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2022 documents trouvés, affichage des résultats 1991 à 2000.

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(21/12/2005 00:00:00)

Trois concours: Solucommunity, Imagine Cup et Top Dev

D'un côté, un appel à projets d'étudiants incarnant les valeurs d'échange et de partage, proposé par le groupe Solucom. De l'autre une compétition mondiale, l'Imagine Cup, organisée par Microsoft dans 92 pays, et pour la quatrième année, avec un rendez-vous pour les finalistes à Dehli en Inde en août 2006. Les étudiants de tous bords (écoles, universités, fans de développement et/ou de projets innovants) ont quelques semaines pour peaufiner leurs candidatures à ces concours bien dotés. Ou, encore, pour se préparer au défi en temps réel proposé les 28-29 janvier par TopDev. Pour ce concours de programmation multi-langages/multi-environnements (Java, PHP, .Net, Python), également ouvert aux informaticiens indépendants (15% des 300 participants l'an dernier, selon freelance.com), les inscriptions sont ouvertes en ligne jusqu'au 15 janvier. Pour le groupe Solucom (350 ingénieurs), né du rapprochement des sociétés Arcome, Dreamsoft, Idesys et Solucom, qui regroupe des consultants et spécialistes en infrastructures de systèmes d'information, le concours Solucommunity s'inscrit dans la ligne des objectifs de recrutement, visant une centaine d'embauches en 2006, pour atteindre le cap des 500 salariés en 2007. Les projets à présenter sur solucommunity.fr peuvent être techniques, culturels, artistiques ou humanitaires. Les six catégories de l'Imagine Cup, ouvertes à la contribution et à l'imagination des étudiants, concernent: l'administration des systèmes et réseaux (catégorie qui l'an dernier a sacré champion un étudiant de l'Insa Lyon Stefan Plizga), la conception logicielle, la résolution de problèmes par des algorithmes, les technologies multimedia mises en valeur par un court-métrage, la conception d'interfaces, et, bien sûr le jeu (projet Hoshimi). Les inscriptions sont ouvertes en ligne depuis novembre jusqu'au 15 mars 2006. Les sélections nationales (épreuves en public) se dérouleront en avril-mai à Paris. (...)

(16/12/2005 16:58:51)

Adobe : résultats records et dégraissage

Adobe a publié des résultats records pour son quatrième trimestre et son année fiscale 2005. L'éditeur a également annoncé la suppression de 10 % des postes, consécutive à la fusion avec Macromedia. Enfin, le groupe voit une partie de sa direction chamboulée, avec le départ du directeur financier et la nomination d'un nouveau président pour la filiale japonaise. "2005 a été une nouvelles année remarquable pour Adobe, s'est félicité Bruce Chizen, le PDG du groupe. Nous avons augmenté notre activité de 18 %, généré des bénéfices élevés et, pour la troisième année consécutive, enregistré des revenus records au quatrième trimestre et sur l'ensemble de l'exercice". Sur les trois derniers mois de 2005, l'éditeur a ainsi vu ses ventes croître de 18,8 % sur un an, à 510,4 M$, notamment grâce à la bonne tenue des ventes de ses produits Acrobat et Creative Suite. Le bénéfice a quant à lui atteint 156,3 M$, bondissant de 38 % par rapport à la même période de l'exercice 2004. Ces résultats dépassent les attentes des analystes, tout comme ceux réalisés sur l'ensemble de l'année 2005 : les revenus s'établissent à 1,97 Md$ et les bénéfices à 602,8 M$, soit des taux de croissance respectifs de 18 % et 33 %. Parallèlement à la présentation de ces résultats qui raviront les actionnaires, Adobe a indiqué qu'il allait diminuer le nombre de ses salariés. Cette décision intervient quelques jours après la finalisation de la fusion avec Macromedia. Elle concernera entre 11 et 12 % des postes, soit environ 700 emplois. Par ailleurs, la tête du groupe a annoncé la démission de Murray Demo, le directeur financier, parti "passer plus de temps avec sa famille" selon un communiqué. Il travaillait pour Adobe depuis dix ans et quittera définitivement ses fonctions au mois de mars...sauf si le recrutement de son successeur s'est révélé infructueux d'ici là. Enfin, Garrett Ilg a été nommé président d'Adobe Japon. "En tant qu'un de nos plus importants marché et l'une des sociétés les plus technologiquement avancées au monde, le Japon est particulièrement crucial pour accompagner l'adoption d'Adobe PDF et des plates-formes Flash par les consommateurs" a expliqué Stephen Elop, le président des opérations mondiales. (...)

(14/12/2005 17:26:17)

Google croît en Irlande et lorgne Opéra

Google au coeur de l'actualité. Le moteur de recherche va en effet étendre son implantation sur le sol irlandais et pourrait être sur le point de racheter le navigateur Opéra. L'hégémonique moteur de recherche, qui a dirigé les opérations de la zone Emea depuis Dublin, et qui est présent en Irlande depuis 2003, va y augmenter le nombre de ses employés de 75 %. Au total, 600 nouveaux salariés viendront grossir les rangs, faisant de la division irlandaise la plus importante implantation de Google hors Etats-Unis. Le régime fiscal irlandais pourrait expliquer l'intérêt du tentaculaire moteur pour les environs de Dublin. Alors que ses bénéfices sont taxés de 35 % aux Etats-Unis, Google ne se voit imputer qu'en taux d'imposition de 12,5 % en Irlande. Les nouveaux employés rejoindront les services opérations, ventes, ingénierie, juridique, finances et ressources humaines. Par ailleurs, selon Pierre Chappaz, le fondateur de Kelkoo, le moteur de recherche serait sur le point de racheter le navigateur Internet Opéra. Alors que de nombreuses rumeurs indiquaient pourtant que Google préparait son propre outil de navigation, le groupe californien aurait ainsi décidé d'acquérir le browser norvégien. Un achat qui pourrait sonner comme une riposte à 'arrivée prochaine d'Internet Explorer 7 et à l'intégration dans celui-ci de l'outil de recherche de Microsoft, MSN. (...)

(14/12/2005 17:19:09)

Restructuration HP : la CFE-CGC au bord de la rupture

Alors que la filiale française de HP avait initialement prévu la suppression de 1240 emplois, ce chiffre a été ramené à 886 à l'issue des deux comités d'entreprises tenus ces derniers jours, les représentants du personnel ayant accepté de revenir sur l'accord de réduction du temps de travail pour sauver des emplois. Les suppressions de postes devraient alors concerner légèrement plus de 18 % des effectifs, contre 25 % à l'annonce du plan de restructuration. HP France perdrait 395 postes, et HP Centre de Compétence France 491. Selon Christophe Hagenmuller, délégué CFE-CGC, "si le nombre final de licenciements ne nous surprend pas - nous connaissions le chiffre depuis quelques semaines - on est en revanche très étonnés du détail site par site. A l'Isle d'Abeau par exemple, 37 % des postes seront supprimés. On constate aussi des disparités énormes selon les services : 70 % des postes RH et 60 % des services financiers devraient disparaître. Pour la partie internationale, le plan prévoit la suppression de 27 des 37 emplois dans les RH." Le syndicaliste parle alors d'un projet "sans queue ni tête : plus on creuse pour comprendre le détail de la restructuration, plus on s'aperçoit qu'elle est infondée. La direction a initié un simulacre de négociation après s'être aperçu qu'il était délirant de vouloir imposer 1240 suppressions d'emplois. On ressent un profond écoeurement, on est au bord de la rupture. Un conflit majeur est en vue". Les syndicats feront le point avec les salariés dans les prochains jours au cours d'assemblées générales. L'occasion de décider de la poursuite ou des retrait des négociations. Voire du début d'une action plus contestatrice. (...)

(13/10/2005 17:47:13)

Restructuration HP : chantage patronal aux 35 heures

Rebondissant sur les réflexions de la présidente du Medef, qui parlait de "lien de cause à effet" entre l'accord de réduction du temps de travail signé en 1999 et les 1 240 suppressions de postes, Patrick Starck surfe sur la vague du "désavantage compétitif" pour laisser entrevoir une issue plus favorable à la restructuration du groupe en France. Selon lui, "par la renégociation de cet accord, nous serions à même d'ouvrir des postes. (...) Je parle d'un nombre de postes significatif, cela ne se chiffre pas en dizaines de postes".
Alors que le nombre de postes supprimés par HP en France n'a toujours pas évolué et en dépit des propos encourageants du patron européen Francesco Serafini qui indiquait en septembre une possible révision à la baisse, Patrick Starck, le PDG de HP France, prétend initier le dialogue avec le personnel en jouant la carte du chantage aux 35 heures.

Responsable CFE-CGC, Christophe Hagenmuller estime que la proposition de Starck est "une façon peu cavalière de participer à un dialogue social constructif" et s'étonne : "si on nous demande de travailler davantage, c'est qu'il y a du travail. Alors pourquoi licencier ?"
Le syndicaliste n'exclut cependant pas une renégociation de l'accord de RTT signé en 1999 : "nous avons dit que nous sommes prêts à tout rediscuter pour faire descendre le taux de suppression de poste sous la barre des 15 %. Y compris l'application des 35 heures".
Le 6 octobre dernier, Christophe Hagenmuller avait rencontré Mark Hurd, le grand patron de HP. "Je lui avais alors expliqué que les salariés français étaient loin des clichés colportés et que 85 % d'entre eux étaient au forfait jour. Hurd semblait en être conscient. Il nous a déclaré que le marché français était très important et qu'il ferait tout pour réduire l'impact du plan social". (...)

(10/10/2005 17:32:49)

HP : Hurd rencontre des syndicalistes européens pour sortir de la crise

Le dialogue s'installe chez HP, quelques semaines après l'annonce d'un plan massif de restructuration, entre les représentants du personnel et la direction.
Mark Hurd, le PDG du groupe, a ainsi reçu trois syndicalistes européens le 6 octobre dernier à Düsseldorf, dont Christophe Hagenmuller pour la France. Membre de la CGC-CFE, celui-ci nous a narré un entretien commençant dans une atmosphère glaciale. « C'est vous qui créez tout ce bruit et mettez HP dans l'embarras » a ainsi déclaré Hurd aux syndicalistes en début de réunion. L'entrevue a cependant pris une allure plus cordiale par la suite, Hurd reconnaissant l'imperfection de la communication de son groupe lors de l'annonce du plan de suppression de postes (1240 pour la France). Il a également admis la maladresse consistant à présenter ce plan sans rien proposer en contre-partie, admettant même qu'il était difficile pour les salariés de rester motivés face à une avalanche de mauvaises nouvelles.
Au-delà du nombre de postes supprimés, dont le nombre définitif pour la France reste incertain - il devrait être revu à la baisse d'après plusieurs sources - les représentants des syndicats européens ont affirmé au PDG qu'ils souhaitaient voir mise en place une véritable stratégie de groupe s'appuyant sur des investissements. Hurd a abondé dans le sens des syndicalistes, leur indiquant qu'il étudiait les possibilités d'investissement en Europe de l'Ouest, notamment en R&D.
Si la situation est toujours officiellement bloquée, de petites avancées laissent entrevoir quelque espoir d'assister à des ajustements. Au terme de la réunion tenue à Düsseldorf, Mark Hurd, « qui s'attendait à rencontrer des casseurs, a finalement été surpris par notre volonté et notre comportement, raconte Christophe Hagenmuller. Nous sommes un peu rassurés ». (...)

(06/10/2005 17:44:35)

Flextronics ferme son usine mayennaise, 503 personnes sur la carreau

Après trois ans de doutes, d'incertitudes et de suppressions de postes, l'usine de Flextronics implantée à Laval va finalement fermer ses portes.

Dans son site mayennais, le sous-traitant électronique basé à Singapour travaillait essentiellement avec Alcatel sur l'activité de téléphonie mobile. Le groupe asiatique avait d'ailleurs racheté l'usine en 2001 à son client. Les commandes d'Alcatel représentaient alors jusqu'à 60 % du chiffre d'affaires.
Progressivement, Alcatel voit son activité téléphonie se tasser. Ce ralentissement entraîne alors la mise en place de deux plans de suppressions de postes. En mai 2005, Alcatel se désengage totalement de la téléphonie mobile : l'usine de Laval ne reçoit plus de commande. A moins d'un repreneur, la fermeture est inévitable ; elle interviendra à la fin de l'année. Ce sont alors 503 personnes qui vont perdre leur emploi. Dans un premier temps 200 salariés partiront début novembre. Cinquante employés supplémentaires quitteront leur lieu de travail au début du mois de décembre, les autres attendront la fin de l'année.
Au total, en prenant en compte les sous-traitants travaillant pour le site sinistré, le département de la Mayenne pourrait voir son taux de chômage progresser de plus de 10 %. (...)

(06/10/2005 18:00:19)

Motorola a supprimé 1900 emplois

Motorola a confirmé avoir procédé aux licenciements de 1900 salariés depuis le mois de juillet 2005.

Le groupe, qui a réalisé un bénéfice net de 947 M$ au deuxième trimestre, a donc supprimé 1900 postes, répartis sur 29 sites et dans vingt pays. Dans la lignée de HP, ces licenciements n'ont pour autre but que celui de réduire les coûts. Selon Jennifer Weyrauch, directrice de la communication, Motorola avait averti, en début d'année, que des suppressions de postes pourraient avoir lieu.

Le groupe annonce qu'il n'y aura pas d'autres dégraissage et qu'il recrutera dans des secteurs stratégiques, sans préciser combien, ni où.

Les mauvaises nouvelles s'enchaînent pour les salariés IT. Pourtant, leur moral semble ne pas devoir en souffrir. C'est du moins ce qu'indique le résultat d'un sondage réalisé aux Etats-Unis par le cabinet de conseil Hudson. Les travailleurs IT seraient ainsi ceux qui affichent la plus forte confiance pour la pérennité de leur emploi, alors que la foi en l'avenir de l'ensemble des actifs du pays ne cesse de dégringoler. 32 % des salariés des secteurs informatique et télécoms s'attendent à ce que de nouveaux emplois soient prochainement créés par leur employeur, 43 % pensent que rien ne changera. Seuls 21 % craignent des suppressions de postes. Dans une très large majorité - 82% - les salariés américains se déclarent contents de leur emploi. (...)

(06/10/2005 00:00:00)

Insertion des jeunes diplômés: une amélioration qui ne masque pas un certain malaise

En 2005, 51% des jeunes diplômés sont en poste un an après le diplôme. Dont 80% en CDI, contre 59% l'an dernier. Pour les ingénieurs, le taux d'insertion est de 60%, 51% pour ceux issus d'une filière universitaire scientifique (sciences appliquées) Huit jeunes sur dix de la promo 2003 ont trouvé employeur, contre 5 sur 10 en 2004. Meilleure insertion, donc. Mais, l'embauche d'un jeune reste perçue comme un risque plus qu'un investissement. "Le malentendu se creuse avec les recruteurs", souligne l'Apec. Pour cause, semble-t-il, d'un constat et reproche réciproque de frilosité. D'un côté, les recruteurs considèrent le diplôme comme un laisser-passer sans plus. Ils attendent des jeunes qu'ils manifestent clairement leur intérêt pour l'entreprise, leur capacité à s'adapter, et regrettent un certain conformisme dans leur approche de l'entretien, axé sur le diplôme et le contenu de leurs études essentiellement. Les jeunes, pour leur part, estiment qu'on ne leur explique pas assez ce que l'entreprise attend d'eux et pourquoi. Et regrettent que les critères de sélection des entreprises soient davantage liés à des qualités subjectives qu'à leurs compétences réelles. Frileux, manquant d'engagement et de mobilité: cette image de l'attitude des jeunes diplômés, "caricaturale" selon l'Apec, est démentie par les réponses de 1129 jeunes interrogés en juin 2005. Prêts à partir travailler loin de leurs proches, avec une charge de travail importante, et, dans un premier temps, pour une rémunération inférieure à leurs attentes, c'est cependant dans la perspective d'une évolution plus ou moins rapide de la situation qu'ils sont prêts à faire ces concessions. Dans un contexte "en lègère amélioration", mais où "les comportements de tous les acteurs se conjuguent pour freiner l'accès à l'emploi des jeunes diplômés alors que les recrutements des entreprises progressent fortement", ce ne sont que des raisons de plus, selon Catherine Martin, directrice de l'Apec, pour mettre plus de chances de son côté en s'appuyant sur des professionnels, notamment à l'Apec. Pour info: www.apec.fr (...)

(06/10/2005 00:00:00)

MPEG et Grid en devenir

La Côte d'azur accueille cette semaine deux rencontres au sommet sur le codage et les grilles -entre experts, industriels et chercheurs- pour alimenter l'état de l'art de notre futur numérique. Du 14-17 octobre à Nice, la réunion trimestrielle de Mpeg (Moving Picture Experts Group), référence internationale en matière de codage audio et video accueille les représentants de 250 firmes et labos. Au programme, l'évolution de MPEG-1, sur lequel s'appuient des produits tels que les vidéo-cd et les mp3, de MPEG-2, sur lequel s'appuient des produits tels que la télévision numérique (câble, satellite, ADSL) et les DVD, de MPEG-4, qui est utilisé par les mobiles 3ème génération et les DVD nouvelle génération (Blu-Ray). Cette réunion est organisée et accueillie par France Telecom R&D. Du 10 au 14 octobre, à Sophia Antipolis, lors de la deuxième édition de Grids@work, les pionniers de l'utilisation des grilles informatiques (entreprises et chercheurs) pourront confronter leurs besoins et leurs démarches à l'égard de ce mode "rationalisé" de recours aux ressources informatiques dispersées. Avec l'assistance des équipes de recherche de l'Inria et du CNRS (programme Oasis) et de l'ETSI (institut européen des normes de télécommunications) seront examinés les expérimentations et projets en cours, les améliorations à apporter pour répondre aux attentes de l'industrie et du monde de la recherche en termes de calcul et de stockage. L'an dernier, la première édition de cette manifestation-"plugtest" a donné lieu à une "première" mondiale, avec la démonstration en situation réaliste d'une application déployée sur 600 machines (équipées de systèmes hétérogènes, Windows, Linux, Solaris) réparties sur une vingtaine de sites dans le monde. Cette année, deux défis -avec des milliers de processeurs- sont proposés avec "N-Queen Contest" et "Flowshop Contest". Une partie des conférences et tutoriels fait l'objet d'une diffusion en direct sur le web. Voir le programme sur : www.etsi.org/plugtests/upcoming/grid/Conf_tutorials.htm (...)

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