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Gouvernance

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(30/06/2006 17:39:50)

Christian Mardrus remplace Jean-Pierre Corniou à la DSI de Renault

Renault a nommé un nouveau directeur de la technologie et des systèmes d'informations (DTSI). Jean-Pierre Corniou, dont le départ était dans l'air depuis le mois de mars, est officiellement remplacé par Christian Mardrus, et perd du même coup la présidence du Cigref. Contrairement à Jean-Pierre Corniou qui était rattaché au secrétaire général Michel de Virville, Christian Mardrus dépendra de Jean-Louis Ricaud, le directeur général adjoint Ingénieries et Qualité. Christian Mardrus est entré chez Renault en 1999 en tant que directeur des systèmes d'information commerciaux. En 2002, il intègre la direction commerciale puis devient directeur du réseau France en septembre 2004. (...)

(29/06/2006 18:41:01)

Sun réorganise sa division stockage

Dans le cadre de sa réorganisation, Sun va fusionner au sein d'une seule et même entité les groupes en charge de ses produits de stockage (disque, bande et logiciels) et consolider les fonctions marketing au sein de la même entité sous la direction de Nigel Dessau, l'ancien patron de l'activité bande issue du rachat de StorageTek. Dessau remplace à ce poste James Whitemore, l'ex-vice-président du marketing stockage de Sun. La réorganisation fait suite au départ de Mark Canepa, l'ex-patron de la division stockage de Sun, et elle a pour but d'accélérer le retour au bénéfice de l'activité mais aussi de lui permettre plus de souplesse face à ses concurrents. Elle intervient près d'un an après le rachat pour 1,4 Md$ de StorageTek. (...)

(21/06/2006 18:06:53)

CA nomme Al Nugent, ex-Novell, au poste de CTO

Après la déconvenue liée au départ précipité de son précédent CTO, Mark Barrenechea - resté en poste moins de quatre mois après son remplacement du très respecté Yogesh Gupta -, CA vient de confier le poste de CTO à Al Nugent, l'actuel patron de sa division Unicenter. Nugent est un familier du poste de CTO, qu'il occupait précédemment chez Novell avant son arrivée chez CA en avril 2005. Nugent est l'un des acteurs qui a réorienté la stratégie de Novell vers le Libre et il aura désormais à superviser la stratégie technologique de CA. Celle-ci pourrait aussi s'ouvrir plus largement au Libre, si l'on en juge par la promotion d'un autre spécialiste du Libre, Sam Greenblatt, l'un des rares responsables de CA a avoir survécu à la purge opérée par Marc Swainson, le CEO, dans le management de CA (voir notre article CA : la direction continue à se déliter)". Greenblatt, qui jusqu'alors traitait des questions open source chez CA, vient en effet d'être élevé au rang de vice-président en charge de l'innovation, un poste qui le rend responsable de la propriété intellectuelle, des standards, de l'open source, de la recherche et de CA Labs. (...)

(20/06/2006 09:33:01)

Réseaux d'opérateurs : Nokia et Siemens convergent

« Siemens est le bon partenaire, au bon moment » lance Olli-Pekka Kallasvuo, PDG de Nokia. Par cette annonce, une rumeur persistante prend fin de façon plutôt heureuse : Nokia et Siemens fusionnent leurs activités réseaux d'opérateurs. Il faut dire qu'après le mariage Alcatel/Lucent, « l'air est aux consolidations » comme le souligne, Klaus Kleinfield, PDG de Siemens AG. La nouvelle joint-venture (50/50) entre le Finlandais et le Munichois pèse 15,8 milliards d'euros. Nokia Siemens Network, c'est son nom, compte ainsi devenir un leader des services « quadruple play » à destination des opérateurs et fournisseurs de services à travers le monde. Les deux compagnies vont réunir leurs activités R&D et seront à même de proposer des solutions complètes aux opérateurs. Nokia Siemens Network affiche dorénavant une large gamme de services réseaux de nouvelle génération : IMS, accès 3G/3G+/3G LTE, haut-débit fixe, IPTV, WIMAX... L'objectif est de proposer de nouvelles applications et des solutions convergentes fixes/mobiles/multimedia. L'acteur ainsi formé, sera capable de rivaliser avec l'exacerbée concurrence asiatique (Huawei et autres ZTE). Le nouvel ensemble (60 000 salariés) se place ainsi second sur les infrastructures mobiles (23% de pdm derrière Ericsson à 26%), idem sur les services et troisième sur les équipements fixes (derrière Alcatel/Lucent et Cisco). « Ce sont deux belles marques à forte qualité de services ! » reprend le PDG de Nokia. Globalement, Nokia Siemens Network devient le troisième plus gros acteur sur le marché des infrastructures télécoms. « Nous sommes les plus petits, mais j'apprécie cela. Nous nous positionnons comme des Challengers » se réjouit-il. « Cette alliance crée un acteur industriel majeur, possédant une force immédiate, un excellent potentiel de croissance et très bien positionné pour améliorer la profitabilité future » enchaîne Klaus Kleinfield. Qui dit fusion dit synergies. Le groupe envisage d'économiser 1,5 milliards chaque année jusqu'en 2010 (consolidation et optimisation de la force de vente et du marketing, réduction de coûts, capacité d'achats, efficacité de la R&D...). Et qui dit synergies, dit réductions d'effectifs. D'ici 4 ans, 10% à 15% des salariés sont menacés. Les deux sociétés comptent donner vie à cette fusion d'ici le premier janvier 2007 pour en tirer profit dès l'année prochaine. A moyen terme, qui rachètera l'autre ? Deux indices majeurs : le nom de la nouvelle entité commence par Nokia et son siège est à Helsinki. Mais attention, ce n'est que de la pure prospective ! Comme il n'est que futurologie de parler d'une éventuelle cession des activités « entreprises networks » ou « wireless modules » de Siemens Communications. Il ne faut jurer de rien... (...)

(19/06/2006 15:13:55)

Google veut élargir la disponibilité internationale de ses produits

Pour les fournisseurs de services en ligne, la carte de l'international est certainement l'une des meilleures solutions pour gagner de l'audience. Google l'a bien compris. L'américain cherche à élargir la disponibilité de ses produits. Mais ce challenge n'est pas si aisé. Le fournisseur de services a besoin d'un bon directeur international. La recherche de ce dernier rejoint la quête du Saint Graal. Il y a deux ou trois mois, Google s'est tourné vers l'Université de Limerick, en Irlande, afin d'identifier des candidats potentiels. Le fournisseur est à la recherche d'un cursus assez précis : 10 ans minimum d'ancienneté dans la direction de produits. Google espère ainsi créer un poste de directeur international afin de mondialiser au maximum ses produits. Google possède actuellement 112 noms de domaines internationaux. Sa plus grande base à l'international se trouve à Dublin. Depuis l'Irlande, Google arrose pas moins de 35 pays de ses produits traduits dans une trentaine de langues différentes. (...)

(16/06/2006 17:14:18)

Microsoft organise son ère post-Gates avec Ray Ozzie

Bill Gates a officiellement annoncé qu'il se désengageait progressivement de ses activités chez Microsoft, pour, en 2008, se consacrer pleinement à sa fondation caritative. Pendant deux ans, Bill Gates, pour assurer "une transition en douceur", transférera ses responsabilités auprès de Ray Ozzie, son successeur au poste d'Architecte en chef, et Craig Mundie, nouveau directeur de la recherche. "Nourrir l'innovation reste notre principale priorité", rassure Steve Ballmer. Et de confirmer : "nous nous obstinerons à mener à bien notre programme Live.com". Ray Ozzie, à l'origine du concept "Live", et plus généralement de sa stratégie d'applications en ligne, sera ainsi chargé de diriger les développements de Microsoft, à une époque tournée vers le service et le Saas, Software as a Service. Et surtout, il devra composer avec des sociétés concurrentes, comme Google ou Yahoo. "Une tâche qui convient davantage à Ray Ozzie" soutient Gartner, qui explique comment Microsoft doit faire face à un bouleversement technologique, où il doit se "ré-inventer". "Gates rétrograde chez Microsoft alors que l'éditeur relance ses deux fleurons très classiques: le prochain Office et Vista. A mon sens, le marché ne semble pas s'orienter vers ce type d'informatique", confirme un autre analyste. Qualifié de technicien -à l'inverse de Bill Gates- Ray Ozzie est considéré comme un pionnier de l'informatique et des services collaboratifs. Il a développé le premier tableur VisiCalc en 1980 puis a rejoint IBM sur le projet Lotus Symphony en 1983. En 1984, il fonde Iris Associates pour développer Lotus Notes. Avant de fonder Groove Network en 1997. Détaché "sentimentalement" de Windows -à l'inverse de Bill Gates-, Ozzie n'aura aucun mal à opérer des changements radicaux de stratégie, notamment en terme d'adoption de standards, indissociables de la dématérialisation d'applications. (...)

(16/06/2006 12:18:13)

Microsoft: Bill Gates programme son départ à 2008

Bill Gates, fondateur et actuel architecte en chef de Microsoft a annoncé qu'il se désengagerait de ses activités quotidiennes au sein de l'éditeur dès 2008, pour se consacrer à temps plein à sa fondation caritative, Bill and Melinda Gates Fondation, créée avec sa femme en 2000. Ray Ozzie, actuel directeur technique, devrait assumer les fonctions d'architecte en chef dès aujourd'hui. Ozzie travaillera en étroite collaboration avec Bill Gates pendant les deux années à venir, "pour assurer une transition en douceur". Ray Ozzie, 50 ans, est connu pour avoir développé en 1983 Lotus Symphony chez IBM, puis formé Iris Associates en 1984, pour créer Lotus Notes. On lui doit également le premier tableur VisiCalc dans les années 80. Il fonde Groove Network en 1997, société rachetée par Microsoft en avril 2005. Autre changement dans l'état-major de l'éditeur de Redmond, Craig Mundie, ex-directeur technique pour les décisions stratégiques (CTO for advanced strategies and policy) devient directeur de recherche et de la stratégie (Chief research and strategy officer). Il travaillera également de pair avec Bill Gates dans les projets liés à la recherche, puis avec Brad Smith, autour des projets liés à la propriété intellectuelle. Craig Mundie, 56 ans, a rejoint Microsoft en 1992 pour diriger la division "Consumer Platform". Bill Gates, 50 ans, dont l'image reste associée à la marque Microsoft, préserve toutefois son titre de Chairman, "indéfiniment". "Je ne considère pas une journée sans être le Chairman de Microsoft", a-t-il déclaré à l'occasion d'une conférence organisée pour l'occasion. Puis d'ajouter que "la décision fut dure à prendre". "Mais je suis heureux d'avoir deux passions dans la vie [Microsoft et sa fondation, ndlr...]". Confiant, il poursuit:"Microsoft est bien positionné pour les années à venir [...], et continuera à générer presqu'un milliard de bénéfice par jour". Bill Gates a crée Microsoft en 1975 avec Paul Allen. Il furent rejoint en 1980 par Steve Ballmer, PDG depuis 2000. En 1983, Paul Allen quitta Microsoft pour des raisons de santé. La Bill and Melinda Gates Foundation est une organisation charitable tournée vers la santé et l'éducation, à l'échelle mondiale. Elle est connue pour son vaste combat en Afrique. (...)

(15/06/2006 08:59:47)

Gouvernance: Mercury acquiert deux sociétés pour son offre de service desk

Mercury Interactive, spécialiste de la gestion de service et du BTO (Business Technology Optimisation), complète son offre de service desk, en rachetant les technologies de centre de service et d'automatisation ITIL (Information Technology Infrastructure Library) des deux sociétés Vertical Solutions et Tefensoft. Pour 18,5 M$, Mercury se paie à la fois la technologie PowerHelp IT de Vertical Solutions (et pas la société dans son ensemble) ainsi que la totalité des actifs de TefenSoft (son centre de recherche et ses équipes). PowerHelp IT, Mercury récupère notamment d'outils et processus industrialisés (ITIL) censé couvrir la gestion des incidents, des configurations, du changement et des versions et enfin, la résolution de problème. Une série d'outils que la société compte intégré à son offre Mercury Service Desk. (...)

(08/06/2006 18:05:59)

Derek Masters, PDG de CA France, dans la charrette du plan social

Computer Associates, pardon CA, ne connaît pas que des déboires au niveau de sa direction new-yorkaise. La filiale française du troisième éditeur mondial vit la tourmente du premier plan social de son histoire. Sur 400 salariés environ, près d'une cinquantaine sont en train de quitter la société, dont Derek Masters, DG France. On ignore s'il faisait partie de la centaine de volontaires au départ dans le cadre de l'offre proposée par Patrick Starck qui a quitté HP France pour arriver en avril au poste de directeur Europe du Sud chez CA. Son expérience acquise en matière de négociations sociales chez HP lui aurait permis de rattraper un processus mal engagé. Il lui reste à piloter une ré-organisation fondée sur la création de responsables de compte adossée à une structure matricielle composée de quatre divisions marché et de quatre Business units. Il devra aussi régler au niveau France le différend qui oppose direction et commerciaux sur le paiement des commissions dues. Au niveau mondial, les comptables de CA ont reporté la publication des résultats trimestriels pour cette raison : 70M$ de commissions auraient été oubliées...Même le Wall Street Journal est consterné. Dans une interview accordée à l'un de nos confrères, Patrick Starck décrit CA comme une "belle endormie". Dans la bouche de cet ex-IBM, devenu patron de Compaq France puis d'HP France et qui a conduit la réforme du bastion France d'HP, cela veut dire qu'il a pour mission de la réveiller en sursaut. Comme toujours dans ce genre de situation, les rumeurs internes vont bon train. Il semble évident que Patrick Starck cherche un homme de confiance pour succéder à Derek Masters. Ahmed Mouldaia, actuel directeur de la division serveurs et stockage d'HP France serait en bonne position. Parmi les autres dirigeants de CA France qui pourraient quitter l'entreprise, citons Samira Sadou, directrice commerciale, Adbou Fall, VP Finance, et la DRH Isabelle Sturzenegger. A cliquer : - Sur Information Week CA Sales Exec Departs In Yet Another Reorganization qui détaille les problèmes comptables de CA et énumère les départs qui éclaircissent sa direction générale. (...)

(08/06/2006 12:35:18)

SGI s'oriente vers l'informatique de gestion

A l'occasion de son passage à Paris, Dennis McKenna, P.-d.g. de SGI depuis le début du mois de février, a précisé la stratégie de la société, actuellement placée sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine. « Nous avons choisi cette solution pour nous donner le temps de réorganiser l'entreprise, explique-t-il. Cela nous met à l'abri des créanciers, mais ne gêne absolument pas nos affaires. » Outre le classique « nous allons continuer à nous renforcer sur notre marché », Dennis McKenna a annoncé une double évolution majeure : d'une part des efforts redoublés dans le domaine du développement de logiciels « car c'est avec le logiciel que l'on peut se démarquer, puisque les matériels utilisent de plus en plus de briques standard » ; d'autre part, une évolution vers des produits milieu et « bas de gamme », pour toucher un nombre beaucoup plus important d'entreprises. Un changement quasi-culturel, qui oblige à une réorganisation et à la mise en place d'un réseau de distribution adapté. Cette approche va de pair avec la mise en avant des serveurs et des produits de stockage pour des applications de gestion, alors que SGI restait jusqu'à présent essentiellement sur le marché du calcul scientifique. « Nous avons fait réaliser des tests avec Oracle et SAP, qui sont excellents » insiste d'ailleurs Dennis McKenna. Enfin, ce dernier a levé le voile sur une annonce qui sera officialisée dans deux semaines. SGI proposera une gamme de serveurs à architecture x86, utilisant la dernière génération de Xeon bicoeurs d'Intel. Dans un premier temps, il s'agira de serveurs standard, destinés à être placés dans une armoire 19 pouces. Les clients de SGI pourront ainsi former des armoires mixtes, associant serveurs Altix à Itanium 2 et serveurs x86 partageant un même système de stockage. Mais dans environ six mois, SGI devrait proposer une gamme de serveurs reprenant - l'excellente - architecture à mémoire partagée Numalink, mais avec des processeurs x86. (...)

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