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Formation

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(03/01/2007 17:19:27)
DIF : 58% des PME se disent prêtes à offrir des plans de formation
« Il a fallu du temps pour que le DIF se mette en place. Selon l'enquête que nous avons effectuée au mois de mai 2005 sur un panel de 800 salariés et 380 DRH, 3% des salariés avaient consommé du DIF, contre environ 10% prévu pour 2006. Le mouvement s'accélère. En 2007, le quart des salariés devrait profiter du DIF », indique Jacques Coquerel, le président de la Cegos (organisme de formation continue). Avancée sociale incontestable, le DIF était, jusqu'à présent, pourtant victime d'un déficit de (re)connaissance : une mesure comme les 35h hebdomadaires était davantage mise en avant par les partenaires sociaux. Aujourd'hui entreprises et salariés semblent avoir pris la mesure du DIF et de nombreuses initiatives sont régulièrement mises en avant. D'ailleurs, un sondage Agefos-PME (organisme gestionnaire des fonds de la formation professionnelle), réalisé avec Ipsos en avril 2006, indiquait que 74% des dirigeants avaient entendu parler du dispositif, mais que seulement un tiers des personnes interrogées le jugeait « simple à mettre en ?uvre ». 84% des dirigeants de PME ont entendu parler du DIF La 14ème édition du baromètre « Emploi et formation dans les PME » d'Agefos-PME et le sondage « Perspectives 2007 », effectué par Ipsos auprès de 500 dirigeants ou DRH de PME (10 à 500 salariés) et de TPE (1 à 9 salariés) en décembre 2006 confirme le sondage effectué au mois d'avril : 58% des PME et 29% des TPE disposent d'un plan de formation pour le DIF. Selon ce baromètre, 84% des dirigeants de PME et 47% de ceux des TPE connaissent le DIF. Pour les entreprises de plus de 50 salariés, le taux est proche des 100%, ce qui signifie que le message est passé. Mais les salariés sont-ils au courant de leur droit ? Il semble que de gros efforts soient à faire de ce côté, notamment au sein des très petites structures, puisque 62% des responsables de TPE et 69% de ceux des PME évaluent à une très faible minorité le nombre de collaborateurs qui va demander à en bénéficier. (...)
(03/01/2007 17:18:52)Un Observatoire « prospectif » des métiers en vue d'orienter les formations proposées
L'Observatoire prospectif des métiers et des qualifications dans la branche des organismes de formation vient d'être créé, sous l'impulsion de la CPNEF (Commission paritaire nationale emploi et formation). Un protocole d'accord a été conclu par la FFP (Fédération de la formation professionnelle) et cinq syndicats de la branche des organismes de formation privés (CFDT, CFE-CGC, CFTC, FO, CGT). S'il est destiné aux organismes de formations privées, il concerne également l'ensemble de la filière emploi, puisque les entreprises pourront en amont suivre l'évolution des métiers. La CPNEF confiera à l'Observatoire des études quantitatives et qualitatives, sur les emplois, les qualifications et les formations de la Branche. Le mot « prospectif » n'est pas anodin : il souligne clairement la volonté de rapprocher les personnes qui travaillent ou celles qui sont en recherche d'emploi, d'une spécialité ou d'une qualification effective que les entreprises attendent d'elles dans un futur proche. Il est également au c?ur de la stratégie mise en place par le gouvernement et les partenaires sociaux depuis plusieurs mois. L'idée est en effet de définir les priorités en matière de formation professionnelle. Difficile par exemple pour un chômeur d'obtenir un financement pour une qualification qui ne serait pas en adéquation avec le monde de l'entreprise. Ainsi, des formations en Cobol ne sont plus du tout au goût du jour, même si certains informaticiens termineront leur carrière avec cette spécification et que d'autres se forment toujours sur cette technologie. (...)
(02/01/2007 15:55:30)Débat sur la compétitivité de la formation des ingénieurs à la française
Pour célébrer son centenaire, l'Enseeiht (école d'ingénieurs toulousaine) ouvre le débat sur le rapprochement entre grandes écoles et universités, les 9 et 11 janvier, à Paris et à Toulouse. Mondialisation oblige, la concurrence entre systèmes éducatifs, tant au niveau européen qu'à l'international, incite en effet à positionner clairement les atouts et les faiblesses respectifs des formations d'ingénieurs et des universitaires, notamment en ce qui concerne la formation à la recherche et par la recherche. Quelle évolution doit-on envisager dans l'organisation des cursus - et dans celle des écoles - pour assurer la formation de l'ingénieur de demain ? Question maintes fois soulevée, surtout depuis l'alignement européen sur les deux niveaux de diplômes master (bac+5) et doctorat (bac+8), entre lesquels doit se repositionner le titre d'ingénieur pour conforter sa reconnaissance - et sa valeur - au niveau international. Une réflexion critique que les organisateurs de ces deux matinées de débat, à Paris et à Toulouse, préfèrent aborder sous l'angle des synergies possibles entre universités et écoles (représentées par leurs institutions respectives, Conférence des présidents d'universités et Conférence des grandes écoles), mais aussi avec les entreprises (dont Microsoft, Airbus, Sopra Group), compte tenu de la dynamique amorcée en France avec les pôles de compétitivité. Cette dynamique - associant enseignement supérieur et entreprise autour de projets industriels et de perspectives d'emplois bien définis - est aussi un des facteurs pris en compte dans l'organisation du prochain forum étudiants PolyMeca parrainé par le groupe Safran, le 17 janvier à Paris, qui regroupe les écoles d'ingénieurs du secteur (mécanique, électronique, microtechnique). Dont l'école SupMéca qui fête ses cinquante ans cette année. Un millier d'étudiants de seconde et troisième année y sont attendus pour un contact avec une trentaine d'entreprises (EADS, Eurocopter, Unilog, SNCF, Snecma/Safran, Sagem, Veolia, Ratp, Bosch, Altran, etc.). (...)
(02/01/2007 09:03:10)Bonne année 2007
Toute l'équipe de www.lemondeinformatique.fr vous souhaite une très bonne année 2007, et le meilleur pour vos projets personnels et professionnels. Comme de coutume, nous vous proposons quelques voeux, forcément totalement irréalistes, pour cette nouvelle année : - que le marché de l'informatique reparte à la hausse mais sans créer de bulle ; - que les éditeurs de logiciels facturent les entreprises françaises depuis la France, et plus depuis l'Irlande ou la Suisse (histoire que les taxes payées par les entreprises françaises aillent dans les caisses de l'Etat français) ; - que les besoins réels des entreprises l'emportent sur les promesses miraculeuses des fournisseurs d'informatique ; - que les politiques, et en particulier les présidentiables, s'intéressent à Internet et à l'informatique en général pour ce que cela représente comme potentiel de croissance et non plus comme un symbole d'insécurité et de destruction d'emplois. Et voici, pour commencer l'année sur une note plus enthousiaste, une prédiction tout à fait réaliste pour 2007 : votre quotidien en ligne continuera de croître et d'innover. Vous êtes de plus en plus nombreux à nous suivre, par le biais des newsletters, des flux RSS ou directement sur le site, et nous vous remercions de votre confiance. N'oubliez pas que vous pouvez aussi interagir avec nous, en nous écrivant ou en commentant les articles, en attendant d'autres possibilités qui viendront bientôt ! (...)
(27/12/2006 11:55:02)Cinquante postes en renfort pour la recherche partenariale des écoles télécoms
Pour les recherches conduites en partenariat (écoles-entreprises), le GET (groupe des écoles des télécommunications) vient d'obtenir de l'Agence nationale de recherche (ANR) un abondement de 1,4 million d'euros. Sous label d'institut Carnot, les quatre écoles concernées (Télécom Paris, ENST Bretagne, INT et Eurecom) prévoient ainsi d'accueillir et de financer les travaux d'une cinquantaine de chercheurs et ingénieurs sur quatre ans : 22 doctorants, 12 post-doc, 10 chercheurs en sabbatique et 10 ingénieurs R&D. « Une grande impulsion sera donnée dès 2007 pour démarrer les projets », précise Francis Jutand, directeur scientifique du GET. La manne de l'ANR pourra alimenter des travaux inclus au programme de recherche amont sur des sujets émergents (GET Future emerging technologies). Des travaux susceptibles, par ailleurs, de donner lieu à un transfert de technologie et à des « partenariats socio-économiques ». Concernant les thèmes privilégiés dans ce contexte -à savoir : les réseaux du futur, la sécurité, la communication quantique, la biométrie et le multimédia-, le GET fait déjà acte de leader actif au sein de réseaux d'excellence européen (partenaire de grands projets intégrés), en association avec les équipes du CNRS, de l'Inria, de l'Inserm. Début 2006, pour les 1200 chercheurs (600 enseignants, 600 doctorants) du GET, les ressources issues de la recherche partenariale représentaient déjà 30% du budget de recherche, en provenance des programmes européens, des programmes et agences de l'Etat, des programmes régionaux et des contrats de recherche bilatéraux avec les entreprises. Le label d'institut Carnot obtenu au printemps 2006 par le GET (comme une vingtaine d'autres organismes), et surtout les ressources dues à ce label, sont perçus comme un coup de pouce pour le développement de nouvelles coopérations, avec d'autres labos pour la recherche amont et, en recherche finalisée, avec les entreprises, avec une attention particulière pour les PME innovantes. (...)
(26/12/2006 16:31:32)Handimanagement : des futurs managers sensibilisés à la question de l'emploi des personnes handicapées
Un projet pédagogique du nom de "handimanagement" a été lancé, dans le but de sensibiliser les étudiants de grandes écoles et futurs managers à l'insertion professionnelle des personnes handicapées, un mois après la semaine du handicap destinée à montrer à la société une catégorie de la population trop souvent oubliée et discriminée. Vingt grandes écoles (dont l'Ecole Centrale de Paris, l'Ensam et l'Insa Lyon) ont, chacune, engagé une équipe d'étudiants qui reçoit une formation au monde du handicap. Ces derniers travaillent avec des entreprises qui se sont engagées à leurs côtés. Leur mission : sensibiliser leurs camarades à l'insertion professionnelle des personnes handicapées. Les plans d'action seront dévoilés école par école le 16 janvier et se dérouleront en deux temps : une "journée-combat" centrée sur l'amélioration concrète de l'intégration des personnes handicapées, et une semaine complète de sensibilisation qui aura lieu au printemps et qui est destinée à l'ensemble des étudiants et professeurs de chaque école, destinée au dépassement des peurs et des appréhensions d'un monde que l'on ne veut pas toujours connaître. Le projet se terminera par une remise des prix en mai. (...)
(21/12/2006 17:12:51)La Cour des comptes dénonce : trop d'universités nuit à l'Université
Pas moins de 4368 cursus proposés par 17 universités sur 182 sites, auxquels s'ajoutent 40 grandes écoles publiques : au vu du foisonnement qui caractérise l'enseignement supérieur en Ile-de-France, la Cour des comptes appelle, dans un rapport publié ce 20 novembre, à la « recomposition nécessaire » de la carte universitaire de la région. Toutes les disciplines sont concernées. L'éclatement géographique, cause d'un surcoût pour l'Etat et pour les usagers-étudiants, se double d'une complexité de l'offre de formations qui dessert plus qu'elle n'aide à l'orientation des jeunes et aggrave l'effet de dispersion des moyens. Le développement des formations « professionnelles » illustre l'effet d'émiettement et de stratification que fustige le rapport de la Cour. Pour le second cycle (licence professionnelle, master, ingénieur), on en dénombre 314 en 2005 (200 de plus qu'en 1998)... « sans que disparaissent dans des proportions comparables les formations désuètes ou en sous-effectifs chroniques ». Sans compter la myriade d'écoles privées qui complique encore la compréhension du système éducatif (tant pour les Français que pour les étudiants et observateurs étrangers). Besoin d'une "politique explicite, dotée de moyens conséquents Face à cet état des lieux, la Cour préconise, pour renforcer l'attractivité des universités, « d'articuler leur offre de formation autour d'établissements forts et visibles, capables de se mesurer à leurs concurrents étrangers ». Plus facile à résumer qu'à réaliser. L'alignement européen sur le système LMD (trois niveaux de diplômes, licence, maîtrise, doctorat) engagé depuis quatre ans, selon la méthode non directive voulue par l'Etat, n'est pas suffisamment probant et se solde, pour l'instant, par une démultiplication des diplômes. La place des grandes écoles dans le dispositif LMD est abordée dans cet état des lieux avec l'exemple des Ecoles normales supérieures qui ont transformé leurs anciens magistères en masters cohabilités avec des universités partenaires. Justement : il y a bien des rapprochements amorcés (cohabilitation de diplômes, constitution de pôles Paris Universitas, UniverSud Paris, Paris Centre Universités, Polytechnicum de Marne-la-Vallée, ParisTech pour les grandes écoles d'ingénieurs) mais sans que l'Etat se soit pour l'instant prononcé à leur égard. D'où le signal tiré par la Cour des comptes : la prise de conscience du manque de régulation, responsable historiquement de la dispersion actuelle, doit rapidement se transformer en « politique explicite, dotée de moyens conséquents » qui devrait, du même coup, permettre aux universités d'assumer le « surcroît d'autonomie » indispensable pour une refonte efficace de l'offre universitaire. (...)
(19/12/2006 18:05:27)L'Afpa balise les parcours de VAE
Tripler les flux de validation des acquis de l'expérience (VAE) en 2006 : telle est, depuis juin, la consigne du ministre délégué à l'emploi Gérard Larcher. Ce qui amènerait le dispositif à passer le cap des 60 000 titres (équivalences de diplômes) attribués à des personnes justifiant, par l'expérience et après passage devant un jury, d'un certain niveau de compétences. Un objectif qui nécessitait non seulement une simplification des modalités d'accès (arrêté du 9 mars 2006), mais surtout un renforcement de l'accompagnement des candidats sur des « itinéraires longs, complexes et à l'issue incertaine » comme le dénonçait en 2005 une étude du Cereq (Centre d'études et de recherches sur les qualifications). Ce à quoi répond précisément le site d'information Oriadis lancé par l'Afpa (Association pour la formation professionnelle des adultes). Certes, la majorité des 20 500 validations enregistrées en 2005 concernent un tout premier niveau de qualification (certificats de compétence professionnelle, ou CCP) destiné notamment à faciliter le reclassement de chômeurs. La gratuité de la démarche pour les chômeurs indemnisés est, d'ailleurs, confirmée. Mais en informatique (réseaux et télécom inclus), les huit titres ouverts à la reconnaissance de l'acquis par l'expérience couvrent des profils de postes que l'on sait porteurs de débouchés. Et la VAE correspond à un objectif bien concret des informaticiens en exercice ou demandeurs d'emploi qui veulent valoriser leur CV dans un milieu particulièrement sensible au sésame que constitue le diplôme. Voire rivé sur le fatidique bac+5. Pour les ingénieurs « maison », c'est plus souvent la reconnaissance face à des pairs bardés de diplômes qu'une promotion dans la hiérarchie des postes qui compte. En 2005, la VAE conduite dans le cadre de l'Afpa, a permis à plus de 3400 personnes de décrocher un titre (pour 144 types de titres qui peuvent en faire l'objet) et près de 12 000 d'obtenir un certificat de compétences (CCP, qui vaut pour validation partielle). Une statistique à rapprocher de la part croissante que prend le secteur des technologies de l'information (informatique et télécoms) dans l'activité de formation de l'Afpa. Une part qui atteint, en 2005, près de 40% de l'ensemble des stages et des cours dispensés par les centres des 22 directions régionales de l'Afpa. Entre recherche d'organisme valideur, identification du titre, élaboration du dossier de candidature, préparation au jury de validation, recherche de financement, ce sont autant d'étapes que détaille le site Oriadis, avec moult conseils et aides en ligne, qui peuvent guider les informaticiens concernés sur la voie de la VAE. (...)
(15/12/2006 17:27:59)Début de l'édition 2007 de l'Imagine Cup
L'édition 2007 de l'Imagine Cup, le concours annuel organisé par Microsoft pour détecter les meilleurs codeurs étudiants dans le monde, vient de faire ses débuts. Doté de 170 000 $ de prix, l'Imagine Cup ne s'adresse pas à des étudiants isolés mais à des équipes de deux à quatre codeurs pilotés par un tuteur. Celles-ci doivent soumettre leurs idées ainsi qu'un code prototype de leur projet avant le 28 février 2007. Les équipes sélectionnées auront ensuite à soumettre une version plus aboutie de leur projet et viendront soutenir leurs travaux devant un panel de juges. La meilleure équipe de chaque pays représentera sa nation lors de la finale qui se tiendra cette année à Séoul. Les trois meilleures équipes mondiales percevront respectivement 25 000, 15000 et 10000$. Des Xbox 360, des baladeurs Zune ainsi que des portables HP figurent aussi parmi les lots. (...)
(14/12/2006 17:30:02)Nîmes inaugure sa nouvelle université
Une nouvelle université vient d'être créée et a reçu la visite du ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Gilles de Robien, il y a quelques jours. Elle sera opérationnelle à la rentrée prochaine et fera partie du futur Pres (Pôle de recherche et d'enseignement scientifique) du Languedoc Roussillon. Ce nouvel établissement se constituera à partir de l'actuel Centre universitaire de formation et de recherche de Nîmes (Unîmes), créé en 2002, et structuré autour de cinq pôles : sciences, droit-économie-gestion, lettres-langues, psychologie, arts. Son originalité est d'avoir intégré les enjeux d'emplois dans son enseignement et de proposer des licences et des masters professionnels, en vue de faciliter l'intégration des étudiants dans le monde du travail comme le préconise le rapport Hetzel. Gilles de Robien a signalé la signature d'une convention avec des entreprises pour proposer des stages aux étudiants, comme c'est déjà le cas dans les écoles d'ingénieurs. Le centre universitaire accueille actuellement plus de 3 300 étudiants et dépend de ses quatre universités de rattachement (les trois universités de Montpellier et l'université Paul Cézanne, Aix-Marseille III). La future université de Nîmes portera à 85 le nombre d'universités en France. (...)
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