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(10/01/2005 17:58:38)
Oracle finalise l'acquisition de PeopleSoft
Comme prévu, Oracle a officiellement bouclé l'acquisition de PeopleSoft vendredi 7 janvier pour la modique somme de 10,3 Md$. Oracle, basé à Redwood Shores, en Californie, a déposé son certificat de fusion auprès du bureau du secrétaire d'Etat du Delaware, finalisant ainsi la fusion entre les deux sociétés. Le rachat marque la fin de 18 mois d'une bataille acharnée pour la prise de contrôle de l'ex-numéro deux mondial des progiciels d'entreprise.
Vendredi, 97 % des actionnaires de PeopleSoft avaient apporté leurs actions à l'offre d'Oracle. Le géant des bases de données devait au moins en recueillir 90 % pour boucler rapidement la fusion. Celle-ci fait d'Oracle le numéro deux des applications d'entreprise derrière SAP.
Oracle devrait publier une dernière version des applications de PeopleSoft puis proposer une application de convergence fusionnant les meilleurs aspects d'Oracle Applications et de PeopleSoft. La gamme JD Edwards devrait également être maintenue pour le marché des PME.
Oracle devrait annoncer le 14 janvier ses plans en matière d'emploi : des licenciements sont en effet prévus suite à l'opération. Une roadmap plus détaillée des produits futurs devrait aussi être présentée le 18 janvier prochain. (...)
Lancement du « nouvel » Oracle le 18 janvier
Oracle prévoit de dévoiler officiellement sa nouvelle organisation le 18 janvier prochain. Au cours d'une conférence de présentation - baptisée Oracle-PeopleSoft, Better Together (littéralement « mieux ensemble ») -, les dirigeants d'Oracle présenteront leur stratégie pour la nouvelle entité et répondront aux questions de clients. Cette présentation sera suivie par une série de présentations locales.
Pour autant, le feuilleton de le fusion, que l'on pouvait penser terminé, se poursuit discrètement. Conformément aux lois américaines sur les fusions, Oracle doit obtenir 90 % du capital de PeopleSoft. La semaine dernière, il n'en détenait que 75 %. L'éditeur estime pouvoir en obtenir 89,4 % d'ici la fin de sa dernière offre d'achat. Du coup, il a décidé de prolonger celle-ci de deux jours, jusqu'à jeudi soir 20 heures, heure de la côte est des Etats-Unis. A défaut d'obtenir 90 % du capital de son concurrent, Oracle devra attendre le vote des actionnaires de PeopleSoft pour prononcer la fusion, une simple formalité, qui pourrait toutefois repousser la fusion officielle de quatre à six semaines. (...)
Oracle fait le ménage à la tête de PeopleSoft
"Après une bataille perdue, la différence du vaincu au vainqueur est peu de chose" écrivait Napoléon. Tel n'est peut-être pas l'avis des dirigeants de PeopleSoft qui continuent à prendre la porte après le rachat de la société par Oracle.
La semaine passée, à la veille du nouvel an, le géant des bases de données a démis de leurs fonctions les deux coprésidents de PeopleSoft, Philip Welmington et Kevin Parker (par ailleurs directeur financier), pour les remplacer par Safra Catz et Charles Phillips, tous deux coprésidents d'Oracle. Harry You, le directeur financier d'Oracle a quant à lui été nommé directeur financier de PeopleSoft.
Catz, Phillips, You, ainsi que le secrétaire général d'Oracle, Daniel Cooperman, ont aussi été nommés au conseil d'administration de PeopleSoft en remplacement de Aneel Bhusri, Frank Fanzilli, Michael Maples et Cyril Yansouni, tous démissionnaires. Cette réorganisation éclair fait suite au départ la semaine précédente de David Duffield, le fondateur et CEO de PeopleSoft. (...)
Départ de David Duffield, fondateur de Peoplesoft désormais Oracle
Oracle a officiellement pris le contrôle de Peoplesoft le 29 décembre 2004 et fait sa première victime : David Duffield - PDG de l'éditeur de PGI depuis trois mois et le renvoi du virulent Craig Conway – qui a annoncé quitter ses fonctions. Il est l'un des fondateurs de Peoplesoft, devenu numéro deux de l'édition de PGI derrière SAP, notamment à la faveur du rachat de JD Edwards qui avait mis le feu aux poudres en juin 2003.
Il semble qu'en fait David Duffield ait démissionné de son poste le 21 décembre, soit huit jour à peine après l'annonce du rachat par Oracle. Il occupait également depuis 1987 le poste de président du conseil d'administration depuis 1987 et était à l'origine de la venue de la promotion de Craig Conway en mai 1999.
Mi-décembre, Oracle avait fini par faire céder l'ultime digue - celle du conseil d'administration - après quelque 18 mois d'une offensive largement inamicale. (...)
Bilan 2004 : Oracle se paie Peoplesoft à l'usure
Il aura fallu 18 mois de guerre des nerfs pour que Larry Ellison - toujours sémillant PDG d'Oracle - s'octroie finalement Peoplesoft, obtenant en route la peau de Craig Conway, le plus farouche des adversaires de la fusion. La victoire a cependant un coût : 10,3 Md$, soit le double de l'offre initiale. Et quelques victimes collatérales. Outre Conway, IBM peut être inquiet, JD Ewards et Peoplesoft étant les principaux partenaires OEM de son serveur d'applicationsWebSphere. Egalement dans l'expectative, les utilisateurs Peoplesoft auxquels l'éditeur a promis durant de longs mois qu'il ne céderait pas au comportement jugé grossier d'Oracle. (...)
(23/12/2004 18:33:39)Résultats records pour Cognos
Cognos a annoncé mardi 21 décembre des résultats records pour son troisième trimestre fiscal 2005, clos le 30 novembre. Au cours des trois mois de la période, le CA de l'éditeur canadien de business intelligence a bondi de 22 % à 210,4 M$, tiré notamment par la progression de 26 % des ventes de licences. Pour la période, le bénéfice net a atteint 34,5 M$, soit une progression de 42 % sur un an.
Rob Ashe, le président et CEO de Cognos s'est félicité du résultat soulignant notamment la signature de 15 contrats de plus de 1 M$ avec des clients comme Boeing, Daimler Chrysler ou Staples. L'éditeur a également gagné de nouveaux contrats avec des clients européens comme Novartis ou Snecma.
Cognos affiche de plus son optimisme pour les mois à venir. L'éditeur mise sur un CA de 235 à 240 M$ pour le trimestre en cours et sur un bénéfice net supérieur à 41 M$. (...)
IBM améliore les fonctions de synchronisation de données de WebSphere Product Center
S'appuyant sur les technologies rachetées lors de l'acquisition de Trego, IBM vient de dévoiler Global Data Synchronization (GDS) for WebSphere Product Center, un outil destiné à simplifier la synchronisation de données entre partenaires commerciaux. GDS for WebSphere Product Center permet par exemple de gérer des abonnements à des pools de données et de gérer la synchronisation sécurisées de ses données entre partenaires. L'application vise notamment le marché de la synchronisation de catalogues produits entre marchands et fournisseurs, mais aussi entre entrepôts et magasins. (...)
(22/12/2004 18:39:53)Homsys se renforce avec l'aide d'Aston
Le groupe Homsys et la SSII Aston viennent de décider de fusionner. Homsys Group compte trois pôles d'activités : Homsys, spécialisé dans la business intelligence ; Objet Direct, spécialisé dans les technologies objet et Internet ; et Kedros pour les architectures réseaux et systèmes. Dans un communiqué, Aston explique que ce rapprochement est l'occasion de se conforter sur son "coeur de métier (génie logiciel, architectures objet, Intégration de système, BPM, workflow et portail) avec les compétences Objet et architectures de Web d'Objet Direct" et d'affirmer son "rôle d'intégrateur grâce aux compétences en architectures systèmes et réseaux de Kerdros". Selon Aston, ses "30 consultants en Business Intelligence vont permettre à Homsys d'asseoir sa position d'acteur incontournable de la Business Intelligence sur le marché français."
Le rapprochement des deux SSII donne naissance à un groupe "de plus de 500 ingénieurs et consultants, avec 35 M¤ de chiffre d'affaires en 2004." Alain Chabroche, PDG d'Aston devient directeur général délégué de Homsys Group. (...)
SAP dope son support à l'analyse sécuritaire
Le spécialiste du PGI étoffe son offre de support Active Global Support, en créant Security Optimisation, un service d'analyse et d'évaluation des conditions de sécurité en environnement SAP. Objectif selon l'éditeur : éliminer tous risques de failles et d'intrusions.
Selon l'éditeur, le service est automatisé et surtout administré à distance par les équipes SAP. Au bout de un ou deux jours, il dresse un rapport détaillé des éventuelles failles. Des consultants SAP (SAP Consulting), ou partenaires SAP, viennent par la suite analyser les résultats.
Pour l'heure, aucune tarification n'a été communiquée. (...)
Fin du feuilleton : PeopleSoft cède à Oracle après 18 mois d'une résistance acharnée
Après plus de dix-huit mois de bataille, Oracle va finalement avaler PeopleSoft. Alors que les deux éditeurs devaient se retrouver aujourd'hui devant la justice du Delaware statuant sur les mesures anti-OPA de PeopleSoft ("poison pill", la pilule emploisonnée), le conseil d'administration de PeopleSoft a en effet donné son aval à l'offre d'achat de son concurrent, revue au passage à la hausse à 26,50 $ par action. La dernière offre d'Oracle valorise désormais PeopleSoft à environ 10,3 Md $, soit le double de l'offre initiale faite par le géant des bases de données en juin 2003 (5,1 Md$). La résistance n'aura donc pas été vaine.
L'annonce de la fusion intervient alors qu'Oracle affiche des résultats record, avec un bénéfice net de 815 M$ (+ 35 %) pour le trimestre écoulé (deuxième trimestre fiscal 2005) et un CA de 2,76 Md$ (+ 10 %) tiré par la forte progression des ventes de licences (+ 14 % au total mais + 57 % pour Oracle Applications).
La nouvelle offre d'Oracle à été approuvée par les conseils d'administration des deux sociétés et devrait se traduire par une fusion dans le courant du mois de janvier. Dans un communiqué, PeopleSoft indique que son conseil d'administration a finalement décidé que l'offre d'Oracle offrait une juste compensation à ses actionnaires. On est loin de l'accueil initial de Craig Conway en juin 2003 qui avait commenté ainsi l'offre de son concurrent: "Un comportement particulièrement grossier de la part d'une entreprise dont l'histoire est faite de comportements particulièrement grossiers".
Faire converger les portefeuilles applicatifs
Selon Oracle, les actionnaires de PeopleSoft ne seront pas les seuls à profiter de la fusion. Celle-ci devrait aussi bénéficier aux clients, car Oracle compte investir lourdement dans le développement et le support des applications existantes.
Officiellement, Oracle prévoit d'améliorer PeopleSoft 8 et de d'achever le développement de PeopleSoft 9. L'éditeur devrait aussi améliorer JD Edwards 5 et proposer une version 6 du PGI pour PME.
Parallèlement, Oracle entend faire converger ses propres applications avec celles héritées de PeopleSoft. Aucun calendrier n'a toutefois été présenté à ce jour.
IBM, grand perdant de la fusion
Le mariage entre PeopleSoft et Oracle devrait faire une victime, à savoir IBM qui fournit le middleware sous-jacent aux applications de JD Edwards et qui avait signé un accord avec PeopleSoft pour faire de même avec ses applications. Il y a peu de chance que ces accords survivent à moyen terme, puisqu'Oracle devrait en toute logique faire de sa propre offre de middleware J2EE le coeur des futures versions des applications PeopleSoft et JD Edwards. Big Blue devrait donc perdre l'un de ses principaux partenaires OEM pour WebSphere. Oracle, de son côté, pourra afficher une stratégie proche de celle de SAP, qui vise à coupler offre de middleware et applications métiers. (...)
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