Flux RSS
Carrière

2022 documents trouvés, affichage des résultats 371 à 380.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(07/09/2010 14:27:53)
Les emails ont-ils sonné le glas de la journée de 9 à 17 heures ?
Avez-vous vérifié vos courriels professionnels ce week-end ? Si vous êtes comme la plupart des employés aux États-Unis et Royaume-Uni, la réponse est oui. Dans les pays anglo-saxons, la notion de jour de congé est un concept de plus en plus étrange, car la plupart des employés, et pas seulement les cadres, sont connectées quasiment 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
La notion du jour off et du week-end est pourtant enracinée dans la culture populaire. Lily Tomlin et Dolly Parton, dans un film baptisé « 9 à 5 », avaient fait de cette mesure le standard d'une journée de travail. En 1981, le groupe de rock Loverboy avait réalisé un hit avec la chanson "Working for the Weekend". Même l'expression «Dieu merci c'est vendredi" et son équivalent acronyme « TGIF pour "Thanks God it's Friday » étaient pratiquement omniprésents lors des célébrations du week-end.
42% des Américains consultent leurs mails en maladie
Malheureusement, la culture populaire ne peut être la seule place où la journée de travail et le week-end aient encore un sens. Une enquête menée par Harris Interactive aux États-Unis et par la société Opinion Matters au Royaume-Uni, par l'intermédiaire de l'extension Xobni pour Outlook a ainsi révélé que la journée de travail 9 à 17 heures était un mythe, et qu'il n'existait plus de réelles journées de repos . L'outil Xobni indique même que 72 % des Américains et que 68% des Britanniques consultent leurs courriers électroniques en dehors des heures normales de bureau. Et la moitié des Américains interrogés consulteraient leurs emails pendant les vacances. Pire, un peu plus d'un quart des Britanniques sondés, et 42% des Américains reconnaissent vérifier leurs messageries pendant leur congé maladie. La plupart d'entre eux lisent leurs mails dans leur lit avant de s'endormir ou juste après le réveil.
Mais qui a bien pu générer cette obsession des emails? Les salariés sont-ils tout simplement impatients ou en attendent-ils quelque chose en particulier? Aiment-ils tout leur job au point qu'ils ne savent pas quand arrêter? Eh bien, pas tout a fait. En fait, cela semble être davantage un mélange entre la préservation de leur emploi, et la gestion d'une charge de travail de plus en plus lourde. La progression de la messagerie mobile sur les smartphones et sur les tablettes participerait également à cette tendance.
Des professionnels qui préfèrent le travail en ligne
À l'heure où les suppressions d'emplois et les licenciements sont devenus la norme, ceux qui ont encore des emplois sont susceptibles de travailler deux fois plus dur pour deux raisons. Tout d'abord, ils veulent être des atouts pour leur entreprise et démontrer leur valeur pour éviter d'être au chômage. Ensuite, quelqu'un qui reste doit assumer toutes les tâches effectuées par ceux qui ont été remerciés, bref les employés sont simplement tenus d'en faire plus.
Reste qu'il y existe autre chose que ces mauvaises nouvelles. L'avènement d'Internet et du courrier électronique a également ouvert la porte et nivelé le terrain de jeu pour les travailleurs indépendants. Les entreprises exploitent ces talents extérieurs comme une stratégie essentielle pour faire une partie du travail. L'évolution du marché du travail fait qu'il y a une offre importante de professionnels hautement qualifiés qui préfèrent le mode indépendant.
« Les travailleurs freelances trouvent une certaine satisfaction à contrôler leur propre calendrier et à suivre leurs passions en optant pour un modèle cloud en un nombre record», estime Ellen Pack, vice-présidente marketing de la société Elance. Même s'il est facile de supposer que "freelance" est simplement une façon polie de dire travail précaire ou emploi mal rémunéré lorsque cela est possible, une enquête menée par Elance auprès d'indépendants montre que le ralentissement économique n'est pas le principal facteur pour les professionnels qui choisissent de se tourner vers ce type de carrière. Seules 4% des personnes interrogées travaillent à leur compte jusqu'à ce qu'ils puissent trouver un emploi à plein temps et moins d'un quart (24%) choisissent ce statut comme transition, après un licenciement. Enfin, plus de la moitié (56%) des nouveaux indépendants ont commencé à travailler comme freelance pour être leur propre patron et travailler sur des projets qu'ils aiment.
(...)(07/09/2010 11:04:00)Sans surprise, Mark Hurd devient coprésident d'Oracle
L'annonce est finalement tombée hier soir, ce lundi : Oracle vient de nommer Mark Hurd coprésident de l'entreprise. D'après le Wall Street Journal, l'ancien patron de HP, qui avait été contraint de démissionner il y a un mois pour une affaire de harcèlement sexuel, assurera la coprésidence de la firme de Larry Ellison avec Safra Catz. Charles Phillips, qui avait été co-président d'Oracle, quitte donc la société. En plus d'assurer ses fonctions de vice-président, Mark Hurd siégera au conseil d'administration d'Oracle, précise le quotidien économique. L'entreprise aurait pris sa décision à l'occasion du week-end de la fête du Travail aux Etats-Unis.
Pour Larry Ellison, Mark Hurd aurait exercé un brillant mandat
Le CEO d'Oracle, Larry Ellison, a salué cette nomination dans un communiqué, rapporte le
Wall Street Journal. «Mark a exercé un brillant mandat chez HP et je m'attends à ce qu'il fasse encore mieux chez Oracle » , a-t-il déclaré. En dépit de nombreux articles de presse sur le licenciement de Charles Phillips, le site internet d'Oracle ne fournissait aucune information à ce sujet jusqu'à 21 heures, et continuait à lister ce dernier comme coprésident.
Le fait que l'ex patron de HP travaille pour Larry Ellison a un sens pour Oracle. Ce dernier a acquis Sun Microsystems un peu plus tôt cette année et lutté pour que la division matérielle redevienne profitable. Mark Hurd est connu pour avoir allégé HP en taillant sévèrement dans les effectifs de l'entreprise, ce qui avait permis à cette dernière de significativement augmenter ses profits.
Un départ précipité
La 6 août dernier, Mark Hurd avait pourtant dû démissionner subitement, suite à une affaire de harcèlement sexuel. L'enquête, menée par un conseiller juridique et par un cabinet d'avocats extérieur à la société, supervisés par le conseil d'administration, avait révélé que ses agissements, en matière de harcèlement sexuel, n'avaient pas nuit à la politique de HP, mais qu'il n'avait pas respecté les standards de l'entreprise s'agissant de la conduite de ses affaires. En attendant, c'est Cathie Lesjak, directrice financière de HP, qui assumera la transition en tant que CEO intérimaire du constructeur, le temps que la direction trouve un remplaçant à Mark Hurd.
Crédit photo DR (...)
Après HP, Mark Hurd pourrait rebondir chez Oracle
Lorsque, le mois dernier, Mark Hurd a démissionné de manière inattendue de chez HP, il avait trouvé comme ardent défenseur le patron d'Oracle, Larry Ellison, en personne. Il semble désormais que l'ex-dirigeant de HP puisse finalement travailler pour ce dernier, selon une note publiée ce samedi par nos confrères du Wall Street Journal. D'après le quotidien économique, Mark Hurd serait actuellement en pourparlers avec Oracle pour occuper un poste à hautes responsabilités au sein de l'entreprise, indique le journal, citant des sources anonymes. Reste que les fonctions exactes que pourrait assumer l'ex-patron d'HP ne sont pas encore très claires, mais il ne s'agirait pas du poste de CEO, du moins tant que Larry Ellison reste aux commandes de sa société, indique le document.
Cette éventuelle nomination pourrait avoir un sens pour Oracle, qui a acquis Sun Microsystems un peu plus tôt cette année et lutté pour que la division matérielle redevienne profitable. Mark Hurd est également connu pour avoir allégé HP, quitte à tailler dans les effectifs de l'entreprise, ce qui avait permis à cette dernière de remonter ses profits. Le journal prévient cependant que les discussions avec Mark Hurd pourraient ne pas aboutir. De son côté, Oracle n'a pu être joint hier dimanche par nos confrères de ComputerWorld pour commenter l'information et un porte-parole de Mark Hurd s'est, pour sa part, refusé à toute déclaration.
Un départ peu glorieux
Le 6 août dernier, Mark Hurd avait démissionné soudainement d'HP, suite à une plainte de harcèlement sexuel déposée par un tiers extérieur, en l'occurrence une ancienne actrice de série Z reconvertie comme prestataire marketing. L'enquête n'avait trouvé aucune preuve en matière de harcèlement, mais il avait été reproché à Mark Hurd d'avoir omis de divulguer ses relations avec la plaignante et d'avoir falsifié des notes de frais. Peu de temps après sa démission, Larry Ellison avait fustigé le conseil d'administration de HP pour ce qu'il avait appelé « une lâche et cordiale politique corporate ». Dans un courriel adressé au New York Times, le PDG et président du conseil d'administration d'Oracle avait indiqué qu'il s'agissait de « la pire décision depuis que les idiots du conseil d'administration d'Apple ont décidé, il y a longtemps, de licencier Steve Jobs. »
Ces documents sur Mark Hurd et Oracle interviennent après des rumeurs, la semaine dernière, sur le possible départ de Charles Phillips, l'un des deux coprésidents d'Oracle. Selon le cabinet d'analyse financière Wedge Partners, Charles Phillips ne dirigerait plus l'activité produit du groupe, signe que son mandat toucherait bientôt à sa fin. La société de Redwood Shores a confirmé les changements concernant Charles Phillips, tout en précisant qu'il n'y avait rien de vrai dans les documents en question, notamment sur le fait que celui-ci pourrait peut-être quitter l'entreprise
Temenos s'explique sur la restructuration de Viveo
Depuis le mois de mars, les salariés de Viveo France enchaînent, à l'appel des syndicats, mouvements de grève et manifestations de protestation. Il dénoncent le plan de restructuration né du rachat de l'éditeur de progiciels bancaires par le groupe Suisse Temenos. Selon la CGT, le projet vise à stopper la commercialisation des produits V.Bank de Viveo en faveur de l'outil T24 de Temenos, et à supprimer plus d'un tiers des emplois.
Intensifier le développement offshore
Dans un souci de transparence, Temenos a souhaité s'exprimer sur la nécessité de restructurer l'entreprise. Dans un communiqué, l'entreprise helvétique indique qu'elle a dû mener un plan de restructuration des activités du groupe Viveo en vue d'en rétablir les fondamentaux économiques tout en limitant les impacts sociaux. « La viabilité de l'entreprise est conditionnée par une réorganisation de nos activités, une intensification du développement off shore, déjà initiée en mars 2009 en Roumanie, et par une réduction des effectifs au sein de Viveo France », expose Alexa Guenoun, directrice générale de Viveo Group et Viveo France, dans un communiqué, et d'ajouter : « Nous sommes parfaitement conscients que l'annonce de la suppression de 63 postes au sein de Viveo France a pu surprendre les collaborateurs qui n'étaient pas assez informés de la situation économique difficile de leur société ».
Le TGI statuera à la mi-septembre
A ce titre, Temenos indique avoir privilégié la vente, sans profit, des sociétés connexes, Viveo Switzerland (Genève) et VBF Consulting (Paris) dont l'activité n'était pas dans son coeur de métier, préservant les emplois de la totalité des 74 personne transférées. En parallèle, un plan de volontariat, en concertation avec le Comité d'entreprise (CE) de Viveo France, aurait été mis en place.
Le 16 septembre prochain, le Tribunal de Grande Instance de Paris (TGI) statuera sur la validité du Plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) de l'éditeur français . En cas de validation du PSE par le Tribunal, le plan de volontariat sera mis en oeuvre 15 jours après la clôture de la procédure de consultation, matérialisée par l'avis du CE. L'invalidation du PSE par le TGI entraînera le retrait du projet de licenciement collectif (et par voie de conséquence le retrait du plan de volontariat) et l'élaboration d'un nouveau calendrier social dans le respect du Code de travail français.
Les offres d'emploi de l'Apec sur iPhone
L'Apec lance son application iPhone dédiée au marché de l'emploi des cadres. Elle permet aux utilisateurs d'accéder gratuitement et à tout moment à plus de 20 000 offres. Cette solution a été conçue pour que les usagers demeurent en alerte sur leur marché et qu'ils ne passent à côté d'aucune opportunité professionnelle. « L'idée de proposer des services de l'Apec sur un smartphone nous trottait dans la tête depuis un certain temps », expose Jean-Pascal Szelerski, directeur des services web de l'Apec, et d'ajouter : « nous souhaitions en effet apporter une réelle valeur ajoutée à nos usagers ».
Pour l'heure, l'organisme semble avoir gagné son pari. « La solution est opérationnelle depuis vendredi dernier, et nous avons déjà noté des tendances plus que favorables en matière d'usage », poursuit le responsable. « Au cours de la seule journée de lundi, plus de 1 500 personnes ont téléchargé l'application », précise-t-il.
Des évolutions vers Android et les Blackberry
Si l'Apec a choisi de s'engager dans le virage de la mobilité, c'est en raison des multiples opportunités que propose des outils tels que l'iPhone. Rechercher des offres par filtres : mots clés, lieux, salaire, fonction, secteur, depuis n'importe quel lieu, que ce soit chez soi, au bureau ou dans le métro. Recevoir des alertes dès qu'une nouvelle offre concernant un candidat est publiée. Opérer un tri des offres par géolocalisation. Bénéficier des conseils de l'Apec depuis leur téléphone, sous forme de vidéos. Et surtout, pouvoir sauvegarder les offres sélectionnées et les synchroniser avec le site Apec.fr pour les consulter ultérieurement. Côté perspectives, l'association pour l'emploi des cadres n'entend pas en rester là. « Après les candidats, nous souhaitons toucher la cible des recruteurs », ajoute Jean-Pascal Szelerski. « Nous envisageons également de basculer vers d'autres plates-formes, telles qu'Android, l'OS de Google, ou vers des terminaux comme Blackberry. »
En attendant, l'application iPhone de l'Apec est disponible sur l'AppStore et elle est gratuite.
(...)
T-Systems supprime plus de 300 postes en France
Rien ne va plus chez T-Systems France. La filiale hexagonale de Deutsche Telekom, qui compte près de 1 600 collaborateurs sur le territoire, va supprimer 324 postes. Les sites de Villepinte et La Défense en région parisienne ainsi que ceux de Lyon et de Toulouse seront sans doute les plus touchés.« Cela fait plusieurs années déjà que la direction annonce des projets stratégiques qui n'ont aucun sens en France », déplore Frédéric Vielle, élu au CE et délégué syndical CGT. Pour le représentant syndical, T-Systems s'adresse à de gros clients - comme la BNP ou Airbus- , et, comme la priorité est à la réduction des coûts, la société n'hésite pas à faire pression sur les sous-traitants.
Un projet professionnel assorti d'un budget formation
L'entreprise n'en est d'ailleurs pas à son premier coup d'essai. En effet, l'an dernier, un plan social portant sur la suppression de 50 postes avait été annoncé, mais il avait été déclaré invalide par la DDTE. «La filiale française se porte mal depuis plusieurs années, poursuit Michel Décossas, responsable syndical CFDT au Comité d'entreprise de T-Systems. Nous avons été informés de la tenue d'un plan social vendredi dernier, mais nous ne connaissons pas encore toutes les mesures d'accompagnement ». Pour l'heure, les représentants syndicaux sont en discussion avec la direction. Ils demandent à ce que chaque salarié au départ puisse disposer d'un projet professionnel, et qu'un budget de formation digne de ce nom soit mis en place. Or, ce dernier point inquiète particulièrement les élus. « A ce jour, la direction ne dispose pas d'un outil de description de poste qui permettrait d'évaluer les besoins de chacun en formation », regrette Michel Décossas.
En attendant, un guichet de départ volontaire devrait être mis en place mais beaucoup d'informaticiens ont déjà quitté l'entreprise. « Chez T-Systems France, le taux de turnover a augmenté au cours des trois dernières années, signale Stéphane Peillon, délégué syndical FO. Depuis 2007, l'entreprise compte entre dix à trente départs par mois».
Contactée par la rédaction, la direction de T-Systems France a mis en avant sont devoir de réserve. En effet, la procédure d'information et de consultation oblige cette dernière à consulter les représentants du CE avant de prendre toute décision importante. Un CE extraordinaire devrait avoir lieu demain, jeudi.
Illustration: le site de T-Systems à la Défense. Crédit photo: D.R
(...)
HP crée 700 emplois en Écosse
Hewlett-Packard va créer 700 emplois supplémentaires sur son site situé à Erskine, dans le Renfrewshire, en Écosse. Le numéro un mondial du secteur IT projette d'accroître son effectif dans cette région en créant un centre de services informatiques qui recevra une subvention régionale de 7 millions de livres sterling. Les fonds proviendront de la Scottish Enterprise, agence écossaise de développement économique appartenant au Scottish Development International (SDI), un organisme d'Etat chargé de promouvoir les investissements étrangers en Ecosse.
Encourager les entreprises étrangères à investir en Écosse
HP précise que les employés du site écossais sont spécialisés dans la chaîne d'approvisionnement, les ventes par téléphone et Internet, le marketing et l'assistance clientèle. Pour leur part, les profils recherchés interviendront dans les applications, les infrastructures, le développement, la maintenance , le support, et les services d'intégration.
« SDI s'est joint à la Scottish Enterprise pour collaborer étroitement avec Hewlett-Packard au cours des douze derniers mois, afin de rendre possible ce nouvel investissement sur le site de l'entreprise situé dans le Renfrewshire » a indiqué David Smith, directeur général de Scottish Development International, dans un communiqué.:« Le régime des subventions fait partie des outils clés dont nous disposons pour encourager les entreprises nationales et étrangères à investir en Écosse».
En septembre 2008, après le rachat d'EDS, le constructeur annonçait la suppression de 24 600 postes dans le monde. Il y a un an, il décidait de couper 6 400 postes, dont 580 en France. Enfin, il y a trois mois, HP décidait d'alléger de nouveau ses effectifs de 9 000 postes au plan mondial, en se concentrant sur une nouvelle opération : se doter de centres de services entièrement automatisés et standardisés.
Illustration: le site d'HP à Erskine. Crédit photo: HP
(...)
Recrutement : le duo CV + lettre de motivation, toujours gagnant
A l'heure de l'omniprésence des réseaux sociaux, à quel type de candidature les recruteurs sont-ils vraiment sensibles aujourd'hui ? Pour le savoir et conseiller les candidats en recherche d'un nouveau poste, le cabinet de recrutement Robert Half a interrogé plus de 2 400 managers européens. A l'arrivée, l'étude montre que les partisans des réseaux sociaux et professionnels se trouvent avant tout en Allemagne (18%), en Espagne et en Autriche (13%) ainsi qu'en Italie (11%). Dans ces pays, les responsables des ressources humaines se montrent plus enclins à s'affranchir de la double lecture d'un CV et d'une lettre de motivation. Un profil sur un réseau en ligne leur suffit désormais comme première approche.
Saisir tous les canaux de candidature est vivement recommandé en Italie
Ce sont les dirigeants italiens (41%) qui sont les plus ouverts en matière d'outils de recrutement : ils n'ont pas de préférence marquée entre un profil sur un réseau et un CV, et apprécient que l'envoi soit associé à une lettre de motivation. Cette pratique est également approuvée par leurs homologues espagnols (36%), allemands (34%), suisses (33%) et autrichiens (32%).
A l'opposé, les managers tchèques et irlandais ne semblent plus vouloir s'encombrer de la traditionnelle lettre de motivation. Désormais, ils sont respectivement 39% et 27% à préférer recevoir uniquement un CV. Seules les mentions descriptives des compétences et expériences attirent leur attention pour une première présentation de candidature.
Reste que l'envoi traditionnel d'un CV et d'une lettre de motivation demeure la préférence de la majorité des managers interrogés dans le cadre de cette enquête. Au Luxembourg, la quasi totalité (90%) des managers préfèrent recevoir les candidatures sous cette double forme. A leur suite, 65% des managers belges, puis 56% des responsables français et néerlandais.
(...)
Mc2i Groupe recherche 40 consultants
Le cabinet de conseil en systèmes d'information spécialisé dans le pilotage de projets et l'assistance à la maîtrise d'ouvrage mc2i Groupe, prévoit de recruter une quarantaine de collaborateurs sur le second semestre. Les postes sont ouverts à des consultants juniors et confirmés, ainsi qu'à des stagiaires en période de fin d'études. Les nouvelles recrues viendront rejoindre l'équipe actuelle de mc2i Groupe, composée de plus de 225 collaborateurs. Elles accompagneront les clients de l'entreprise dans l'assistance à maîtrise d'ouvrage (AMOA), pour le choix et la mise en oeuvre des systèmes d'information des ressources humaines (SIRH) ou de gestion (SIG), et également de la banque et de la finance.
Afin de rencontrer les profils recherchés, les responsables du recrutement du cabinet de conseil seront présents sur plusieurs forums et salons, dont les Jeudis.com (le 23 septembre au CNIT de Paris la Défense), et les forums UTT (le 12 octobre à Troyes), Epita (le 13 octobre au Kremlin-Bicêtre), Centrale Lille, (14 octobre à Lille) et Comutec UTC ( le 21 octobre Compiègne).
(...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |