser 10% du chiffre d'affaires réalisé à ZenMicro. (...)

(02/06/2006 17:50:21)

Salaires : les rémunérations grimpent dans les SSII et chez leurs clients

Les informaticiens gagnent en pouvoir d'achat. L'étude sur la rémunération des informaticiens menée par le cabinet Oberthur Consultants (*), traitée dans Le Monde Informatique (numéro du 26 mai 2006), fait apparaître une augmentation globale des salaires du secteur informatique de 4,5% en 2005. Cette progression est notoire puisqu'elle se situe à un niveau supérieur à l'inflation (+1,5%) et à la hausse de l'indice des prix à la consommation (+1,7% ). Elle est par ailleurs plus forte que l'année dernière où les salaires augmentaient de 3,3% (pour 1,9% de taux d'inflation). Elle profite enfin à tous les informaticiens, y compris ceux qui sont employés dans les SSII, ce qui n'était pas le cas l'an passé. Après deux années de nette régression entre 2002 et 2004, les salaires avaient commencé à regrimper en 2004 en SSII mais dans des proportions moindres (+2,6%) que dans les entreprises utilisatrices. Cette année, ils croissent au même niveau que la tendance générale et que chez leurs clients, à l'exception du secteur banque/assurance qui continue d'être privilégié, avec une augmentation moyenne de 5,1%. Cette cohérence des politiques salariales des sociétés confirme l'embellie déjà observée dans le secteur. Elle vient grossir les rangs des indicateurs au vert, comme la croissance du marché (6 à 7% en 2006 sur le marché des logiciels et des services) et la recrudescence des recrutements (200 000 postes annoncés d'ici dix ans par Syntec informatique et 33000 embauches de cadres informaticiens en 2006, selon l'Apec, soit + 15% par rapport à 2005). Le responsable réseaux et télécoms est le plus convoité Par métier, c'est le responsable réseaux et télécoms dans les entreprises utilisatrices (poste non évalué dans les SSII) qui bénéficie du taux d'augmentation de salaire le plus élevé (+5,7%). Parmi ceux qui flambent le plus (hausses de salaires supérieures ou égales à 5%), on trouve aussi d'autres encadrants : les responsables support technique, help-desk, gestion systèmes et réseaux, support d'exploitation, application, organisation, études et développement et sécurité, avec des progressions de rémunérations plus marquées dans les SSII que chez les utilisateurs. Les postes d'organisation et maîtrise d'ouvrage (+5,2%, contre 3,8% dans l'étude 2005) entrent également dans les catégories les mieux loties, ainsi que les services hot-line (+5,2% contre +2,7%) dans les entreprises utilisatrices. Les dirigeants font partie des moins augmentés Au rang des fonctions qui s'inscrivent sous la moyenne, on trouve les fonctions Système (+3,5%), le support technique (+3,4%), avec cependant une revalorisation par rapport à 2005 et les services d'exploitation (machines, réseaux, +2,6%) qui avaient connu le plus fort taux d'augmentation l'année dernière (+5,4%). On peut enfin noter que les postes de direction font partie des moins augmentés (+2,8%), ce qui est une constatation rarement faite dans ce type d'étude, note Oberthur. Ces postes avaient toutefois été valorisés bien au dessus de la moyenne l'année dernière (+5,3%). La baisse de la leur progression salariale est essentiellement le fait des SSII où les niveaux de rémunérations des dirigeants sont en chute (-3,5%) alors qu'elles progressent de 4,9% chez les utilisateurs. (*) L'enquête (Mars 2006) prend en compte cette année, plus de 42 000 salariés répartis dans 124 entreprises. Les SSII, éditeurs et constructeurs représentent 56% de l'échantillon des salariés, le secteur banque et assurance en représente 26%. (...)

(01/06/2006 17:59:06)

Recrutement : Alten et Teamlog ouvrent leur portes en Bretagne

Pour percevoir l'état d'esprit et l'approche professionnelle des acteurs du conseil et du service en technologie, rien ne vaut les rencontres avec leurs collaborateurs. Or, au mois de juin, les ingénieurs pourront mettre cela en pratique et échanger de vive voix avec des prestataires de l'ouest, en commençant par Alten. Après Strasbourg et Lille, la société de conseil et d'ingénierie en technologie organise en effet une nouvelle soirée de recrutement à Rennes le 7 juin dans ses locaux pour attirer de futurs collaborateurs. Elle leur proposera une présentation de la société et des entretiens individuels, le tout autour d'un cocktail dînatoire qui donnera un tour convivial à la manifestation. Cette soirée s'adresse à des jeunes diplômés de niveau bac +5 (en priorité) et à des personnes ayant jusqu'à 5 ans d'expérience. Elle vise à pourvoir trente postes d'ici au début du mois de juillet pour l'activité forfait du groupe. Alten Ouest cherche en particulier des développeurs C++/java, des ingénieurs ayant un bagage télécom et des compétences C embarqué pour intégrer des projets dans le domaine des télécoms et du multimédia. Le 9 juin, ce sera au tour de la SSII Teamlog d'accueillir des jeunes ingénieurs dans ses locaux à Rennes (à 12 heures). Elle fera de même le 15 juin à Lannion (17h30) et le 29 juin à Nantes (18h30). Autour d'un buffet, les invités pourront échanger avec les collaborateurs de Teamlog et faire le tour des projets menés localement. Globalement, Teamlog annonce avoir environ 70 postes à pourvoir sur ces trois villes, des postes très variés, dans le développement C++, J2EE, Microsoft, Webservices, Mainframe, dans les domaines des réseaux et des télécoms, etc. (...)

(01/06/2006 17:59:43)

Recrutement : les CNE déboulent, pour le meilleur ou pour le pire ?

Les premiers résultats de l'enquête annuelle de la Conférence des grandes écoles (CGE) sur l'insertion des jeunes diplômés montre le succès des contrats nouvelles embauches (CNE). Ces contrats de travail représentent 2% de l'ensemble des recrutements recensés sur la promotion 2005 et surtout environ 21% des embauches effectuées par les entreprises de moins de 20 salariés. Doit-on conclure à une précarisation des conditions d'emploi des bac +5 ? Certes si l'on considère que 2% des jeunes embauchés se voient à l'essai pendant deux ans. Moins si l'on estime qu'il y a une corrélation entre le recours aux CNE pour les petites entreprises et la baisse du nombre de diplômés en recherche d'emploi mise en évidence dans l'enquête (au moment de l'étude, 16,8 % des ingénieurs interrogés se trouvaient dans cette situation, contre 21,2% l'année précédente). Par ailleurs, si les CNE se substituent aux CDI qui sont en très légère baisse par rapport à la promotion précédente (76% contre 77% en 2005), on voit qu'ils remplacent également les CDD, un autre type contrat plus précaire que le CDI, qui diminuent dans les mêmes proportions (18% contre 19% en 2005). La Conférence des Grandes Ecoles estime que cet effet de substitution méritera un suivi attentif. Elle rappelle que « le temps moyen passé en entreprise par les étudiants de ses écoles au cours des deux années d'études est de l'ordre de 10 mois. Il peut donc être considéré comme une expérience pouvant valider et constituer une période d'essai ». D'autres conclusions pourront être avancées lorsque le taux de transformation des CNE en CDI sera connu (ou le taux de rupture des CNE) ainsi que leurs conditions d'octroi. Il sera notamment essentiel de voir si des CNE ont été proposés à des jeunes qui avait déjà effectué leur stage au sein des entreprises qui les ont recrutés. (...)

(01/06/2006 12:53:12)

Sun cherche des économies : 4 à 5000 suppressions de postes

Le directoire de Sun a validé le plan de réorganisation initié par Jonathan Schwartz : prévu pour assurer un retour aux bénéfices, il se traduira par 4000 à 5000 suppressions de postes au cours des six prochains mois. Sun, qui ne s'est jamais bien rétabli depuis l'effondrement de la bulle, enchaîne depuis les pertes ou les résultats tout juste équilibrés. Au cours de son dernier trimestre fiscal, le groupe a ainsi publié une perte de 217 M$. Jonathan Schwartz a donc décidé de réagir de frapper un grand coup pour réduire les coûts. Une volonté qui se concrétisera par la suppression de 11 à 13 % des postes, soit 4000 à 5000 emplois, au cours des six prochains mois. Sun va également fermer les sites des campus de Newark et Sunnyvale aux Etats-Unis. Au final, le groupe prévoit d'économiser entre 480 et 590 M$ par an, pour une charge de restructuration comprise entre 340 et 500 M$. Par ailleurs, le directoire a validé les nouveaux objectifs : le résultat opérationnel du quatrième trimestre devra au moins atteindre 4 % des revenus, un taux qui devrait s'élever à 10 % à plus long terme. Cette réorganisation est le deuxième mouvement d'ampleur depuis l'arrivée de Jonathan Schwartz à la tête de Sun en avril. Au début du mois de mai le successeur de Scott McNeally a réuni les divisions serveurs - Sparc et x64 - au sein d'une même entité présidée par John Fowler. (...)

(31/05/2006 17:58:43)

EU: la directive sur la libéralisation des services adoptée d'ici la fin de l'année

L'Union Européenne a franchi un pas de plus dans la libéralisation de son marché des services, avec l'approbation par les 25 gouvernements de l'Union du texte de la directive "Services", plus connue sous le nom de Directive Bolkestein - Prononcer "Bolkestine", pour ne pas offenser le dit député, NDLA. Ce texte est quasiment identique à celui avalisé par le Parlement Européen le mois dernier. La Directive Services, qui intéresse de très près les SSII, a déclenché un intense débat dans l'Union et a sans doute contribué en France au rejet du projet de constitution européenne par crainte du fameux "plombier polonais". Ses critiques l'accusent d'affaiblir les protections sociales des salariés en les alignant sur celles des pays les plus pauvres de l'Union. Ses partisans, à l'inverse, estime que la nouvelle directive est un texte de compromis édulcoré qui est loin d'ouvrir le marché européen des services. Charlie McCreevy, le commissaire qui a succédé à Frits Bolkestein, s'est de son côté déclaré "ravi" de l'accord trouvé entre les 25. La directive doit retourner au parlement pour une seconde lecture et devrait logiquement être avalisée sans trop de difficulté. Selon Mc Creevy, la directive devrait pouvoir être finalisée avant la fin de l'année. Les pays européens auront alors 3 ans pour la transcrire dans leur droit national (contre deux habituellement, NDLA). Adapté d'un article en anglais de Paul Meller, notre correspondant d'IDG News Service à Bruxelles (...)

(31/05/2006 18:05:28)

60 millions d'euros pour la formation des handicapés.

Les représentants de la branche informatique, les entreprises et les écoles du secteur sont les bienvenus à l'Agefiph (*) pour travailler sur l'élévation du niveau de compétences des handicapés. C'est le moment de se mobiliser puisque l'agence bénéficie d'une rallonge budgétaire de 60 M€ pour monter des actions de formation et de qualification pour la population dont elle s'occupe. Cette somme est engagée pour deux ans dans le cadre de l'opération Handicompétence qui a été officiellement lancée hier. Elle vient s'ajouter aux 80 à 90 M€ (79,8M€ en 2005) que l'Agefiph consacre chaque année à ce type d'actions. Elle répond à ambition de taille : accroître la qualification des personnes handicapées, pour favoriser leur accès plus large à l'emploi. Il faut en effet savoir que 52% d'entre elles ont un niveau Bep/Cap. Seuls 0,3% des étudiants de l'enseignement supérieur sont par ailleurs des handicapés (Source Education Nationale). A contrario, 68% des handicapés qui ont suivi une formation trouve un emploi dans les six mois qui suivent, selon l'Agefiph. C'est par ailleurs le manque de qualification qui rend difficile l'entrée de cette population dans des secteurs comme l'informatique. Concrètement, Handicompétence s'adresse aux demandeurs d'emploi handicapés et vise à doubler le nombre de titulaires de qualifications reconnues. Environ 23 300 ont bénéficié d'une action de formation qualifiante ou préqualifiante en 2005 avec le soutien de l'Agefiph. Il ne s'agit pas de s'inscrire dans une course aux diplômes. Le but est d'identifier les compétences dont ont besoin les entreprises pour engager des formations en conséquence et favoriser l'insertion. Pour se faire, l'Agefiph collabore avec les régions (suite à la décentralisation de la responsabilité de la formation des demandeurs d'emploi, de l'Etat vers les conseils régionaux) pour analyser les besoins des différents bassins d'emploi et monter des actions localement. Parallèlement, elle travaille avec des entités comme les assedic et certains Opcareg (organismes paritaires collecteurs agrées à champ d'application interprofessionnel et régional) afin de monter des contrats de professionnalisation (dispositif de formation en alternance). Elle est aussi prête à lancer des opérations avec des branches professionnelles et des grandes écoles. Elle est d'ailleurs en contact avec la Conférence des grandes écoles. Les deux entités travaillent pour l'instant à l'élaboration d'une charte d'engagement. (*)L'Agefiph est l'agence publique dédiée au développement de l'emploi des personnes handicapées dans le secteur privé. (...)

(31/05/2006 18:01:19)

Recrutement : la Société Générale attire 30 informaticiens par « tag »

« Quelles sont les différences entre l'aéronautique embarquée et une salle de marché, entre le décryptage du génome humain et le cours du pétrole ? » Les réponses sont dans les vidéos métier conçues par la Société Générale pour séduire de jeunes informaticiens. La banque cherche en effet à pourvoir une trentaine de postes (ingénieurs études &développement, support, infrastructure, maîtrise d'ouvrage junior, architectes et de chefs de projet) au sein de sa direction des systèmes d'information d'ici au mois de septembre avec des jeunes diplômés (niveau Bac+4 minimum) ou des personnes ayant une première expérience professionnelle. Elle a mis au point dans ce cadre, une campagne de communication dédiée à expliquer les différents métiers de l'informatique dans une banque de financement et d'investissement. L'objectif est de montrer que le secteur bancaire peut proposer des problématiques informatiques aussi intéressantes que d'autres secteurs qui attirent davantage les jeunes de prime abord. Pour faire mouche auprès d'un public de technologue, la SG a par ailleurs innové en rendant ses vidéos accessibles par des tags électroniques. Il s'agit de « codes-barres» présents dans les affiches publicitaires qui permettent de voir les vidéos sur téléphone mobile. Un autre façon pour rompre avec l'image parfois austère dont souffre le secteur bancaire. (...)

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