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Green IT

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(03/09/2010 10:45:09)
Cisco et Itron s'allient sur les smart grid
Cisco va travailler avec Itron, entreprise concevant des technologies de mesure des services publics, comme eau, gaz et électricité, afin de développer un système de communication IP sécurisé pour son activité smart grid. Cisco prévoit par ailleurs d'intégrer un tel système dans ses cartes d'interface réseau et autres équipements du même ordre. Selon le constructeur, cette technologie sera basée sur le protocole IPv6, au lieu de l'actuel IPv4. Il devrait aussi s'aligner sur les normes en vigueur dans les services publics. Itron en sera le premier client, même si Cisco espère vendre ce système à d'autres entreprises fournissant des compteurs intelligents, admet Paul de Martini, directeur technique de l'unité smart grid de Cisco, signalant que l'alliance avec Itron n'est pas exclusive.
Un réseau ouvert et interopérable
Les smart grid ont pour but de fournir de manière fiable et précise l'électricité aux abonnés, mais aussi d'assurer le retour sur la consommation effective en temps réel aux distributeurs et producteurs d'énergie. « C'est un grand pas en avant vers la réalisation d'une infrastructure énergétique plus moderne et intelligente » affirme Laura Ipsen de l'unité smart grid de Cisco. Le design conjoint avec Itron devrait aider à transformer les compteurs intelligents actuels en un réseau ouvert et interopérable pour les autres services en plus de l'électricité. Itron prévoit de l'intégrer à ses compteurs OpenWay, et devrait aussi distribuer les équipements réseau et logiciels Cisco lorsqu'il déploiera ces compteurs intelligents.
En France, pour rappel, ces équipements sont encore en phase de test, et la CNIL étudie encore des moyens de protéger les informations personnelles récoltées par de tels dispositifs. Atos envisage même de regrouper les informations de consommation électrique dans une « box » domestiques capable de communiquer avec les distributeurs.
Crédit Photo : Cisco
Un rapport se penche sur le bilan carbone des e-readers
Ainsi, selon ses analyses, un e-book génère à lui seul près de 7,5 kg en équivalent carbone. Ce chiffre est une estimation, qui prend en compte la production, le transport et le recyclage ou l'élimination de l'appareil. Cleantech a également évalué que le Kindle d'Amazon générait 168 kg d'équivalent de CO² au cours de son existence, contre 130 kg pour l'iPad d'Apple. « Si nous nous fions à ces chiffres, alors, l'iPad paiera pour ses émissions carbone quand vous en êtes au tiers de votre 18ème e-book, et le Kindle à la moitié du 23ème. » écrit Brian Palmer, du Washington Post. En se basant sur les prévisions de Forrester Research qui a établi qu'un utilisateur achète en moyenne trois livres par mois, il ajoute : « à ce rythme, en 6 mois d'utilisation de votre iPad, vous aurez consommé tout votre crédit carbone »
Une relative économie en eau
Pour ce qui est de la consommation d'eau, le New York Times rapporte qu'il faut en moyenne 27 litres pour réaliser un livre imprimé, contre « moins de deux tasses » pour créer un e-book. Toutefois, le journal a établi que 300 litres d'eau étaient nécessaires pour produire un lecteur e-book. Ce qui fait dire à Brian Palmer que « pour s'acquitter de la dépense en eau générée par son e-Reader, il faut avoir lu une douzaine de livres. »
Malgré les arguments vantant la qualité environnementale de leurs produits mis en avant par des entreprises comme Apple et Amazon, la production de livres traditionnels et de livres électroniques, qui fait appel dans les deux cas à des produits chimiques toxiques, n'est pas exempte de risques potentiels. A la différence que, selon le journaliste du Washington Post, la production d'e-readers suppose l'extraction de minéraux non renouvelables comme le coltan ou colombo-tantalite, et leurs batteries dépendent du lithium pour fonctionner, alors que le processus d'impression traditionnel peut au minimum libérer des composés organiques volatils. »
Crédit Photo: D.R
(...)(03/08/2010 11:41:58)Maintenance réseaux : SQLI s'engage pour l'emploi de jeunes non qualifiés
Pôle Emploi a lancé un appel d'offres l'été dernier, pour la formation de 320 jeunes en Ile-de-France, menant à l'obtention d'un diplôme de technicien de maintenance réseaux. C'est la société de services SQLI qui été choisie pour former près de 120 personnes de la Courneuve, d'Aubervilliers ou encore de Bondy (93). « Il nous semble important éthiquement de donner une chance à ceux qui ont pour diverses raisons quitté le système scolaire », tient à souligner Justine Never, directrice de l'école Aston Plaine - Stade de France, Groupe SQLI, dans un communiqué.
A l'issue d'un entretien de motivation, une soixantaine de jeunes ont été sélectionnés pour participer à une session de formation permettant l'obtention d'un titre enregistré au répertoire national des certifications professionnelles (RNCP). Ce programme s'articule autour de deux cursus : technicien de maintenance informatique et réseau (formation de 8 mois menant à un titre de niveau 4, équivalent du Baccalauréat informatique), et technicien supérieur en maintenance informatique et réseau (formation de 10 mois, menant à un titre de niveau 3, équivalent du BTS informatique).
Un cursus Microsoft de 12 mois en alternance
En parallèle, les élèves bénéficient d'un accompagnement personnalisé en présentation, langage, codes et culture d'entreprise, anglais spécialisé, et également d'un atelier de recherche de stage (phoning accompagné, argumentaire...). Ils ont la possibilité d'accéder à un atelier de recherche d'emploi pour les aider à rédiger des CV, des lettres de motivation, etc.
Ces jeunes bénéficient des supports de cours proposés par SQLI , ainsi que d'un crédit d'achat chez un distributeur de matériel informatique.
Pour aller plus loin, les élèves peuvent compléter leur formation dans le cadre d'un contrat de professionnalisation : un cursus Microsoft de 12 mois en alternance (3 semaines en entreprise et 1 semaine de cours au centre de formation SQLI agréé Prometric), pour obtenir le titre d'administrateur systèmes & réseaux Microsoft. Une soixantaine d'entre eux suivent actuellement ce cursus.
Aujourd'hui, la totalité des jeunes a trouvé un stage en entreprise. La remise des diplômes des 4 premières promotions aura lieu dans le courant du dernier trimestre 2010.
Forrester : le Green IT continue sa lente expansion
L'étude Forrester concernant l'état actuel de la mise en place du Green IT dans le monde se base sur les réponses de 531 professionnels IT mondiaux, originaires de 476 entreprises ou PMI/PME différentes. Elle démontre principalement qu'en matière d'adoption, c'est l'argument « coût » qui prime durant la décision, plus qu'une réelle volonté de préserver la planète. Malgré tout, la conséquence reste la même, et 59% des entreprises prennent en considération le critère écologique lors de la mise en place d'équipements IT. On observe des variations de ce chiffre selon la zone géographique sondée et la taille de l'entreprise.
L'étude similaire réalisée en 2007 donnait un résultat de seulement 25% sur cette prise en compte de l'écologie. Néanmoins, comme précisé auparavant, c'est principalement l'argument de la baisse des coûts énergétiques qui, à 68% des entreprises, prédomine. A l'opposé, la raison purement écologique observe une importante chute, passant de 50% en octobre 2007, à 28% de réception positive chez les professionnels.
Une meilleure communication des avantages
Selon l'enquête, quelques obstacles freinent encore le développement du Green IT. Déjà, l'absence de présentation claire des avantages compétitifs que cela pourrait représenter pour l'entreprise, et de l'éventuel retour sur investissement est un facteur qui touche 40% des sondés. La tâche de mettre plus en avant le potentiel ROI revient donc aux fournisseurs de services. De même, cet avantage compétitif n'est que rarement prioritaire par rapport à des choix économiques plus pressants . Les bienfaits environnementaux ne représentent 12% d'entre eux, tandis que 26% préfèrent mettre l'accent sur une amélioration de l'efficacité des systèmes d'information et 20% sur l'optimisation des process. Enfin, l'absence d'une direction relative à ces sujets entrave aussi leur potentielle mise en place. Seuls 10% des interrogés déclarent disposer d'une telle structure, et ce chiffre chute à 4% en Amérique du Nord et 8% en Asie, alors que l'Europe semble quelque peu en avance sur le sujet avec 18%. Ici encore réside le rôle d'une meilleure promotion des solutions Green, afin de sensibiliser à l'impact inter-services des économies réalisées.
Certaines solutions sont à la mode
Autre constat, l'intérêt pour les services Green IT reste certes stable, mais dramatiquement bas. 76% des entreprises et PMI/PME déclarent en effet ne pas avoir de projet à ce niveau, et seules 7% d'entre elles ont déjà adopté une de ces solution. Par ailleurs, celles qui pensent que le secteur IT a un rôle central dans le déploiement de solutions écologiques dans l'ensemble de l'entreprise est en chute, passant de 43% à 38% depuis l'an dernier. La virtualisation des serveurs est le projet actuellement le plus implanté, 68% des sondés y étant déjà passé, et 22% comptant le faire d'ici à fin 2011. La solution ayant visiblement le plus d'avenir dans l'immédiat concerne la suppression des applications redondantes, qui obtient le chiffre le plus élevé d'intentions d'implémentation, avec 35% d'ici fin 2011. En termes d'économies d'énergie concrètes et importantes, la réduction du nombre d'imprimantes et la maîtrise de l'alimentation des ordinateurs sont déjà adoptées par respectivement 66% et 41% des entreprises.
La gestion de l'émission de carbone et de l'énergie en entreprise (ECEM) est quant à elle en pleine croissance. Par rapport aux chiffres de novembre 2009, on observe 6% d'adoptions supplémentaires, pour un total de 19% (23% en Europe). Résultats encore un peu légers étant donné que le marché des fournisseurs d'ECEM se développe rapidement. Forrester déclare d'ailleurs suivre l'activité de 70 d'entre eux. Le vrai signe de la croissance de ce marché réside ici non pas dans le nombre d'entreprises y ayant déjà recours, mais dans l'augmentation de celles-qui prévoient de le faire d'ici deux ans ou plus. Elles étaient 13% en novembre dernier, et sont désormais 27%.
Crédit Photo : D.R.
Une société promet un datacenter modulaire autonome
Bien connue pour la création de datacenters traditionnels, la société a développé depuis un an, un produit de centre de calcul dans un container. I/o Datacenters l'a annoncé lors de la conférence Datacenter Dynamics à San Fransisco. Le groupe n'a pas donné beaucoup de détail sur ce produit et Steve Martone, vice-président de i/o a indiqué que le lancement commercial ne sera pas immédiat, après l'annonce officielle prévue dans deux semaines.
Andreas Zoll, directeur de recherche sur les datacenters de i/o a prononcé un discours sur la prochaine génération de containers, détaillant peu ou prou, le produit prochainement annoncé. Ainsi, la plupart des concurrents, HP, IBM, SGI et opérateur comme Colt. propose des structures standard de 6 mètres sur 12. L'offre d'i/o Datacenters sera un container sur mesure, pour fournir plus d'espace pour les équipements informatiques.
« Vous économisez de l'argent avec ces solutions modulaires. Est-ce vous avez envie de vous serrer dans votre datacenter ? Miseriez-vous sur une solution qui suivra vos besoins ? Je pense que nous avons déjà beaucoup réalisé d'optimisation de place par le passé » souligne l'ingénieur de la société.
Un datacenter autonome
Il déclare aussi que les prochains datacenters modulaires devront intégrer les équipements d'énergie et de refroidissement. Aujourd'hui, les clients placent souvent leur container à proximité de leur centre de calcul existant, car ils ont un accès facile à l'alimentation, au refroidissement et aux groupes électrogènes. Pour les implantations distantes, les clients sont obligés d'acheter des éléments de climatisation et des générateurs, qui sont assemblés dans un autre container. Les futurs produits doivent intégrer tous ces éléments dès le début, pour apporter des réglages plus fins et assurer une meilleure efficience énergétique. Ces containers seront ainsi autonomes par rapport à leurs lieux de destination. Andreas Zoll sous-entend qu'il y aura donc un seul container, mais cela demande à être préciser lors de l'annonce. Cette autonomie proviendrait de l'utilisation de gaz comprimé comme seule source d'énergie, sans avoir besoin d'un branchement à une prise de courant. Par ailleurs, ces solutions peuvent également être équipées de branchement satellite pour les surveiller et les gérer à distance.
Il faudra attendre la présentation officielle pour avoir des informations complémentaires, comme la durée de fabrication d'un tel produit. De mémoire, HP annonce pour son Pod un délai de fabrication de 6 semaines. Par ailleurs, i/o n'est pas un équipementier à la différence des concurrents. Pour Andreas Zoll estime que cela est un avantage pour laisser le choix des équipements aux clients.
Le cabinet d'études IDC estime de manière prudente que 84 containers seront vendus cette année et le double l'année prochaine.
Vers une standardisation de la mesure de l'efficience énergétique des datacenters
Le PUE (Power Usage Effectiveness) a été élaboré par le Green Grid, qui compte parmi ses membres, Intel, HP, Schneider Electric, etc, pour mesurer l'efficience énergétiques des datacenters. Il compare l'énergie totale consommée par un centre de calcul par rapport à celle produite par les meilleurs équipements informatiques actuels. Il prend aussi en compte les pertes de certains éléments tels que les systèmes de refroidissement.
Si cette méthode est soutenue, il lui manque encore une reconnaissance officielle en devenant un standard. Plus tôt cette année, le Green Grid s'est réuni avec le Département américain de l'énergie, l'agence de protection de l'environnement, le programme Energy Star, l'Uptime Institute, le conseil américain du bâtiment et d'autres pour définir une méthode commune de calcul des PUE. Fruit de cette réflexion, ils viennent de publier des recommandations pour les installations de datacenters. Une seconde version est prévue à destination des centres de données intégrés à des immeubles de bureau.
4 catégories de PUE
Ils ont défini quatre façons de calculer le PUE pour englober un large éventail de centres de données, y compris ceux qui n'ont pas encore la capacité de mesurer avec précision toute leur consommation d'énergie. La catégorie 0 est le niveau le plus bas. Elle est basée sur les pics de charge au cours d'une période de 12 mois. La mesure est prise auprès du compteur électrique. Bien que cette mesure offre seulement une image, en omettant les fluctuations de charges, elle peut aider les opérateurs à suivre leur efficacité énergétique, a indiqué le Green Grid.
Le niveau le plus précis est la catégorie 3. La consommation d'énergie est calculée sur 12 mois avec des mesures prises sur les points de connexion des équipements informatique au système électrique. C'est la méthode la plus précise, dit le groupe, car il élimine tout effet de pertes liées à la distribution d'énergie. A noter que les différentes sources d'énergie sont pondérées avec un coefficient, l'électricité est affecté de la note 1, le gaz naturel 0,31, l'eau chaude municipale 0,30.
Crédit Photo: APC
(...)(08/07/2010 15:00:29)HP, 1er contributeur aux tests TPC-Energy
Premier constructeur à utiliser la spécification TCP-Energy, Hewlett-Packard a présenté les résultats des tests de performance pour quatre de ses serveurs. « L'énergie est devenue un enjeu croissant dans le coût global » pour de nombreuses entreprises, a déclaré Karl Huppler, président du TPC. « Le nouveau test de référence qui estime le rendement en watts dépensés leur permettra de juger de l'efficacité de leurs systèmes énergétiques, » a-t-il ajouté. « Combiné à d'autres tests mis au point par le TPC, le TPC-Energy peut aider les clients à estimer le prix, la performance et la consommation d'énergie de tout système transactionnel donné, » indique l'association qui regroupe des éditeurs de logiciels, des fabricants de matériel, mais aussi des organismes de recherche et des organisations d'utilisateurs. « Un système peut fournir un niveau supérieur de performance, mais peut ne pas être aussi efficace en terme de watts par transaction,» a déclaré Mike Nikolaiev, président du comité de TPC-Energy, par ailleurs en charge de l'optimisation de la performance chez HP.
Une série de benchs pour mesurer les performances
Introduit en décembre, le TPC-Energy mesure le nombre de transactions qu'un serveur peut effectuer par watt. Les transactions sont évaluées à l'aide de l'un des trois autres tests TPC - TPC-E, TPC-C et TPC-H utilisés pour noter les performances du serveur. Le banc test TPC-E simule le profil de charge des systèmes de transaction en temps réel (OLTP - On Line Transaction Processing), typiquement le mode de fonctionnement d'une entreprise de courtage. Un test plus ancien, le TPC-C, permet également de simuler un environnement OLTP, et mesure les performances de machines en environnement serveur. Le troisième, TPC-H, simule la requête ad hoc, l'aide à la décision et la répartition de la charge de travail.
Quatre serveurs HP sur le grill
HP a fait passer les quatre tests à ses nouveaux serveurs ProLiant. En TPC-E par exemple, le système HP ProLiant DL585 G7 a exécuté 1.400 transactions par seconde (TPS) en utilisant 6,72 watts. En revanche, l'autre système ProLiant DL580 G7 a consommé 5,84 watts pour exécuter 2001 TPS. En comparant la performance du DL585 et du DL580 établie par les tests TPC-E avec le test TPC-Energy, on pourrait conclure que le DL580 est le meilleur choix, tant pour le débit TPS que pour la consommation d'énergie. Mais le programme encourage à prendre en compte les prix du système. Dans ce cas, le DL580 est plus cher que le DL585 quand on considère la côte dollars-par-TPS (347 contre 330 dollars US). Le système basé sur le DL580 « obtient le meilleur rendement, mais coûte un peu plus cher,» a déclaré Mike Nikolaiev.
Illustration : serveur Proliant GL585 G7, crédit HP
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Pour mesurer la consommation globale d'énergie du système, on teste chaque sous-système avec un certain nombre d'analyseurs de puissance, lesquels envoient un flux de données au logiciel Energy Measuring System fourni par TPC qui se charge de rassembler les résultats. Le logiciel est aussi capable de décomposer les besoins énergétiques par sous-système, pour montrer par exemple ce que consomment respectivement un serveur d'application, un serveur de base de données, des unités de stockage et autres sous-systèmes. « Les tests pour mesurer la performance par sous-système sont optionnels, » a indiqué Mike Nikolaiev. Dans tous les cas, comme pour les autres benchmarks TPC, il revient aux vendeurs d'effectuer eux-mêmes les tests, de trouver laquelle de leur configuration est optimale et de soumettre leurs résultats à l'examen de l'association TPC pour figurer éventuellement dans la liste des meilleurs participants. Une obligation cependant : chaque type de résultats doit être vérifié par une tierce partie.
D'autres résultats attendus
Avec HP comme premier contributeur, TPC espère motiver les autres membres à présenter les résultats de tests TPC-Energy effectués sur leurs propres systèmes. L'organisation à but non lucratif consacrée au développement d'outils d'évaluation des performances des systèmes de traitement transactionnels et de base de données est financée par des entreprises informatiques comme AMD, Cisco, Dell, HP, IBM, Intel, Microsoft, Oracle, Unisys et d'autres.
Les datacenters principaux concernés
Le travail sur le TPC-Energy réalisé par l'association arrive à un moment où l'Agence pour la protection de l'environnement américaine intensifie ses propres actions pour améliorer l'efficacité énergétique des centres de données. En dehors du test TPC-Energy, l'association travaille à mettre au point un nouveau test de référence pour mesurer la charge de travail des data warehouse, appelé le TPC-ETL, et un autre pour mesurer la charge de travail des systèmes de virtualisation, le TPC-Virtualization. Elle planche également à une mise à jour du TPC-H.
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