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Formation

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(26/01/2007 17:33:22)
Profession : « formateur-relais »
Si les « formateurs-relais » ne sont répertoriés nulle part sous cette dénomination, leur existence est bien réelle. Concrètement, ils sont issus du terrain, c'est-à-dire de l'entreprise où ils travaillent et reçoivent une véritable instruction complémentaire à leur expérience personnelle et professionnelle, afin de relayer auprès d'autres personnes de l'entreprise les subtilités de la formation PGI qu'ils ont reçue. « Lorsque j'étais avant-vente chez Peoplesoft, j'avais l'habitude de rencontrer des DRH. Cette expérience m'a permis de comprendre qu'il y avait un vrai besoin autour des PGI. Le niveau d'adhésion des utilisateurs finaux n'était pas toujours bon, d'où l'idée d'accompagner les entreprises dans leurs projets de formation de leurs utilisateurs finaux », indique Jérôme Lhermitte, dirigeant de Noveum. Son entreprise est sur un créneau original : elle travaille avec des grands comptes qui font appel à ses services en matière de formation sur-mesure dans le domaine des PGI. Des salariés qui transmettent à leurs collègues la pédagogie reçue « Chez Alstom, lors de la mise en place de la nouvelle version Peoplesoft RH 8.9, les supers-users ont été impliqués dans la phase de tests d'intégration et dans la validation des nouveaux outils de formation », poursuit Jérôme Lhermitte. Ce qui signifie que les clients qui ont recours à ces formations n'hésitent pas à prendre en compte cette évolution d'un nouveau genre dans le parcours professionnel des salariés. En effet, au lieu de faire intervenir des personnes extérieures qui risqueraient de n'avoir aucune légitimité vis-à-vis des autres collaborateurs, le concept de « super-users » implique complètement les salariés qui sortent des rangs en interne. Dans le même temps, une entreprise comme Noveum, qui base son modèle économique sur ces formations particulières et haut de gamme, doit faire preuve d'une excellente connaissance dans les PGI. Il est également nécessaire de connaître les outils adaptés aux PGI et de prendre le temps de découvrir la culture et le projet d'entreprise pour former, de la manière la plus efficace possible ces formateurs relais. La réussite de ces formations ? Lorsque ces novices dans les PGI deviennent les nouveaux ambassadeurs d'un système de plus en plus répandu dans les grandes entreprises. (...)
(25/01/2007 15:41:43)L'axe franco-chinois se renforce pour la formation de cadres high-tech
La croissance à deux chiffres de la Chine, et les 50 milliards d'euros (63 milliards de dollars) d'investissements étrangers qu'elle suscite, donnent du relief à la multiplication des partenariats entre structures d'enseignement et de recherche chinoises et françaises. Dernier accord en date, annoncé ce 24 janvier, celui de l'INT (école d'ingénieur télécom et école de management) vise l'accompagnement à l'international de jeunes entreprises innovantes, assuré conjointement par l'incubateur d'INT et par le HTIBI (Hi-Tech International Business Incubator) de Beijing, le premier de la république populaire qui a contribué à la constitution d'un réseau de 500 incubateurs à travers le pays. Par ailleurs, c'est en profitant du programme européen Asia Link que l'école des Mines de Paris et l'Insa Lyon ont mis sur pied, avec l'université de Tsinghua (Pékin), un cursus menant à un double diplôme franco-chinois (Mastère spécialisé pour la France, master of engineering à Pékin) en management de l'environnement. Pour une quinzaine d'étudiants de part et d'autre, et sur une durée de 14 mois, dont 4 mois d'enseignement en France, 4 en Chine, puis 6 mois de mission en entreprise. Le groupement des écoles des Mines (GEM) et le réseau des INSA qui veillent, l'un et l'autre, à renforcer la visibilité internationale de leur offre en fédérant les initiatives de coopération hors frontières de leurs établissements (7 pour le GEM, 5 pour les INSA), concrétisent ainsi un degré de synergie supplémentaire au niveau national. Parmi les autres cursus à connotation informatique (au sens large) d'écoles d'ingénieurs ayant lancé courant 2006 de nouveaux liens avec des établissements chinois, l'Esigelec, l'Isep, l'ECE (dans le domaine des systèmes et électronique embarqués), l'école des Mines de Nantes (en génie logiciel, avec l'université de Bruxelles). Dans chaque cas, les échanges d'étudiants, et les relations entre enseignants-chercheurs, notamment pour le volet pratique du programme (projet en équipe hybride et/ou en entreprise) font également l'objet de partenariats avec des grands industriels. (...)
(23/01/2007 12:29:56)L'Edhec jumelée avec la Hong Kong University of Science and Technology
Avec sa filière intercontinentale « 3 ans - 3 continents » lancée en 2004 et qui sélectionne chaque année 80 étudiants, l'Edhec (4 700 étudiants répartis sur 3 campus à Lille, Nice et Paris) donne la possibilité à ces derniers d'étudier chaque année sur un continent différent. L'intérêt de ces partenariats signés par l'Edhec, qui célèbre son centenaire, est de former des futurs dirigeants à mener des projets et des hommes dans un contexte multiculturel. Les deux derniers partenariats viennent d'être conclus avec la Central University of Finance and Economics à Pékin et la Hong Kong University of Science and Technology. Selon les responsables de l'Edhec, qui soulignent ne pas avoir la volonté stratégique d'unir à l'avenir leur école uniquement avec des structures étrangères spécialisées dans les technologies, « cette université a été choisie pour ses qualités et son excellence dans le domaine scientifique, et pour sa complémentarité avec le parcours Edhec. Nous avons pensé qu'il était intéressant d'offrir à nos étudiants la possibilité d'une immersion dans ce domaine et tout particulièrement en Asie, en fonction de leurs centres d'intérêt. D'autant plus que la prédominance de l'Asie sur le marché des nouvelles technologies et de l'informatique est avéré. » Ce partenariat est néanmoins loin d'être anodin : Edhec, groupe réputé de formation au management a choisi une université chinoise spécialisée en sciences et technologies, dans un contexte de mondialisation qui s'intensifie. Ce choix est fait, alors que le développement de la Chine est surveillé par l'ensemble des pays occidentaux et qu'il se murmure que demain, les centres de recherches pourraient être indiens et les usines chinoises. Avec des managers français ? (...)
(19/01/2007 16:56:15)Parler anglais devient un must pour les développeurs
Savoir parler, écrire, comprendre et se faire comprendre en anglais fait désormais partie du bagage de base des développeurs. Progression du travail coopératif à l'échelle internationale oblige, les responsables de formation (initiale et continue) sont invités « à élargir, dans leurs programmes, la place faite à la pratique de l'anglais ». C'est une des conclusions, lancées à titre de recommandations aux développeurs et à ceux qui les forment et qui les embauchent, de l'enquête sur la situation des 53 000 développeurs en exercice en France effectuée par l'Opiiec (observatoire paritaire des métiers et compétences de la branche Syntec). Pour ceux qui se sentent interpellés, à compter de mi-avril, un test d'anglais adapté au contexte professionnel sera accessible en France sous l'appellation Toeic-4 skills. En tant que variante du Toeic (Test of English for International Communication), le test le plus utilisé au monde, cette évaluation de l'anglais professionnel tient compte du vocabulaire étoffé, adapté aux modes de communication actuels, et de l'utilisation d'accents anglophones différents. Autant d'éléments qui accentuent le caractère international du test. L'évaluation couvre ainsi les quatre compétences : la compréhension écrite et orale, l'expression écrite et orale. Les promoteurs du « Toeic-4 skills », dont la société ETS, profitent du salon Expolangues, du 24 au 27 janvier à Paris, pour présenter ce contenu remanié du Toeic ainsi que des formations à base d'exercices pratiques pour préparer le test. (...)
(18/01/2007 15:36:32)L'informatique des PMI: objet d'une coopération entre l'Ecole des Mines d'Albi et l'éditeur Sylob
Associer à la préparation d'une thèse sur la modélisation des processus de petites entreprises industrielles, la conception-développement d'un progiciel de gestion intégré : c'est ce qui a tenu en haleine pendant quatre ans, à côté du thésard-ingénieur de l'école des Mines d'Albi-Carmiaux et de son directeur de recherche, Hervé Pingaud, l'équipe R&D (une vingtaine de personnes, 10 000 journées-homme) de l'éditeur occitan Sylob. L'initiative originale, soutenue par l'Anvar, par l'université du Mirail (Toulouse) pour la partie ergonomie, et par un couple d'entreprises locales (du secteur mécanique) qui se sont prêtées au jeu du beta-test, a donné naissance au progiciel Agilus qui vient compléter la gamme de cet éditeur spécialiste de la GPAO. Après un lancement régional, en novembre dernier, et en prélude au lancement national prévu pour juillet 2007, la mise au point du progiciel prolonge la collaboration de l'école d'ingénieurs et de l'éditeur. Et ce, non seulement par l'accueil de stagiaires (trois des élèves-ingénieurs de l'Emac ont été embauchés par Sylob durant la période de conception) mais aussi lors de colloques (journée scientifique en décembre 2006 sur les pratiques et processus et le génie logiciel adapté à la conception d'ERP, à l'institut polytechnique de Toulouse, INPT-Ensiacet, école orientée génie industriel, génie des procédés, génie chimique) et au sein du groupe de recherche européen Interop V-Lab auquel adhère le projet Emac-Sylob. Un séminaire, le 8 février à Albi, fera le point sur cet « exemple concret de collaboration recherche-industrie » et sur ses perspectives de retombées économiques. (...)
(17/01/2007 17:10:10)La recherche partenariale et l'innovation à l'ordre du jour des grandes écoles
Alors que 20% des doctorats délivrés en France, soit près de 2000 thèses par an, sont préparés dans les laboratoires des grandes écoles, le plus souvent en co-habilitation avec des établissements publics de recherche (universités, CNRS, Inria pour l'informatique), les dirigeants des écoles ouvrent le débat sur les changements de positionnement induits par la loi de programme pour la recherche et la réforme des études doctorales. Le colloque organisé les jeudi 18 et vendredi 19 janvier à Paris par la CDEFI (conférence des directeurs d'écoles d'ingénieurs) axe la réflexion à la fois sur la recherche partenariale et sur la formation par la recherche. Deux enjeux majeurs des relations entre écoles/universités et entreprises, à l'heure où l'innovation et la recherche sont des maîtres-mots de l'évolution des économies nationales. Parallèlement, le 19 janvier à l'INT d'Evry, l'option « ingénierie d'affaires internationales » invite enseignants-chercheurs, étudiants et représentants des entreprises à envisager l'évolution des pratiques pédagogiques sous l'éclairage du partenariat entre l'enseignement supérieur et le monde de la R&D et de l'innovation, et plus particulièrement les start-up's. Exemple des questions soulevées : à quelles conditions peut-on faire entrer les start-up's dans les salles de cours ? Quels bénéfices pour ces entreprises ? Quel statut théorique accorder à ces nouvelles pratiques pédagogiques ? Ce choix des thèmes de débats a par ailleurs le mérite de ne pas donner prise d'emblée à la polémique, au moment où le rapport d'une enquête commanditée par le ministère de l'Economie et des Finances et le ministère de l'Education et de la Recherche, (Le Monde, 15 janvier) remet sur le tapis les failles de la valorisation de la recherche en France. Un constat établi par deux inspecteurs généraux (Henri Guillaume et Jean-Richard Cytermann), confidentiel (seule la rédaction du Monde y a eu accès pour l'instant) et d'autant plus controversé qu'il néglige le distinguo entre recherche fondamentale et recherche appliquée. Les écoles d'ingénieurs, pour leur part, fortes de leur implication dans la recherche partenariale (un quart de leur budget de recherche relève de contrats avec les entreprises, 7% des collectivités, 13% de l'Europe, le reste de l'Etat) tiennent à réaffirmer que cette implication ne se cantonne pas - loin s'en faut - à la prise en compte de contraintes budgétaires. Elles étendent ainsi le champ de leur interrogation au positionnement respectif du contenu des formations et des diplômes d'ingénieur et de docteur, au moment où le recrutement à l'international s'aligne sur les niveaux master et doctorat, et alors que, rappelle le CDEFI, « la double compétence ingénieur-docteur est une authentique plus-value». (...)
(11/01/2007 12:48:34)Le module professionnel « informatique » entre dans le cursus de licence général à l'université
Le gouvernement vient d'engager différentes mesures, relatives à la mise en oeuvre des propositions de la commission du débat national Université-Emploi. Elles sont directement liées à la professionnalisation, notamment par le renforcement de l'offre de formation courte professionnalisée « post-bac », afin de faciliter la réattribution rapide des places encore disponible en IUT ou STS ou de permettre, en cours d'année, à des étudiants de l'université de réorienter leurs études. Cette communication du ministre de l'Education nationale souligne encore la nécessité de professionnaliser la formation à l'université et d'améliorer l'insertion professionnelle des diplômés. Celle-ci se fera par une meilleure articulation entre les licences professionnelles et les deux premières années de la licence générale, et par l'introduction des modules professionnalisés, comme l'informatique, dans le cursus de licence générale. Enfin, le rapprochement de l'université et le monde de l'emploi prend forme, avec la création d'un service des stages et de l'emploi dans chaque université et la mise en oeuvre d'« observatoires des parcours et de l'insertion professionnelle des diplômés » au sein de chaque établissement. Les milieux socio-économiques seront également partie prenante à cette initiative en étant associés à la mise en place des programmes universitaires. Seul bémol : le gouvernement n'a pas encore chiffré le budget qu'il consacrera à cette réforme de fond de l'enseignement. (...)
(10/01/2007 17:24:01)La conduite du changement : un thème porteur pour la formation en 2007
Face au rythme des projets de transformation des organisations qui tend à s'accélérer et qui met au défi les compétences et comportements des managers - informaticiens et utilisateurs -, une offre ad-hoc de formation et d'entraînement sur mesure est en émergence. Texte: Décidément dans l'air du temps, avec notamment l'invasion des progiciels qui re-formate le fonctionnement des entreprises, la conduite et l'accompagnement du changement suscitent une vague d'initiatives de formation destinées aux professionnels aguerris, mais aussi pour préparer les futurs cadres. Ainsi, Capgemini Consulting, à la demande des entreprises, vient de formaliser un programme d'entraînement intra-entreprise pour managers et dirigeants, avec le lancement en décembre 2006 d'une « Université de la transformation ». Au delà des compétences métiers, fonctionnelles et managériales, sur lesquelles ils sont traditionnellement formés, selon Sonia Artinian, directrice de ce nouvel institut, le pilotage des projets de transformation passe par la maîtrise de compétences et de comportements qui ne s'improvise pas. Notamment quand il s'agit d'ancrer les changements de pratiques dans le quotidien des équipes tout en s'alignant sur les objectifs de résultats fixés par les directions générales. De même, pour le prestataire de formation Orsys, sur la base de la demande générée par la filière conduite de changement (deux jours de stage pour managers), le catalogue s'est enrichi en septembre dernier avec trois stages de deux jours sur des problématiques familières aux cadres informaticiens, directeurs de projets ou chefs de projets, à savoir : l'alignement stratégique de la DSI ; construire une DSI performante (au programme la co-responsabilité informaticiens-utilisateurs, les engagements et contrats de service, etc) ; le retour sur investissement (sensibilisation à la mesure et au pilotage de la création de valeur associée aux systèmes d'information et aux changements induits). Des ateliers thématiques à l'initiative d'une association d'anciens Toujours sous l'angle de l'adaptation au changement, la responsabilité et l'entretien de la motivation du manager, face et avec son équipe, sont les thèmes choisis par l'association des anciens de l'ICN, école de management de Nancy, pour une série d'ateliers thématiques organisés à Paris depuis novembre dernier. Partant de l'idée d'entretenir les relations entre anciens avec une formule de formation/information adaptée aux nouvelles exigences de leur contexte professionnel, cette initiative trouve effectivement écho dans une participation croissante à ces ateliers (de vingt à trente personnes, d'une session à l'autre). Comme d'autres Sup de Co (La Rochelle, Grenoble EM), l'école nancéenne conjugue la préparation à la conduite du changement aussi bien dans son programme de formation continue qu'en formation initiale. Avec, notamment, un cursus original de préparation au coaching (fondamentaux, coaching individuel, d'équipe, d'entreprise) en sept modules de trois jours (le premier, fin janvier) répartis sur dix mois. Commentaire d'une spécialiste de la question, Bernadette Lecerf-Thomas, consultante indépendante, sous l'éclairage de vingt-cinq ans de pratique de l'accompagnement de DSI et de directions générales : « la capacité à conduire et accompagner les changements sont des compétences clés de notre époque, et il y a de quoi faire ». (...)
(10/01/2007 16:54:05)Un logiciel et une formation gratuite à la géostatistique pour valoriser les CV des demandeurs d'emploi
Rebondir avec une corde de plus à son arc, l'usage intelligent de la visualisation de données statistiques sur la carte d'un territoire : telle est la proposition faite gratuitement aux demandeurs d'emploi par une PME de Tours, Articque, pionnière de la géostatistique. L'éditeur de l'outil Cartes & Données n'en est pas à son premier coup de diffusion médiatisée par l'attrait de la gratuité du logiciel et de l'initiation à son mode d'emploi. Depuis août 2006, avec l'opération Géocampus qui, plus classiquement, cible les étudiants et les enseignants, Articque a équipé 250 établissements, universités et lycées. «En Tunisie et au Brésil, notamment, les licences de sites qui ont permis d'équiper des parcs de 300 à 1000 postes de travail ont suscité un véritable engouement pour la pratique de la cartographie chez les étudiants », note Georges-Antoine Strauch, PDG d'Articque. De quoi réaliser notamment que la manipulation d'un logiciel s'acquiert plus vite et plus facilement que la pratique intelligente du géomarketing et de la géostatistique. « Il ne s'agit pas de former des experts, comme cela se fait au compte-goutte pour des petites équipes utilisatrices de systèmes d'information géographiques au sein de collectivités ou de grandes entreprises. Pour les personnes intéressées, il s'agit de profiter d'une période de disponibilité pour acquérir une pratique utile dans de nombreux contextes professionnels », remarque le PDG, docteur en sciences économiques et ancien professeur. Pour l'opération lancée fin décembre 2006 en direction des demandeurs d'emploi, les instances de l'ANPE et de l'Apec se sont d'ores et déjà montrées intéressées pour relayer la proposition de l'éditeur. (...)
(10/01/2007 09:35:12)Parrainé par Safran, le Forum Polyméca attend un millier d'étudiants
L'édition du Forum Polyméca 2007 aura lieu le 17 janvier au Parc Floral de Paris (à Vincennes) à partir de 9h. Il est organisé par les étudiants de l'Association Supmécaforum, en collaboration avec l'ENSMA (Ecole nationale supérieure de mécanique et d'aérotechnique), l'Ensiame (Ecole nationale supérieure d'ingénieurs en informatique automatique mécanique énergétique et électronique) et l'ENSMM (École nationale supérieure de mécanique et des microtechniques de Besançon), avec le parrainage de Safran (le groupe constitué de Snecma et Sagem). L'objectif est de permettre à environ 1000 étudiants d'établir un contact privilégié avec les 30 entreprises nationales et internationales participantes dont EADS, Eurocopter, Unilog, SNCF, Snecma/Safran, Sagem, Veolia, RATP, Bosch ou Altran. Cette manifestation rassemblera d'un côté les étudiants, chercheurs et anciens élèves et, de l'autre, des entreprises désireuses de se faire connaître et de débattre sur différents thèmes (formation, métiers, intégration professionnelle...) en vue également de proposer des offres de stages et d'emplois. A la demande des entreprises, les CV des étudiants seront consultables à l'avance sur le site Internet du forum et des salles d'entretien seront mises à disposition pour des rencontres personnalisées. (...)
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