Flux RSS

Développement

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1816 documents trouvés, affichage des résultats 1461 à 1470.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(02/03/2006 17:48:25)

Microsoft modifie IE pour contourner le brevet d'Eolas

Microsoft, comme annoncé en décembre dernier, rend finalement disponible une mise à jour pour IE 6 (Win XP SP2 et Win Server 2003 SP1), visant notamment à contourner le brevet d'Eolas. Pour mémoire, Eolas avait porté plainte contre Microsoft pour la violation d'un brevet portant sur les mécanismes (les contrôles ActiveX) d'intégration de plug-ins interactifs dans IE. Côté utilisateur, cette mise à jour empêchera le déclenchement automatique des contenus multimedia chargés via les balises HTML "Embed", "Object" et "Applet". Soit issus des technologies telles que Quicktime, Real Player et Windows Media Player. Mais également l'incontournable PDF, la machine virtuelle java (Java Virtual Machine) et le format SWF (Flash), parfois utilisés comme moteur ou interface d'applications d'entreprise. L'utilisateur devra désormais les activer « à la main », par un clic supplémentaire. Microsoft n'indique toutefois pas si l'activation reste permanente, stockée dans les préférences du navigateur. Ou si l'utilisateur devra s'acquitter de cette manipulation à chaque chargement de la page. Microsoft indique dans son bulletin que la mise à jour est proposée, pour l'heure, en option, sur Windows Update et le centre de téléchargement Microsoft. Et devrait encore l'être pour les six prochains mois, jusqu'à son intégration complète à IE7 pour Vista et WinXP. D'ici là, les développeurs web peuvent, de leur côté, effectuer les mises à jour de leur code, en suivant les recommandations de Microsoft sur son site MSDN. Internet Explorer est utilisé par 81 % des internautes (source Mediametrie). (...)

(01/03/2006 18:31:16)

Oracle sort enfin sa base gratuite XE

La version gratuite d'Oracle Database 10g, nommée Express Edition (XE), est désormais disponible, avec plus de deux mois de retard. L'éditeur indique avoir délibérément choisi de reporter le lancement d'Oracle Database 10g XE à la fois du mois de février afin de pouvoir intégrer des fonctions de sécurité supplémentaires à son SGBDR. Dans un entretien téléphonique accordé à nos confrères de IDG News Service, l'éditeur indique ainsi avoir voulu s'assurer « que la base de données est extrêmement sûre. » Pour autant, Oracle a maintenu les restrictions prévues à l'automne dernier pour Database 10g XE : 4 Go de stockage, 1 Go de mémoire vive et 1 processeur au maximum par serveur. Le logiciel fonctionne sous Windows (32 bits) et les distributions Linux de Red Hat - y compris Fedora - et de Novell, mais également Mandriva Linux 2006, Debian et Ubuntu. Le SGBDR supporte les environnements de développement Java, .Net et PHP mais intègre le sien : Application Express. Mais, si Database 10g XE est gratuit, il n'est pas question d'en ouvrir le code source. Oracle Database 10g XE est basé sur le code source d'Oracle Database 10g Release 2. En fait, l'éditeur espère bien que les utilisateurs de XE seront tentés de passer à son SGBDR d'entreprise. Avec XE, Oracle se donne en outre les moyens d'attaquer Microsoft, IBM et MySQL sur le terrain des SGBDR gratuit. En effet, chacun propose désormais le sien, une manière de rivaliser avec l'open source : Microsoft, avec SQL Server 2005 Express et IBM, avec DB2 Universal Express-C. Parallèlement à l'annonce d'Oracle, Zend Technologies a annoncé le lancement d'une mise à jour de son moteur d'interprétation Zend Core pour Oracle, une mise à jour certifiée pour XE qui supporte notamment PL/SQL. (...)

(28/02/2006 17:20:01)

Les brevets logiciels pourraient revenir par la petite porte

Selon la fondation pour infrastructure informatique ouverte (FFII), la brevetabilité du logiciel pourrait revenir dans les débats par la petite porte. La FFII s'inquiète notamment de récentes consultations visant à uniformiser le droit européen des brevets. En effet, la commission européenne vient de lancer de nouvelles consultations publiques sur le droit européen des brevets dans le but d'apprendre des industriels et des groupements d'intérêts les évolutions qu'ils souhaitent en la matière. Pieter Hintkens, fondateur et directeur général de l'éditeur belge iMatix, estime que la généralisation à l'Europe entière des règles de brevetabilité du bureau européen des brevets conduirait, de facto, à la brevetabilité du logiciel. A l'opposé, Francisco Mingorance, directeur des relations publiques du BSA, assure que « les consultations [actuelles] sur les brevets ne sont pas une réinvention de la directive sur la brevetabilité des inventions réalisée avec l'appui de l'informatique. » Néanmoins, Francisco Mingorance indique que le questionnaire pose la question de la pertinence d'un brevet communautaire. Les consultations lancées par Bruxelles sont ouvertes jusqu'au 31 mars. Le débat s'ouvre à nouveau alors que, de l'autre côté de l'Atlantique, des voix commencent à s'élever contre des brevets surnuméraires. Ainsi, David Kappos, vice-président d'IBM estime que les conflits liés aux brevets tirent les prix vers le haut pour le client et que, « en définitive, il y a moins de produits sur le marché parce que les entreprises décident de ne plus les produire. » Parallèlement, John Doll, commissaire du bureau américain de la propriété intellectuelle, relève l'impossibilité pour ses services « d'examiner toutes les nouvelles demandes de brevets, tout spécialement dans le domaine des nouvelles technologies ». Et de reconnaître avoir quelques 600 000 demandes de brevets en attente d'examen. (...)

(28/02/2006 17:17:01)

Software AG dévoile sa stratégie SOA

Software AG vient de décider de regrouper plusieurs de ses produits existants au sein d'une plateforme intégrée pour architectures orientées services. CentraSite sert de pivot à cette offre baptisée Crossvision. Celle-ci s'appuie en outre sur Service Orchestrator, le bus de services de Software AG. Crossvision doit être compatible avec les bus de messagerie ainsi que les serveurs d'applications et de portail de nombreux éditeurs tiers. La suite logicielle intègre en outre Application Composer qui permet d'exploiter notamment Ajax et BPEL pour construire de nouvelles applications à partir des services du système d'information. Crossvision intègre enfin les modules Business Process Manager, Information Integrator et Legacy Integrator. La suite est commercialisée à partir de 180 000 $ pour quatre unités de déploiement. Parallèlement, Sonic Software vient de mettre à jour en version 6.0 Actional, son outil d'administration pour architectures orientées services. Cette nouvelle mouture doit notamment permettre aux entreprises de mieux maîtriser les interactions de leurs services dans leur contexte métier de mise en ?uvre. Actional 6.0 sera disponible à partir du 6 mars. (...)

(27/02/2006 17:38:45)

MySQL renforce ses équipes de développement

MySQL vient de faire l'acquisition de Netfrastructure, une petite société américaine de développement d'outils et de logiciels serveur pour applications Web. Cette opération permet surtout à l'éditeur suédois de renforcer ses équipes de développement. En effet, avec le rachat de Netfrastructure, MySQL recrute Jim Starkey, fondateur de Netfrastucture mais avant tout architecte de renom pour les gestionnaires de bases de données. Avant Netfrastructure, Jim Starkey a fondé Interbase et développé le SGBDR éponyme. Interbase, racheté depuis par Borland, revendique l'invention des alertes sur évènements, des systèmes de déclenchement automatique d'actions et le support des Blobs. Avec le rachat de Netfrastructure, MySQL met aussi la main sur Ann Harrison, épouse de Jim Starkey et contributrice au développement d'Interbase. MySQL attend de ces nouvelles recrues une aide pour « réaliser les projets que nous n'avons pas encore eu le temps de concrétiser, et apporter de nombreuses idées nouvelles. » Bien que les intéressés s'en défendent, certains observateurs voient dans ce rapprochement un mouvement de protection de MySQL après le récent rachat d'Innobase par Oracle. En son temps, le rachat d'Interbase avait conduit au développement du projet d'architecture de bases de données Firebird, qui doit arriver en version 2.0 dans le courant du premier semestre et auquel Jim Starkey a contribué. Firebird pourrait permettre à MySQL de s'affranchir du moteur InnoDB passé sous la coupe d'Oracle. (...)

(27/02/2006 17:41:02)

Gestion d'identité : Novell et IBM poussent le projet open source Higgins

IBM et Novell ont finalement décidé d'annoncer leur contribution à Higgins ("Project Higgins" de son nom de code), projet open source de gestion et fédération d'identité hébergé par le consortium Eclipse. Outre une percée de l'open source dans le très critique segment de la gestion d'identité, le projet Higgins porte en lui la réponse de la communauté à InfoCard, prochain système de sécurité mis en place par Microsoft dans son futur Vista. "Higgins Trust Framework devrait, à terme, permettre de développer des outils et services permettant de centraliser les nombreux identifiants et mots de passe et d'en ouvrir, ou non, l'accès à des tiers. A l'image ainsi d'InfoCard. Mais, La démarche diffère de celle de Microsoft, explique IBM. L'objectif principal d'Higgins repose avant tout sur le développement d'un framework et d'une API standardisée. La fondation Eclipse décrit, quant à elle, l'initiative comme un palliatif « au manque d'interfaces communes et d'interopérabilité des systèmes de gestion d'identité en environnements hétérogènes". Et en ce sens, confie Big Blue à nos confères d'IDG News Service, arrivera en complément d'InfoCard, qui reste étroitement lié au monde Windows/Microsoft. "Une application reposant sur Higgins supportera tant Windows que Linux, ainsi que tous types d'OS". Rappelons au passage que Microsoft et IBM ont collaboré au développement de WS-Federation, protocole visant à sécuriser les échanges d'identité via les services web. Et sur lequel repose également InfoCard. (...)

(24/02/2006 17:45:37)

Microsoft lancera un Visual Studio 2005 Team Foundation Server incomplet

Microsoft s'apprête à lancer une version limitée de Visual Studio 2005 Team Foundation Server. A son lancement, ce module de développement collaboratif pour la plateforme de gestion du cycle de vie des applications de Microsoft, Visual Studio 2005 Team System, ne proposera qu'un accès limité à partir d'Internet : Team Foundation Server ne supportera que le système d'authentification maison Integrated Windows Authentification. Microsoft prévoyait initialement de lui adjoindre les authentifications Basic et Digest mais leur support n'a pas pu être implémenté à temps pour la sortie du produit. Microsoft prévoit de corriger cette lacune « dans un futur proche », explique Rob Caron, architecte pour Visual Studio 2005 Team System. D'ici là, pour profiter pleinement des fonctionnalités de Visual Studio 2005 Team Foundation Server depuis l'extérieur du réseau de l'entreprise, il faudra utiliser un réseau privé virtuel. (...)

(24/02/2006 17:41:48)

Sun acquiert un spécialiste de la gestion des correctifs, Aduva

Sun vient de conclure un protocole d'accord en vue du rachat d'Aduva, un spécialiste de la gestion des correctifs. Avec cette opération, Sun entend apporter à ses clients les moyens de mieux gérer leur environnement de centre de calcul : "nos clients placent la gestion des correctifs et des configurations en tête de leurs problèmes", explique Mike Harding, vice-président de Sun. L'outil OnStage d'Aduva simplifie le déploiement de correctifs logiciels sur les ordinateurs sous Linux et Solaris. Sun le proposera à la fois comme application pour les entreprises et comme service hébergé. La transaction, dont les modalités financières n'ont pas été communiquées, doit être finalisée dans le courant du second trimestre. (...)

(22/02/2006 21:02:15)

Les services Web pourraient menacer la sécurité des entreprises

Selon Dean Dierickx, directeur de Forum Systems pour la région Asia-Pacifique, les messages de type texte transmis en clair dans le cadre des services Web peuvent potentiellement passer au travers des dispositifs de sécurité des entreprises avec, à la clé, un risque de propagation de codes malveillants. Interrogé par nos confrères de Computerworld, Dean Dierickx souligne que les pare-feu n'analysent pas XML mais aussi que « les contrôles de sécurité intégrés aux applications exploitant les services Web sont systématiquement désactivés » dans le but de préserver les performances. Selon lui, les dispositifs de sécurité intégrés aux applications utilisant des services Web consomment trop de ressources et « réduisent les performances des application ». Dean Dierickx assure que le développement de services Web est devenu si simple que les problèmes de sécurité commencent à émerger. Et d'en appeler, en particulier, à l'analyse systématique des attachements XML. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >