Flux RSS

Externalisation

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

164 documents trouvés, affichage des résultats 91 à 100.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(18/01/2008 17:07:02)

Web-conférence : Adobe choisit Dublin pour les ressources nécessaires à Connect

En Europe, Adobe vient de faire un pas de plus vers les logiciels en ligne. L'éditeur a annoncé qu'il allait créer à Dublin l'infrastructure nécessaire pour héberger des services. En particulier son outil de web conférence Connect. Aux États-Unis, Adobe a déjà commencé à proposer des services hébergés. Connect se positionne contre WebEx (racheté par Cisco) et contre LiveMeeting de Microsoft. Adobe prévoit aussi d'héberger les ressources nécessaires à Shara (plateforme collaborative) et à Premier Elements (édition de vidéo en ligne). Rappelons que c'est aussi à Dublin que Microsoft mettra en service en 2009 son premier datacenter européen et que Google compte dans cette région les effectifs les plus importants d'Europe. (...)

(18/01/2008 10:20:19)

Les SSII françaises intéressées par l'offshore en Tunisie

Organisée par la chambre nationale des SSII tunisiennes (Infotica) en partenariat avec le Syntec, la conférence sur les enjeux et les opportunités de l'offshore en Tunisie est un succès. Elle a réuni hier plus de 130 participants, dont une soixantaine de SSII françaises (comme Sodifrance ou SII), trente sociétés de services tunisiennes et divers éditeurs. L'objectif de cette rencontre était clair : mettre en valeur le potentiel de la Tunisie dans l'offshore des technologies de l'informatique et de la communication. Kais Sellami, président d'Infotica et DG de la SSII tunisienne Discovery Informatique, a indiqué que « la Tunisie dispose d'un réservoir culturel, compétitif, géographique, linguistique et éducatif très attractif pour les SSII françaises ». L'Inde reste la destination préférée des entreprises en matière d'offshore (avec une croissance européenne de 60% en 2008, selon le Gartner), mais ce pays très prisé devra désormais faire face à une concurrence accrue, en Europe de l'Est et dans les Etats du Maghreb. Michel Picaud, PDG d'HR Access (éditeur de logiciels de gestion des ressources humaines), souligne par exemple que la Tunisie comporte deux atouts de taille par rapport à l'Inde : la proximité (en parlant de nearshore, plutôt que d'offshore) et la stabilité des équipes. Selon lui, le turn-over des salariés est trop important en Inde, ce qui gâche la qualité et le suivi des services. Notons par ailleurs que le gouvernement tunisien s'implique de plus en plus dans le déploiement d'infrastructures informatiques et télécoms. Une loi « d'orientation de l'économie numérique » a été votée en avril 2007 par la chambre des députés. Elle a pour but de dynamiser le développement de l'informatique dans le pays, démocratiser Internet et attirer les investisseurs étrangers. (...)

(14/01/2008 14:36:02)

Le Gartner identifie les 30 pays de l'offshore de demain

Le Gartner a publié une étude recensant les trente pays qui seront les plus sollicités par l'offshore dans les années à venir (services de maintenance, développement, engineering, implémentation...). Le cabinet s'est penché sur 65 pays et a analysé leur capacité à développer des services d'externalisation. En Europe, les pays de l'Est font partie du palmarès (République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Pologne, Roumanie, Russie, et Ukraine). Sans surprise, l'Inde reste le grand leader. La Chine, l'Israël, le Vietnam, l'Irlande, l'Afrique du sud ou encore l'Amérique du sud figurent également dans la liste. Le Gartner s'est servi de dix critères pour sélectionner ces trente pays. Il s'agit par exemple de la langue, des niveaux de compétences, du respect des délais, de la compétitivité des tarifs, de la sécurisation de l'infrastructure mais aussi de l'environnement politique. L'étude souligne par ailleurs que les entreprises se tournant vers l'externalisation sont de plus en plus nombreuses. Pour 2008, le Gartner prévoie une progression de l'offshore de 60% en Europe et de 40% aux Etats-Unis. (...)

(10/01/2008 15:28:27)

Sondage flash : la stratégie des acteurs globaux ne séduit pas

Les lecteurs de notre site ne sont apparemment pas séduits par la stratégie des grands acteurs du monde informatique, qui cherchent à étendre leur offre au maximum. Notre dernier sondage flash posait la question « Pour vos contrats, vous préférez ? » et proposait trois options : « Un gros acteur pour l'assurance de tout trouver », « Privilégier les acteurs locaux et/ou indépendants », et « Panacher votre panier selon vos besoins ». Sur un total de 690 votes, la première proposition n'a recueilli que 100 suffrages, soit 14,5% de voix. Autant pour ce concept de 'One stop shopping'. Toutefois, la tentation patriotique de choisir un acteur local ou le choix d'un acteur indépendant ne comptent eux que pour 26,4% des votants. S'il n'emporte donc pas franchement l'adhésion, le gigantisme des IBM, Oracle ou Microsoft ne provoque pas non plus de rejet. Ce qui prévaut, c'est le pragmatisme : vous êtes 59,1% (408 voix) à panacher selon les besoins. Notre prochain sondage : votre principale bonne résolution pour 2008. Donnez votre avis sur la page d'accueil www.lemondeinformatique.fr. (...)

(02/01/2008 18:12:28)

Les salariés indiens victimes de l'externalisation

Travailler dans une entreprise indienne spécialisée dans l'externalisation est loin d'être de tout repos et peut même être délétère. Selon une étude conjointe du magazine indien Dataquest et du cabinet IDC, conduite auprès de plus de 1700 salariés d'une vingtaine d'entreprises spécialistes de l'externalisation, 32% des salariés de ces sociétés souffrent de troubles du sommeil, 25% de problèmes digestifs et 20% se plaignent de problèmes de vue. Ces salariés souffrent aussi d'insuffisances cardiaques, de diabète ou se plaignent d'obésité. Bien sûr, leurs vies, privée et sociale, pâtissent de leurs conditions de travail. On estime à 1,6 million la population indienne employée dans le secteur de l'externalisation (centres d'appel, édition de logiciels, back-office....). Ces Indiens expérimentent les limites de l'adage "travailler plus pour gagner plus" en vogue dans la classe dirigeante française. Si cette souffrance collective n'émeut personne, elle engendre des conséquences coûteuses. Les maladies cardiaques et le diabète ont coûté 9 Md$ de productivité à l'Inde en 2005, estime l'Indian Council for Research on International Economic Relations. Cet organisme prédit que l'on pourrait atteindre les 200 Md$ d'ici 10 ans si rien n'est fait. En particulier dans le secteur de l'externalisation. Au service de clients étrangers, les salariés sont soumis à des horaires décalés et doivent répondre à de brusques changements de charges de travail. Les entreprises de ce secteur dénoncent ces conclusions. Elles affirment qu'il n'est pas plus dommageable de travailler pour elles que pour un autre employeur et que le choix d'un emploi relève de la liberté de chacun... (...)

(24/12/2007 14:54:40)

Nouvelle rumeur de rachat de Capgemini par un géant indien

Capgemini à nouveau sujet d'une rumeur de rachat par un spécialiste indien de l'externalisation. Après avoir été lorgné par Infosys, Capgemini intéresserait désormais Wipro, un autre géant de l'offshore dans le sous-continent. C'est du moins ce qu'affirme l'Hindustan Times qui, citant des sources proches du dossier, indique que l'éventuel repreneur serait prêt à offrir 48 € par action Capgemini. Ce qui valoriserait le groupe français à près de 7 Md€. Selon nos confrères indiens, Citigroup et HSBC mettraient en place le plan de rachat, pour une offre susceptible d'être lancée courant janvier. Une information que Wipro refuse d'avaliser : « nous ne voulons pas commenter les spéculations du marché. Bien sûr, nous sommes intéressés par des accords de large ampleur et recherchons activement des options de croissance externe », explique Sudip Nandy, responsable stratégique. En attendant la confirmation ou l'infirmation de ce qui n'est encore qu'une rumeur, le cours de l'action Capgemini s'envole. Alors qu'il terminait la séance de vendredi dernier à légèrement plus de 40 €, il flirtait avec les 44 € ce lundi à la mi-journée. (...)

(16/11/2007 15:02:03)

Sun et Unisys : contrat renouvelé pour trois ans

Visiblement satisfait de ses relations avec Unisys France, Sun Microsystems a décidé de prolonger le contrat de services d'externalisation qui le relie à la SSII française. Initialement annuel et renouvelable (depuis 1991), ce partenariat d'outsourcing porte désormais sur trois ans. « Après deux renouvellements annuels, Sun s'engage durablement auprès d'Unisys France en lui accordant sa confiance sur trois ans. Ce renforcement de la relation prouve combien nous sommes heureux du travail et de l'expertise des techniciens et consultants d'Unisys France », a précisé Gérard Raimbert, responsable des partenariats chez Sun. Unisys a été choisi pour sa capacité à « apporter la visibilité requise pour atteindre le niveau de transparence et de prévisibilité nécessaire pour garantir des opérations commerciales fiables », d'après Sun. Les solutions de la SSII utilisent en effet une approche 3D-VE (Visible Entreprise), qui apporte aux clients la possibilité de voir les liens de cause à effet entre stratégie commerciale, processus et besoins informatiques, puis d'intervenir en conséquence. « Cette capacité assure la prise de décisions informées, fiabilise les opérations, et évite les impacts et les coûts imprévus, pouvant empêcher la réalisation efficace de tâches », précise encore Sun. En tout, soixante collaborateurs d'Unisys se consacreront à Sun en France (une dizaine en région parisienne, les autres se situant en province). Le support technique d'Unisys sera disponible 7J/7, et 24H/24. (...)

(14/11/2007 16:34:32)

Computer Associates externalise la R&D de ses logiciels de sécurité

En externalisant chez l'Indien HCL la recherche et le développement de sa ligne de produits de sécurisation des accès, Computer Associates innove. Cette société, qui a choisi de ne plus se faire appeler que par ses initiales CA, compte parvenir à un accord définitif avec HCL pour que cet éditeur reprenne à son compte 375 de ses salariés pour assurer l'évolution de ses logiciels contre les virus, les pourriels, les logiciels espions et tous les autres qui ont à voir avec la sécurité des accès, la prévention des intrusions et la gestion de cet ensemble. CA n'assurera plus que le marketing et la commercialisation d'une logithèque qui génère une centaine de millions de dollars de chiffre d'affaires annuels. (...)

(08/11/2007 16:12:39)

La France, future pépite d'or de l'offshore indien, selon Forrester

Les entreprises françaises sont de plus en plus nombreuses à se laisser séduire par les prestations offshore de SSII indiennes (services de maintenance, développement, engineering, implémentation...). Même si, pour l'instant, la majorité d'entre elles trouve plus confortable d'externaliser la gestion de leur service informatique auprès de sociétés compatriotes, voire européennes. C'est ce que révèle une étude publiée par le cabinet d'études américain Forrester. Pour étayer son analyse, ce dernier s'est penché sur le cas de six sociétés de services indiennes parmi les plus en vue : Cognizant, HCL, Infosys, Satyam, Tata Consultancy Services et Wipro. Il a passé au crible l'ensemble de leurs données clés : chiffre d'affaires, stratégie d'investissement, engagement en terme de ressources humaines, et a même interrogé quelques-uns de leurs plus gros clients/prospects. Les conclusions sont « surprenantes » d'après les termes même de l'étude. Si les sociétés de services indiennes s'intéressent depuis des années à l'Europe (notamment en raison de la forte valeur de l'euro), ce qui est plus récent en revanche, c'est leur intérêt grandissant pour la France. A première vue, les chiffres d'affaires réalisés par ces sociétés dans l'Hexagone semblent dérisoires (pas plus de 3% de l'ensemble des revenus enregistrés en Europe, dans le meilleur des cas). Mais ces chiffres ne sont pas révélateurs de la réalité du terrain. Toujours d'après le cabinet d'étude, les revenus des SSII indiennes y sont en constante progression et la France serait même en passe de devenir leur nouvel eldorado. Des sociétés qui s'investissent pour séduire leur clientèle Du côté indien, la raison de cet engouement français est simple. Ces sociétés de services considèrent l'Hexagone comme « une source de revenus encore mal exploitée », contrairement à la Grande-Bretagne, par exemple, qui représente déjà jusqu'à 75% de leurs chiffre d'affaires européen. Forrester pense même que des prestataires comme Cognizant (qui emploie douze personnes à plein temps à Paris), Infosys ou TCS s'apprêteraient à placer le développement du marché français au coeur de leurs priorités. [[page]] D'autres sociétés concentrent leurs efforts sur la France pour des raisons purement logistiques : elles y sont déjà installées. TCS, par exemple, y opère depuis novembre 2006, suite à l'acquisition de 75% du capital de TKS-Teknosoft. De son côté, Wipro a profité de deux acquisitions européennes pour s'y développer rapidement, grâce au portefeuille de clients français apportés par ces rachats. La SSII dispose actuellement de bureaux à Paris, à Lille, ainsi que d'un centre de recherche à Sophia Antipolis. Satyam a, pour sa part, opté pour un roulement du personnel. Quinze collaborateurs sont présents en France, mais changent en fonction des phases des projets en cours. Différences de culture et de langue ne constituent plus une barrière Du côté des entreprises hexagonales, ce sont les niveaux de compétences (jugés élevés), le respect des délais et la compétitivité des tarifs qui remportent les suffrages auprès des DSI. Même les différences culturelles et la barrière de la langue ne représentent plus un obstacle. D'ailleurs la plupart des sociétés de services indiennes mettent un point d'honneur à pratiquer le français. Chez Cognizant par exemple, on dénombre une dizaine de personnes bilingues, et la société a même mis en place un programme d'apprentissage du français. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >