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(25/07/2006 17:31:19)
Sage acquiert le français Elit Group
Sage va procéder à l'acquisition de 51% des parts du français Elit Group, spécialisé dans les progiciels à destination des industries du transport et de l'agroalimentaire. Le groupe britannique va débourser 7 € par action, soit une dépense totale évaluée à environ 15,8 M€ en numéraire. Sage devrait faire une offre aux actionnaires - sous la forme d'une offre publique d'achat simplifiée - pour mettre la main sur les titres restants. Les outils développés par Elit Group s'adressent aux entreprises de taille moyenne. Sur l'exercice clos le 30 juin, Elit a publié chiffre d'affaires de 26,8 M€ pour une perte de 0,73 M€ et compte 3000 clients ainsi que 250 salariés. "Cette opération nous permet de renforcer notre présence sur les marchés du transport, de la logistique et de l'agroalimentaire", note Pascal Houillon , le directeur général de Sage France. (...)
(21/07/2006 12:47:12)Cegid recrute 70 collaborateurs
L'éditeur lyonnais Cegid lance un programme de recrutement sur 2006 visant à s'attacher les services de 30 ingénieurs commerciaux, 20 consultants formateurs et 20 développeurs. Le but est de renforcer les équipes commerciales dans l'optique du lancement du PGI Cegid Business édition 2007 mais également d'accroître les effectifs destinés à assurer le déploiement des solutions et la formation. Les profils recherchés incluent des jeunes diplômés, notamment pour les postes d'ingénieurs commerciaux. Les formateurs devront justifier d'un cursus bac+2 à 5 en gestion ainsi que d'une expérience de 2 à 5 ans dans le déploiement de solutions ou dans un des secteurs d'activité du groupe (mode, industrie, hôtellerie, BTP). Enfin, les développeurs désireux de rejoindre Cegid sont censés avoir reçu une formation bac+2 à 5. Cette dernière catégorie est ouverte aux débutants pour peu qu'ils maîtrisent Forms 9 ou 10, PL/SQL ou Delphi. (...)
(20/07/2006 16:18:59)Semestriels Cegid : les revenus reculent mais la marge progresse
:Résultats premier semestre 2006 Chiffre d'affaires : 106,5 M€ (-1,7%) Marge brute : 84,5% Si Cegid, l'éditeur lyonnais d'applications métiers et de PGI, publie un chiffre d'affaires en recul au cours du premier semestre, il ne déçoit cependant pas les analystes et voit même le cours de son titre progresser de 2% à la faveur d'une rentabilité améliorée. Les revenus du groupe présidé par Jean-Michel Aulas sont en baisse de 1,7% sur un an, à 106,5 M€. Ils pâtissent d'un recul des ventes de matériels et des prestations annexes de 4,4 M€, en partie compensé par la bonne tenue de la division progiciels (+4%). "L'évolution de la composition de notre chiffre d'affaires était prévue et décidée. La part du matériel dans notre revenu est passée en quelques années de 45% à moins de 15%. Entre temps, on a assisté à une montée en puissance des progiciels, nettement plus générateurs de marge", explique le directeur général Patrick Bertrand au mondeinformatique.fr. Et d'ajouter que la part du matériel devrait continuer à décroître. De fait, l'affaiblissement de ce secteur d'activité devrait conduire Cegid à voir sa rentabilité progresser sur l'ensemble de l'exercice. Au premier semestre la marge brute a déjà affiché une amélioration par rapport à 2005 : elle s'élève à 84,5% du CA, contre 81,8% en moyenne sur l'exercice précédent. Par ailleurs, l'éditeur a ouvert une ligne de crédit de 200 M€ sur cinq ans auprès de huit banques, "afin de nous donner les moyens de mener une politique de croissance externe", précise Patrick Bertrand. Si le DG reste prudent sur la nature des partenariats qu'il entend nouer, il rappelle que Cegid "veut rester dans le radar du top 5 des éditeurs du middlemarket européen". Et rappelle le positionnement de son groupe : "entre les ERP pour les grandes entreprise et les petites solutions type Best-of-breed il n'y a pas rien. Il y a Cegid". (...)
(18/07/2006 16:19:43)Oracle va poursuivre sa politique d'acquisitions
Oracle n'en a pas terminé avec les acquisitions et va poursuivre sa dynamique de croissance externe dans les segments verticaux. C'est ce qu'a indiqué Mark Gibbs, le vice-président applications et industries pour la région Asie-Pacifique. Après avoir dépensé près de 20 Md$ en deux ans, en mettant notamment la main sur Peoplesoft et Siebel, Oracle ne compte pas cesser cette stratégie axée sur les opérations de croissance externe : "nous sommes loin d'en avoir terminé, explique Mark Gibbs, nous allons continuer cette stratégie d'acquisitions". Et de préciser que le groupe poursuivra ses investissements en ligne avec ses secteurs d'activité : institutions financières, distribution, fabrication, communication et médias, etc. "Nous n'allons pas constituer un monopole, rassure cependant Mark Gibbs. Je ne pense pas que nous assisterons un jour à une situation où ne subsisteront qu'une ou deux entreprises informatiques". Selon le vice-président, la seule et unique raison ayant poussé Oracle a procéder à autant d'acquisitions, est sa volonté de se renforcer dans davantage de marchés verticaux. C'était par exemple le cas avec les rachats de Retek, ProfitLogic ou de 360Commerce - tous focalisés dans la distribution. La stratégie semble porter ses fruits. Oracle a ainsi publié une croissance des ventes de licences de 80% pour l'année fiscale close le 31 mai. Et cela sans prendre en considération les revenus de Siebel et Retek. Le retour sur investissement semble tellement intéressant que Mark Gibbs envisage une progression comparable cette année. Hasard ou coïncidence : au même moment, SAP, le grand rival d'Oracle, semble à la peine. (...)
(17/07/2006 17:07:14)SAP rate ses objectifs au deuxième trimestre
Après EMC, BO, AMD ou Lucent, c'est au tour d'un autre grand acteur du secteur IT d'annoncer qu'il n'atteindra pas ses objectifs. SAP, l'éditeur allemand de PGI, devrait en effet rater le consensus lors de la présentation des résultats de son deuxième trimestre. Le groupe indique qu'il table sur un chiffre d'affaires de 2,2 Md€, soit une progression annuelle de 9 %. Surtout, les ventes de licences - le meilleur baromètre pour estimer la santé de l'éditeur - devraient plafonner à 621 M€ et ne croître que de 8 % par rapport à la même période de l'année précédente. C'est là que le bât blesse : l'éditeur escomptait jusqu'alors une progression comprise dans une fourchette de 15 à 16 %. L'objectif est donc largement manqué. Le groupe explique cette contre-performance par une croissance faible de ses ventes en Europe et en Asie ainsi que par le report de la signature d'importants contrats sur le trimestre suivant. D'autres facteurs entrent également en jeu, et pourraient laisser croire que le ralentissement observé au T1 n'est pas q'un simple accident mais pourrait initier une tendance plus durable. En premier lieu la situation géopolitique mondiale, et ses conséquences sur l'économie, est instable. Elle pourrait inciter les entreprises à la plus grande prudence dans leur décision d'investir et les acteurs des TIC pourraient d'ores et déjà en faire les frais. En second lieu, et surtout, SAP souffre de la concurrence avec Oracle. Le PDG de l'éditeur allemand, Henning Kagermann, a ainsi indiqué que son groupe a cédé, au cours du trimestre, des parts de marché à Oracle. Certes peu - entre 1 et 2 % - mais suffisamment pour inquiéter les observateurs. En conséquence de ces éléments, et malgré une prévision de croissance inchangée pour l'ensemble de l'exercice, le cours de l'action SAP a dégringolé de près de 7%. (...)
(17/07/2006 12:43:10)Cegid signe un accord de distribution aux Etats-Unis
Cegid, l'éditeur lyonnais de logiciels de gestion, vient de signer un accord de partenariat avec l'entreprise américaine Point of Sale System Services (PSS), spécialisée dans la fourniture de solutions aux commerçants et détaillants de la mode et du commerce de détail. Cette opération permet au groupe présidé par Jean-Michel Aulas de renforcer sa présence aux Etats-Unis où sa filiale Cegid Corp. compterait environ 150 clients. PSS distribuera aux PME d'outre-atlantique Cegid Business Mode, la solution de Cegid destinée au secteur de la mode. Un domaine d'activité dans lequel le groupe français compte la majorité de ses clients américains. Selon le vice-président ventes et développement de PSS, cet accord "ne pourra être que bénéfique au développement [des] deux entités, en proposant une offre adaptée au métier du retail et de la mode positionnée parfaitement entre les grands ERP et les micro-solutions". (...)
(13/07/2006 17:10:51)SAP support de cours pour les grandes écoles
Après les DSI, SAP jette son dévolu sur les profs. "On n'a rien à vendre" a pris soin de répéter l'éditeur, hier, soucieux de se dégager de son image commerciale à la Maison des Polytechniciens de Paris où il avait réuni des représentants d'écoles de commerce, d'écoles d'ingénieurs et d'universités. Le choix de ce lieu était évocateur de la logique estudiantine dans laquelle il entendait placer son intervention. Il est vrai qu'il cherchait à susciter l'intérêt de l'enseignement supérieur pour les attraits pédagogiques de son PGI et non pas à remplir son carnet de commandes dans l'immédiat. Mais il n'a pas caché toutefois les enjeux de cette réunion et des partenariats qu'il propose aux écoles pour asseoir sa position sur le marché. "Nous avons pour objectif de compter 150 000 clients en 2010 sur le plan mondial au lieu de 32 000 aujourd'hui. Cela passe aussi par le monde de l'éducation », explique Frédéric Massé, chef de secteur marché public chez SAP France. Nous souhaitons accroître le nombre de ressources formées sur nos produits (SAP estime à 600 le nombre de jeunes qui sortent chaque année de l'école avec une sensibilisation à ses outils, NDLR) pour améliorer la capacité de nos partenaires à déployer les solutions chez les clients. C'est un crève-coeur lorsque ceux-ci sont amenés à refuser des projets. L'autre enjeu majeur est de participer à l'éducation des futurs utilisateurs et décideurs de l'achat de systèmes PGI». Cinq écoles inscrites au programme Pour répondre à ces objectifs, l'éditeur propose aux écoles et aux universités d'intégrer son programme UAP (University Alliance Programme) qui leur permet de se connecter en permanence à son centre de compétences suisse, installé à l'Université des Sciences Appliquées de Valais. Pour 7000 euros par an - une somme destinée à faire vivre le centre- il leur donne accès, via un navigateur Internet ou SAP GUI (l'interface classique de SAP, installée en local et plus rapide) à tous les modules de son progiciel de gestion intégré préparamétrés (MySapERP), aux "meilleures pratiques" de dizaines de sociétés fictives ainsi qu'à SAP Netweaver (socle d'intégration du PGI) et BI Warehouse (informatique décisionnelle). Le but est que les enseignants utilisent ces outils comme supports pédagogiques à leurs enseignements, comme le fait par exemple l'ENI de Tarbes dans son cours de gestion de production. Avec elle, quatre écoles ont déjà franchi le cap UAP, l'Insa de Lyon, le Cesi de Paris, l'IUT de Tarbes et tout récemment, l'Insead. Pour ces établissements, l'intérêt d'un tel outil est d'ancrer leur cours dans la réalité de la gestion d'entreprise et de répondre à une demande des étudiants. Former sans faire de publicité L'enjeu pédagogique est aussi de réfléchir à un projet qui leur permet de se dégager du PGI pour n'en faire qu'un support et non pas de former les étudiants à la logique de gestion qu'il suggère, ni en faire sa promotion. « Il faut prendre garde à ne pas utiliser des TP tout faits proposés par SAP pour aller plus vite », note par exemple la représentante d'une grande école d'ingénieur. « Tant que l'on conserve la maîtrise de nos cours, que nous faisons intervenir des utilisateurs qui parlent de leurs bonnes et de leur mauvaises expériences avec le PGI et que nous expliquons que ses propositions ne reflètent que des choix de gestion liés à des contextes d'utilisation, on n'assure pas sa promotion », ajoute Bernard Grabot, professeur à l'ENI de Tarbes. Avec cette proposition, SAP va plus loin qu'avec ses modalités de partenariat habituelles. L'une d'elle consiste à louer aux écoles l'accès à ses serveurs sur une semaine (pour 500 euros), ce qui est limité pour établir un programme pédagogique. L'éditeur parie avec UAP sur un mode de collaboration non exclusif et non contraignant, basé sur la confiance avec les enseignants ( qui doivent être certifiés sous SAP) qui utiliseront ses systèmes, pour qu'ils s'approprient ses outils à leur rythme. Il entend ne rien imposer aux écoles, mais compte aussi sur l'émulation que créent à la fois la concurrence et la coopération entre elles pour favoriser l'adhésion à son programme. Il a aussi fourni aux participants les codes d'accès à ses solutions, ouverts jusqu'à mi-août, pour qu'ils puissent se faire rapidement une idée. (...)
(12/07/2006 18:05:52)Une solution serveur intégrée IBM pour JD Edwards
IBM lance une solution intégrée combinant serveur et logiciel pour héberger le PGI de JD Edwards, propriété d'Oracle. Baptisé IBM System i520 Solution Edition for Oracle's J.D. Edwards EnterpriseOne, le package s'adresse avant tout aux entreprises de moins de cent employés. L'ensemble s'appuie sur un serveur iSeries 520 (nouveau nom des AS/400) motorisé par les processeurs Power 5 de la marque, ainsi que sur l'OS maison I5. Big Blue précise qu'il supporte également Windows, Linux et AIX. Disponible dès le 11 août, la solution devrait être commercialisée au prix de 21 921 $. La tarification et la disponibilité pour l'Europe ne sont pas actuellement communiquées. L'offre est une bonne nouvelle pour Oracle dans sa tentative de conserver la confiance des clients des sociétés qu'il a rachetées. En avril dernier, l'éditeur avait ainsi confirmé son engagement auprès des 5 000 utilisateurs JD Edwards, en prolongeant après 2013 le support du PGI sur les serveurs IBM iSeries. Selon IBM, le marché des PME couvre 20% de son chiffre d'affaires annuel. (...)
(06/07/2006 18:07:52)Aux Rencontres mondiales du logiciel libre, Tiny ERP prend ses marques
: L'univers du logiciel libre respire au rythme de grandes réunions qui permettent à la communauté de se construire, de se compter, et surtout de présenter ses projets. Les 7es Rencontres mondiales du logiciel libre, organisées chaque année en France, et cette fois-ci en Lorraine (du 4 au 8 juillet 2006 à Vandoeuvre-lès-Nancy), n'échappent pas à la règle. L'occasion de remarquer à quel point le logiciel libre commence à marquer des points, discrètement mais sûrement, dans la gestion d'entreprise. Les progiciels ERP5, bien sûr, issu d'une nouvelle réflexion sur la nature des relations inter-entreprises, mais aussi TinyERP, ont ainsi affiché une présence remarquée. Venu tout spécialement de Belgique pour présenter sa solution, Fabien Pinckaers, président et fondateur de TinyERP, a eu le plaisir de prononcer sa conférence devant un auditoire curieux et attentif. Il a souligné sa solide communauté d'utilisateurs : "plus de 600 téléchargements par jour, avec des clients qui vont de la société de 20 à 300 personnes dont le groupe de restauration Costes ou les fermes urbaines sponsorisées par E. Leclerc, à l'utilisateur indépendant, et un réseau de seize revendeurs en France". A l'assaut du marché américain Fort de ce succès, TinyERP vient d'embaucher trois nouveaux développeurs, portant la société à dix salariés, et se lance dans la foulée sur le marché nord-américain. Pour ce faire, Fabien Pinckaers a créé une nouvelle société, TinyAtWork, en association avec deux entreprises québécoises : Revolution Linux pour la partie intégration réseau et Epsilon pour les conseils en ERP. "Notre objectif est d'aller plus loin que le marché franco-belge, et d'avoir un point d'attache et de référence là-bas. Et aussi de répondre aux nombreuses demandes qui nous parvenaient, auxquelles nous ne pouvions pas fournir de solutions" continue Fabien Pinckaers. Outre qu'il a dû adapter son logiciel aux normes québécoises et canadiennes (" Très rapidement fait ", assure-t-il), TinyERP va aussi se frotter à une concurrence acharnée : d'une part des géants bien installés comme SAP ou Microsoft, mais aussi à des micro-entreprises, spécialisées dans des marchés de niche, à l'image de cet ERP spécialement écrit pour les armoires froides de la restauration. Ses atouts ? La licence libre du logiciel, bien sûr ! "Très intéressante en avant-vente, elle permet aux responsables en entreprises de télécharger et tester par eux-mêmes le logiciel, sous toute ses coutures, et de souscrire ensuite à des services payants, s'ils jugent que le produit correspond à leurs besoins. Un net avantage par rapport au monde du logiciel propriétaire, où des contrats très cloisonnés amènent souvent à un énorme dépassement des coûts, et où la non-conformité aux besoins est fréquente", explique-t-il encore. De nouvelles fonctions en développement Enfin, pour enrichir sa solution, Fabien Pinckaers annonce plusieurs nouveaux modules à venir, actuellement en développement : un outil d'évaluation des compétences en fonctions de critères, un autre de gestion du temps professionnel, un autre de business intelligence, une fonction d'analyse par cube OLAP (OnLine Analytical Processing), ainsi qu'une interface e-commerce, pour que TinyERP puisse travailler de concert avec des plates-formes comme OS-Commerce ou Jumla. Pas si minuscule que ça, Tiny ERP ! (...)
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