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(27/11/2006 17:49:34)

L'alliance télécom, transport et logistique à l'origine de nouveaux débouchés

Hub Telecom, prestataire historique (et filiale) des Aéroports de Paris, met le cap pour 2007 sur l'extension des services de mobilité auprès d'une clientèle diversifiée de "sites complexes" qui ont contribué à la progression de 6% du chiffre d'affaires (71,3 millions d'euros en 2005), moyennant une progression équivalente des effectifs (250 salariés aujourd'hui). Dans la lignée des activités d'opérateur de services haut débit nomades (hot spots) sur les aéroports (en France et à l'étranger) mais aussi les ports, les parcs d'exposition et les centres de congrès, la filiale AdP a décroché auprès de l'Arcep 12 licences régionales d'opérateur WiMax (sous le consortium Bolloré Télécom). S'y ajoutent des prestations issues de la convergence, comme le service "voix mobile sécurisée" intitulée Hub Mobile (en partenariat avec Orange) destinée à la communauté aéroportuaire (1350 entreprises sur les aéroports de Paris) et aux marchés d'intérêts nationaux (MIN). Hub Telecom se positionne également sur les chantiers RFID (traçabilité de biens en logistique, des badges employés, etc.) qui donnent lieu à des offres packagées sur divers marchés cibles. (...)

(27/11/2006 16:37:17)

Au Nord, le e-commerce fait fleurir les cursus spécialisés

Avec le chambardement causé par le marketing numérique et la vente en ligne, la grande distribution du Nord (Auchan) et les champions de la VPC (vente par correspondance) revoient leur stratégie d'embauche et de partenariat avec l'enseignement supérieur. En témoignent les lancements de deux nouveaux cursus de troisième cycle (délocalisés) à l'INT d'Evry et à Reims Management School (avec l'éditeur SAS). La demande en compétences de gestionnaire de projets maîtrisant les technologies et systèmes d'information du commerce en ligne s'annonce en forte progression, si l'on en croit les intentions des entreprises concernées dont 80% prévoient des créations d'emploi sur ce créneau (selon la fédération des entreprises de vente à distance, enquête emploi 2006). Saisissant cette perspective de débouchés, l'IEMD (Institut de marketing direct) et l'IAE de Lille s'associent avec l'INT Management (couplé avec l'institut national des télécommunications) pour ouvrir un cursus spécialisé d'une année (début des enseignements en février 207), ouvert aux bac+5 ou bac+4 avec trois ans d'expérience professionnelle. A Reims, une relance est donnée à la chaire Auchan créée en 2002 au sein de Reims Management School avec l'entrée en jeu de l'éditeur SAS, spécialiste de l'informatique décisionnelle, et l'inauguration le 7 décembre prochain du pôle de recherche baptisé International Retailing Center. Au travers de cette collaboration entre enseignants-chercheurs et professionnels qui contribue à la formation de futurs cadres, les travaux des étudiants en fin de cursus de master dédié au management de la distribution sont à l'origine d'études qui, selon SAS, "sont susceptibles d'ouvrir de nouvelles voies au développement d'outils appliqués au secteur de la grande distribution". Un tiers des activités de l'agence Sopra A Lille, après les 150 embauches enregistrées en 2006, l'agence locale de Sopra Group, qui compte 600 salariés, anticipe le plan d'embauche pour 2007 à ce même rythme en organisant ce jeudi 30 novembre une soirée "Outside In" de rencontre avec les étudiants en écoles d'ingénieurs ou de gestion et en Miage et master d'informatique (recueil de CV et speed dating à l'appui) dans un bistrot branché de la métropole nordiste. Selon Michel Attagnant, responsable ressources humaines de la division Nord de la SSII, cet objectif de 150 embauches se justifie notamment par les grands projets en cours dans la distribution (un tiers de l'activité de l'agence), dans le secteur bancaire (un tiers) et chez les grands industriels de la région. Les postes ouverts aux futures recrues, "notamment sur des chantiers de déploiement d'ERP et d'assistance à la maîtrise d'ouvrage", précise le responsable RH, laissent envisager une évolution ultérieure vers des "métiers proches du client", à orientation fonctionnelle. (...)

(24/11/2006 16:38:01)

Microsoft France veut vaincre le chômage des informaticiens par la formation

Sur le thème « mieux financer la formation Microsoft », les entreprises étaient invitées ce vendredi par l'éditeur, afin de découvrir les avancées en matière de formations (et de leur financement). L'Unedic et le Fafiec étaient également présents pour convaincre un public dubitatif et parfois perdu dans le dédale des formations, des avantages à explorer un système en pleine refonte, plutôt que de s'en tenir au débauchage des professionnels compétents. La reprise de l'emploi peut présenter un côté pervers, en particulier dans le monde informatique où les technologies peuvent vite devenir obsolètes :les spécialistes s'arrachent provoquant une inflation parfois démesurée des salaires, tandis que d'autres informaticiens sont toujours en recherche d'emploi. Pierre François de la société Vascoo a ouvert le séminaire par les conclusions d'une étude qu'il a menée : « On compte en France 720 000 informaticiens dont 220 000 sont en infrastructure. 40 000 postes ont été pourvus en 2005 dont 10 000 créations nettes. Rappelons qu'il y avait 15 000 demandeurs d'emplois en catégorie 1 en 2000, 48 000 en 2003 et 28 000 aujourd'hui. Si le chiffre de 15 000 semble incompressible, on peut supposer que 13 000 informaticiens au chômage devraient être aujourd'hui en poste ». Seul levier efficace d'embauche : la formation En excluant les pratiques de débauchage, la réponse au chômage dans l'informatique repose donc aujourd'hui sur la formation. Microsoft s'est beaucoup impliqué dans cette démarche, notamment avec Université.Net. L'avancée devrait toutefois également profiter aux formations concurrentes recherchées, comme J2EE. L'idée est de répartir les informaticiens en 3 cercles : dans le premier, les spécialistes d'une technologie, généralement en poste. Dans le second, ceux qui pourraient être formés en 4 à 6 semaines pour être opérationnels. Dans le troisième enfin, des informaticiens qui pourraient suivre une formation de 3 ou 4 mois. « Nous voulons financer des formations qui aboutissent à l'emploi, on ne fonctionne plus sans les entreprises. Avoir des gens compétents au chômage est inadmissible », a martelé Marc Carmignac de l'Unedic, qui est revenu sur le cadre de la convention du 18 janvier 2006 (relative à la convention de reclassement personnalisé, CRP), signée entre les partenaires sociaux. Résultat : les entreprises ouvrent des postes et confient les recrutements à l'ANPE, qui se charge de sélectionner les candidats (qui appartiennent au cercle 2 ou 3). Ils seront formés en un mois ou plus, dans les centres de formations partenaires et pourront être ensuite embauchés par les sociétés qui les recherchent. L'Unedic aide au financement, et le Fafiec guide et conseille des entreprises dans la recherche de financements. Reste une variable de taille : les entreprises en recherche de compétences informatiques précises adhéreront-elles, et dans quelle proportion, aux propositions que viennent de formuler l'Etat, les partenaires sociaux et la branche ? (...)

(23/11/2006 16:34:55)

T-Systems anticipe ses réductions d'effectif avec 500 embauches

T-Systems, SSII filiale de Deutsche Telekom, affiche, en France, son ambition de recruter 500 ingénieurs informaticiens d'ici à l'été 2007. Du consultant en assistance à maîtrise d'ouvrage, en intégration SAP ou en informatique décisionnelle jusqu'au jeune scientifique formé au développement, en passant par le chef de projet connaissant les secteurs de la banque, de l'assurance et des caisses de retraite, la palette des profils recherchés est classique. Ce qui l'est moins, c'est que ce plan d'embauche s'insère dans une redistribution des forces, induite notamment par la fusion T-Systems (1200 personnes en France) et Gedas (600 personnes). Fusion qui sera légalement entérinée au 1er janvier 2007. Sachant que Gedas (née en 1983 de l'externalisation de l'informatique de Volkswagen) reste essentiellement positionnée sur les marchés d'infogérance (ingénierie de services, production). Cette fusion déjà bien amorcée n'est pas sans effet de concentration/réduction: des trois sites en région parisienne, les équipes de Saint-Germain (une centaine de personnes dédiées aux activités d'infogérance) sont amenées à se regrouper sur les sites de La Défense et de Villepinte. De source syndicale, et implicite dans l'annonce du plan d'embauche de la DRH, les 500 embauches devraient aboutir à une augmentation d'effectif de 250 salariés, compte tenu des démissions; mais aussi des départs en retraite face auxquels "le plan ambitieux de T-Systems prend les devants" (dixit la DRH France). Sans compter la cession (en voie de régularisation) de certaines activités par transfert (article L122-3) de l'équipe de Strasbourg de T-Systems à Osiatis. (...)

(23/11/2006 16:20:41)

Les étudiants préoccupés de « management éthique »

La coïncidence, ce prochain week-end, à Caen, de deux manifestations mettant en exergue l'égalité de l'accès à l'emploi et à la formation supérieure, illustre l'amorce de prise de conscience qui semble se généraliser vis-à-vis de la responsabilité sociale (des entreprises, des écoles et universités) en tant qu'ingrédient essentiel de l'économie. Ainsi, les 24-25 novembre au centre de congrès de Caen, se tient une agora sur l'égalité des chances hommes/femmes, co-organisée et financée par la région Basse-Normandie, l'Etat et le fonds social européen. Ouverte au public, cette rencontre met l'accent sur l'interactivité avec un espace forum, des jeux de rôles et présentations d'actions (articulation des temps de vie). Ces mêmes vendredi 24 et samedi 25, l'Ecole de management de Normandie (Caen et Le Havre) s'associe à l'Aphec (association des professeurs de classes préparatoires économiques et commerciales qui regroupe les enseignants de 144 lycées). Ce groupement d'enseignant place son colloque annuel sous le signe des relations entre "Territoires et enseignement supérieur". Un thème qui couvre aussi bien l'égalité des chances, l'internationalisation des cursus, la mobilité, le regroupement des cursus dans un but de visibilité. Autant d'évolutions qui remettent en cause les rapports traditionnels entre l'enseignement supérieur et les bassins d'emploi (territoires et entreprises). Un constat qui fait, par ailleurs écho à l'attente des étudiants qui plébiscitent l'utilité au sein de leur formation, de faire une place à la préparation au management éthique et à la responsabilité sociale. Ainsi que le relevait une enquête réalisée par l'UGEI (union des grandes écoles indépendantes) auprès de 2000 étudiants (72% d'écoles d'ingénieurs, 28% d'écoles de commerce) présentée lors du congrès de la Conférence des grandes écoles (5-6 octobre à Brest), la "quête du sens" vient en tête des principes moteurs de leur recherche d'emploi. 75% d'entre eux estiment que rentabilité, éthique et responsabilité sociale sont des notions compatibles, alors que, constatent-ils, "le discours des entreprises et leurs actes dans ce sens ne concordent pas". Ils sont autant à considérer que leur préparation sur ce volet doit prendre la forme d'études de cas et peut constituer un atout, un "argument de vente" de leur CV. Rapprocher durablement université et emploi Toujours en Normandie, les 15-17 décembre, l'IAE de Caen fête, au nom de ses 14000 diplômés, ses cinquante ans d'activité, en mettant implicitement l'accent sur le "réseautage" et des liens entretenus avec les milieux professionnels qui fait aussi partie de la responsabilité sociale des futurs cadres et de leurs enseignants. En prélude des débats qui se tiendront à Deauville, un défi original est lancé aux anciens de l'institut normand via un site Web ouvert pour la circonstance, avec l'organisation du "trophée de la promo la plus connectée". Pour rappel: le réseau des IAE (Institut d'administration des entreprises, 29 établissements, 30 000 étudiants) est cité en exemple dans le rapport Hetzel "Université-Emploi" comme la filière "qui affiche les taux d'insertion professionnelle les plus élevés parmi les universités françaises", et qui, par son "marketing", contribue à "rapprocher durablement université et emploi". En témoignent notamment les conditions d'insertion, avec un délai moyen de six mois avant un placement en CDI, une bonne moitié des diplômés embauchés à la suite de leur stage et un salaire moyen d'embauche situé entre 30 400 E et 35 300 E pour un diplômé de master en gestion, management ou administration des affaires. (...)

(22/11/2006 18:22:44)

Rencontres Développeur Adobe au sommet

C'est au 56ème étage la Tour Montparnasse que s'est tenue la première Rencontre Développeur Adobe ce lundi 20 novembre destinée aux développeurs Java. L'objectif était de présenter le développement d'applications Internet Riches (RIA) avec Adobe Flex. Près de 200 développeurs ont pu assister à une après-midi de présentations autour des technologies Flex, plus particulièrement de Flex 2, annoncé cet été. Thinbault Imbert, développeur, a présenté les fondements d'ActionScript 3 et les nouveautés du langage. Florent Pajani d'Adobe a montré les principes du SDK Flex, les avantages de l'environnement Flex Builder à travers le développement d'une application Flex. Jean-Luc Esser, développeur, est venu parler de Cairngorm, un framework issu des labs d'Adobe permettant de mettre en oeuvre des design patterns pour le développement de RIA. Conçu par l'équipe Adobe Consulting à partir de leur expérience en développement d'application en entreprise (J2EE et .NET), CairnGorm est disponible pour Flex 1.5 et Flex 2. Christophe Coenrats, évangéliste produit Adobe Flex, a, quant à lui, présenté le développement d'applications d'entreprise avec les Flex Data Services, avec notamment l'intégration de J2EE et d'AJAX. Enfin Emmanuel Levi-Valensi de People In Action a conclu l'après-midi en présentant la gestion d'un projet RIA, avec des recommandations pour la réussite d'un projet. En marge des présentations, nous avons pu nous entretenir avec Christophe Coenrats. Apollo, le futur client desktop multiplateforme compatible Flash, PDF et HTML est un enjeu stratégique important. Flex constitue évidemment l'environnement de choix pour développer et déployer des applications Apollo. Actuellement en version alpha privée, on attend une première version ouverte aux développeurs en début d'année 2007. (...)

(22/11/2006 18:21:54)

17 millions de développeurs en 2009

17 millions de développeurs en 2009 Selon une nouvelle étude du cabinet Evans Data, la population mondiale des développeurs dépasserait 17 millions en l'an 2009. Dans ce rapport, Global Developer Population and Demographics Report, qui inaugure une nouvelle série d'études démographiques sur les développeurs, Evans Data prévoit pour la population des développeurs une croissance de 46% entre 2005 et 2009. Jusqu'alors, un grand nombre de développeurs professionnels provenaient traditionnellement de la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). En 2007, la tendance va s'inverser et le nombre de développeurs de la région APAC (Asie Pacifique, incluant l'Inde, la Chine et le Japon) dépassera celui de l'Europe. Evans Data estime qu'en 2009, un développeur sur quatre proviendra de la région APAC. Cela correspond à une croissance de la population de 81% de 2005 à 2009 pour la région APAC, alors que dans la même période la croissance en Amérique du Nord ne sera que de 15%. En 2009, le nombre de développeurs chinois dépassera celui des développeurs japonais. Globalement, les Etats-Unis, l'Inde et la Chine conserveront le leadership quant au nombre de développeurs jusqu'en 2009. Cette démographie galopante peut avoir plusieurs explications. Le développement orienté composants, d'une part, facilite l'accès à la programmation. Il permet, d'autre part, une décentralisation des tâches. Le faible coût de la main d'oeuvre dans les pays asiatiques favorise du coup l'offshoring. De plus, dans les pays APAC, le développement logiciel est devenu une priorité. Si l'on rapporte cela à la masse de la population chinoise et indienne, cela fait du monde en perspective ! IDC pour sa part, dans une étude publiée en décembre 2005 (2005 Professional Developer Model), voyait dans la Russie une des populations de développeurs les plus importantes et grandissantes et prévoyait une croissance de 40% entre 2005 et 2008 du nombre de développeurs. De toute évidence, le métier de développeur a encore de l'avenir, même si cela ne se traduit pas de la même manière en Europe et en Asie. (...)

(22/11/2006 18:09:21)

Les entreprises qui consultent leur DSI et investissent dans les technologies sont les plus performantes

Hackett Group est spécialisé dans les études de benchmarking, ainsi que dans l'accompagnement des entreprises en matière de bonnes pratiques et de mise en place des transformations nécessaires pour permettre aux entreprises d'atteindre des standards d'excellence baptisés World Class. Le schéma gagnant : dépenser 7% de plus dans les IT pour dépenser 45% de moins sur les opérations financières Les premières analyses tirées de son étude annuelle, à partir de sa base d'étude sur 2100 grandes entreprises internationales, dont 81 entreprises françaises (dans le benchmark figurent notamment EADS, Thales, Ipsos, Publicis, Dassault, Air France-KLM, Valeo Faurecia, Bull, Ingenico, Thomson, L'Oréal, EDF, Danone, Bouygues, Vivendi Universal...) montrent que les présidents et DG des groupes qui intègrent directement les DSI dans le premier groupe de réflexion stratégique, sans lui imposer le prisme du Directeur Financier, sont gagnantes. Des entreprises françaises figurent parmi celles qui ont conquis leur galon World Class (la meilleur qualité au coût le plus faible), mais pour des raisons de tactique, elles préfèrent garder secret leur classement ! Néanmoins, l'analyse d'Hackett Group montre qu'elles ont choisi d'investir 7% de plus que leurs semblables dans les technologies modernes et qu'elles parviennent à dépenser, au final, 45% de moins que les autres dans les opérations financières. Elles arrivent en effet à améliorer leur productivité grâce à l'apport des technologies adéquates au sein de l'entreprise et par la réduction des coûts sur les secteurs RH, fournitures et diverses opérations financières. En d'autres termes, c'est le retour sur investissement dans les technologies qui fait la différence. Les entreprises du panel World Class, rassemblant les entreprises les plus performantes de leurs secteurs selon les analystes de Hackett, font mieux que leurs pairs, puisqu'elles ont réduit leurs coûts financiers de 8% en 2006, après une baisse de 5% en 2004/2005. Le retour en grâce des technologies et du DSI devrait inciter leurs rivales à explorer cette stratégie du long terme. (...)

(22/11/2006 18:08:57)

Junior-entreprise de l'Efrei : 20 ans et un partenariat avec le Celsa

Sepefrei, junior-entreprise (JE) de l'Efrei (école d'ingénieurs des technologies de l'information et du management) fête ses 20 ans. Classée parmi les 30 meilleures JE de France selon la CNJE (confédération nationale des junior-entreprises), elle a aussi été cette année finaliste du « Label Ingénieur », concours qui récompense la meilleure étude ingénieur. Sepefrei fêtera cet anniversaire avec Junior Communication, sa jumelle du Celsa (école des hautes études en sciences de l'information et de la communication), 20 printemps elle aussi. Les deux JE ont signé en 2002 un partenariat qui leur permet de proposer des prestations complètes et de plus grande ampleur, puisque Sepefrei assure la partie technique, tandis que Junior Communication s'occupe de la charte graphique et du design. Au-delà de cette association originale, elles souhaitent mutualiser davantage leur réseau car leurs clients respectifs seront regroupés sur un même lieu, le 23 novembre prochain. (...)

(21/11/2006 15:09:45)

Des subventions au lieu d'exonérations pour l'emploi R&D sur les pôles de compétitivité

:"Lourd et pratiquement inopérant". De l'aveu des ministres concernés, le dispositif d'allégement de charges sociales (jusqu'à 50%) prévu pour soutenir l'emploi R&D sur les 66 pôles de compétitivité laisse place à un abondement de subvention (15% de plus) au bénéfice des PME. L'Etat porte ainsi de 30 à 45% le taux de subvention aux PME participant à un projet dûment labellisé et sélectionné par les appels à projet du fonds interministériel (45% étant le taux maximal autorisé par la Communauté européenne pour les aides à la R&D). Pour rappel : au delà des exonérations fiscales qui restent appliquées, le budget prévu pour la prise en compte de cet allégement de charges sociales était de 28,5 M€ pour 2006. A relativiser donc, en regard des 540 M€ déjà apportés par l'Etat (fonds interministériel, agences A2I, ANR, Oseo-Anvar) pour 165 des projets présentés par les pôles et retenus lors des deux premiers appels à projets (mai et septembre 2006; un 3ème appel est en cours). De plus, l'agence de financement Oseo-Anvar est mandatée pour ajouter une subvention de 15% au financement des projets des PME montés dans le cadre des pôles (40% du montant du projet en avance remboursable). "Ces PME recevront ainsi un équivalent de subvention double du régime de droit commun des aides Oséo-Anvar appliqué hors pôles", précise le ministre délégué à l'aménagement du territoire Christian Estrosi. Pour mémoire : le budget annuel d'Oseo-Anvar dédié aux pôles se monte à 210 M€ en 2006 (30 M€ au second semestre 2005). La sécurité économique en question Lors du forum qui a réuni, à Sophia Antipolis, ce 17 novembre, quelque 200 acteurs des pôles autour du thème de l'internationalisation des projets et de leur stratégie de coopération internationale (alliances entre clusters), l'accent a également été mis sur le déploiement d'un dispositif de sécurité économique à usage des pôles (financé à 80% par l'Etat). "Des menaces réelles de piratage de nos pôles existent", a souligné le ministre Estrosi, faisant écho à une mise en garde de l'ancien directeur de la DST Rémy Pautrat. Comme suite à un projet pilote mené sur cinq pôles de diverses régions (Bretagne, Pays-de-Loire, Limousin, Rhône-Alpes, Paca) avec la mission France Intelligence Innovation (association d'un acteur public, l'ADIT et de l'agence privée CEIS), un référentiel méthodologique et deux logiciels servent d'outillage aux audits de sécurité qui seront proposés systématiquement à tous les pôles à vocation mondiale dès 2007. (...)

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