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(21/12/2006 16:03:18)

Hummingbird France : le tribunal se prononcera sur le PSE le 4 janvier

La section CFDT de Hummingbird France assignait ce matin en référé la direction de l'entreprise ainsi que son comité d'entreprise (CE), afin d'obtenir l'annulation du plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) en cours au sein de la filiale française de l'éditeur, suite à son rachat par OpenText. La délégation syndicale s'appuyait sur un constat de carence dressé par l'Inspection du Travail pour demander au tribunal d'obliger Hummingbird France à revoir entièrement sa copie. Pour la CFDT, l'avocate a dénoncé l'insuffisance du PSE notamment sur l'aspect du reclassement, évoquant les « quatre offres de reclassement, toutes à l'étranger » (« neuf postes », corrigea plus tard l'avocate de la direction). Elle a aussi souligné que dans la mesure où OpenText et Hummingbird avaient fusionné (le nom OpenText étant utilisé à l'accueil ainsi que pour les emails), des reclassements devraient pouvoir avoir lieu au sein d'OpenText. L'avocate de la direction a estimé que cet argument ne tenait pas, les sociétés restant des entités juridiquement séparées : « OpenText France est une société distincte, qui a elle-même des difficultés économiques ». L'autre grand pan de la plaidoirie de l'avocate de la section CFDT consistait à dénoncer les critères de suppression de postes. « La société a fait la liste des salariés par service, a-t-elle indiqué, et mis en face des postes à supprimer, [...] or on retrouve des emplois qui ont la même appellation, tels que managers ou ingénieurs d'affaires. » Conséquence : « les personnes sont identifiables ». Or dans un PSE on commence par supprimer des postes, et on regarde ensuite qui, selon les critères retenus, est licencié. « Pour une réelle application des critères, il aurait fallu prendre l'ensemble des managers, l'ensemble des ingénieurs d'affaires, etc. », a poursuivi l'avocate. Plus tard, l'avocate de la direction est revenue sur ce qu'elle a qualifié de « reproche totalement infondé ». « Si c'est indiqué dans le PSE, a-t-elle affirmé, c'est pour la clarté des débats, mais les critères seront bien évidemment appliqués à l'ensemble des catégories des différents services, cela va de soi ! » Charge au président du tribunal d'apprécier la pertinence de l'argument. Premières lettres de licenciement juste après Noël Au grand dam du président, qui pressait les avocats de s'en tenir aux seuls éléments du PSE, les plaidoiries dérivaient souvent sur des attaques personnelles et des procès d'intention de part et d'autre. Dernière à parler, l'avocate du CE a ainsi dénoncé « un véritable réquisitoire contre le CE ». Plus théâtrale que ses consoeurs, elle a expliqué : « nous subodorions que cet intérêt soudain [du délégué CFDT pour le syndicalisme] cachait quelque chose. Et hier au soir, nous apprenons que [quelques personnes] du service commercial, qui sont les plus gros salaires, font cela afin de pouvoir créer une structure qui distribuerait un des produits d'Hummingbird. » Comprendre Genio, un ETL (outil d'extraction et de chargement de données) plutôt en perte de vitesse, d'ailleurs, et qui n'entre pas du tout dans la stratégie produits d'OpenText. La seule manifestation de la salle s'est produite lorsque l'avocate du CE et celle de la CFDT ont tenté de prendre avantage des rangs remplis derrière leurs clients. Le public (plus de quarante personnes) a bruyamment rappelé que ce n'était pas aussi simple. Toutefois, à voir se former les clans à la sortie du tribunal, on pouvait constater que celui autour du délégué CFDT était le plus réduit. Le tribunal donnera sa décision le 4 janvier. Sachant que la procédure n'est pas suspensive, et que les premières lettres de licenciement devraient partir le 27 décembre. Si la procédure devait repartir à zéro, les gens concernés devraient alors être réintégrés. Mise à jour du 28/12/06 : le nom du délégué CFDT a été supprimé à sa demande, dans la mesure où il considérait que les propos tenus par l'avocate de la partie adverse pouvaient être considérés comme diffamatoires. (...)

(15/12/2006 11:53:57)

Externalisation : l'Inde concurrencée sur son terrain de prédilection

L'Indien Satyam Computer Services, un spécialiste de l'externalisation IT, a choisi d'ouvrir un centre de développement en Malaisie. Une initiative qui illustre une tendance : le Sous-Continent n'est plus l'unique gisement mondial de l'outsourcing et l'on assiste à une diversification galopante des zones géographiques accueillant cette activité. Des années durant, l'Inde s'est fait le réceptacle d'environ 80% des dépenses américaines en externalisation. Ce taux a largement décru récemment et s'aligne à moins de 60% des 26 Md$ dépensés chaque année par les Etats-Unis dans l'exportation de services IT. Ce recul s'explique par la montée en puissance d'autres pays : les Philippines représentent ainsi 9% des dépenses offshore américaines ; le Canada et le Brésil totalisent environ 8% ; l'Europe centrale et orientale s'en arroge 7% ; le Mexique 4% et la Chine 3%. Les prochaines années devraient donner lieu à "un nivellement de la répartition entre les pays", estime Frances Karamouzis, analyste au Gartner, qui base cette tendance sur d'autres facteurs que la simple recherche du moindre coût. Et l'analyste de citer, notamment, le besoin d'expertise IT spécifique à tel ou tel domaine d'activité ou la nécessité d'une continuité de service dans plusieurs fuseaux horaires. De fait "l'Inde n'est pas en position pour dire "nous pouvons tout faire"". Pour répondre à cette propension à l'éparpillement géographique des spécialistes de l'externalisation, les acteurs indiens entendent s'implanter sur d'autres terres que le seul Sous-Continent. Reprenons ainsi l'exemple de Satyam Services : son arrivée en Malaisie va ainsi lui donner accès à un marché du travail qui comprend de nombreux ingénieurs multi-qualifiés et parlant plusieurs langues. Selon Virender Aggarwal, le vice-président du groupe, ce départ s'explique par le fait "qu'il est temps d'adopter un nouveau modèle, plus global, s'appuyant sur de multiples implantations". En septembre, le numéro un indien de l'externalisation, Infosys, a indiqué qu'il allait doubler ses effectifs en République Tchèque, portant le total à 350, afin de mieux satisfaire la demande européenne. Cette semaine, c'était au tour de Tata Consultancy Services, un autre acteur majeur du Sous-Continent, de s'internationaliser en ouvrant un site en Uruguay. Le groupe compte désormais 3500 salariés en Amérique du Sud, pour un total de 78000 dans le monde. (...)

(11/12/2006 12:36:18)

Infosys : premier Indien à intégrer le Nasdaq 100

Lundi prochain, 18 décembre, à l'ouverture du Nasdaq Stock Market, le spécialiste indien de l'externalisation Infosys deviendra le premier acteur IT du sous-continent à intégrer le prestigieux top 100 américain. Le Nasdaq-100 est composé des cent plus importants titre - en termes de capitalisation boursière - cotés à l'indice technologique. L'intégration d'Infosys s'effectue à l'occasion de la révision annuelle de l'index du Nasdaq Stock Market. Infosys, le numéro un indien de l'externalisation, a été coté pour la première fois au Nasdaq en 1999. Sept ans plus tard, le groupe intègre donc le saint des saints en accédant au Top 100, rejoignant ainsi les Google, Dell et autres Microsoft. Pour l'anecdote, il a fallu 23 ans à Infosys pour hisser son revenu annuel à un milliard de dollars, un cap franchi en 2004. Pour doubler cette somme, seuls 23 mois ont ensuite été nécessaires. Selon Infosys, il s'agit d'une étape importante dans son histoire. Depuis des années, l'entreprise tâche de se départir de l'image d'un fournisseur de service indien pour se poser en concurrent direct de groupes à portée internationale comme Accenture ou EDS. (...)

(07/12/2006 17:43:18)

Truffle 100 : Microsoft plus fort que tous les Européens réunis

Prenez les cent premiers éditeurs européens - en y incluant les Suisses et les Norvégiens - et cumulez leurs chiffres d'affaires. Comparez le résultat obtenu avec les revenus annuels de Microsoft. Constatez que le géant de Redmond dépasse les cent plus grands spécialistes du Vieux Continent réunis. Cette observation peut être réalisée à la lecture du récent palmarès Truffle 100, établi par Truffle Venture en collaboration avec le Syntec à partir des données recueillies par les instituts IDC et CXP. Ce classement était jusqu'alors réservé aux seuls acteurs français du logiciel. Il étend désormais ses frontières à celles de l'Europe et est présenté en grande pompe au Bruxelles IP Summit les 7 et 8 décembre. Les cent éditeurs apparaissant au palmarès Truffle sont classés en fonction de leur chiffre d'affaires 2005 réalisé dans l'activité logicielle. Leurs revenus cumulés atteignent 20,7 MdE soit moins que le premier éditeur mondial - Microsoft - mais plus qu'Oracle et CA. Notons que les 23 premiers acteurs réalisent 80% de l'ensemble des revenus européens. Au zénith du Truffle rayonne l'Allemand SAP et ses 8,5 MdE de revenus 2005 ; très loin derrière arrive son premier poursuivant, le Britannique Sage, dont le chiffre d'affaires atteint 1,1 MdE. "Si l'on observe non plus les 100 premiers éditeurs mais le Top 99 - en excluant SAP donc - , la différence avec les Etats-Unis est encore plus flagrante", note Laurent Calot, le PDG de CXP. La France derrière l'Allemagne et le Royaume-Uni Si le Truffle permet de mettre en perspective le poids des acteurs européens par rapport à l'ensemble des éditeurs mondiaux, il offre également le loisir de mesurer l'importance des Français parmi leurs homologues du Vieux Continent. Ainsi, le premier représentant de l'Hexagone - Dassault Systèmes - arrive en troisième position avec un CA de 934 ME. Les entreprises françaises sont 23 à figurer dans le top 100 européen des éditeurs et ne représentent qu'un peu plus de 14% de l'ensemble des revenus européens du logiciel. Derrière Dassault systèmes, on retrouve Business Objects, en 4e position, puis, plus loin dans le classement arrivent Cegid, GL Trade, Sopra, GFI Informatique, etc. L'ensemble du revenu de ces éditeurs représente une part nettement moindre que celle des groupes allemands, emmenés avec force allure par le géant SAP. Les acteurs d'outre-Rhin s'arrogent en effet 46,9% du chiffre d'affaires européen global avec deux fois moins de représentants dans le Truffle que n'en compte la France. Quant aux britanniques, avec Sage en deuxième position et 22 autres éditeurs classés - soit autant que de Français - ils enregistrent 20,6% des revenus européens du software. Les mêmes problèmes au niveau européen qu'en France Les conclusions qu'on pouvait tirer du Truffle 100 lorsque celui-ci ne s'intéressait qu'au marché français du logiciel se retrouvent dans l'analyse au niveau européen. Ainsi, "on constate une atomisation importante des éditeurs qui ont du mal à se concentrer et à atteindre une taille critique", explique Laurent Calot au Mondeinformatique.fr. Cette constatation trouve son explication dans la tendance des éditeurs européens "à trop regarder leur marché domestique. Les vraies success stories du Vieux Continent - SAP, Sage, Dassault Systèmes, etc. - concernent les structures qui ont réussi à réaliser une part importante de leur chiffre d'affaires en Amérique du Nord". Autre facteur permettant de comprendre le relatif retard des Européens sur les éditeurs américains : "l'accès difficile aux capitaux et aux fonds propres. Si les éditeurs du Truffle affichent des taux de croissance élevés - +15% de moyenne entre 2004 et 2005 pour les chiffres d'affaires -, il leur est parfois malaisé de réaliser de la croissance externe", renchérit le PDG de CXT. Dépasser le plafond de verre Pour autant, il ne faudrait pas seulement souligner les aspects négatifs. "Le nombre élevé de structures traduit la forte innovation prégnante en Europe", se réjouit Laurent Calot. Non seulement les éditeurs de Paris, de Londres ou de Berlin réalisent des taux de croissance élevés, mais ils sont également d'importants employeurs. En 2005, ils regroupaient ainsi 148 000 salariés qualifiés, sont 80% d'entre eux été employés par les 26 premiers éditeurs. "L'idée du Truffle, au-delà d'un simple classement, est de faire prendre conscience des enjeux du secteur aux pouvoirs publics. Cela pourrait passer notamment par l'adoption en Europe d'un modèle inspiré du Small Business Act américain *. Ce genre de mesure ne fera pas en sorte qu'on n'aura que des champions demain, mais aidera au moins certains acteurs à dépasser le plafond de verre". * Le Small Business Act est une disposition du droit américain adoptée en 1953 tendant à orienter en priorité l'action des pouvoirs publics vers les PME, notamment en réservant une part minimale des marchés publics aux structures de taille modeste. (...)

(06/12/2006 18:13:21)

IBM renforce ses outils d'audit en sécurité et en conformité avec Consul Risk Management

IBM s'apprête à racheter Consul Risk Management, un éditeur d'outils de suivi des accès non autorisés au système d'information de l'entreprise. IBM entend utiliser les logiciels de Consul Risk Management pour renforcer l'offre de sa gamme Tivoli en matière d'audit en sécurité et en conformité. Conseil Risk Management propose deux suites logicielles : InSight, qui concentre sa surveillance des accès des utilisateurs, et zSecure, qui s'attache à l'administration des mainframes dans une perspective de sécurité et de gestion de la conformité. Joe Anthony, directeur du programme Tivoli Integrated Identity Management chez IBM, estime que les outils de Consul vont venir compléter l'offre existante de Tivoli en matière de sécurité ainsi que la technologie acquise récemment avec ISS. Consul Risk Management, qui a fêté ses 20 ans en septembre dernier, compte environ 350 clients à travers le monde. (...)

(06/12/2006 18:10:30)

Compiere recrute un médiateur pour rassurer la communauté

Compiere, l'éditeur de progiciels Open Source, tient à resserrer les liens qui l'unissent à sa communauté. En témoigne le recrutement de Dawn Foster au poste de directrice des programmes communauté et partenaires. L'idée, selon Compiere, est de faciliter le développement du réseau communautaire et de l'encourager à apporter ses contributions aux projets Compiere. La nouvelle recrue aura également pour mission de gérer le réseau de partenaires, composé d'une centaine de membres (entreprises, intégrateurs, revendeurs, etc.) dont beaucoup participent par ailleurs aux travaux de la communauté.

Le but de Compiere est de profiter de cette embauche pour recoller les morceaux avec une partie de la communauté qui fait, depuis quelques mois, preuve de défiance. Emmenés par quelques membres influents, plusieurs dizaines de participants ont lancé il y a quelques semaines un fork, Adempiere. Leur mouvement de fronde s'appuyait sur le constat que Compiere négligeait les travaux de la communauté en ne prenant, par exemple, guère en compte les améliorations et autres correctifs apportés par les contributeurs. Soucieuse de se montrer rassurante, la direction de Compiere s'était alors empressée d'indiquer qu'elle allait recruter un médiateur pour se rapprocher de sa base. C'est désormais chose faite avec l'embauche de Dawn Foster. Reste maintenant à attendre les premières réactions de la communauté.

(...)

(06/12/2006 10:40:56)

Les spécialistes indiens de l'externalisation veulent s'internationaliser

Non contents de leur immense succès et d'une croissance moyenne de leur secteur d'activité proche de 30 %, les spécialistes indiens de l'externalisation Infosys et Wipro fourbissent leurs armes pour internationaliser. Wipro, le numéro trois dans le sous-continent, entend ainsi accroître la part de ses revenus réalisés en Europe. "Nous sommes forts dans les pays scandinaves et au Benelux et nous bâtissons des activités en Allemagne et en France. Cela ne signifie pas que les revenus que nous réalisons aux Etats-Unis vont décroître. Mais puisque notre niveau de pénétration en Europe est plus faible, les revenus vont progresser dans les prochaines années", estime ainsi Azim Premji, le président du groupe. De fait, après avoir signé trois acquisitions dans le Vieux continent cette année, Wipro veut poursuivre sur sa lancée et vise désormais des opérations de croissance externe dont la valeur se situe dans une fourchette de 50 à 100 M$. De son côté, Infosys, le numéro un indien de l'externalisation, veut faire progresser la proportion des salariés venus d'ailleurs que Bangalore, Bombay ou Delhi. Dans un entretien au Financial Times, Mohandas Pai, le directeur des ressources humaines du groupe, indique ainsi qu'Infosys augmenterait de 30 % chaque année les nouvelles recrues non indiennes. (...)

(04/12/2006 12:53:10)

Business Objects rachète Nsite pour renforcer son offre "on-demand"

Business Objects a annoncé l'acquisition de Nsite Software, un fournisseur de services logiciels à la demande basé à Sunnyvale en Californie. L'éditeur franco-américain d'outils de décisionnel prévoit d'utiliser la plate-forme de services de Nsite pour fournir des services hébergés d'analyse de données et de reporting. Ces services viendront enrichir l'offre à la demande de Crystal Reports, lancée en avril et qui compterait près de 7000 clients . Nsite fournit aujourd'hui des applications de gestion de devis, d'appel d'offres et de gestion de canaux de vente à près de 27 000 entreprises. Ces applications sont interfacées avec les services "on-demand" de Salesforce.com et Siebel. La technologie de Nsite fait un usage massif de technologies Web 2.0, et notamment d'Ajax, pour fournir une interface riche sur le poste client. BO entend réutiliser ce savoir-faire pour offrir des services de Business Intelligence à la demande via le web. BO indique également qu'il va continuer à supporter les applications actuelles de Nsite et les enrichir de services de décisonnel. Le prix de l'acquisition de la start-up n'a pas été communiqué par BO. Nsite avait déjà levé près de 12 M$ de fonds et compte une cinquantaine de salariés. BO figurait déjà parmi ses partenaires. (...)

(29/11/2006 17:26:21)

Porté par ses acquisitions, Sage vante aussi sa croissance organique

Résultats exercice fiscal 2006 Chiffre d'affaires : 935,6 M£ (+22%) Bénéfice : 221,2 M£ (+14%) Sage a réalisé un chiffre d'affaires de 935,6 M£ au cours de son exercice fiscal clos le 30 septembre dernier, 22 % de mieux que pour l'exercice précédent, assorti d'un bénéfice net avant impôts de 221,2 M£ en progression de 14 %. Dans un communiqué, le directeur général de Sage, Paul Walker, reconnaît l'impact des acquisitions passées dans cette progression : « ça a été une année importante pour Sage avec un nombre significatif d'acquisitions élargissant autant nos offres de services que de produits à destination des PME». Ses nombreuses acquisition de l'année écoulées - dont Adonix en France ainsi que Verus et Emdeon aux Etats-Unis, notamment -, pour un total de 618 M£ selon Ovum, ont apporté à Sage 87,6 M£ de chiffre d'affaires mais, Paul Walker souligne tout de même une croissance organique estimée à 7 %. Reste à savoir dans quelle mesure Sage parvient à profiter pleinement de ses acquisitions. En effet, le cabinet Ovum relève une performance « décevante » outre Atlantique, avec une croissance limitée à 3 % - ou 6 % selon Sage hors effets de change - et indique souhaiter « voir des preuves de sa capacité à [y] faire progresser plus fortement ses activités. » Le cabinet souligne en outre une performance « passable » en Europe, avec une croissance de 5 % et, en ligne de mire, les marchés français et allemand. Néanmoins, Ovum s'attend à ce que Sage cherche à profiter « d'une croissance plus forte » outre-Rhin avec de nouvelles acquisitions. (...)

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