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(19/01/2007 09:58:49)

Sun ouvre son compilateur Fortress pour obtenir des commentaires

La vague d'ouverture de code source chez Sun vient de toucher Fortress, un langage plus particulièrement destiné au calcul scientifique. Un possible successeur de Fortran, donc, à utiliser pour paralléliser des tâches dans les supercalculateurs modernes, basés sur des processeurs multicoeurs. Fortress fait partie des langages développés dans le cadre du programme initié par le ministère américain de la Défense (Darpa's HPCS Program), aux côtés de X10 d'IBM et de Chapel de Cray. Le compilateur dit préliminaire de Fortress est encore dans sa prime jeunesse, mais sa mise en Open Source vise à attirer l'attention des développeurs. Le langage a été développé en partant de zéro, le retour des programmeurs est donc essentiel. (...)

(18/01/2007 15:39:10)

Zend place à sa tête un ancien vice-président de BMC Software

Zend Technologies, inventeur du langage PHP pour le développement d'applications Web et principal fournisseur d'outils associés, vient de confier sa direction générale à Harold Goldberg. Ce dernier était jusqu'alors vice-président du marketing international chez BMC Software, éditeur d'outils de gestion de l'informatique d'entreprise. Il a précédemment passé dix-huit ans chez Remedy, Siemens Information and Communication Networks et Peregrine Systems. Alors que PHP poursuit sa croissance dans les grandes entreprises, Zend a voulu s'attacher l'expérience d'un CEO (chief executive officer) familier de ces environnements et de leurs modes de fonctionnement. En novembre dernier, lors de la conférence PHP organisée à San José (Californie), Zend avait notamment annoncé un partenariat avec Microsoft et son intention d'optimiser sa plate-forme pour la prochaine version de Windows Server. L'éditeur a également renforcé ses relations avec IBM, Google et MySQL. Zend a été fondée par Andi Gutmans et Zeev Suraski, deux collaborateurs dans le projet Open Source PHP. (...)

(17/01/2007 11:57:29)

HP rassemble ses compétences en gestion de données dans une entité spécifique

La division logicielle de HP continue sa réorganisation avec la création de l'entité Business Information Optimization (BIO), qui se consacrera à la gestion des données. L'entité BIO sera en fait constituée de deux groupes, précise David Gee, vice-président marketing chez HP Software. Le premier se focalisera sur le décisionnel (datawarehouse, applications analytiques...), en reprenant les compétences acquises via le rachat du cabinet de consulting Knightsbridge Solutions - fort de 700 consultants - ainsi que la ligne de produits Neoview (serveurs et solutions de stockage pour les entrepôts de données). Le second se spécialisera sur le stockage de l'information (archivage, administration...). Le groupe BI (décisionnel) a d'ores et déjà un patron : Ben Barnes, l'ancien PDG d'ActivIdentity. Qui a commencé par déclarer que HP n'avait aucunement l'intention de concurrencer les acteurs du décisionnel, mais plutôt de nouer des partenariats plus étroits. Le mois dernier, HP avait créé une entité BTO (Business Technology Optimization), à la suite du rachat de Mercury. (...)

(16/01/2007 16:56:31)

BEA fait converger ses clients français au Cnit

BEA a invité aujourd'hui, mardi 16 janvier au Cnit de Paris La Défense, ses clients et partenaires français à venir partager leur vision de la SOA : approches métiers et exemples concrets d'architectures orientées services ont de fait émaillé la conférence d'ouverture. Malhar Kamdar, vice-président consulting Emea de BEA, a ainsi illustré ses propos avec ses dernières interventions dans de grandes entreprises, soulignant que selon les besoins et les approches, la solution a pu être « top-down », partant d'une volonté stratégique de la direction générale, comme « bottom-up », partant des initiatives des départements informatiques. Malhar a plus particulièrement mis l'accent sur la nécessité de la gouvernance de la SOA, « afin d'éviter de recréer un environnement de nature chaotique ». Bernard Dubs et Christophe Toulemonde, du cabinet BIT Group, ont de leur côté détaillé leur vision de l'évolution des systèmes d'information, à l'aide du classique schéma montrant le passage d'une architecture de silos à une architecture matricielle, puis à une architecture en réseau (des composants autonomes, reliés par un couplage lâche), dite ici « à géométrie variable », où il s'agit de « reconfigurer les briques du puzzle ». « Un projet de long terme dont il faut démontrer les bénéfices à court terme » Plus original, mais au risque d'ajouter encore de la confusion, Christophe Toulemonde a expliqué qu'il opérait un distinguo entre SOA et SOA, c'est-à-dire entre l'architecture orientée services et l'approche orientée services. La première reste du domaine des informaticiens, tandis que la seconde vise à impliquer les directions métier des entreprises, voire à réorganiser l'entreprise. « Il faut bien comprendre que c'est un projet stratégique d'entreprise, de long terme », a-t-il rappelé. Le problème consistant à « démontrer les bénéfices à court terme ». Pour cela, il faut choisir des bons projets candidats, « qui ont de vrais besoins métier ». L'ex-analyste du MetaGroup n'a pas donné de projet type, mais a prévenu : « ne cherchez pas à refaire la paie en SOA, cela n'aurait aucun sens ! » On peut mentionner encore quelques conseils de clients invités à témoigner. Brian Nolan, CIO de Completel, a ainsi invité les gens à privilégier le côté générique des applications, indispensable pour pouvoir réutiliser ses développements. Pour cela, il faut impliquer les autres équipes de l'entreprise, pas seulement informatiques, afin de bien définir les besoins, a-t-il indiqué. De son côté, Paul Cohen-Scali a mentionné le projet chez Bouygues Telecom, dont il est directeur du pôle clients et Internet. Chez l'opérateur, le projet est venu de l'informatique, il s'agissait de piloter de façon plus simple la gestion de la relation client. Paul Cohen-Scali a souligné les progrès réalisés dans le domaine des standards, l'outillage et « la facilité de mise en oeuvre des services Web ». Tout en reconnaissant que lorsque ces derniers ne peuvent tenir la charge, Bouygues Telecom recourt à d'autres solutions, de type Tuxedo. Le bon vieux moniteur transactionnel de BEA. (...)

(15/01/2007 12:43:22)

IBM ouvre ses premiers centres d'expertise SOA

Les clients ont exprimé leur besoin d'apprentissage et de formation en matière d'architectures orientées services (SOA), et IBM les a entendus, dit ce dernier : c'est en réponse à cette demande que la firme a prévu d'ouvrir 8 centres dans le monde, dits « SOA Leadership Center ». Le premier doit ouvrir aujourd'hui à Dubai. Jason Weisser, vice-président et responsable technique pour l'offre SOA d'IBM, explique que le rôle de ces centres sera de mettre à la disposition des clients des équipes prêtes à monter des prototypes personnalisés, afin de démontrer l'efficacité du modèle d'organisation informatique prôné par la SOA. Les centres devront également travailler avec les établissements universitaires locaux afin de les aider à monter des cours sur le développement de type SOA. L'espoir d'IBM est de faire monter le niveau de compétence autour de ces centres afin que les entreprises aient à disposition des experts SOA locaux. Le centre de Dubai est ouvert en collaboration avec le gouvernement de Dubai, les Emirats Arabes Unis et l'Arabie Saoudite. L'inauguration officielle aura lieu en mars. Le centre devrait employer 26 personnes, la moitié venant d'IBM, l'autre moitié de ses partenaires. Un centre devrait suivre en France, à La Gaude, et le gouvernement japonais a pris contact avec IBM pour en ouvrir un au Japon (en partenariat avec Nissan, Toyota et Honda) ce printemps. Les suivants ouvriront ensuite au Brésil, en Australie, en Chine (un à Pékin et un autre à Shanghai) et enfin en Europe de l'Est. (...)

(11/01/2007 17:40:45)

Les administrateurs Oracle brimés par des capacités de stockage à la traîne

Si les applications ont des problèmes de performances, c'est parce que les bases de données manquent de ressources de stockage, dénoncent les administrateurs Oracle, dans la dernière étude de l'IOUG. Groupe d'utilisateurs indépendant d'Oracle, l'IOUG (Independent Oracle Users Group, qui compte plus de 20 000 membres dans le monde) a mené l'enquête parmi ses membres en septembre dernier, avec le soutien de Symantec (pour le sponsoring) et d'Unisphere Research (pour la logistique), sur les liens entre les responsables des bases de données (DBA) et les responsables du stockage. Ont répondu à cette enquête 366 personnes, principalement des administrateurs systèmes ou bases de données. Tous ou presque (92%) anticipent des besoins de stockage en hausse en 2007. Côté données structurées, 20% pensent même que ces besoins dépasseront de 50% leurs ressources actuelles. Côté stockage de données non structurées (emails, vidéos...), les besoins sont similaires : 17% anticipent une hausse supérieure ou égale à 50%. Sachant que pour ce type de données, 19% des répondants s'avouent incapables d'anticiper la hausse (contre 3% pour les données structurées). Les raisons de l'augmentation des besoins sont assez variées (davantage de transactions, connexion de davantage de périphériques individuels, besoin de conservation de données à des fins de conformité aux réglementations...). Et souvent mal maîtrisées : 16% disent ne pas être sûrs des raisons de cette augmentation. Un impact sur les performances, la disponibilité et les délais Seule certitude, les besoins de stockage vont augmenter. Déjà, 31% des répondants déclarent gérer des bases supérieures au téraoctet, alors qu'ils n'étaient que 13% au début de l'année. Et 57% indiquent que la croissance de leur base a dépassé les ressources disponibles (6% souvent, 51% occasionnellement). 60% accusent ces problèmes de capacité d'avoir impacté négativement les performances de la base de données (10% de façon significative, 50% d'une manière ou d'une autre), 46% parlent même de problèmes de disponibilité (8% de façon significative), et 43% disent que, au cours des deux années précédentes, cela a pu reculer dans le temps le déploiement des nouvelles applications (7% de façon significative). Le problème semble avoir deux origines, note l'étude. Il y a d'une part un aspect technique. Notamment un manque d'équipements de supervision permettant d'agir de façon proactive sur les ressources (à noter que Symantec est justement le nouveau propriétaire de Veritas). Ari Kaplan, président de l'IOUG, souligne aussi la nécessaire adaptation des outils de sauvegarde : « plus vous ajoutez des capacités de stockage, plus la sauvegarde prend du temps, vous ne pouvez pas vous contenter de moyens traditionnels, il faut aller vers de nouvelles méthodes, avec lesquelles les DBA ne sont peut-être pas familiarisés. » D'autre part, il s'agirait d'un problème d'organisation et de management. Les responsables de bases de données interviewés indiquent que le dialogue avec les responsables des systèmes de stockage est essentiel. L'étude révèle que 11% des répondants jouent un rôle direct dans l'acquisition des systèmes de stockage, tandis qu'un gros tiers dispose d'un rôle consultatif. Dans le premier cas, les retards dans le déploiement des nouveaux projets est un peu moins fréquent (43% des cas) que dans le second cas (51% des cas). Le dialogue est donc bon en apparence, mais cela cache d'importantes disparités, commente Ari Kaplan. « Dans les entreprises les plus grandes, dit-il, celles qui ont donc les besoins les plus importants, les DBA émettent des recommandations mais ne sont pas directement impliqués dans la prise de décision. » La solution pour eux, « en termes de carrière, mais aussi de bénéfices pour l'entreprise » est donc de « passer d'un rôle de spécialiste de l'optimisation à celle d'un architecte en infrastructure ». Ces nouveaux DBA permettront peut-être de résoudre une troisième problématique résumée par Ari Kaplan : « les besoins de stockage croissent plus vite que les revenus des entreprises ».

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