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Emploi
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(11/12/2006 15:02:26)
La réorganisation des équipes informatiques: priorité numéro un des DSI en 2007
La guerre des talents qui, selon les analystes du Gartner, va guider la compétition entre entreprises, tous métiers confondus, implique, dès 2007, de redéployer les équipes informatiques. La priorité des priorités est de préparer le passage de témoin aux générations montantes, notamment grâce au lancement de projets innovants. Charité bien ordonnée... Les transformations attendues (ou en cours) dans la conduite des affaires, liées à l'usage intensif des technologies (création de valeur et travail en réseaux, etc.) doivent inciter les directions des systèmes d'information à se préparer à cette nouvelle donne, à la fois pour elles-mêmes et pour les services qu'elles doivent assumer envers les divers métiers et fonctions de l'entreprise. Ainsi, dans la liste des résolutions à prendre pour 2007, le Gartner place en tête la préparation du plan de succession au sein de la DSI. Et ce, en trois temps, trois mouvements : -1 : Saisir l'opportunité ouverte par les nombreux départs en retraite qui se profilent pour "couper le bois mort", les activités qui n'ont plus lieu d'être ou de relever de la DSI. -2 : Identifier les pistes d'amélioration des performances de la DSI -3 : Lancer des projets réellement innovants qui mettent en jeu les responsabilités des générations montantes (les 30-40 ans), afin qu'elles puissent, par l'expérience, compléter leur "paquetage" de compétences. Dans le même esprit de repositionnement des informaticiens, cette fois, vis-à-vis de l'entreprise, le Gartner leur conseille de se rendre encore plus visibles sur trois fronts : -1 : aider les DRH à prendre en compte leur rôle stratégique (technologie aidant) -2 . renforcer la présence des informaticiens à l'avant-garde de l'entreprise ("frontline business experience") -3 : ré-établir le sens et la visibilité des dépenses informatiques de l'entreprise Quant aux apprentissages à inscrire au menu de 2007, le Gartner cite : l'impression en 3D, les outils d'analyse des effets des processus d'interaction sociale ("social information", gestion de contenu, gestion de connaissance, etc.), la nouvelle génération de langages de programmation (plus puissants et plus simples à utiliser, accessibles du coup aux utilisateurs les plus avertis), les outils et usages des communautés virtuelles. (...)
(08/12/2006 17:34:50)Recrutement : plus de 4 000 postes à pourvoir au Salon des ingénieurs
Avant la trêve des confiseurs aura lieu la quatorzième édition du Salon des Ingénieurs. Cet incontournable rendez-vous du recrutement ouvrira ses portes les 12 et 13 décembre au Cnit-Paris-La Défense. L'organisation est rodée, puisque ce sont le CNISF (conseil national des ingénieurs et scientifiques de France) et l'Apec (association pour l'emploi des cadres) qui ciblent les ingénieurs et les scientifiques, lors de deux rencontres annuelles (juin et décembre). L'originalité de ces salons est de favoriser la prise de rendez-vous entre ingénieurs et une centaine d'entreprises par inscription préalable. Si la première journée est réservée à ceux qui sont déjà inscrits, les retardataires ne seront pas pénalisés : mercredi 13 décembre à partir de 14h, le salon est ouvert à tous. Les ingénieurs expérimentés sont concernés, de même que les jeunes diplômés, qui pourront se rendre compte sur place quelles entreprises recrutent et pour quels postes (plus de 4 000 selon les organisateurs). L'Apec annonce déjà que des postes pour « des profils très divers seront proposés : ingénieurs qualité, ingénieurs travaux, chefs de projets, directeurs méthodes et sécurité, concepteurs structures, architecte technique J2EE, chef de projet Java... » (...)
(08/12/2006 17:02:22)Digiteo : La recherche en informatique a désormais un nom
Un récent rapport de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) annonce que la recherche et le développement européens sont en retard par rapport à certains pays émergents. Le texte, daté du 4 décembre 2006, indique que les dépenses américaines en matière de R & D devraient se chiffrer à 230 Md$ à la fin de cette année, devant les investissements chinois à 136 Md$, qui progressent de 20 % par rapport à 2005. Toujours au conditionnel, ceux du Japon pourraient être de 130 milliards de dollars mais la question se pose pour l'UE (à 15 dans ce rapport) qui affecterait seulement 230 milliards de dollars à ce secteur, jugé crucial par tous les analystes dans le domaine du développement économique présent et à venir. La nouvelle tombe au moment où la France, qui a pris conscience du fossé qui risquait de se creuser avec le reste de la recherche mondiale, mise sur les 13 RTRA (réseaux thématiques de recherche avancée), descendants des campus de recherche. L'un d'entre eux, Digiteo, est dédié aux sciences et technologies de l'information et de la communication (STIC). L'informatique reconnue comme matière d'excellence Le domaine scientifique et technologique du projet Digiteo est la conception et le développement de systèmes à forte composante logicielle, depuis le système sur puce jusqu'au calcul haute performance et aux grandes infrastructures logicielles, en passant par les systèmes embarqués et les robots. D'ores et déjà, six partenaires sont impliqués dans ce projet : CEA ; CNRS ; Ecole Polytechnique ; Supélec ; Inria et Université de Paris Sud-11. Digiteo a une ambition qui se décline en quatre points : dynamiser le potentiel scientifique en mutualisant les forces scientifiques, et en renforçant la formation avec la recherche, tout en encourageant les idées innovantes ; augmenter la visibilité par l'organisation d'événements scientifiques internationaux et la fédération d'un réseau international ; renforcer l'attractivité du projet vis-à-vis des scientifiques de haut niveau ; amplifier l'impact économique du projet par l'accent mis sur le transfert technologique, la valorisation, la création de jeunes pousses et le travail commun avec les industriels. Il est prévu une enveloppe de 300 millions pour financer l'ensemble des RTRA et les autres projets visant à rapprocher les universités entre elles. Digiteo devrait se mettre en place dès la fin du mois de janvier 2007, cependant aucune information n'est encore donnée quant à l'implication concrète des chercheurs dans ce domaine. Seule certitude : la France veut se donner les moyens d'une recherche digne de ce nom. Et pour la première fois, l'informatique en fait partie. (...)
(08/12/2006 16:58:08)Recrutement : plus de 4 000 postes à pourvoir au Salon des ingénieurs
Avant la trêve des confiseurs aura lieu la quatorzième édition du Salon des Ingénieurs. Cet incontournable rendez-vous du recrutement ouvrira ses portes les 12 et 13 décembre au Cnit-Paris-La Défense. L'organisation est rodée, puisque ce sont le CNISF (conseil national des ingénieurs et scientifiques de France) et l'Apec (association pour l'emploi des cadres) qui ciblent les ingénieurs et les scientifiques, lors de deux rencontres annuelles (juin et décembre). L'originalité de ces salons est de favoriser la prise de rendez-vous entre ingénieurs et une centaine d'entreprises par inscription préalable. Si la première journée est réservée à ceux qui sont déjà inscrits, les retardataires ne seront pas pénalisés : mercredi 13 décembre à partir de 14h, le salon est ouvert à tous. Les ingénieurs expérimentés sont concernés, de même que les jeunes diplômés, qui pourront se rendre compte sur place quelles entreprises recrutent et pour quels postes (plus de 4 000 selon les organisateurs). L'Apec annonce déjà que des postes pour « des profils très divers seront proposés : ingénieurs qualité, ingénieurs travaux, chefs de projets, directeurs méthodes et sécurité, concepteurs structures, architecte technique J2EE, chef de projet Java... » (...)
(07/12/2006 17:50:52)En 25 ans, 1500 docteurs ont fait leurs premières armes en SSII
Le sait-on assez ? Près de mille thèses sont soutenues chaque année en France dans les disciplines relevant des sciences et technologies de l'information. A en croire le bilan d'un quart de siècle de fonctionnement des contrats Cifre (convention industrielle de formation par la recherche), les SSII et les cabinets de conseil absorberaient environ 10% de ce flux. En effet, parmi les 15000 thésards bénéficiaires depuis 1981 de cette modalité d'accueil dans l'entreprise, environ 10% de ces diplômés bac+8, soit environ 1500 docteurs (ou PhD) en puissance, ont pu ainsi financer les trois années de préparation de la thèse en travaillant en SSII. Les cabinets de conseil et les bureaux d'études techniques ont accueilli respectivement près de 4 % et 3 % du flux. Au total, le secteur informatique (éditeurs, SSII et autres entreprises) compte pour 15% de l'ensemble des contrats Cifre. Toutes disciplines confondues, 40% de ces thésards sous contrat poursuivent dans la même entreprise, contre 38% qui se font embaucher ailleurs, 12% qui décrochent un poste dans la recherche publique et 4% qui effectuent un post-doc (à l'étranger). « Le dispositif Cifre fait partie de nos meilleurs outils pour rapprocher entreprises et établissements publics de recherche et pour favoriser l'embauche des docteurs. Sa longévité en témoigne. C'est pourquoi le Pacte pour la Recherche prévoit de faire croître de 10% par an d'ici 2010 les moyens qui y sont consacrés. », a souligné François Goulard, Ministre délégué à l'Enseignement Supérieur et à la Recherche, ce 7 novembre, pour saluer ce 25ème anniversaire. 1200 boursiers Cifre en 2006 En 2006, l'Etat (par l'Agence ANRT) a financé 1200 conventions Cifre, et 1150 en 2005. Après un rapide calcul, ces deux dernières années, ce serait donc une centaine de jeunes docteurs Cifre qui auraient intégré une SSII (les 40% qui restent dans l'entreprise d'accueil). Bien peu, donc, en regard des 40000 embauches prévues pour cette année par ce secteur. Certes, le couplage d'un travail de thèse avec une activité en SSII n'est pas forcément évident à organiser. Mais le secteur peut beaucoup mieux faire. C'est du moins la conviction de Bruno Carrias, délégué général de la Fédération Syntec (un ancien de Sopra). "Alors que nous sommes confrontés à des changements majeurs dans l'orientation de nos activités, qui rendent pertinentes la recherche de personnes au profil plus spéculatif, plus aptes à gérer l'incertitude, la prise de conscience de cette réalité va sûrement s'accélérer". A l'heure de l'internationalisation du marché de l'emploi, des cursus et des diplômes, où la mention de PhD sur un CV se valorise autant qu'un MBA, et sûrement plus qu'un titre d'ingénieur, mais à l'échelle internationale, il semble bien que les jeunes ingénieurs (50% des contrats Cifre sont issus d'écoles d'ingénieurs) et leurs enseignants (les Mines, notamment, n'hésitent plus à recommander à leurs élèves la poursuite des études jusqu'à la thèse) en sont plus conscients que les employeurs. (...)
(07/12/2006 17:45:30)Un regain d'optimisme chez les cadres
"Plus de sens, dans un monde sans repère": le thème du 33e congrès électif du syndicat CFE-CGC (du 6 au 8 novembre) fait écho à l'état d'esprit actuel des cadres plutôt enclins à un regain d'optimisme. Mais il fallait bien cela. Selon le relevé de novembre du baromètre cadres, ils sont 31% à se dire plus confiants quant à l'état global économique et social du pays (contre 24% au plus bas en mars dernier) et 69% à croire en la pérennité de leur emploi (58% en mars). Même remontée du moral concernant la perception de l'équilibre entre vie privée et travail. Si 44% se plaignent d'une charge de travail trop lourde, contre 51% en juin, 73% d'entre eux notent cependant que celle-ci s'est alourdie ces dernières années. La satisfaction à l'égard des rémunérations, tant sur le niveau que sur l'équité par rapport aux collègues en interne ou en externe, remonte après la chute brutale enregistrée cet été (40% seulement de satisfaits en juin, 48% en novembre). Comme les années précédentes à la même période, le sentiment d'être informé sur les résultats de l'entreprise et sur les objectifs individuels progresse (de trois points par rapport à juin, 70% de satisfaits). Il reste que moins de la moitié des cadres se dit optimiste quant aux perspectives d'évolution de leur situation dans l'entreprise. Mais au total, le risque de grève ou de mouvement social semble repoussé (28% d'entre eux en envisagent la probabilité dans les mois à venir, niveau le plus bas atteint par cet indicateur comme en juin 2004). "Cette démobilisation suit logiquement le sentiment général d'amélioration de la situation des cadres", conclut l'analyse d'OpinionWay (pour la CFE-CGC). (...)
(06/12/2006 18:14:23)Enquête sur les besoins en main d'oeuvre en 2007: les cadres en informatique seront-ils davantage recherchés ?
Sur l'ensemble des statistiques qui paraissent régulièrement dans le domaine de l'emploi, l'enquête annuelle sur les BMO est l'une des références essentielles, scrutée de près par les pouvoirs publics et les acteurs sociaux. Initiative de l'Unedic, réalisée avec l'ensemble des institutions de l'assurance chômage sur la France entière, elle est ensuite traitée par le Credoc qui remettra ses premières conclusions à la mi-février 2007, avant un résultat complet qui sera communiqué, comme tous les ans, au début du mois d'avril. Seule nuance cette année : dans une période prè-électorale, les résultats détaillés par bassin d'emploi prendront une dimension particulière et devraient être exploités par les candidats en lice. L'enjeu de cette enquête est la fiabilité, liée au nombre de retours. Le Garp Ile-de-France indique qu'en 2005 « les données de l'emploi salarié concernant les activités informatiques dans les départements franciliens ont été établies à partir de 29 818 établissements et 688 874 salariés au total, mais ne concernent que les activités informatiques (conseils, réalisation de logiciels, traitement de données). Elles excluent les activités de reproduction d'enregistrement informatique, fabrication d'ordinateurs et d'autres équipements informatiques, commerce de gros d'ordinateurs, d'équipements informatiques périphériques et de progiciels et location de machines de bureau et de matériel informatique. » Cette année, après l'envoi le 6 novembre d'un questionnaire aux 300 000 entreprises réparties en Ile-de-France, la coordination régionale de l'assurance chômage (Assedic, Garp et ANPE) est passée à la phase suivante. Elle collecte désormais les premiers retours et attend, pendant quelques jours encore, ceux des retardataires. 21 285 cadres en informatique devaient être recrutés cette année en région parisienne (enquête BMO 2006) En 2005, une extrapolation sur les perspectives d'emploi avait été possible à partir de 25% de réponses. Le principal résultat de l'enquête BMO 2006 indiquait que les « métiers les plus recherchés en Ile-de-France demeuraient inchangés par rapport à 2005 » et comprenaient deux catégories de cadres : commerciaux et informaticiens. En effet, les entreprises situées en Ile-de-France estimaient qu'elles allaient recruter de manière permanente 21 285 ingénieurs et cadres en informatique (hors technico-commerciaux) dont plus de la moitié dans les Hauts-de-Seine. Autre information : elles projetaient également d'embaucher 897 opérateurs de saisie. En 2005, les perspectives d'emploi en Ile-de-France dans le domaine informatique étaient déjà tendues, puisque 48,3% ingénieurs et cadres étaient jugés comme des « cas difficiles à recruter ». A relativiser toutefois, puisque ce secteur arrivait en 10e position, loin derrière celui des infirmiers et des sages femmes (plus de 80%). On constate cependant que les entreprises de services informatiques font de plus en plus appel aux différents réseaux de recrutement et annoncent avoir des difficultés à pourvoir leurs postes de cadres informatiques. Si cette information se confirme dans les faits et non plus dans les intentions et suit la tendance de 2006, le chiffre des « cas difficiles à recruter » dans le secteur des cadres informatiques devrait dépasser allégrement les 50% et peut-être même remonter dans ce top 5 ! (...)
(06/12/2006 18:12:36)Plus d'embauches qu'en novembre 2005 mais moins qu'en octobre 2006
Le baromètre Advancers executive (cabinet de conseil en recrutement, filiale de Vedior France) est paru. Ce panorama mensuel du recrutement des cadres des cadres indique, pour novembre 2006, une hausse de 60% dans le secteur de l'informatique par rapport à l'année dernière. La croissance est néanmoins tempérée par une baisse de 8% des embauches par rapport à octobre 2006. Cette tendance contrarierait-elle les pronostics de recrutement sur l'année ? Il semblerait que non, la baisse semblant être liée à la saisonnalité, puisque tous les secteurs d'activités ont été touchés, sauf ceux de la finance (+1%) et du marketing (+3%). A l'inverse, les emplois saisonniers repartent. D'ailleurs, plutôt que de baisse de l'emploi, les analystes d'Advancers executive évoquent plutôt un « début de ralentissement » et indiquent que « ceux qui en pâtissent le plus sont ceux qui ont eu les plus grosses progressions ces derniers mois », en tête, les commerciaux et les informaticiens. A noter encore que cette baisse conjoncturelle est confirmée par les annonces qui fleurissent sur tous les sites de recrutement et la relativisent : les SSII cherchent toujours de nouveaux collaborateurs pour 2007. (...)
(05/12/2006 17:40:02)Thierry Breton plaide pour un pôle de compétitivité "Logiciels Libres"
L'Open Source se faufile partout. La France a sa filière "Logiciels Libres", qui compte près de 400 sociétés, des petites entreprises pour la plupart, prestataires de services et éditeurs, dont 250 en Ile-de-France. De là à revendiquer une reconnaissance formelle pour figurer au nombre des pôles de compétitivité labellisés (et soutenus financièrement) par l'Etat. C'est en tout cas le pas que souhaite franchir une poignée de chefs de file reconnus, avec -c'est officiel- le soutien du ministre Thierry Breton, qui en a fait un point d'accroche de sa déclaration lors de la présentation, ce lundi 4 décembre, du rapport sur "l'économie de l'immatériel" en tant que vecteur de croissance. L'argumentation des promoteurs de ce pôle encore virtuel est rodée. "La France a donné des contributions majeures à la recherche et au développement en informatique, à l'avant-garde du mouvement du logiciel libre", souligne Roberto di Cosmo, professeur d'informatique à Paris-7. Il ne manque pas non plus de patrons de jeunes pousses pour soutenir, comme le fait Stéfane Fermigier, PDG de Nuxeo (logiciels de gestion de contenu), que 30 à 40% de leur chiffre d'affaires vont à la R&D. Quant à Alexandre Zapolsky, président de l'ASS2L (association de sociétés de services dédiés aux logiciels libres) et PDG de Linagora, "la phase d'industrialisation et les perspectives de croissance" face auxquelles se trouvent la filière du logiciel libre, forte déjà, selon lui, de 6000 emplois en Ile-de-France, suffisent à justifier cette candidature au statut de pôle de compétitivité. Enseignement, recherche appliquée, débouchés porteurs... le tryptique habituel qui a justifié la constitution des 66 pôles de compétitivité déjà labellisés est bel et bien représenté dans cette candidature. Et Alexandre Zapolsky, principal initiateur de ce projet, l'assure: les universitaires d'Ile-de-France concernés, de même que certains représentants de l'Inria déjà approchés, apporteraient volontiers leur soutien au dossier. Un regroupement de PME Il reste que l'Ile-de-France a déjà son lot de "pôles", de "réseaux thématiques" et autres structures de soutien à la R&D, dont certaines d'envergure nationale, notamment en informatique et télécoms (Systematic, Cap Digital, Digiteo, RNTL, RIAM, RNRT), avec une ambition de rayonnement hors frontière. Comment ne pas voir, dans cette superposition de structures, toutes ayant vocation de support au développement économique, et surtout de développement territorial rattaché à la notion de pôle, un risque de dispersion, de "saupoudrage", des moyens et des énergies? Les industriels prenant part aux pôles existants en savent quelque chose. Pour autant, le pôle Logiciels Libres, tout comme Cap Digital dans le domaine du contenu, se positionnerait, comme le décrit Alexandre Zapolsky, comme un regroupement de PME à forte perspective de croissance. Avec le soutien du monde de la recherche? Et celui des pouvoirs publics, au delà du ministre Thierry Breton? Cela reste à voir... avec la prochaine fournée de pôles labellisés qui devrait être publiée dés janvier prochain. (...)
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