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Infrastructure serveur
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(23/01/2007 12:24:39)
Oracle lance la gestion de serveurs Linux gratuite pour ses abonnés
Pour les clients ayant souscrit à son support technique sur Linux, Oracle offre Management Pack for Linux. Ce logiciel permet de gérer ses serveurs Linux - Red Hat ou Oracle - en utilisant des politiques de groupe, d'appliquer des patchs ou de les administrer à distance. Entièrement gratuit, il est basé sur Entreprise Manager 10g d'Oracle et peut fonctionner en synergie avec lui, mais aussi avec des outils de management tiers comme OpenView d'HP ou Tivoli d'IBM. Et, à condition d'ajouter les bonnes extensions, le Management Pack for Linux pourra aussi administrer les distributions Novell et SuSE. Avec cette annonce qui fait suite au lancement de son programme Unbreakable support en octobre et la baisse de prix du support technique de Sun, Oracle vise une fois de plus la politique tarifaire de Red Hat, n'hésitant pas à qualifier l'offre de son concurrent de « primitive ». (...)
(22/01/2007 17:11:24)Un sondage pour mesurer la valeur de son système d'information
Une fois installé, il devient difficile d'évaluer l'efficacité et le retour sur investissement d'un système d'information. Pour répondre à cette question Guy Gable, de l'université de technologie du Queensland (Australie) a développé un questionnaire destiné aux utilisateurs du système d'évaluation. Baptisé IT-Impact, ce système est un sondage installé sur l'intranet de l'entreprise. « Les questions s'adressent à tous les niveaux de n'importe quelle organisation, » explique Guy Gable. « Et le sondage donne une note finale divisée en quatre aspects : l'impact du système sur les utilisateurs individuels, l'impact sur l'organisation, la qualité du système et la qualité des informations fournies par le système ». Cette note finale permet également de mesurer l'évolution du système à travers le temps, et de comparer son efficacité par rapport à d'autres systèmes d'informations utilisés dans le même secteur d'activité. Co-développé avec Accenture Australie, cet outil est déjà utilisé au sein de l'Université ainsi que chez certains clients publics d'Accenture (...)
(22/01/2007 17:04:02)Surenchère chez Google et Microsoft autour des data centers
550 millions de dollars chez Microsoft jeudi dernier, 600 millions de dollars chez Google aujourd'hui. Que représentent ces chiffres ? Les investissements que les deux sociétés comptent réaliser dans leurs nouveaux data centers. Voulant développer toujours plus de nouveaux services et relancer les applications Web chez le grand public (Windows Live chez Microsoft, Picasa et Google Doc & Spreadsheet chez Google), les deux groupes ont de plus en plus besoin de bande passante, de capacité de stockage et de temps de calcul. Basé à San Antonio, le prochain data center de Microsoft aura une superficie de 43 664 mètres carrés, et servira à ses services en ligne pour le grand public (messagerie instantanée, courrier électronique, hébergement de pages Web et de fichiers multimédia). Il devrait être opérationnel dès 2009. Dans le même temps, Google a annoncé l'ouverture prochaine d'un data center de 607 028 mètres carrés, à Lenoir, une petite ville de Caroline du Nord, dédié à sa prochaine génération de moteur de recherche et de base de données, comme le moteur Similarity qui élimine les redondances dans ses résultats de recherches. Et la société recherche encore trois emplacements de taille similaire en Caroline du Sud et en Géorgie. Pour que ces grandes fermes de calcul restent sur le territoire américain, les Etats ruraux rivalisent d'ingéniosité pour en réduire les coûts d'installation : terrains ou fourniture d'énergie à bas coûts, réduction drastiques des taxes (un abattement de 100 % pour Microsoft au Texas, un crédit d'impôt de 4,8 millions de dollars pour Google en Caroline du Nord). Avec à la clé, entre 75 et 200 emplois crées pour chaque centre. (...)
(22/01/2007 16:58:35)Mark Hurd se défend d'avoir prémédité la vente de ses actions
Mark Hurd, le PDG de HP, se défend d'avoir vendu pour 1,7 M$ d'actions en août 2006, en prévision du scandale qui allait toucher le groupe. Dans une lettre adressée à une commission de la Chambre des représentants chargée d'enquêter sur l'affaire HP, Mark Hurd indique que les 100 000 titres mis en vente le 25 août - c'est à dire le jour même où il était mis au courant des suites judiciaires probables que pourraient avoir les méthodes mises en oeuvre pour remonter les fuites émanant du conseil d'administration - n'ont aucun rapport avec les péripéties touchant le groupe. « Laissez-moi vous assurer que la transaction sur laquelle vous enquêtez était absolument sans lien avec l'audition pour laquelle j'étais volontaire », écrit le PDG. Soucieux de paraître crédible, Mark Hurd ajoute qu'il vend régulièrement des titres pour « diversifier [ses] investissements ». Il explique, en outre, que le service juridique de HP l'avait assuré de la régularité de l'opération. Enfin, il rappelle que le cours de l'action a, depuis la vente de ses titres, augmenté. Dès lors, selon le patron de HP, la transaction ne saurait être considérée comme une vile manoeuvre visant à prévenir un effondrement de la valeur du titre. La lettre de Mark Hurd a été transmise à la SEC (Securities and Exchange Commission, le gendarme de la Bourse américaine) pour avis. (...)
(22/01/2007 11:28:08)Sun et Intel proches d'un accord sur les serveurs x86
Selon l'agence de presse AP, Sun Microsystems utilisera des processeurs Xeon d'Intel dans ses serveurs x86. Les premiers serveurs issus de cet accord devraient être commercialisés d'ici la fin de l'année. Bien que Sun n'ait pas renoncé aux puces Opteron d'AMD, c'est une mauvaise nouvelle pour ce dernier. Pour Sumit Dhanda, analyste à la Bank of America, à terme « un tel partenariat permettrait à Intel de gagner jusqu'à 50 % des serveurs x86 de Sun », ce qui se traduirait par une perte de revenu pour AMD de 25 à 50 millions de dollars (...)
(19/01/2007 16:49:24)De l'interconnexion haut débit pour accélérer les performances des serveurs lames d'IBM
Afin d'améliorer la vitesse de transfert des données au sein d'un réseau et de ses serveurs lames, IBM a dévoilé la nouvelle série d'outils d'interconnexion de ses serveurs Blade Center H. Baptisée Virtual Fabric Architecture, elle permettrait, selon IBM, de doter le Blace Center d'une bande passante interne de 43 % plus rapide que celle des Blade System d'HP. La Virtual Fabric Architecture est modulaire et se compose de cinq éléments. Le premier est un module d'interconnexion multiswitch (MSIM) qui double le nombre de connexions en fibre optique ou en Ethernet disponible pour chaque lame. Le Blade Center Adress Manager, quant à lui, virtualise les entrées/sorties des connexions Ethernet et fibre optique, pour que l'utilisateur puisse les gérer à distance sur un logiciel sans être soumis aux spécifications du fabricant. Ce système ne sera disponible qu'au second semestre 2007. Du côté matériel, Nortel fournit un switch 20 ports Ethernet 10 Gbps et une carte d'extension Ethernet 10Gbps, respectivement à 9 799 dollars et 899 dollars. Cisco se charge du switch 20 ports pour la fibre optique à 14 999 dollars (ou 8 999 dollars pour 10 ports), et Qlogic apporte sa passerelle Infiniband pour Ethernet (à 8 149 dollars) ou fibre optique (à 9 799 dollars). (...)
(19/01/2007 16:48:48)Annuels IBM : le bénéfice en forte hausse malgré des revenus stables
Résultats 2006 Chiffre d'affaires : 91,4 Md$ (+0,3%) Bénéfice net : 9,5 Md$ (+18%) Sans faire progresser - ou si peu - ses revenus, IBM est parvenu à augmenter considérablement son bénéfice au cours de l'exercice 2006. Le chiffre d'affaires de Big Blue ne gagne ainsi que 0,3% par rapport à l'année précédente, mais le profit s'envole de 18%. Le plan de restructuration, lancé en 2005, semble porter ses fruits, tout comme la stratégie multipolaire du groupe, qui ne prévilégie aucune activité en particulier. IBM a largement profité d'un bon quatrième trimestre, conclu sur un bénéfice en hausse de 11,1% à 3,54 Md$, et un chiffre d'affaires de 26,3 Md$, en progression de 7,5% sur un an. Ces deux indicateurs s'inscrivent au-delà des estimations des observateurs. Au cours du trimestre, IBM a réalisé une bonne opération en signant pour 17,8 Md$ de contrats de service, soit 55% de plus qu'un an auparavant. Du côté des logiciels, le middleware - WebSphere, Tivoli, DB2, etc. - a particulièrement contribué aux bons résultats en générant un revenu de 4,4 Md$, soit 18% de plus qu'un an auparavant. L'ensemble de l'activité logicielle voit son CA croître de 14,4%, à 5,6 Md$. Onze acquisitions dans les logiciels Sur l'ensemble de l'année également, les logiciels constituent l'activité qui progresse le plus rapidement. La branche Software réalise ainsi un CA de 18,2 Md$, et gagne 7%. 2006 restera marquée par les efforts qu'IBM a consentis dans cette activité en réalisant onze acquisitions liées au logiciel. Citons ainsi l'achat de MRO pour 740 M$, celui d'ISS pour 1,3 Md$ ou de FileNet pour 1,6 Md$, tous réalisés en 2006. Le service continue de représenter la part la plus importante des revenus de Big Blue, avec 48,2 Md$. L'activité ne progresse cependant que de 2% sur l'année, ce qui est toujours mieux que la branche matérielle. Celle-ci, avec un CA de 22,5 Md$, recule de 8%. Si l'on exclut toutefois l'activité PC - cédée en 2005 au Chinois Lenovo - de la base de comparaison, le Hardware signe une progression de 4%. Pour 2007, le groupe entend satisfaire les attentes des analystes. Ils espèrent une croissance du revenu de 10%. De plus, selon Mark Loughridge, le directeur financier, il n'y a pas de raison que Big Blue ralentisse la cadence de ses acquisitions après avoir procédé à 14 achats cette année. Il a, en outre, précisé que les investissements internes continueront de porter sur l'activité logicielle ainsi que sur les marchés émergents. Les pays les plus pauvres ont enregistré une croissance de leurs revenus de 18% au quatrième trimestre, contre 5% en Amérique et en Asie, et 3% en Europe. (...)
(18/01/2007 17:10:54)Solaris moins cher que Red Hat... selon les modes de calcul
En annonçant la disponibilité de son système d'exploitation Open Source Solaris 10, Sun Microsystems a revu les prix de son support technique à la baisse, rejoignant ainsi Oracle, Novell et Microsoft dans leur guerre commerciale contre Red Hat, le principal distributeur commercial de Linux. En effet, si Linux et Solaris peuvent tous deux être téléchargés gratuitement, leurs distributeurs respectifs gagnent de l'argent en apportant un support technique à leur client, le plus souvent sous forme d'abonnement annuel. Avec 240 dollars par an pour la formule de base et 1140 dollars pour la formule premium, Sun serait entre 40 et 50% moins cher que Red Hat pour sa distribution Linux (349 dollars par an en abonnement de base, 2 499 dollars pour la version premium). Sauf que les deux offres ne sont pas tout à fait comparables, Red Hat donnant des prix par systèmes et Sun des prix par serveurs, à condition que ceux-ci soient des serveurs basés sur des processeurs Opteron à 1 ou 2 sockets. Outre cette baisse de prix, Sun compte attirer de nouveaux clients avec deux nouveaux services : Sun connection qui met à jour les logiciels sur Red Hat et SuSE Linux, en plus de Solaris, et Solaris Ready Programs for Resellers, qui fournit aux entreprises voulant migrer de Red Hat Enterprise Linux 3 à Solaris, tous les documents, logiciels et services nécessaires. Solaris 10 11/06 est déjà disponible gratuitement sur le site de Sun et peut s'installer sur les serveurs x86 de Sun, mais aussi de Dell, IBM ou HP. (...)
(18/01/2007 16:53:11)80 coeurs moins gourmands que 4 ?
Peut-on multiplier les coeurs et la puissance des processeurs, sans faire exploser la facture EDF ? Intel travaille dans ce sens : le fondeur explore des architectures processeur radicalement nouvelles. Son prototype de puce 80 coeurs Tera-Scale Teraflop consommerait moins de 100 watts, soit 10 à 40 watts de moins qu'un processeur Quad Core. Pour autant, le prototype d'Intel, qui tourne à 3,1 Ghz, affiche une puissance brute impressionnante d'un Teraflop. La clef ? Chaque coeur serait d'une conception plus simple, et tourne à une vitesse plus basse. Mieux : ces coeurs seraient reliés entre eux par un réseau optique. Excellente nouvelle, car la consommation des processeurs quadri-coeurs atteint des sommets, et celle des puces à 8 coeurs ne devrait pas alléger nos factures d'électricité. Elle pourrait facilement passer la barrière des 150 watts ! Le fondeur devrait livrer des informations plus détaillées en février, à l'International Solid State Circuits Conference. Malheureusement, les premières applications concrètes de ces recherches ne sont pas attendues avant cinq ans. (...)
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