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2022 documents trouvés, affichage des résultats 2001 à 2010.

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(06/10/2005 00:00:00)

Euro-Salaires: France, deux points; Italie et Allemagne, quatre points

Au palmarès européen des salaires et niveaux de pouvoir d'achat, les cadres britanniques restent en tête, devant les français. Mais, entre 2004 et 2005, ce sont les italiens et les allemands qui ont enregistré une plus forte progression (+4,3% et +4,8% respectivement) de leurs revenus nets, du fait du recul relatif de la pression fiscale. Selon l'étude réalisée par le cabinet Hewitt Associates portant sur 22000 cadres de dix fonctions, le salaire "net-net" des cadres français, c'est-à-dire déduction faite des prélévements sociaux et fiscaux et ajusté de l'écart du coût de la vie, n'a progressé que de 2% entre 2004 et 2005. La progression de celui des britanniques est de +1,3%, celle des salaires espagnols de +1,9%. Tous pays confondus, la fonction Finance enregistre la plus forte progression de revenus nets, justifié, selon l'Apec, par le contexte de profondes mutations que connaissent ses métiers, passant par un niveau de compétences plus "pointues" et tirant les salaires vers le haut. Pour les informaticiens, mariés avec deux enfants, couple sans enfants ou célibataires, les français restent également en deuxième position derrière leurs collègues britanniques. Compte tenu du poids des prélévements effectués sur le salaire brut, l'enquête démontre que la France est mieux positionnée en Europe pour les cadres célibataires (toute fonctions confondues) que pour les cadres avec famille. C'est aussi en france que la disparité des salaires nets-nets est la moins forte, selon le niveau de responsabilité et la situation familiale. A contrario, l'éventail des salaires au Royaume-Uni est le plus large, avec par exemple, un écart entre cadres experts et juniors allant du simple au triple. Preuve, selon Apec/Hewitt, d'une "plus grande homogénéité des pratiques salariales en France que chez ses voisins européens". Dans le même temps, selon les dires des cadres, sept sur dix constatent avoir subi une baisse de leur pouvoir d'achat, selon l'enquêt Esop du syndicat CFE-CGC; alors que 48% ont eu une augmentation de salaire en 2004, pour 40% d'entre eux celle-ci était inférieure au taux d'inflation (2,1% en 2004). Pour info: www.apec.fr (...)

(05/10/2005 18:27:57)

Responsable informatique à temps partagé

Les petites entreprises n'ont souvent ni le besoin, ni surtout les moyens, d'employer un responsable informatique à plein temps. Mais elles peuvent aussi hésiter à confier l'ensemble de leur informatique à un prestataire extérieur. La solution du responsable informatique à temps partagé est une réponse possible. Plusieurs sociétés, souvent régionales, proposent un tel service, comme Plenium, Deuzzi (Rhône-Alpes et Bourgogne), ITP (Savoie), Dunamis, Samu-Informatique, Ordésoft, ADSIM44 (Loire Atlantique)... Différentes formules sont possibles, mais les services prévoient généralement un forfait pour un certain nombre de jours par mois dans l'entreprise, une assistance téléphonique et, éventuellement, la possibilité d'intervention en urgence. (...)

(27/09/2005 17:39:50)

Steria prévoit 200 embauches dans son centre de Nantes d'ici 2006

Le réseau de services européens de Steria transitera désormais par Nantes. La SSII française vient en effet d'annoncer l'ouverture de son plus important centre de services de 3eme génération dans la préfecture de Loire-Atlantique.
Implanté sur 1000 m², le centre vient étoffer le réseau Steria de TMA (Tierce Maintenance Applicative) en France, réparti notamment entre Paris, Toulouse, Bordeaux et Lille.
En outre, la SSII entend embaucher quelque 200 salariés d'ici 2006. D'abord une première centaine fin 2005, puis cent autres fin 2006. Les candidats seront recrutés « du jeune diplômé au consultants expérimenté , au poste de chef de projet et de développeurs senior ou junior ».

L'objectif de la SSII : offrir à la région une plus grande expertise en s'appuyant sur le réseau européen Steria, et obtenir l'homologation CCMi5.

Steria avait récemment revu à la hausse sa politique d'embauche sur 2005. Et vient de publier des résultats en net progression pour son premier semestre 2005. (...)

(27/09/2005 17:45:15)

Restructuration HP : vers moins de suppression d'emplois

Après le raté d'un appel à Bruxelles pour adoucir le sort réservé à la France dans le plan de restructuration de HP, un raté mis sur le compte du traditionnel « c'est de la faute à l'Europe » par le premier ministre, la direction européenne du groupe esquisse les premiers indices d'une marche en arrière permettant au nombre de postes supprimés de diminuer de quelques centaines.

Francesco Serafini, président de HP Europe, a ainsi rencontré Gérard Larcher, le ministre délégué à l'emploi. Le patron européen du constructeur a déclaré que le nombre de 1240 emplois supprimés « n'avait pas de caractère définitif et pourrait donc être revu à la baisse ». C'était, dans les grandes lignes, ce que la direction générale du groupe avait assuré à Michel Destot, le maire de Grenoble, lors de sa visite à Palo Alto. L'édile avait plaidé l'alignement du sort de la France sur celui réservé à l'Europe : alors que l'ensemble de nos voisins voient, en moyenne, 15 % des postes supprimés, la France est touchée à 26 %. Les syndicats de l'Hexagone ont d'ailleurs indiqué qu'ils n'entameraient aucune négociation avant d'avoir la garantie que le taux de 15 % ne sera pas dépassé.

Par ailleurs, le PDG de HP France, Patrick Starck, est sorti de l'étonnant mutisme qu'il arborait depuis l'annonce du plan de restructuration. Dans un interview au quotidien le Figaro, Starck se dit « très surpris par la médiatisation et par la récupération du cas Hewlett-Packard ». Il revient également sur les subventions dont le conseil général de l'Isère réclame le remboursement. Pour le président, « HP n'a jamais touché 12 M€ du conseil général de l'Isère, comme ce dernier l'affirme ». Il préfère insister sur la large contribution payée par son groupe en impôts et taxes : « en dix ans, HP a payé plus de 700 M€ (...) Sur la même période, nous avons versé au titre de la taxe professionnelle 72 M€ sur Eybens et 21 M€ pour le site de l'Isle d'Abeau ». Enfin, Patrick Starck, dont les acteurs du dossier disent qu'il n'a aucune marge de manoeuvre sur la stratégie de HP, a estimé que « le préalable mis par les partenaires sociaux (15 % des postes supprimés ne peut pas être envisagé ». (...)

(23/09/2005 17:35:49)

Neuf cegetel supprime 661 postes...ou 945

L'opérateur neuf cegetel, né de l'union estivale des groupes éponymes, compte réaliser des économies et annonce la suppression de 661 postes.

Lors de l'annonce de la fusion, au mois de mai, Jacques Veyrat, l'actuel président du groupe, expliquait qu'il tablait sur une réduction des coûts de 160 M€ par an. Environ 15 % de ces économies devaient découler de la réduction de la masse salariale. C'est ainsi que la direction a annoncé, le 22 septembre, la suppression de 661 postes - sur les 3500 que compte la société - sur la base de départs volontaires. Donc « sans aucun licenciement », selon le service de communication.

De leur côté, les syndicats avancent d'autres chiffres. Ainsi, d'après la CFDT postes et télécommunication, la direction aurait présenté lors du comité d'entreprise un plan prévoyant la suppression de 945 postes, dont 721 licenciements. « On s'interroge encore sur la raison d'une telle différence entre les chiffres officiels et ceux des syndicats. Dès l'annonce de la fusion, nous avions précisé qu'il n'y aurait aucun licenciement sur les 661 suppressions de postes, et ceci n'a pas changé. Le maître-mot est toujours le volontariat » affirme la communication du groupe. Celle-ci met en avant deux raisons qui peuvent expliquer les chiffres « fantaisistes » avancés officieusement. La première tient à la vague d'annonces de licenciements qui a déferlé ces derniers jours, HP, Sony pour ne citer que les plus marquantes : « dans un tel contexte, des suppressions de postes évoquent inévitablement des licenciements » explique la communication. En second lieu, un amalgame a pu être fait avec un « petit plan social », selon les termes employés au sein du groupe, touchant « 100 ou 200 personnes chez Cegetel Telecom Developpement l'année dernière. Ceci n'a toutefois rien à voir avec neuf cegetel » précise l'opérateur.

Les 661, ou 945, titulaires des postes supprimés commenceront à quitter le groupe à partir de la deuxième semaine de décembre. (...)

(22/09/2005 17:41:09)

Restructuration : et maintenant, Sony

Sony, le numéro deux mondial de l'électronique grand public, rejoint la longue liste des entreprises qui se restructurent.

Représentant quelque 70 % des revenus du groupe, la branche électronique perd régulièrement des parts de marché, notamment sur les produits qui ont porté sa renommée : les télévisions et l'audio portable. L'exercice 2004 se concluait ainsi sur un chiffre d'affaires en baisse de 4,5 %, à 7 159 Md ¥ ( 53 Md€).

Conduite par Howard Stringer, le nouveau PDG arrivé en juin, la restructuration se veut ambitieuse et s'annonce saignante. Le but : économiser 200 Md¥, atteindre un CA de 8000 Md¥ et une marge opérationnelle de 5 % à la fin de l'exercice 2007. Pour y parvenir, Sony entend tout d'abord réorganiser la branche malade. Les centres de décisions de l'activité électronique seront ainsi réduits à deux unités et une division. La quantité des modèles commercialisés diminuera de 20 % et le groupe se concentrera sur quelques produits à succès : haute définition, mobilité, jeux et loisirs... Il procèdera également à la vente d'actifs immobiliers et compte vendre ou fermer onze de ses 65 usines avant 2008. Surtout, Sony s'apprête à supprimer 10 000 postes, soit 7 % de ses salariés. Le Japon sera durement touché, avec 4000 départs, le reste étant partagé dans l'ensemble du monde.

En attendant les premiers effets de ces ajustements stratégique de grande ampleur, les prévisions pour les résultats de l'exercice en cours ont été revues à la baisse. Si le chiffre d'affaires reste inchangé, à 7250 Md¥, le résultat opérationnel passe en revanche dans le rouge, à 20 Md¥, contre un gain de 30 Md¥ annoncé en mars. De même, le résultat net est attendu dans le rouge avec une perte de 10 Md¥, soit 73,7 M€. (...)

(21/09/2005 17:54:05)

Restructuration HP : la classe politique s'implique

Limitées dans un premier temps au monde syndical, les réactions au plan de restructuration de HP s'étendent au sérail politique.

Après Michel Destot, le maire de Grenoble, revenu le 20 septembre de Palo Alto où il a rencontré la direction générale du groupe, c'est maintenant l'Elysée qui intervient dans le débat.

Jacques Chirac a ainsi enjoint les membres du gouvernement à saisir la commission européenne pour, selon le porte parole Jean-François Copé, que « le dialogue reprenne et que le plan social envisagé soit le plus concerté et le plus limité possible ». Le ministre délégué au budget a aussi rappelé que « la commission a présenté en avril dernier des propositions de réactions concertées sur les restructurations dans les domaines stratégiques en Europe ». Les ministres de l'emploi et des affaires européennes, Gérard Larcher et Catherine Colonna, ont donc écrit à Vladimir Spidla, le commissaire européen à l'emploi.

Gérard Larcher a également indiqué qu'il rencontrera le président européen de HP, Francesco Serafini afin de « voir quel est le contenu du plan et de regarder les aspects d'orientation stratégique et les perspectives d'avenir ». La date de ce futur entretien n'a cependant pas été fixée.

De retour du siège mondial du groupe informatique, Michel Destot a jugé son déplacement utile : « la mobilisation et le relais médiatique ont joué. Les dirigeants ne s'attendaient pas à des réactions aussi vives, étaient sur la défensive, et j'ai le sentiment que les lignes peuvent bouger ». La direction française, mise en difficulté par son absence de poids sur la stratégie globale du groupe et par cette rencontre au sommet, se cramponne à sa première position et considère qu' « absolument aucun engagement » n'a été pris pour réduire le nombre de licenciements. De source syndicale, il se murmure cependant que des dizaines, voire des centaines d'emplois pourraient être sauvés. Entre réelle compassion et intérêt électoraliste, la mobilisation de la classe politique dans son ensemble serait-elle sur le point de faire fléchir HP ? (...)

(19/09/2005 18:35:26)

Restructuration HP : le maire de Grenoble part rencontrer Mark Hurd

Après l'annonce du virulent plan de restructuration mis en place par HP, Michel Destot, le maire de Grenoble, nous confiait qu'il souhaitait rencontrer le PDG du groupe américain, Mark Hurd. L'agglomération grenobloise devrait en effet être violemment touchée par les nombreux licenciements prévus. L'édile avançait le chiffre de 600 postes supprimés sur le seul site d'Eybens.

Michel Destot s'est envolé le 18 septembre pour Palo Alto, siège mondial de HP. Accompagné de Marc Baietto, le maire d'Eybens, ainsi que de Didier Pasquini et Frédéric Vu, responsables syndicaux CFE-CGC et CFTC, il compte bien y rencontrer Mark "cost-killer" Hurd.
La délégation a obtenu un rendez-vous avec la direction générale mais n'a, à l'heure actuelle, reçu aucune réponse directe du PDG du groupe.

Par ailleurs, le président socialiste du conseil général de l'Isère, André Vallini, souhaite réclamer à HP les aides que la collectivité locale lui a octroyées en 1998. Portant sur près de 1,3 M€, cette somme était destinée à favoriser la création d'emplois. (...)

(19/09/2005 18:38:28)

IBM subventionne ses salariés pour qu'ils enseignent

IBM vient de lancer le programme "Transition to Teaching" - littéralement, transition vers l'enseignement - destiné à aider une centaine de ses salariés américains à se former à l'enseignement. Avec cette opération, Big Blue entend aider à combler « le manque critique de professeurs de mathématiques et de sciences » outre-Atlantique en "profitant de l'intelligence et des compétences de certains de ses employés les plus expérimentés". Dans un communiqué, Stanley Low, président d'IBM International Foundation et vice-président d'IBM Corporation Community Relations, explique que « de nombreux salariés ont des connaissances en maths et en sciences et ont clairement fait savoir qu'ils ne veulent cesser d'être utiles lorsqu'ils seront prêts à quitter IBM ». Et de souligner que les besoins en enseignants qualifiés dans ces domaines devraient augmenter de 51 % aux Etats-Unis d'ici 2008.
Dans le cadre de son programme, IBM rembourse jusqu'à 15 000 $ de frais de formation à l'enseignement, par salari (...)

(15/09/2005 17:47:03)

Siemens pourrait supprimer 10 000 emplois

L'Allemand Siemens est l'objet de nombreuses rumeurs dans la presse d'outre-Rhin. A l'image d'IBM ou de HP, le groupe s'apprêterait à annoncer lui aussi un vaste plan de restructuration susceptible de conduire à la suppression de 10 000 emplois. A la différence près que Siemens n'enchaîne pas les exercices bénéficiaires mais enregistre pertes sur pertes.

Selon le Süddeutsche Zeitung, qui cite un document stratégique interne, 1290 postes pourraient ainsi disparaître dans la branche de services informatiques SBS. Le but : renflouer cette division déficitaire en réduisant les coûts de 1,5 Md€ sur 2006-2007.

Déficitaires, les branches mobiles et logistique le sont également. De fait, indique le journal Der Spiegel, de larges réductions d'effectifs sont à prévoir. Citant un haut représentant du personnel, la revue révèle la tenue récente de réunions d'urgence visant à discuter de l'avenir des trois branches malades. Le président du directoire de Siemens, Klaus Kleinfeld, pourrait communiquer la nature du plan de restructuration juste après les élections législatives du 18 septembre. (...)

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