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Cloud computing

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(27/05/2010 14:32:50)

Le cloud, déjà une réalité pour les DSI

Les DSI feraient-ils du cloud, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir. Ainsi, quand on pose la question services par services,  ceux qui sont dans le cloud, les DSI ne sont plus que la moitié à répondre positivement et près d'un tiers déclarent qu'ils ne feront pas du cloud dans les 5 prochaines années. « Les résultats changent dès que l'on parle d'applications spécifiques, la plupart des DSI utilisent des technologies qui sont liées au cloud sans le savoir » explique Marianne Kolding, vice-présidente logiciel et service européen d'IDC. Elle intervenait lors de la célébration du 40ème anniversaire du cabinet d'analyste sur l'évolution des dépenses en Europe pour les prochaines années. « La tendance des investissements est à la hausse pour 45% des responsables informatiques interrogés, même si l'heure n'est pas à déboucher le champagne, car l'orientation des DSI est clairement encore vers la réduction des coûts » souligne la dirigeante d'IDC.

En tête des priorités des DSI, Marianne Kolding constate « la virtualisation est suivie de très près par les questions de sécurité, ainsi que la gestion du stockage » et d'ajouter « le green IT perd par contre un peu de son intérêt, sauf si cela implique des réductions de coûts ».

L'étude IDC a été réalisée auprès de 673 directeurs des systèmes d'informations.

 

Illustration: EMC

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(26/05/2010 10:26:02)

Amazon gère RDS dans le cloud

Les utilisateurs vont donc contrôler les performances de leurs services RDS à partir de l'AWS (Amazon Web Services) Management Console. Avec l'aide d'un assistant graphique dans leur navigateur, les administrateurs pourront, lancer ou modifier une instance de la base, selon Amazon. Les autres caractéristiques comprennent la capacité de prendre un instantané de la base de données, qui peut ensuite être archivé, ou contrôler la lecture et l'écriture, mais également le niveau de latence et accéder à un espace de stockage gratuit.

Outre RDS, l'AWS Management Console peut être utilisé pour gérer EC2 (Elastic Compute Cloud) et CloudFront, qui est le service d'Amazon pour la délivrance de contenu, y compris audio et vidéo. À l'avenir, l'éditeur prévoit de permettre l'administration de S3 (Simple Storage Service). Les administrateurs seront en mesure de créer et supprimer des boîtes de stockage - et le service SimpleDB. Basé sur MySQL 5.1, Amazon RDS est encore en bêta test.

L'éditeur s'intéresse de plus en plus aux bases de données dans le cloud. Il y a quelques semaines, il avait annoncé une fonctionnalité nommée, Zone de Multi-disponibilité, en rendant accessible et opérationnel depuis le cloud, une copie de la base de données, stockée dans différents endroits.

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(21/05/2010 12:45:53)

Capgemini guide vers le cloud avec les Online Services de Microsoft

La route vers le cloud peut commencer par l'adoption des Online Services de Microsoft. C'est l'une des options que Capgemini va préconiser. Dans le cadre de sa démarche d'accompagnement des entreprises vers les technologies de cloud computing, la SSII a noué avec Microsoft un partenariat mondial pour devenir prescripteur de la suite BPO (Business Productivity Online). Cette dernière regroupe l'accès à un ensemble de services en ligne hébergés dans les datacenters de Microsoft et facturés mensuellement par utilisateur : Exchange Online (serveur de messagerie), SharePoint Online (plateforme collaborative), Office Live Meeting (réunion en ligne), Office Communications Online (messagerie instantanée et indicateur de présence).

L'accord entre les deux partenaires se traduit concrètement par la création d'un centre d'expertise offshore et par la formation d'un millier de consultants à l'échelle du groupe. Ces derniers pourront mettre en place la suite Microsoft BPO et faire migrer les systèmes existants des clients vers ces services en ligne. Ces consultants interviendront, selon les besoins, dans les filiales locales ou au sein des ressources offshore. Des outils spécifiques de migration seront développés. « Nous allons définir un certain nombre d'interfaces prépackagées pour interfacer les logiciels de Microsoft à différentes applications, ajoute par ailleurs Xavier Moy, directeur des alliances chez Capgemini France. Il rappelle que SharePoint, en particulier, peut s'utiliser avec de nombreux logiciels complémentaires (lors du récent salon Documation, le village SharePoint regroupait 27 partenaires).

Deux jours pour une feuille de route vers le cloud

Pour évaluer les différents scénarios de mise en place de la suite MBPO, Capgemini recourra également à son outil de prototypage rapide, Rain (Rapid innovation), qui permet de réaliser une simulation des flux à présenter aux équipes métiers.

Cet accord avec Microsoft s'inscrit dans l'offre Infostructure Transformation Services (ITS) que la SSII a récemment élaborée. « Nous conseillons nos clients, en amont, dans leur transition vers le cloud, explique Xavier Moy. Chaque entreprise se pose des questions, mais il n'y a pas de chemin unique. A côté de notre offre de conseil classique, nous proposons donc les sessions 'Journey to the cloud' qui s'appuient sur la méthode Accelerated Solutions Environment (ASE). Celle-ci couvre les aspects infrastructure et applicatifs et permet à l'entreprise de définir un schéma directeur et une feuille de route vers le cloud computing ». Ces sessions prennent la forme d'un atelier (intensif, précise Capgemini) courant sur deux jours.

Illustration : Microsoft Exchange Online

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(20/05/2010 12:31:40)

HP veut automatiser la migration vers le cloud

Philippe Roux, responsable marketing solutions chez HP a planté le décor pour la présentation de la solution CSA : une infrastructure dynamique, des outils de facturation et une approche orientée service. Le service proposé par HP est une suite logicielle permettant aux DSI des entreprises d'optimiser le déploiement de leurs applications dans des nuages privés ou publics. L'objectif est d'automatiser les process, comme l'attribution de VM avec les OS dédiés, l'affectation de ressources de stockage, la facturation de chaque outil, la puissance de calcul dispensé, etc. L'offre HP CSA s'intègre plus globalement à l'initiative HP Software & Solutions, conçue précisément pour faciliter l'adoption du cloud.

Elle comprend outre CSA, les offres logicielles pour l'administration de systèmes « HP BTO Services for Cloud Infrastructure » ainsi que des services de conseil. Cette solution logicielle se veut agnostique, « on peut construire un cloud à partir de l'existant, en créant des templates et CSA devient la colle pour orchestrer ces différents éléments » souligne Philippe Roux, même s'il met en avant la solution tout en un, Blade Matrix System. Dans ce tableau idyllique, certains DSI présents lors de la présentation s'interroger quand même sur le prix des licences des différents éléments de l'automatisation. « Avec la virtualisation, il sera nécessaire d'adapter notre tarification » a répondu Philippe Maillant, responsable commerciale infrastructures chez HP, sans toutefois donner plus de détail.

Les opérateurs télécoms en première ligne


Faciliter la vie des DSI, accompagner la migration vers le cloud, une telle musique ne pouvait pas échapper aux oreilles des opérateurs. Le premier à s'intéresser à ce sujet est Orange Business Services, Laurent Di Pietro, office manager cloud computing chez OBS explique que « cet outil nous permettra de répondre de manière plus rapide aux besoins de nos clients en leur fournissant, via l'offre flexible computing, un catalogue de services et d'applications » et de se définir comme « un tiers de confiance dans le cloud ». Car les opérateurs montent en puissance dans les services clouds, Philippe Roux a dévoilé que SFR allait proposer une offre similaire à celle d'OBS, au mois de juin, à travers un datacenter reposant sur 3000 serveurs. L'offre sera distribuée en indirecte via les SSII et les intégrateurs, mais également en direct par l'opérateur.

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(20/05/2010 11:38:01)

Google I/O 2010 : Un service de stockage en ligne pour les développeurs

Plus grand événement organisé par la société de Mountain View à l'attention des développeurs, Google I/O 2010 réunit cette semaine plus de 5000 participants au Moscone Center de San Francisco. Une belle occasion pour promouvoir - au milieu des 80 sessions et des 100 manifestations prévues sur le Web de prochaine génération, les applications mobiles et d'entreprise tournant sur les plates-formes maison -  un service de stockage de données en mode cloud qui met Google en concurrence avec l'offre S3 d'Amazon, mais avec les développeurs pour cible.

Ce que l'on sait pour l'instant de Google Storage for Developers, c'est qu'il offre une solution plus sûre, plus stable et plus robuste aux développeurs qui voudraient utiliser un service de stockage en ligne et collaboratif. Via le Google Storage for Developers, ils auront la possibilité de stocker des données - la taille maximum des objets peut atteindre 50 Go - et d'y accéder de n'importe où, à partir du moment où ils disposent d'une connexion Internet. Google, semble-t-il, s'est mis dans la tête de concurrencer Amazon et d'autres fournisseurs de stockage en ligne. Il est vrai que l'entreprise, sans doute le fournisseur le plus représentatif de services à base de cloud devant Amazon, bon second, semble donc légitimée à tenir un rôle prépondérant dans ce domaine.

Google offre bien, depuis un certain temps, un service de stockage en ligne parmi les fonctionnalités de son service de messagerie Gmail. Cependant, la taille des fichiers, et les types de fichiers autorisés à être transférés étaient fortement restreints. Les récentes modifications permettent désormais le téléchargement de tout type de fichiers, mais le stockage en ligne reste limité à 1 Go (sauf à vouloir payer 25 cents par Go et par an), et la taille maximale d'un fichier individuel fixée à 250 Mo.

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La sécurité des données est un des éléments clés de Google Storage for Developers. Le service de stockage cloud permettra d'accéder aux données de manière sécurisée en utilisant des clés privées ou des adresses e-mail. Google Storage for Developers utilise aussi le protocole SSL pour garantir que les fichiers échangés sont protégés pendant leur transit sur Internet. L'accès peut être contrôlé via des listes de privilège permettant la gestion du partage et de la collaboration à travers le Web. Comparé aux infrastructures d'autres services similaires de Google, l'autre avantages de Google Storage for Developers est que les données sont répliquées à plusieurs endroits au sein du centre de calcul, et également réparties dans de multiples datacenters disséminés à travers les Etats-Unis de manière à ce que la panne d'une seule baie de stockage, ou une catastrophe dans n'importe quel centre, n'aura aucun effet sur la disponibilité ou l'intégrité des données.

Un premier test avec les développeurs ?

Et si cette première incursion dans le stockage Cloud de « classe entreprise » apparaît quelque peu squelettique, elle offre cependant aux développeurs, dont certains participent à la Google I/O, des atouts en termes de performance et de sécurité, des éléments dont ils ont besoin. Il faut s'attendre aussi à voir émerger plusieurs offres autour de ce service, mais espérons-le, avec des options plus attrayantes et une interface plus conviviale. Et si Google choisissait d'étendre le stockage en ligne sécurisé et évolutif à certains de ses autres services comme la vidéo, ou la géolocalisation, il prendrait un net avantage sur les services de stockage en ligne du type Amazon S3 ou Microsoft Azure. Pour l'instant, Google Storage for Developers est disponible en version bêta uniquement, et seulement sur invitation, selon la procédure habituelle appliquée aux nouveaux services de Google en version de test. La date de disponibilité et son prix ne sont pas encore connus.

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(19/05/2010 13:45:06)

SapphireNow 2010 : SAP accepte les commandes en volume pour ByDesign

SAP passe enfin à la vitesse supérieure sur sa suite de gestion intégrée Business ByDesign destinée aux PME. Jim Hagemann Snabe, son co-PDG responsable des produits, vient d'en faire l'annonce "officielle" sur la conférence utilisateurs SapphireNow, hier à Francfort. Avec une pointe d'humour : « Vous pouvez passer commande maintenant » (you can order now). Fin juillet, la version 2.5, « multitenant », de cette offre en ligne sera disponible, mais uniquement, pour l'instant, sur les six pays où elle est déjà commercialisée, dont la France. L'ouverture à l'ensemble des zones géographiques n'interviendra que plus tard et Jim Hagemann Snabe ne souhaite toujours pas être plus précis sur cette date. Rappelons que Business ByDesign s'adresse aux entreprises de taille moyenne qui veulent gérer en ligne, de bout en bout, l'ensemble de leur processus de gestion, en s'affranchissant totalement, donc, de la gestion de l'infrastructure informatique sous-jacente. Celle-ci est entièrement déléguée à l'hébergeur, SAP, en l'occurrence. L'accès à l'application est tarifé sur la base d'un versement mensuel, par utilisateur.

ByDesign : de la suite en ligne à la "plateform as a service"

La suite intégrée Business ByDesign, hébergée sur les datacenters de l'éditeur allemand, a été présentée en septembre 2007. Un lancement en grandes pompes, assorti d'objectifs ambitieux, avant que SAP ne décide assez rapidement de lever le pied. L'éditeur ne réunit actuellement qu'une centaine de clients sur ce produit. Il a reconnu par la suite qu'il avait lancé un peu tôt cette offre qui représentait pour lui un changement total de modèle par rapport à ce qu'il faisait auparavant. Jusqu'à présent, il fournissait des applications que les entreprises installaient en interne. Avec Business ByDesign, SAP se transforme en hébergeur avec toutes les responsabilités d'engagements de services associés.[[page]]Curieusement, comme certains de ses responsables l'ont admis sans ambages, cette application proposée en mode SaaS (software as a service) n'était pas « multitenant » dans sa première version. Chaque client disposait sur le datacenter de son propre environnement. L'infrastructure sur laquelle fonctionnait la suite intégrée ByDesign n'était pas adaptée à une exploitation en volume. Elle l'est désormais. Les équipes commerciales de SAP, qui se voyaient contraintes de refuser les demandes des entreprises (c'est arrivé !), vont pouvoir se lancer à la conquête de nouvelles entreprises. 

L'étape suivante, à la fin de cette année, consistera à ouvrir la plateforme aux développements externes, SAP fournissant un SDK à ses partenaires pour bâtir des applications complémentaires à Business ByDesign qui seront accueillies et commercialisées sur sa PaaS (platform as a service).

Sur le marché des PME, SAP dit accueillir 25 nouveaux clients par jour dans le monde, sur l'ensemble de ses offres adaptées à cette cible d'entreprises. Outre le petit dernier Business ByDesign, l'éditeur propose en mode indirect depuis plusieurs années le produit Business One, un ERP pour les PME jusqu'à 100 personnes (à installer en interne chez les clients), et SAP All-in-one, une suite pré-configurée reposant sur les fondements de la Business Suite, vendue et déclinée par industries par un réseau de partenaires.


Sur ses 97 000 clients, l'éditeur dit en compter 67 500 réalisant un chiffre d'affaires inférieur ou égal à 350 millions d'euros.

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(19/05/2010 09:35:04)

CA Technologies et Cisco rapprochent leurs technologies administration et serveurs

Ces nouveaux outils sont en partie basés sur des technologies issues du rachat de plusieurs sociétés ces dernières années : 3Tera, Oblicore et Cassatt. Le partenariat entre les deux sociétés comprend notamment une meilleure intégration des serveurs Cisco (Unified Computing Server) aux logiciels de gestion de systèmes de CA technologies. Parmi ces derniers citons Spectrum Automation Manager, un agent de provisionnement et d'automatisation; eHealth Performance Manager, qui permet de suivre les performances d'un système et Spectrum Infrastructure Manager, qui assure la gestion des configurations réseaux, isole les erreurs et analyse les causes des engorgements. Ces trois outils travailleront de concert avec l'API UCS Manager open XLM du constructeur.

Développer l'écosystème UCS

Cofondateur de VMware en 1998 et de Nuova Systems en 2005, la société à l'origine de la plate-forme UCS, Ed Bugnion, vice président en charge de l'activité serveurs chez Cisco, nous a apporté des éclaircissements sur ce partenariat. « Nous poursuivons  notre stratégie de développement de l'écosystème UCS. Le partenariat avec CA est une opportunité de différenciation sur le marché des outils de supervision. Avec l'apport de notre API à CA, nous permettons à nos clients de bénéficier des solutions d'automatisation de système de l'éditeur ». Grâce à cette annonce, Cisco ajoute un niveau de supervision à ses UCS, depuis la lame jusqu'à l'ensemble du système. « Grace aux fonctions d'automatisation, nos clients communs pourront manipuler plus facilement des abstractions centrales (des profils de services combinant l'accès aux différentes ressources, NDLR).


 

 

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(18/05/2010 17:35:56)

APX lance Solution Datacenter ou le cloud par la pratique

Virtualisation du poste de travail, des solutions de stockages, quelles applications transférer vers le cloud privé, si les offres technologiques apportent des réponses, « les entreprises ont besoin de toucher, comprendre, visualiser les bénéfices apportés par le cloud » souligne Yves Pellemans, directeur technique d'APX. Fort de ce constat, la SSII a choisi d'installer au siège à Saint Cloud, une salle comprenant un datacenter reprenant l'ensemble des configurations existantes. Des blades IBM, HP, des baies de stockage EMC, la couche de virtualisation est assurée par VMware. Si on ajoute dans la partie serveurs Cisco, on retrouve l'alliance VCE (VMware, Cisco, EMC), qui pousse l'architecture unifiée au sein des datacenters à travers l'offre Vblock. Plutôt orienté vers les grands comptes, on notera ainsi, qu'APX propose une offre Vblock à destination des PME.

L'intégrateur va donc proposer différents ateliers de formations auprès de ses clients sur des sujets aussi variés que l'urbanisation du datacenter, la virtualisation du poste de travail, le pilotage des infrastructures, la sauvegarde et la déduplication.

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Les entreprises pourront reproduire leur propre environnement informatique et soumettre ainsi leurs problématiques, qui sont parfois spécifiques.

Un investissement sur l'avenir


Pour Noël Sailles, PDG d'APX, « cette offre est un pari sur l'accompagnement des entreprises dans leur migration vers le cloud privé » et d'ajouter que « l'investissement de la part de sa société pour construire ce service est de l'ordre de 1 million d'euros, sans compter les coûts de formation aux différentes certifications ». Le dirigeant est d'ailleurs fier d'être le premier en France à être certifié VCE. Mais rien n'est exclusif, souligne Noël Sailles, « l'alliance VCE pourra devenir VCN (en référence à Netapp) à terme, et nous serons agnostiques sur d'autres solutions d'architecture unifiée ».

Pour autant, la SSII bénéficiera d'une attention particulière des différents partenaires technologiques, avec des mises à jour et l'apport des dernières évolutions. Yves Pellemans a indiqué par exemple l'arrivée de Vplex d'EMC d'ici la fin de l'année, ainsi que la sortie prochaine de l'hyperviseur client de VMware.

Une première partie du pari est déjà remportée, les premiers ateliers affichent complets.

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(18/05/2010 14:27:27)

Citrix installe XenApp dans le cloud d'Amazon

«La virtualisation des applications permet aux gestionnaires informatiques de n'avoir à gérer qu'une seule instance de chaque application, qu'elle soit hébergée dans le datacenter ou dans le Cloud (EC2 dans le cas présent) » écrit Simon Crosby, PDG de Citrix, dans un blog. « Les applications sont ensuite rendues directement disponibles via un streaming logiciel à des appareils sous Windows pour une utilisation en mode connecté et déconnecté.» Le pilote permettra aux clients de Citrix de transférer leurs licences XenApp depuis leur propres datacenters vers Amazon EC2 et « d'exécuter leurs applications dans un environnement entièrement compatible » a déclaré l'éditeur. Cependant, cette éligibilité est réservée aux clients de Citrix également adhérents au Windows Server Licence Mobility Pilot d'Amazon, lequel permet la migration des licences Windows Server vers Amazon EC2.

Le pilote XenApp/Amazon ne supporte pas encore le Virtual Private Cloud (VPC) d'Amazon, dont l'objectif est de mettre les ressources informatiques exécutées dans les centres de calcul d'Amazon à un niveau de sécurité équivalent à celui ayant cours en entreprise. «Nous continuons à travailler avec Amazon sur son projet d'incorporer le VPC au sein de notre pilote dans le futur » a déclaré Citrix. Aujourd'hui, ce projet est donc d'une utilité limitée, mais reste potentiellement intéressant pour les entreprises cherchant à déterminer si, à terme, elles pourraient alléger leur infrastructure informatique interne en transférant une partie de l'activité vers un fournisseur de Cloud. L'application XenApp tournant sous EC2 d'Amazon pourrait permettre en effet à une entreprise de réduire considérablement le nombre de serveurs physiques qu'elle a à gérer.

Franchir le rubicond cloud

Simon Crosby admet que les clients actuels se plaignent souvent de ce que les clouds ne sont pas de « classe entreprise », et se disent préoccupés par la disponibilité et la sécurité de leurs données. Mais il affirme que les services clouds sont en train de gagner rapidement en maturité et offrent de nombreux avantages que ne pourraient fournir le datacenters classiques.

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Sur Amazon, « avec une seule requête d'API, vous pouvez créer une base de données SQL de 1 To qui est sauvegardée et disponible en permanence, » écrit le dirigeant. « La seule chose à faire est de payer pour les unités de calcul et de stockage. Alors, pourquoi ne pas développer une application qui sache en profiter ? Si l'application est corrélée à la base de données existante de l'entreprise, c'est impossible. Si ce n'est pas le cas, alors ce serait vraiment trop bête de ne pas le faire.» Simon Crosby ajoute que «l'utilisation extensive de l'automatisation dans le cloud, les rend en général beaucoup moins sensibles aux problèmes qui dominent traditionnellement dans l'entreprise, à savoir les erreurs de configuration dues à l'intervention humaine. »

« Les clients doivent encore évaluer avec soin les clouds de type infrastructure-as-a-service (IaaS) pour s'assurer qu'ils sont capables de prendre en charge une application spécifique » écrit-il. « Le plus important est d'estimer les apports de l'offre d'un vendeur Cloud IaaS particulier, et voir comment elle peut s'adapter aux exigences de vos applications d'entreprise,» a insisté le responsable. « Est-ce que l'ensemble des fonctionnalités de l'IaaS est compatible avec vos applications ? C'est la question à laquelle il faut répondre en priorité. Seulement alors vous pourrez apprécier si la qualité de l'offre est de « classe d'entreprise. »

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