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(06/07/2011 09:59:48)
Annuels Antemeta : Bons résultats et perspectives ambitieuses
L'intégrateur AntemetA a réalisé une hausse de 15% de son chiffre d'affaires annuel, clos au 31 mars dernier, avec 37,4 millions d'euros contre 32,5 millions un an auparavant. AntemetA se déploie dans trois axes : stockage, sauvegarde et virtualisation avec ses partenaires HP/3Par, Symantec et VMware. Sa nouvelle offre lancée en 2009, ABC (AntemetA business continuity) de services PRA hébergés a représenté 1,2 million d'euros de CA. La société prévoit de doubler la croissance de cette activité sur la prochaine année fiscale
AntemetA a recruté 18 salariés en 2010 et envisage 10 à 15 recrutements en 2011.
Les internautes trop confiants sur les médias sociaux
Les résultats de ce sondage démontrent que les internautes américains n'apportent pas assez d'importances aux gestes simples qui permettraient de sécuriser leur compte Facebook. Par exemple, un tiers des sondés avoue n'avoir jamais changé son mot de passe depuis son inscription. Ils ne sont que 31% à l'avoir changé ces trois derniers mois, ce qui est pourtant vivement recommandé.
En ce qui concerne la mise à jour des paramètres de confidentialité, ils sont 30% à déclarer les avoir modifié au moins une fois ces trois derniers mois, alors qu'il est conseillé d'aller les vérifier au moins une fois par mois (12% des songés seulement).
Des internautes trop crédules
Conséquence de cette gestion parfois hasardeuse, 10% des internautes déclarent que quelqu'un a eu un accès non autorisé à leur compte pour diffuser des liens et des commentaires. Très crédules, ils sont 95% à accepter presque systématiquement toute demande de connexion provenant d'un "ami".
Pourtant, les utilisateurs de Facebook n'ignorent pas que le réseau social peut se révéler dangereux : 37% craignent qu'un internaute vole et usurpe leur identité en ligne et 71% appréhendent que leurs informations personnelles soient vendues ou partagées à leur insu. Enfin, 17% s'inquiètent de l'utilisation des sites de réseaux sociaux pour leurs enfants. Rappelons qu'en France par exemple, 18% des 8/12 ans sont connectés sur Facebook (étude TNS Sofres) alors que le service leur est en théorie interdit d'accès.
Cette enquête a été menée en ligne aux Etats-Unis par Harris Interactive pour le compte d'ESET du 31 mai au 2 juin 2011 parmi 2 027 adultes âgés de 18 ans et plus.
Crédit photo D.R.
(...)(06/07/2011 09:53:50)L'Autorité de la concurrence se penche sur le e-commerce
L'Autorité de la concurrence vient de s'autosaisir du dossier de la vente en ligne. Celle-ci prend une importance telle que le sujet ne pouvait échapper plus longtemps à une étude de l'Autorité. Le secteur pèse en effet 31 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2010, en hausse de 24%, et concernait, toujours en 2010, 27,3 millions d'e-acheteurs.
L'Autorité va rendre un avis sur l'état de la concurrence dans le e-commerce. Elle se propose d'émettre éventuellement des recommandations en cas de dysfonctionnements avérés. Dans son étude, l'Autorité se propose d'étudier plus particulièrement trois points.
Dans un premier temps, l'impact de cette vente en ligne sur les circuits traditionnels de distribution (écarts de prix, pression concurrentielle...).Ensuite, l'Autorité va s'intéresser aux comportements qu'adoptent distributeurs et fabricants devant l'arrivée de ce nouveau mode de distribution (en clair, aux limitations éventuelles, par des pratiques anti-concurrentielles, de l'impact du e-commerce).
Enfin, l'étude passera en revue les intermédiaires du e-commerce : acteurs du paiement électronique, entreprises de livraison, comparateurs de prix. Des acteurs qui participent à leur niveau à la formation des prix.
Ulysse, la co-entreprise SNCF/IBM, déraille
La Fédération Syndicale des Cheminots (regroupant CGT, UNSA, Sud Rail et la CFDT) avait manifesté le 1er avril dernier contre le choix fait par la direction d'une co-entreprise avec IBM, imposé comme contrepartie du contrat SNCF-Geodis. Baptisé Ulysse, le projet consiste à livrer la gestion de la sous-traitance des prestations informatiques de la SNCF à IBM pour un montant de 1,6 milliards d'euros sur 6 ans. Or le 30 juin dernier, la même fédération a renouvelé son appel à la grève en estimant que cette entreprise commune ne fonctionne pas et ne réalise pas les économies escomptées. La rationalisation des relations entre les informaticiens de la SNCF et les différents sous-traitants devait aboutir à des économies estimées à 290 millions d'euros en 6 ans.
Les syndicats s'inquiètent de ce que la rentabilité du projet repose sur l'offshore dans des pays à bas coût et donc de l'impact sur la disparition des sous-traitant SSII de la SNCF avec son impact sur l'emploi. Les syndicats ont indiqué que deux options étaient possibles soit une rupture de contrat, soit une révision de ce dernier. Un article de nos confrères des Echos, daté du 4 juillet, indique que ce contrat « bat de l'aile » et que la rupture de contrat a été envisagée avec des indemnités onéreuses (45 millions d'euros selon la CGT Cheminot) à la charge de l'établissement public. Les causes sont, selon le quotidien économique, à chercher à la fois dans les mauvaises estimations des volumes de sous-traitance (avec 50% de différence) et un ralentissement sur le plan décisionnel (les deux responsables de l'entreprise commune ont été remplacés rapidement).
Tous les scénarios en débat
Interrogé sur France Inter le 5 juillet, Guillaume Pépy, PDG de la SNCF s'est voulu consensuel « on est en train de débattre. On en discutera le 27 ou le 28 juillet (NDLR : date du prochain conseil d'administration). L'enjeu est de faire des économies sur notre sous-traitance informatique, sachant que les cheminots qui sont à l'informatique, qui font le travail pour le compte de la SNCF ne sont pas en cause. » Car le dirigeant sait qu'il avance en terrain miné sur le plan social, il a rappelé la volonté de l'entreprise « de garder à la SNCF des informaticiens qui sont des cheminots, et qui ont le statut de cheminots ».
Il n'est pas sûr que les propos du président de la SNCF rassurent les syndicats. Il faudra donc attendre le conseil d'administration de la fin juillet pour observer la position de l'établissement public. Interpellés, les deux protagonistes n'ont pour l'instant pas donné suite à nos demandes d'informations complémentaires.
Illustration: Guillaume Pepy, PDG de la SNCF
Crédit Photo: France Inter
(...)
Des développeurs proposent déjà des add-ons à Google+
Il n'aura pas fallu longtemps pour que les amateurs de programmation se penchent sur l'affrontement à venir entre le poids lourds du réseau social et son challenger. Tandis que certains mettaient au point "Circle Hack", une application permettant aux utilisateurs de Facebook de rassembler leurs amis en cercles, exactement comme dans Google+, d'autres peaufinaient une application, pour navigateur (compatible avec IE, Firefox, Chrome et Opera), permettant de modifier l'apparence de Google+... afin de la rendre similaire à celle de Facebook.
Les rumeurs vont désormais bon train sur l'annonce à venir du côté de Facebook. Le très informé site TechCrunch évoque une intégration de Skype dans Facebook, permettant ainsi de rivaliser avec les "bulles" de Google+ qui offrent un service de vidéoconférence en HD à plusieurs. Côté Google+, la prochaine étape sera l'ouverture du service à tous les internautes, après une phase de test concluante. En attendant la riposte de Facebook, le profil le plus populaire sur Google+ est celui de... Mark Zuckerberg.
(...)(05/07/2011 15:31:34)Google arrête la recherche en temps réel dans les médias sociaux
Google a confirmé l'information sur Twitter (@googlerealtime) : "Nous avons désactivé temporairement google.com/realtime. Nous travaillons à une façon d'intégrer Google+ à cette fonctionnalité [...]". Le flux a en effet disparu le 2 juillet, avec l'expiration de l'accord qui liait Twitter au géant de la recherche. "En octobre 2009, nous avons conclu un accord avec Twitter qui nous permettait d'intégrer ses contenus à nos résultats de recherche sous la forme d'un flux spécial; cet accord est arrivé à expiration le 2 juillet", a expliqué un porte-parole de Google à Relaxnews, par e-mail.
Si Twitter procurait l'essentiel du flux en temps réel, Google puisait à d'autres sources : Facebook, Quora, Gowolla, Google News, MySpace et FriendFeed. Et Google d'ajouter, "Nous n'aurons donc plus accès à ce flux spécial que nous fournissait Twitter, mais l'information disponible publiquement sur le réseau n'en sera pas moins traitée par nos robots et rendue accessible par la recherche, sur Google". Le moteur de recherche de Microsoft, Bing, continue quant à lui à inclure les résultats en temps réel de Twitter.
(...)(05/07/2011 15:22:17)Le parti Anti-PowerPoint veut interdire le logiciel de présentation de Microsoft
L'Anti-PowerPoint Party (APPP) suisse a calculé que l'utilisation d'un logiciel de présentation coûtait à l'économie suisse 2,1 milliards de francs suisses (1,7 milliard d'euros) par an, et que sur l'ensemble de l'Europe, ils entraînaient une perte économique de 110 milliards d'euros. L'APPP fonde ses calculs sur des hypothèses non vérifiées qui prendraient en compte le nombre d'employés assistant à des présentations chaque semaine, et suppose que dans 85% des cas, l'objectif de ces présentations n'est pas clair pour les participants.
Le système démocratique suisse participatif permet aux citoyens de demander la tenue d'un référendum national sur presque n'importe quel sujet, à condition d'être capables de réunir les signatures de 100 000 électeurs. L'APPP cherche des soutiens pour mener un référendum national où il demanderait d'interdire l'utilisation du logiciel de présentation PowerPoint, et d'autres logiciels de ce genre, sur tout le territoire suisse. Il prévoit également de présenter des candidats aux élections nationales en octobre. Mais, les ambitions du parti ne s'arrêtent pas là : son site internet est publié dans les trois langues officielles du pays - allemand, français et italien - et certaines pages sont également disponibles en croate, anglais, russe, slovaque et espagnol. « Nous voulons que le monde prenne acte de cette campagne. Et le monde entier peut s'exprimer à ce sujet et s'engager, si cette campagne est accessible à tous les individus, où qu'ils se trouvent sur la planète. Nous sommes ouverts à toutes les autres langues. Nous avons juste besoin de bénévoles pour traduire le site, » a déclaré Matthias Poehm, fondateur et président de l'APPP, et par ailleurs coach pour l'expression en public à Bonstetten, dans la banlieue de Zurich. « Nous avons des membres, bénévoles, qui étaient tellement heureux de participer qu'ils ont traduit l'intégralité du site en croate. La même chose est arrivée avec le slovaque ! »
Une grogne déjà ancienne contre les PowerPoint
Le président de l'APPP n'est pas le premier à exprimer son dégoût vis-à-vis de PowerPoint. En 2003 déjà, Edward Tufte, un spécialiste de la représentation visuelle de données numériques a publié un essai intitulé « Le style cognitif de PowerPoint », dans lequel il accusait le logiciel de Microsoft de réduire notre capacité à penser. Et l'année dernière, le New York Times avait même mis en garde : « Nous avons trouvé notre ennemi. C'est PowerPoint, » en parlant de l'utilisation, par l'armée américaine, de présentations incompréhensibles pour expliquer sa stratégie. L'APPP pourrait peut-être trouver des soutiens au niveau international, mais le parti est encore loin des 100 000 supporters de nationalité suisse dont il aurait besoin pour imposer un référendum. Depuis sa création, le 5 mai dernier, l'APPP comptabilise seulement 245 membres, ce qui n'est pas énorme pour un parti politique auquel tout le monde pourrait adhérer. La seule chose que les membres doivent payer, c'est la version complète du manifeste du parti, détaillé dans le livre « L'erreur PowerPoint » écrit par Matthias Poehm : 17 euros pour les membres, au lieu de 27 euros, prix public.
Alors est-ce juste une façade promotionnelle ? « Oui, c'est un outil pour promouvoir mon livre. Mais ce n'est pas seulement ça, » a déclaré son président et auteur. « Cette question va sensibiliser tous ceux qui ne savent toujours pas qu'il y a une alternative à PowerPoint et que cette alternative permet d'avoir un impact trois à cinq fois plus important sur le public qu'avec PowerPoint, » a-t-il dit. « Nous voulons aussi... que les élèves des écoles ne soient pas punis parce qu'ils n'utilisent pas PowerPoint, » a-t-il ajouté. Pour Matthias Poehm, l'alternative, c'est le modeste tableau de conférence à feuilles blanches, dont il vante la valeur parce qu'il encourage la créativité et qu'il oblige à une présentation vivante. L'objectif de Matthias Poehm n'est pas vraiment d'interdire l'utilisation des logiciels de présentation. « Avec l'APPP, nous voulons juste que les gens prennent conscience de ce problème et qu'ils sachent qu'il existe des solutions de rechange. Elles sont disponibles, mais personne ne les utilise. » Jusque-là, Microsoft n'a pas fait de commentaires sur l'annonce de l'Anti-PowerPoint Party, ni sur ses projets.
Illustration principale : Matthias Poehm, de l'Anti-PowerPoint Party, fait une présentation sur un tableau blanc. Crédit IDG NS
(...)(05/07/2011 15:06:08)Transformation de l'Etat : IBM dévoile son rapport remis au président Sarkozy
Ce document de travail IBM d'une vingtaine de pages a été réalisé à l'occasion de la rencontre du président d'IBM, Sam Palmisano, et du président Sarkozy en mars dernier. Juste avant le centenaire de Big Blue, Sam Palmisano souhaitait en effet autre chose qu'une simple rencontre informelle avec le président français. D'où l'idée de proposer un document de travail sur la modernisation de l'Etat. Une équipe d'IBM France menée par Silvano Sansoni, directeur secteur public, et Pierre Lhoste, responsable du développement de l'activité secteur public, a rédigé six propositions tirant parti des bonnes pratiques du secteur privé. À la clef, pas moins de 2 milliards d'euros d'économie par an : 150 millions avec la dématérialisation des notes de frais, 600 millions en repositionnant les fonctions RH sur les activités à valeur ajoutée grâce à la dématérialisation des processus de gestion du personnel, 400 millions grâce aux nouvelles technologies de l'information et l'industrialisation des processus de formation, 500 millions en réduisant les paiements indus et en luttant contre la fraude, 150 millions en consolidant les datacenters, 100 millions en pilotant mieux les projets informatiques et enfin 150 millions en optimisant la gestion des actifs de l'administration.
2 milliards d'économies à la clef selon IBM
Difficile, de savoir quel accueil a été réservé à ce document. Impatient, le PDG d'IBM France, Alain Benichou nous avait confié en avril dernier son étonnement quant à l'absence de réaction à l'Élysée. Depuis les choses semblent s'être arrangées puisque le palais a organisé un rendez-vous entre IBM et les services de François Baroin pour présenter le rapport. « Le rythme est celui de l'administration, l'Élysée nous a ouvert les portes de Bercy. S'ils retiennent une idée de ce document, ce sera déjà bien » confie Silvano Sansoni. « Nous avons discuté très longuement avec la Disic, sans engagement de leur part. On propose de gros projets, c'est stimulant. Il s'agit de faire des économies, mais aussi d'innover. Ca document fait suite à notre étude CIO Study avec 2 sources de travail : nos collaborateurs et nos partenaires ». À la question de savoir où se trouvait la France sur l'échelle de la modernisation des systèmes d'information, Silvano Sansoni place notre pays au niveau des États-Unis - notamment pour la modernisation du poste de travail - mais derrière les pays nordiques. « Il y a eu beaucoup d'avancées en France ces dernières années, notamment au niveau des services rendus aux usagers. Fin 2011, 98% des services publics seront accessibles en ligne contre 30% en 2007 ».
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Dans son document de travail, IBM met l'accent sur la formation des agents publics pour favoriser leur mobilité et accompagner la réduction des effectifs. Plusieurs points très importants sont mis en avant par Pierre Lhoste comme la formation individuelle des agents et l'e-learning, l'approche globale de la formation, l'utilisation de serious games pour la formation en ligne, mieux suivre les dépenses engagées pour la formation des agents (4 milliards d'euros pas an au budget de l'État) ce qui pourra permettre de réduire de 10% cette enveloppe et enfin utiliser des outils d'analyse des compétences pour une meilleure gestion provisionnelle.
L'analytique contre les fraudeurs
De nouvelles opportunités sont également proposées à l'État par exemple les technologies analytiques pour réduire les risques de fraude dans une approche globale de profilage, de cotation des risques avec des modèles prédictifs mathématiques. Au Royaume-Uni, IBM a déjà installé une solution de ce type pour le DWP (le ministère du Travail et des pensions) pour lutter contre la fraude au Pôle emploi britannique. Et lors du dernier sommet de l'OTAN, IBM a stimulé les collaborations entre les participants - plusieurs milliers de personnes - avec une de ses sessions Jam - pratiques empruntées à l'univers du jazz et transformées en forums de discussion rassemblant divers interlocuteurs - ouvertes depuis 2007 aux entreprises et aux acteurs publics. Enfin, toujours à titre d'exemple, la ville de Besançon a adopté un outil IBM pour la gestion de son patrimoine.
Court et synthétique, le document de travail d'IBM n'est pas très innovant, beaucoup de ces recettes ont déjà été utilisées dans le secteur privé. Il souligne simplement le retard de l'État dans bon nombre de domaines. À l'heure de la révolution des services, les investissements publics se font toujours dans des conditions ubuesques (35 pages par exemple pour un appel d'offres sur des serveurs qui seront presque obsolètes au moment de leur livraison).
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