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(23/08/2006 17:53:08)

Gestion de carrières : les CIO doivent donner envie aux jeunes

L'intérêt des jeunes baisse pour l'informatique, tandis que les experts vont partir à la retraite. La modernisation des systèmes d'information des entreprises est donc menacée, prévient Forrester Research. Face à cette situation, c'est aux directeurs des systèmes d'information de s'impliquer pour donner envie aux jeunes de faire carrière dans l'informatique. Telle est l'une des conclusions du cabinet qui a interrogé 55 experts américains de l'informatique sur ce sujet. La question portait sur l'avenir des carrières dans l'informatique d'entreprise, dans un contexte d'externalisation, d'offshoring et de réductions d'effectifs. Cette étude rappelle que le nombre d'étudiants en informatique baisse aux Etats-Unis, alors même que la fonction informatique se diversifie. Les CIO (chief informatique office, directeurs de systèmes d'information) interrogés soulignent que celle-ci est moins focalisée sur les technologies et plus orientée business aujourd'hui. Elle tend davantage à accompagner et à épouser des besoins métiers qu'à appréhender des problématiques uniquement techniques. Cette évolution contribue à diversifier les possibilités de carrières pour les informaticiens au sein de l'entreprise en créant par exemple des passerelles entre différents services. Globalement, les carrières informatiques sont moins linéaires que dans le passé. Les fonctions informatiques laissent par ailleurs beaucoup plus de place à la créativité et à l'apport de contributions personnelles qu'auparavant, estiment les CIO interrogés. Cette diversité demeure toutefois peu connue, reconnaissent-ils également. Dans le même temps, ces DSI admettent qu'ils ne font pas d'efforts particuliers pour que cela change. Face à ce constat, il est donc temps de se réveiller pour sauvegarder la fonction informatique. Les CIO doivent pousser leurs employeurs à investir à la source, c'est-à-dire dans le recrutement des jeunes et dans la formation. Ils doivent par exemple intégrer le développement de compétences à long terme dans leur stratégie. Celui-ci était considéré comme « peu glamour » dans un contexte de pression sur les coûts, mais il est pourtant indispensable pour préparer l'avenir de l'informatique d'entreprise. Il faudrait également prévoir que les jeunes recrues puissent « tourner » sur plusieurs postes au sein du service informatique mais aussi dans d'autres départements. Ces mouvements permettraient aux personnes concernées d'avoir une large vision des technologies - ce qui est essentiel pour adresser des problématiques multiplateformes actuelles - ainsi que de comprendre les besoins métier. Les CIO devraient enfin s'attacher à embaucher et à développer les compétences relationnelles de leurs équipes et à ne pas se focaliser uniquement sur des profils techniques. L'ensemble de ces mesures de gestion de carrières ne seront pas suffisantes si les entreprises n'agissent pas en partenariat avec les écoles et les universités en vue de préparer les compétences de demain. Tout cela doit aussi s'accompagner d'un changement de discours sur la fonction informatique. Les CIO devraient s'attacher à véhiculer une image plus attractive de leur métier, via tous les canaux possibles. Un vaste programme dans lequel deux cultures doivent fusionner, à l'image de ce qu'est aujourd'hui l'informatique d'entreprise : les communicants et les techniciens. Cette problématique est valable aussi de l'autre côte de l'atlantique. En France, c'est dans le même esprit de promotion du secteur IT et face à la méconnaissance - et parfois la mauvaise image - des métiers du service informatique chez les jeunes que le Syntec vient de créer l'association Pascaline, qui réunit les sociétés du marché et les grandes écoles. (...)

(30/06/2006 17:35:33)

Sysgo équipe les campus de ses logiciels pour systèmes embarqués

L'allemand Sysgo AG, spécialisé dans la conception, l'implémentation et la configuration de logiciels pour les systèmes embarqués propose de fournir aux universités européennes ses logiciels (installation, configuration et assistance par e-mail) associés de formations pratiques pour les étudiants. Il prévoit aussi d'offrir des licences pour ses solutions PikeOS, son système d'exploitation temps réel et solution de virtualisation et ElinOS, un environnement de développement pour Linux embarqué. Ce programme répond à une volonté de promotion de ses solutions et plus généralement des systèmes embarqués. « Notre intention est de rapprocher davantage les mondes de l'enseignements et des constructeurs et de générer des opportunités de développement commun pour des logiciels système durables », commente Knut Degen, CEO de Sysgo. L'éditeur allemand est présent en France à travers la société APES (AP Embedded Solutions), un partenaire dont il a fait l'acquisition en avril dernier. Il est en ce moment en pleine stratégie de déploiement et de croissance à l'international comme le montre les partenariats qu'il vient de conclure avec deux distributeurs (Act/Technico Inc aux États-Unis et Hitex Ltd au Royaume-Uni) pour la commercialisation de ses solutions dans leur pays respectif. (...)

(17/07/2006 12:43:32)

Grandes Ecoles : Supinfo ouvre ses portes à Nantes à la rentrée prochaine

L'école privée d'ingénieurs en informatique Supinfo (l'Ecole Supérieure d'Informatique - E.S.I) accueillera des étudiants en Pays de Loire à la prochaine rentrée scolaire. L'établissement ouvre une antenne d'enseignement à Nantes dans laquelle les ingénieurs en herbe pourront suivre les années de cours préparatoires qu'il propose et la première année de son cycle ingénierie. Les deux dernières années de ce cycle doivent être ouvertes en 2007 et 2008 afin que l'intégralité de la formation proposée à Supinfo Paris y soit dispensée. Cette ouverture s'inscrit dans le prolongement de la politique d'expansion régionale de l'école, qui doit également accueillir des élèves pour la première fois à Caen, Grenoble, Toulouse et Tours en octobre 2006. Ces nouveaux sites porteront à 16 le nombre d'établissements de Supinfo en France Métropolitaine et à 21 le nombre total d'écoles que compte le groupe. Ce dernier est aussi implanté en Martinique et à la Réunion ainsi qu'au Royaume-Uni, au Canada et en Chine. (...)

(13/07/2006 17:11:54)

PGI : la SAP Academy démarre à l'ESCEM

Face à la pénurie de consultants métier SAP que constatent les intégrateurs sur le marché, l'éditeur monte la « SAP Academy » pour former de nouveaux virtuoses du PGI. Il estime qu'il manquerait environ 1000 consultants (sur un total de 8000 emplois générés dans l'écosystème SAP, selon l'éditeur) pour répondre aux besoins. La première promotion sera accueillie par le département de formation continue de l'ESCEM (Ecole supérieure de commerce et de management Tours-Poitiers) qui travaille avec SAP à l'élaboration d'un cursus pilote, qui doit démarrer au mois d'octobre prochain, si tout va bien. "Les délais sont très serrés et nous allons devoir plancher rapidement sur les contenus et les modalités de la formation", soulignent de concert les acteurs concernés. L'enseignement sera en tout cas centré sur la gestion financière et déroulé sur trois mois (60 heures). Une trentaine d'heures de cours seront assurés par l'ESCEM sur les concepts et les techniques de gestion. L'autre moitié du cursus sera dispensée par des formateurs SAP et consacrée à se former sur le PGI. Ses premiers bénéficiaires (un groupe de 15 à 20 personnes) seront des collaborateurs de SSII partenaires de l'éditeur. Bénéficier des aides au financement de la formation continue Parallèlement à cette première opération, SAP prospecte d'autres écoles pour développer des cursus de même type. Il est en discussion avec l'EPSI (Ecole privée des sciences informatiques) et l'UTC (Université de technologie de Compiègne) dans cette optique. L'objectif est de former plusieurs centaines de consultants le plus rapidement possible pour assurer le déploiement de ses solutions. Il suit les traces de son concurrent Oracle qui a lancé une opération aux objectifs similaires cet hiver, mariant le recrutement et une formation de consultants métiers sur ses applications de gestion intégrées. L'Américain a pris comme option de dispenser cette formation en interne avec quatre partenaires SSII. SAP a de son côté choisi de s'adosser aux écoles afin de s'appuyer sur leur image et d'intégrer le système de la formation professionnelle continue. Cela permet aux sociétés qui souhaitent envoyer des collaborateurs en formation de bénéficier des aides au financement qui sont prévues dans ce cadre. Les dispenser dans des établissements d'enseignement supérieur reconnus est aussi la condition pour pouvoir prétendre, à terme, à ce que les cursus montés deviennent diplômants, ce qui est l'autre ambition de l'éditeur. Pour les écoles concernées, l'intérêt est clair. Il y a le projet pédagogique et l'enjeu économique." A un moment où les compétences SAP sont très demandées, cette collaboration constitue une opportunité de développer les départements de formation continue qui contribuent au financement des cursus d'enseignement initial", explique Fatima Megdoud, professeur de systèmes d'information, responsable du département management, systèmes et stratégies de l'ESCEM. (...)

(13/07/2006 17:10:51)

SAP support de cours pour les grandes écoles

Après les DSI, SAP jette son dévolu sur les profs. "On n'a rien à vendre" a pris soin de répéter l'éditeur, hier, soucieux de se dégager de son image commerciale à la Maison des Polytechniciens de Paris où il avait réuni des représentants d'écoles de commerce, d'écoles d'ingénieurs et d'universités. Le choix de ce lieu était évocateur de la logique estudiantine dans laquelle il entendait placer son intervention. Il est vrai qu'il cherchait à susciter l'intérêt de l'enseignement supérieur pour les attraits pédagogiques de son PGI et non pas à remplir son carnet de commandes dans l'immédiat. Mais il n'a pas caché toutefois les enjeux de cette réunion et des partenariats qu'il propose aux écoles pour asseoir sa position sur le marché. "Nous avons pour objectif de compter 150 000 clients en 2010 sur le plan mondial au lieu de 32 000 aujourd'hui. Cela passe aussi par le monde de l'éducation », explique Frédéric Massé, chef de secteur marché public chez SAP France. Nous souhaitons accroître le nombre de ressources formées sur nos produits (SAP estime à 600 le nombre de jeunes qui sortent chaque année de l'école avec une sensibilisation à ses outils, NDLR) pour améliorer la capacité de nos partenaires à déployer les solutions chez les clients. C'est un crève-coeur lorsque ceux-ci sont amenés à refuser des projets. L'autre enjeu majeur est de participer à l'éducation des futurs utilisateurs et décideurs de l'achat de systèmes PGI». Cinq écoles inscrites au programme Pour répondre à ces objectifs, l'éditeur propose aux écoles et aux universités d'intégrer son programme UAP (University Alliance Programme) qui leur permet de se connecter en permanence à son centre de compétences suisse, installé à l'Université des Sciences Appliquées de Valais. Pour 7000 euros par an - une somme destinée à faire vivre le centre- il leur donne accès, via un navigateur Internet ou SAP GUI (l'interface classique de SAP, installée en local et plus rapide) à tous les modules de son progiciel de gestion intégré préparamétrés (MySapERP), aux "meilleures pratiques" de dizaines de sociétés fictives ainsi qu'à SAP Netweaver (socle d'intégration du PGI) et BI Warehouse (informatique décisionnelle). Le but est que les enseignants utilisent ces outils comme supports pédagogiques à leurs enseignements, comme le fait par exemple l'ENI de Tarbes dans son cours de gestion de production. Avec elle, quatre écoles ont déjà franchi le cap UAP, l'Insa de Lyon, le Cesi de Paris, l'IUT de Tarbes et tout récemment, l'Insead. Pour ces établissements, l'intérêt d'un tel outil est d'ancrer leur cours dans la réalité de la gestion d'entreprise et de répondre à une demande des étudiants. Former sans faire de publicité L'enjeu pédagogique est aussi de réfléchir à un projet qui leur permet de se dégager du PGI pour n'en faire qu'un support et non pas de former les étudiants à la logique de gestion qu'il suggère, ni en faire sa promotion. « Il faut prendre garde à ne pas utiliser des TP tout faits proposés par SAP pour aller plus vite », note par exemple la représentante d'une grande école d'ingénieur. « Tant que l'on conserve la maîtrise de nos cours, que nous faisons intervenir des utilisateurs qui parlent de leurs bonnes et de leur mauvaises expériences avec le PGI et que nous expliquons que ses propositions ne reflètent que des choix de gestion liés à des contextes d'utilisation, on n'assure pas sa promotion », ajoute Bernard Grabot, professeur à l'ENI de Tarbes. Avec cette proposition, SAP va plus loin qu'avec ses modalités de partenariat habituelles. L'une d'elle consiste à louer aux écoles l'accès à ses serveurs sur une semaine (pour 500 euros), ce qui est limité pour établir un programme pédagogique. L'éditeur parie avec UAP sur un mode de collaboration non exclusif et non contraignant, basé sur la confiance avec les enseignants ( qui doivent être certifiés sous SAP) qui utiliseront ses systèmes, pour qu'ils s'approprient ses outils à leur rythme. Il entend ne rien imposer aux écoles, mais compte aussi sur l'émulation que créent à la fois la concurrence et la coopération entre elles pour favoriser l'adhésion à son programme. Il a aussi fourni aux participants les codes d'accès à ses solutions, ouverts jusqu'à mi-août, pour qu'ils puissent se faire rapidement une idée. (...)

(07/07/2006 18:16:24)

PGI : une journée pour préparer les compétences SAP de demain

La pénurie de compétences SAP se ressent sur le marché. Ce qui peut être un handicap pour le déploiement du PGI de l'éditeur allemand chez ses clients et constitue par ailleurs un manque à gagner en terme d'emplois. Pour favoriser le développement de la formation sur ses PGI et plus généralement l'éducation des cadres qui auront à les utiliser, les préconiser ou les acheter, SAP réunit plus de 50 établissements d'enseignement supérieur le 12 juillet, lors d'une journée dédiée qui a pour thème : « les ERP (Enterprise ressource planning, PGI en anglais, NDLR) comme supports à la formation et à la recherche dans l'enseignement supérieur ». Cette manifestation sera l'occasion de faire la promotion de son programme UAP (University Alliance Programme) qui permet aux universités, aux écoles de commerce ou d'ingénieurs de se connecter sur des systèmes pré-paramétrés et de développer leurs propres modules de formation et projets de recherche. L'objectif est de fournir aux étudiants un enseignement sur les PGI et leurs impacts sur les processus des entreprises, leurs processus métier ou liés aux fonctions de support. SAP organise cette journée avec l'INSA de Lyon, l'ENI de Tarbes, IDS Sheer et HP. Les écoles livreront leurs expériences de leur partenariat avec l'éditeur, de même que l'université de Zurich. (...)

(07/07/2006 18:15:29)

Sage lance le passeport Formation

La direction des ressources humaines de l'éditeur Sage vient de concevoir un passeport formation pour ses salariés. Décrit dans l'accord national interprofessionnel du 5 décembre 2003 (loi sur la formation tout au long de la vie), c'est un document personnel qui vise à recenser ses connaissances, ses compétences et ses expériences, en vue d'une réflexion sur son évolution professionnelle. Chez Sage, il se découpe en six fiches : identité, diplômes, parcours chez l'éditeur, expériences dans d'autres structures, actions de formation suivies et activités extra-professionnelles. Dans chaque fiche, les salariés sont invités à détailler les compétences acquises de chaque expérience. « Un faible turn over. » L'initiative est intéressante puisqu'elle peut donner l'occasion aux salariés de faire le point sur leur parcours et de le valoriser en mettant en évidence l'apport de chaque expérience. Elle a cependant une limite qui concerne leur capacité à réfléchir en termes de compétences, sans guide, ni appui théorique sur le sujet. La directrice du développement RH de Sage, Hortense Desvignes, en est consciente. Mais elle est aussi confiante sur l'impact que l'exercice peut avoir malgré cela. « Je suis intimement persuadée que c'est en proposant des outils et en introduisant des notions comme celle de la compétence par petites touches, que l'on fera avancer ce genre de réflexion», explique-t-elle. Et de poursuivre, « dans le même esprit, nous avons d'ailleurs introduit les modalités des entretiens professionnels (tels que définis par la loi, NDLR) dans les entretiens annuels d'évaluation, afin d'inviter les collaborateurs à remonter leurs projets professionnels. Nous avons aussi reformulé la partie concernant les demandes de formation dans les supports d'entretien. Nous les évoquons comme étant destinées à développer des compétences et proposons d'y réfléchir par une question concrète: ce que je veux être capable de faire. Nous espérons que cela permettra de doper l'expression des besoins de formation ». Ces mesures feront-t-elles avancer la politique de développement RH ? Il est encore trop tôt pour mesurer l'adhésion des collaborateurs. Leurs résultats seront aussi fonction de la capacité de l'éditeur à proposer des actions concrètes suite aux demandes de formation et d'évolution. Elles permettent en tout cas de valoriser la politique RH de Sage, ce qui est l'un des objectifs de la manoeuvre. A terme, elle pourrait aussi favoriser la mobilité interne et externe des salariés, ce qui n'est pas vu comme un risque chez Sage. « Le turn-over fait partie de la vie des entreprises. Le nôtre est de toute façon assez faible, de 5,37% ». (...)

(06/07/2006 18:07:57)

Recrutement : Crit reçoit les informaticiens à Lille

Le groupe de travail temporaire Crit (360 agences en France) a ouvert un département recrutement à Lille, conformément à ce que lui permet la loi de cohésion sociale de janvier 2005, qui a ouvert une brèche dans le monopole des cabinets spécialisés. Ayant de plus en plus de demandes d'informaticiens de la part de ses clients, il organise le 12 juillet (entre 9h et 12h) une matinée dédiée aux métiers de l'informatique afin de rencontrer des candidats et de leur présenter des postes. Comme il le signale, le marché étant plus tendu qu'auparavant, ce type d'actions s'avère nécessaire pour aller chercher les candidats qui sont moins nombreux à postuler spontanément. Crit a notamment une centaine de postes d'ingénieurs en informatique à pourvoir en CDI (dont 70% en région Nord) pour le compte de deux grandes SSII nationales implantées en région. Il cherche en particulier des futurs ingénieurs « études et développement », « développement de systèmes », « étude de grands projets internationaux » et « développeur de produits de messagerie », des personnes qui sont débutantes ou avec une première expérience et qui maîtrisent l'anglais. Le recruteur travaille parallèlement avec des entreprises utilisatrices (70% de PME et 30% de grands comptes au niveau national) qui ont elles aussi besoin d'informaticiens. Les postes sont plus ouverts pour ces typologies d'entreprise qui recrutent également des profils de niveau Bac + 2, par exemple pour des postes des techniciens réseaux et des techniciens hotline. Cette diversité de clientèle constitue d'ailleurs l'une des particularités des acteurs venant du travail temporaire par rapport aux cabinets de recrutement traditionnel. « Nous avons des clients dans tous les secteurs d'activité et de toutes les tailles et entretenons des liens de proximité avec eux. C'est ce qui constitue l'une de nos valeurs ajoutées pour les candidats», estime-t-on chez Crit. (...)

(03/07/2006 18:14:52)

IBM prêche le « e-management » à l'ESC de Toulouse

IBM renforce son partenariat avec l'école supérieure de commerce (ESC) de Toulouse en créant une chaire consacrée au « e-management ». Dans le cadre de cette chaire, une dizaine d'experts du constructeur animeront une centaine d'heures de cours dans différents cursus de l'écoles, l'année prochaine, soit trois fois plus qu'auparavant. Ils interviendront dans le cadre du MBA Aerospace en proposant des modules de formation et de recherche. Ils prépareront aussi les étudiants à l'appréhension des technologies dans leurs futures fonctions avec des interventions dans le cursus généraliste de l'école sur des thèmes tels que « la prospective technologique », « la transformation des organisations, des processus marketing », etc. L'apport d'IBM dans ce type de cours est notamment de faire témoigner des professionnels et de partager des expériences vécues. Cette démarche s'inscrit dans une volonté de se rapprocher de l'enseignement supérieur pour développer des cursus en phase avec les besoins du marché. Elle participe aussi de la promotion du constructeur et de ses technologies auprès des jeunes diplômés dans une perspective de recrutement. IBM a par exemple mené une démarche similaire avec l'Escem (ESC Tours-Poitiers) en 2005. Il a monté avec les équipes pédagogiques de l'école un module de spécialisation destiné à former des consultants fonctionnels autour des technologies informatiques et accueilli en stage certains de ses étudiants. (...)

(03/07/2006 18:14:35)

Monster monte un marché virtuel de la formation

Le site d'emploi en ligne Monster se déploie sur le marché de la formation. Il a créé un site dédié, Monster Formation, qui se propose de mettre en contact les salariés et les responsables des ressources humaines à la recherche de cursus avec les centres de formation qui en proposent, comme il le fait sur le marché de l'emploi. Ouvert la semaine dernière aux organismes de formation, ce site est encore peu fourni, mais son objectif est d'atteindre 2500 offres de formation d'ici à la fin juillet et 10 000 d'ici à la fin de l'année. Pour l'alimenter, Monster fait migrer vers sa plate forme, le contenu du site Uneformation.com (hérité du rachat du site emailjob.com) qui est voué à être arrêté. Il a par ailleurs renforcé son équipe commerciale qui est en train de faire connaître ce service aux centres de formation pour les y attirer. Ce service a vocation à recenser de façon exhaustive les offres de formation généralistes classifiées selon les catégories suivantes : langues, développement personnel, gestion de formation/compétences, management, organisation/réingénéirie/audit/conseil. Il ne faudra pas y chercher des cursus spécialisés « métier ». Les organismes de formation devront préciser clairement quels sont les publics et les dispositifs éligibles pour leurs offres (salariés, DIF - droit individuel à la formation, VAE,Validation des acquis de l'expérience, etc), le type de formation (initiale, continue, à distance ou en alternance) et les tarifs, ce qui permettra aux candidats d'effectuer des recherches par mots-clés. Avec cette offre, Monster se positionne pour profiter du très attractif marché de la formation qui grâce à des dispositifs tels que le DIF devrait petit à petit attirer 100% des salariés vers des actions de formation. Le défi pour se démarquer d'autres services similaires, tels par exemple formaguide.com (Studyrama)est de proposer un outil qui aide à la décision en matière de formation face à une offre foisonnante. Il serait complémentaire de services spécialisés tels les sites des Carif (Centre d'animation, de ressources et d'information sur les formations) qui recensent les formations financées par les conseils régionaux, ou les portails spécialisés, comme passinformatique.fr (...)

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