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(27/02/2006 12:29:19)

Résultats SAP 2005 : croissance à deux chiffres pour les revenus et les bénéfices

SAP avait vu juste. L'éditeur vient de présenter des résultats 2005 en forte hausse, en ligne avec ses précédentes estimations. Le chiffre d'affaires s'élève à 8,51 MdE, soit une croissance de 13 % par rapport à l'exercice précédent (12 % à taux de change constants). Conformément aux dernières prévisions du groupe, les revenus des licences ont affiché une progression de 18 % sur l'année, à 2,78 MdE. Une croissance nettement supérieure à celle prévue en début d'exercice, qui se limitait à une fourchette de 12 à 14 %. C'est dans la zone Emea que les logiciels SAP se sont le plus vendus. Le chiffre d'affaires de la région s'élève à 1,4 MdE, à la faveur notamment d'une bonne dynamique en France, en Russie et en Suisse, contrairement à l'Allemagne ou les ventes sont restées stables au cours de l'année. La croissance observée au cours de l'année dans cette région - 8 % - est néanmoins inférieure aux autres zones géographiques. Notamment en Asie-Pacifique où, avec 363 ME, les revenus bondissent de 25 % sur l'année. Mieux encore, dans la zone Amériques les ventes de licences progressent de 32 %, à 1,02 MdE. C'est de l'activité Services que SAP tire la plus grande part de ses revenus en 2005. Avec un CA de 5,9 MdE, cette branche croît de 15 % par rapport à 2004. L'éditeur publie également une croissance à deux chiffres pour son résultat opérationnel qui, à 2,33 ME, gagne 16 % sur l'année. Enfin, le bénéfice net progresse de 14 % pour atteindre 1,5 MdE. A la lumière de ces excellents résultat, l'éditeur table ,pour l'exercice 2006, sur une croissance du revenu de ses licences comprise entre 15 et 17 %. (...)

(20/01/2006 17:34:06)

Oracle détaille la roadmap de Fusion

Profitant d'une allocution devant un parterre d'un millier de clients, partenaires et journalistes, Charles Phillips, président d'Oracle a pris une demi-heure pour faire le point sur Fusion. Tout d'abord, Fusion consistera en une nouvelle suite applicative capitalisant sur les points forts des actuels produits d'Oracle et des sociétés récemment rachetées, pas d'une simple consolidation de produits existants. Néanmoins, Fusion reprendra des éléments de code des produits existants tout en y associant d'importantes quantités de code nouveau ou réécrit. Notamment, Fusion doit permettre la gestion des processus métier en temps réel, en s'appuyant sur une architecture SOA dans laquelle les applications seront conçues comme des services métier modulaires. Charles Phillips assure qu'Oracle est à mi-parcours dans le développement de Fusion et maintient sa prévision de lancement pour 2008, date à laquelle les utilisateurs d'applications JD Edwards et PeopleSoft pourront migrer. D'ici là, une mise à jour majeure de JD Edwards World est prévue pour 2007. Charles Phillips n'a cependant pas évoqué le sort des utilisateurs d'applications Siebel. (...)

(27/02/2006 17:29:50)

IDC et Oracle prévoient une légère hausse du marché des ERP pour PME en 2006

La cinquième édition du baromètre de l'ERP réalisée par IDC avec Oracle auprès de 300 entreprises de 100 à 2000 salariés prévoit une légère hausse des installations de progiciels dans les PME en 2006 après une année 2005 en deçà des attentes. Pour leur baromètre précédent, IDC et oracle avaient estimé en début d'année 2005 que 9% des PME du segment s'équiperait d'un ERP. Au final environ 7% ont effectivement franchi le pas. Selon IDC, ces PME n'ont pas pour autant renonce a s'équiper en solutions ERP. Leurs décisions d'achat devraient se concrétiser début 2006. IDC et Oracle pronostiquent donc que 8% des PME devrait investir dans un progiciel intégré au cours de l'année 2006. L'une des informations intéressantes du baromètre est qu'il montre le caractère prédateur des ERP sur les autres formes de logiciel. Selon IDC et Oracle, L'ERP « cannibalise » le Système d'Information des PME équipées ne laissant que peu de marges de man?uvre aux solutions Best of Breed. Pour une PME, l'acquisition d'un ERP présente donc le risque de se livrer pied et poings liés à un fournisseur. Côté plus positif, l'ERP permet à des entreprises de faire avancer leur SI. Par exemple, seules 50% des entreprises ayant choisi une approche "best of Breed" sont équipées d'outils de gestion de la production tandis que celles qui disposent d'un ERP sont équipées à 73%. Reste qu'IDC ne précise pas si les PME "best of Breed, ne sont pas passées à l'ERP, justement parce qu'elle n'ont pas besoin de gestion de production (cas des sociétés de service ou de distribution par exemple)... L'ERP pousse à un suréquipement logiciel Une autre information intéressante du baromètre est qu'il fait le point sur le niveau d'équipement des PME en logiciels. On apprend ainsi que les modules fondamentaux de gestion - gestion comptable et financière, gestion commerciale, gestion de la production et gestion de la paye et des ressources humaines - sont massivement adoptés, que la PME soit adepte de l'ERP ou non. Selon IDC, le nombre moyen de modules de gestion mis en oeuvre est de 3,4 pour les PME équipées d'ERP, contre 3,2 modules pour celles adeptes des solutions Best of Breed. Les PME équipées d'ERP semblent en revanche plus matures pour ce qui concernent le CRM ou la business Intelligence. Le passage à une offre intégrée ERP semble également accélérer l'adoption de solutions de gestion de la relation clients (CRM) et de Business Intelligence, ce qui paraît logique dans la mesure ou les éditeurs d'ERP ont souvent étendu leurs offres à ce secteur et poussent leurs clients à élargir leur nombre de modules . Le nombre moyen de modules utilisés passe ainsi à 4,3 lorsque la PME dispose d'un ERP contre 3,6 modules lorsqu'elle privilégie les solutions Best of Breed. Il est à noter que si l'ERP joue un rôle structurant dans le Système d'Information, il contribue aussi à la réduction du nombre de fournisseurs de logiciels de l'entreprise. Un bénéfice, assorti d'un accroissement du risque de dépendance. Il est ainsi révélateur que les PME disposant de 4 modules de gestion ont aussi dans plus de deux tiers des cas 4 fournisseurs différents. Pour terminer, signalons que selon IDC et Oracle, 46% des PME équipées d'un ERP et 44% des autres PME prévoient des évolutions majeures en 2006. Pour la plupart il s'agira d'une évolution du périmètre fonctionnel des applications ou d'un élargissement de la base installée d'utilisateurs. 30% des PME prévoient ainsi de déployer leur ERP sur une base plus large d'utilisateurs, contre 25% des PME adeptes des solutions Best of Breed. (...)

(18/01/2006 18:04:25)

8 % des PME françaises devraient acheter un PGI en 2006

Le baromètre Oracle/IDC confirme les prévisions d'achat de PGI dans les PME en 2005. En 2006, il estime à 184 millions d'euros les achats de licences qui seront effectuées autour des solutions de gestion sur ce segment de marché. Conformément aux prévisions affichées par le baromètre Oracle/IDC au printemps dernier, 7 % des entreprises françaises de 100 à 2 000 salariés, soit environ mille PME, ont bien acheté un progiciel de gestion intégré (PGI) au cours de l'année écoulée, ce qui représente autant de projets de ce type qu'en 2004. Lors de l'enquête téléphonique réalisée en mars 2005 pour établir ces estimations, les PME interrogées avaient été 9 % à manifester leur intention d'acquérir un PGI. Le cabinet d'études IDC indique que celles qui n'ont pas concrétisé cette intention ont simplement repoussé leur achat de quelques mois. En 2006, IDC et Oracle prévoient que 8 % de PME achèteront un PGI, un taux légèrement supérieur, donc, à celui de 2005. Cette estimation résulte d'une enquête téléphonique menée en janvier 2006 sur 300 PME. Ce sont les entreprises industrielles qui se montrent les plus dynamiques sur ces initiatives. Il apparaît par ailleurs que le marché sera tiré, en valeur, par les PME les plus grosses (celles qui comptent de 500 à 2 000 salariés, soit 2 080 entreprises). Ces dernières peuvent en effet réaliser des investissements beaucoup plus importants que les deux autres segments analysés par IDC (PME de 200 à 500 salariés, soit 4 540 entreprises, et PME de 100 à 200 salariés, soit 7 670 entreprises). Nouveaux projets de PGI : 90 millions d'euros de licences Ces prévisions d'acquisition de PGI ne représentent toutefois, selon IDC, que quelque 90 millions d'euros en achats de licence. En comptant l'ensemble des investissements que les PME comptent réaliser en 2006 autour de leur système de gestion (ajout de modules, extensions fonctionnelles, mises à jour de version...), les ventes de licences estimées s'élèvent à 184 millions d'euros. Ces chiffres n'incluent ni le coût de la maintenance, ni les dépenses qui seront faites autour des services. En moyenne, pour un projet de PGI en PME, les sommes investies dans l'achat des licences oscillent entre 80 000 et 90 000 euros. Dans les petites PME, ce budget ne dépasse pas 10 000 à 15 000 euros. L'entreprise garde son application de gestion pendant dix ans On constate donc, depuis trois ans, une certaine stabilité dans le nombre de projets d'achat de PGI, après le ralentissement enregistré à la suite des chantiers engagés massivement à l'occasion de l'an 2000 et du passage à l'euro. Il est vrai qu'une fois acquises, les applications de gestion ne sont généralement renouvelées que tous les 9 à 10 ans, à moins qu'un événement extérieur (fusion, rachat...) n'oblige l'entreprise à changer de système. Par ailleurs, l'enquête menée par IDC en janvier confirme la progression, dans les nouveaux projets, des progiciels intégrés au détriment des logiciels de gestion dits « Best of Breed » (c'est-à-dire spécialisés sur une catégorie de fonctions comme la comptabilité, la gestion commerciale ou la gestion de production). La PME passe volontiers d'une application spécialisée à un PGI, mais le trajet inverse n'est jamais effectué. (...)

(16/01/2006 17:34:41)

Salesforce inaugure AppExchange, et ouvre sa plate-forme aux ISV

Salesforce.com, spécialiste de le GRC hébergée, vient d'annoncer l'ouverture AppExchange, plate-forme censée faciliter le déploiement de solutions métiers tierces sur le GRC de l'éditeur. L'essentiel de l'offre de Salesforce repose avant tout sur des modules de ventes, de marketing et de GRC. L'éditeur compte ainsi s'appuyer sur les ISV pour verticaliser son offre, et étendre le champ d'applications de son outil aux secteurs de la RH, de la finance et de la comptabilité. Ou plus encore, orienter sa plate-forme vers d'autres métiers, plus spécialisés (tels que la santé, l'industrie ou l'immobilier). Côté utilisateur, Salesforce fédère les modules d'AppExchange sur son site, donnant ainsi accès à l'éventail des solutions métiers proposées, ainsi qu'à une offre d'abonnement. « Gratuite pour certains modules « , indique Salesforce. Le module viendra ensuite s'ajouter au profil utilisateur de la plate-forme. Rappelons toutefois que le service de l'éditeur est momentanément resté inaccessible la journée du 20 décembre. Une coupure toujours sans réelle justification de la part de Salesforce. (...)

(13/01/2006 17:56:56)

Oracle compacte une série de produits Fusion dans Oracle Suite SOA

Oracle décide de faire du tout en un en réunissant plusieurs produits Fusion dans une suite pour architectures orientées services (SOA). Selon Oracle, les utilisateurs auront ainsi un ensemble logique et cohérent plutôt que des outils disparates qu'il faut rendre interopérables. La suite comprend Oracle BPEL Process Manager, Oracle Enterprise Service Bus pour la connexion des différents systèmes et qui est pour la première fois différencié des applications serveurs ; Oracle Web Services Manager ; Oracle Business Rules Engine ; Oracle Business Activity Monitoring ; Oracle Enterprise et Oracle JDeveloper 10g pour le développement Java. Utilisée avec un serveur Oracle, la suite SOA est proposée à 50 000 $ par microprocesseur - contre 65 000 $ si le serveur est équipé par les concurrents. Avec cette suite, Oracle espère que les utilisateurs seront tenté par une certaine forme de facilité, à savoir, un ensemble tout en un plutôt que des applications éparses. Oracle suit ainsi les traces de ses concurrents du secteur tels qu'IBM, BEA ou Microsoft. Reste que les entreprises choisiront peut-être des solutions mixtes mais répondant parfaitement à leurs besoins plutôt qu'un package tout venant, même si quelques difficultés techniques d'interopérabilité existent... (...)

(27/02/2006 17:43:51)

SAP finit l'année en trombe aux Etats-Unis et passe la barre des 600 applications pour All-in-One

SAP a annoncé la fusion de ses divisions nord-américaine et sud-américaine pour créer SAP Americas. La nouvelle entité, dont le chiffre d'affaires est supérieur à 3 Md$, est la seconde en taille après la division européenne. Elle est aussi celle qui connaît la croissance la plus rapide avec une hausse de 35% de ses ventes au dernier trimestre 2005. Pour le seul dernier trimestre, SAP Americas devrait enregistrer un CA de 424 M$ contre 625 M$ pour la division européenne (+ 8% sur un an) Séparément SAP a annoncé qu'il a franchi la barre des 600 applications partenaires pour son progiciels pour PME, SAP All-in-One, avec le lancement récent de 39 nouvelles applications de partenaires pour les secteurs de la santé, de l'automobile, de la vente de détail... Typiquement l'installation de All-In-One avec un package applicatif de partenaire coûte entre 40 000 E et 100 000 E et dessert 70 utilisateurs. (...)

(11/01/2006 17:30:06)

Sage achète Verus, spécialiste du télépaiement

Sage a annoncé la signature d'un accord portant sur l'acquisition de l'américain Verus Financial, spécialisé dans le traitement des paiements par cartes de crédit et chèques, pour 352,8 ME. La cible de cet achat compte environ 101 000 clients, la plupart étant des entreprises de taille restreinte comme des stations services, des restaurants ou des magasins spécialisés. Selon Sage, Verus constituera le noyau de sa division nord-américaine consacrée aux services marchands. Verus fournit notamment un service de vérification des risques transactionnels. La société réalise la transaction par un transfert direct entre la banque du détenteur de la carte de paiement ou du chèque, et celle du commerçant. Cette acquisition établit un changement dans la stratégie de Sage, plus habitué à racheter des entreprises dont le prix reste raisonnable au regard de leurs revenus ou de leurs bénéfices. Les 325,8 ME payés pour Verus représentent 5,1 fois son chiffre d'affaires 2005, et 15,4 fois son profit opérationnel. Selon David Bradshaw, analyste pour l'institut Ovum, "ce n'est qu'une question de mois" avant que Sage n'intègre les services de paiement Verus dans Peachtree, son logiciel de comptabilité, une convergence entre le logiciel et le service en ligne déjà proposée par le principal concurrent de Verus en Amérique du Nord, Intuit. (...)

(27/02/2006 17:46:12)

Oracle et Sun prolongent de 10 ans leur accord autour de Java

C'est à l'occasion d'une réunion dans les locaux d'Oracle que Larry Ellison et Scott McNealy, PDG de Sun, ont décidé de renforcer les accords liant les deux sociétés. Oracle, qui a récemment déclaré préférer Solaris 10 comme plate-forme de développement, s'est désormais engagé à prolonger ses développements sur plate-forme Java de 10 ans. Sun, en contre-partie, travaillera à une offre packagée promotionnelle de ses serveurs UntraSparc embarquant Oracle 10g ainsi qu'un an de services associés. Parmi les termes de l'accord, Oracle devra également assurer le marketing et la promotion de produits Sun. Pour autant, il ne s'agit pas d'un partenariat exclusif, explique Larry Ellison. « Oracle poursuivra son engagement envers Linux et Eclipse (ndlr-qui concurrence notamment NetBeans-)». (...)

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