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Infrastructure serveur
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(01/03/2005 19:03:00)
Intel va généraliser le 64 bit à ses processeurs pour PC de bureau
Intel devrait profiter de l'Intel Developer Forum, qui s'ouvre aujourd'hui à San Francisco, pour annoncer la généralisation prochaine du jeu d'instruction EMT64 (un clone de l'AMD64) à l'ensemble de ses processeurs pour PC de bureau. Après les Xeon l'an passé, les Pentium 4 devraient se convertir au 64 bit au début du second trimestre. Intel devrait aussi étendre son support du jeu d'instructions aux futurs versions de son processeur d'entrée de gamme Celeron, vraisemblablement avant l'été. Intel entend, semble-t-il, tirer parti du lancement prochain des versions 64 bit de Windows pour généraliser le support de la technologie EMT64 à l'ensemble de ses puces. Une façon de confirmer que le lancement de ces OS par Microsoft est proche... (...)
(01/03/2005 18:51:21)IBM PartnerWorld : IBM donne de l'élan à sa gamme iSeries
A l'occasion de la conférence IBM PartnerWorld de Las Vegas, IBM vient de lancer un programme visant à doper le développement d'applications ainsi que les services (tel que le support) sur ses serveurs iSeries. Baptisé iSeries Initiative for Innovation, le projet vise « à doper l'innovation des éditeurs partenaires, notamment via le développement d'applications et d'outils visant à enrichir la gamme iSeries ». Plus généralement, ce serait quelque 1 Md$ que Big Blue injecterait dans la promotion de sa gamme iSeries - réparti sur plusieurs années.
Le constructeur, dans le cadre de iSeries Initiative for Innovation, envisage de fournir aux développeurs ainsi qu'aux revendeurs jusqu'à 50 000 $ d'aide, ainsi que le support technique sur iSeries et le marketing associé. Pour l'heure, près de 2500 ISV auraient déjà rejoint le programme, selon IBM. (...)
Freescale signe avec le gouvernement chinois pour la promotion de Linux sur PowerPC
FreeScale, l'ex-division semi-conducteurs de Motorola, et le ministère de l'Information et de l'Industrie chinois viennent de signer un accord pour encourager le développement de Linux sur la plate-forme PowerPC. Le CSIP (China Software and Integrated Circuit Promotion Center) va établir un laboratoire commun avec Freescale pour améliorer la stabilité et la compatibilité de Linux sur les plates-formes PowerPC mais aussi pour porter des applications chinoises sur la plate-forme processeur de Freescale, tant dans le domaine de l'informatique embarquée que des plates-formes bureautiques.
La plate-forme PowerPC est traditionnellement associée à l'univers Macintosh mais elle est aussi très largement déployée dans le domaine des télécommunications et de l'informatique embarquée, deux secteurs qui font un usage de plus en plus intensif de Linux. L'intérêt de Freescale pour Linux rappelle aussi celui de l'autre pilier de la plate-forme PowerPC, IBM, qui depuis plusieurs mois a intensifié ses efforts pour démocratiser l'utilisation de Linux sur ses serveurs Power et PowerPC.
L'un des points intéressants à noter dans le cas de Freescale est l'accent porté sur le rapport performance/consommation de ses puces. Du fait de son savoir-faire en matière de processeurs embarqués, Freescale veille à maintenir la consommation plafond de ses puces PowerPC sous la barre des 15 W, soit à un niveau bien inférieur à celui des processeurs x86 de classe équivalente. Le dernier-né de la famille e600 chez Freescale propose ainsi un coeur PowerPC de classe G4 cadencé à 1,5 GHz, un bus système à 1 GHz et embarque un contrôleur PCI Express ainsi qu'un contrôleur mémoire DDR2. D'ici le début 2006, il devrait être remplacé par une puce 32/64 bit et bicoeur (gamme e700) dans la même enveloppe de consommation et à une fréquence d'horloge de l'ordre de 2 GHz. De quoi répondre à la plupart des besoins informatique modernes, mais aussi de quoi fournir une alternative crédible au PowerPC 970 d'IBM pour les prochaines générations de portables de la firme à la pomme, ou pour de futurs PC chinois sous Linux à base de PowerPC... (...)
Interview : Montavista le champion du Linux embarqué
A l'occasion du récent 3GSM World Congress, "Le Monde Informatique" a récemment pu rencontrer James Ready, le CEO et fondateur de Montavista, et Kelly Herrel (ex-Cobalt) , le directeur de la stratégie de l'éditeur. L'occasion de faire le point sur l'un des distributeurs Linux les plus discrets mais aussi parmi les plus appréciés par les équipementiers et constructeurs d'équipements embarqués.
Montavista est fréquemment cité par les grands équipementiers télécoms qui utilisent Linux dans leurs équipements opérateurs. D'où vient votre succès sur ce marché ?
K.H. : Nous sommes le leader mais comme dans tout marché porteur nous avons des concurrents. Notre premier produit carrier grade n'a pas eu de concurrents pendant deux ans. Cela nous a permis d'acquérir de l'expérience. Notre produit originel n'a rien a voir avec notre produit actuel. Un de nos clients Linux a ainsi mis le logiciel en test intensif pendant 6 mois, puis l'a retesté 6 mois avec ses applications. A l'arrivée nous avons un produit à l'épreuve du feu comme celui que nous proposons à Alcatel. C'est un marché énorme. Et nous en connaissons bien les exigences...
D'où proviennent aujourd'hui les revenus de Montavista
K.H. : Comme la plupart des fournisseurs dans l'embarqué, nous avons deux modèles. Le premier est un modèle développeur. Nous avons aussi un modèle de facturation par unité. Un dollar par unité est la seule chose que nous demandons.
C'est plus cher que Microsoft ?
J.R. : Je ne suis pas sûr que Microsoft puisse durablement facturer sous le prix de Linux. D'ailleurs nos prix peuvent être bien inférieurs à un dollar, fonction du volume. De plus il y a bien d'autres paramètres à considérer que le prix, notamment en termes d'indépendance, de fonctionnalité et de sécurité. Par exemple avec Symbian, votre fournisseur d'OS est aussi votre concurrent. Dans le cas de Microsoft, rien ne différencie un téléphone Windows d'un autre. L'interface doit se conformer à une spécification.
K.H. : Avec Linux, les constructeurs sont libres de personnaliser l'interface. C'est ce qui explique qu'un constructeur de terminaux comme Motorola est autant intéressé par Linux.
Un jeu dans l'industrie est de fournir des plates-formes complètes. Qu'en est-il de Montavista.
K.H. : C'est un des objectifs de l'initiative Mobilinux, de développer un écosystème complet pour raccourcir le temps de développement d'un téléphone (NDLR : Mobilinux réunit ARM, Intel, Motorola, NEC, NTT DoCoMo, OpenWave, Panasonic, TI, TTPCom, PalmSource et RealNetworks). Traditionnellement, l'une des difficultés pour construire un téléphone était de personnaliser les OS embarqués dans les terminaux. Avec Mobilinux, cette limitation disparaît, puisque les constructeurs pourront puiser dans un large portefeuille de composants applicatifs, telles que les machines virtuelles Java, navigateurs Web, PIM... Linux est donc libérateur pour les fabricants de terminaux.... Pour les opérateurs, la perspective d'utiliser Linux comme plate-forme pour uniformiser leur service est également extrêmement tentante.
Les opérateurs semblent avoir choisi Java comme plate-forme favorite pour la distribution d'applications, jeux... Imaginez-vous Linux concurrencer un jour Java pour cet objet?
J.R. : L'un des problèmes avec Java sur les téléphones est que l'on n'est jamais assuré que l'application fonctionnera sur tous les terminaux. Avec Linux, on peut assurer la portabilité des applications d'une plate-forme à l'autre, PowerPC, ARM MIPS. Pour nous toutes les plates-formes sont identiques.
Ce qui veut dire à terme un packaging "Fat binary" afin de distribuer des applications capables de fonctionner sur toutes les plates-formes ?
K.H. : C'est une des possibilités. Les opérateurs souhaitent opérer une "delabélisation" de leur catalogue. Linux est le "délabelizer" pour les opérateurs.
Lorsque l'on discute avec Symbian ou Microsoft, ces éditeurs visent à effectuer le minimum d'optimisation et conservent une approche assez générique
J.R. : C'est un des avantages de Linux. Avec Intel, nous avons par exemple passé des mois à optimiser le noyau et des librairies spécifiques pour l'architecture Xscale. Lorsque l'on travaille avec les gens des semi-conducteurs, ils nous poussent au maximum à optimiser pour leurs architectures par exemple en termes de multimédia, de gestion de l'énergie. Dans le cas d'Intel, ils nous ont stressés jusqu'au bout (NDLR : Intel est avec NTT DoCoMo l'un des investisseurs dans Montavista)...
De quoi apprendre la paranoïa ?
J.R. : Oui en fait j'ai eu l'occasion de dîner avec Andy Grove. On peut donc dire que j'ai appris d'un maître...
Qu'en est-il de Linux et du temps réel ? Habituellement il y a deux OS sur les terminaux et on parle aujourd'hui de design monochip avec un seul OS.
K.H.: c'est un enjeu de réduction de coût. Un seul processeur et un seul OS permet de réduire la facture de composant d'un terminal.
J.R. : On me disait, c'est impossible avec Linux. L'an passé j'avais un déjeuner avec des responsables de l'industrie des semi-conducteurs et ils me disaient : Jim, il faut absolument résoudre les problèmes de temps réel et de Linux. Nous avons dit OK, on le fera. Nous avons des experts des systèmes temps réel au sein de Montavista et nous avons commencé à travailler il y a plus de trois ans sur le sujet. Nous savions que c'était possible.
Un an après, ce problème est réglé. Linux peut être l'OS unique gérant la partie radio et les applications sur un téléphone. Un de nos partenaires fera d'ailleurs une annonce en ce sens au second trimestre. (...)
Intel rebondit sur le marché des téléviseurs en achetant Oplus
Intel a annoncé l'acquisition de la société israélienne Oplus Technologies, spécialisée dans la conception de semi-conducteurs pour téléviseurs à écran plasma et systèmes de projection.
En 2004, Intel avait tenté l'expérience du marché de la télévision numérique en fabricant ses propres processeurs à base de technologie LCOS (Liquid Crystal On Silicon), espérant ainsi concurrencer frontalement Texas Instruments. L'aventure avait fait long feu et avait été abandonnée en octobre.
Intel n'avait pas pour autant renoncé à une stratégie mettant de plus en plus l'accent sur d'autres secteurs que les seuls ordinateurs, notamment la vidéo numérique. Avec l'achat d'Oplus, Intel a estimé plus facile et efficace d'acquérir la technologie TV plutôt que de la fabriquer.
Le n°1 du processeur ne précise pas s'il prévoit d'utiliser la technologie d'Oplus pour développer de nouveaux composants, ou s'il envisage de l'intégrer dans ses puces.
Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé mais a été estimé à 100 M$ par un média israélien. (...)
Mandrakesoft acquiert Conectiva
L'éditeur français de distributions Linux Mandrakesoft va procéder à l'acquisition de son homologue brésilien Conectiva. Dans un communiqué, François Bancilhon, directeur général de Mandrakesoft, explique que "l'addition des deux entreprises permet d'étendre notre portefeuille d'offres et de servir plus d'entreprises, en combinant nos atouts commerciaux et R&D". Pour Jaques Rosenzvaig, PDG de Conectiva, "cette fusion [...] nous renforce en créant de la valeur commerciale et technologique". Derrière cette annonce, apparaît en filigrane la volonté des deux anciens partenaires de raviver des projets moribonds d'un Linux unifié. Ainsi, Mandrakesoft et Conectiva rappellent dans leur communiqué leur appartenance au Linux Core Consortium, initiateur du développement d'une implémentation commune de la Linux Standard Base. Et de souligner que leurs prochains produits pour les entreprises s'appuieront sur les travaux du Linux Core Consortium.
Les promesses du Linux Core Consortium, fondé en novembre dernier, ont un vague air de déjà-vu : elles rappellent celles de UnitedLinux. Cette association, lancée en mai 2002 par Conectiva et TurboLinux ainsi que SuSE et Caldera (devenu SCO depuis), a implosé fin janvier 2004 sous l'effet de la croisade anti-Linux de SCO.
Selon les termes de l'accord, Mandrakesoft va acquérir l'intégralité des parts de Conectiva pour un montant de 1,79 M¤ en actions. (...)
Azul veut réinventer les serveurs J2EE
Après son bref passage chez Sun, le fondateur de Cobalt, Stephen DeWitt est de nouveau à la tâche avec cette fois l'objectif de créer une nouvelle architecture serveur capable de doper les performances des applications écrites en Java ou .Net.
La nouvelle start-up de DeWitt, Azul Systems a développé un processeur massivement multicoeur (24 coeurs par puces) conçu spécialement pour traiter des applications multithreadées et notamment les applications Java. Ces puces sont intégrées dans des appliances, contenant entre 4 et 16 processeurs et vers lesquelles les serveurs d'applications Java traditionnels peuvent déporter leurs traitements.
L'appliance d'Azul se comporte comme un proxy. Les administrateurs n'ont dès lors qu'à installer le proxy server sur les serveurs J2EE du marché (WebLogic, WebSphere...) et le proxy prend en charge le traitement des tâches Java habituellement dévolu au serveur lui-même. L'un des avantages de cette approche, selon Azul, est que ses appliances sont optimisées pour traiter les flux massivement multithreadés mais aussi pour accélérer le traitement de bytecode. Autre avantage, selon le constructeur, son architecture est très efficace par rapport aux architectures processeur traditionnelles. Ainsi une appliance avec 16 processeurs (capable de traiter 384 threads en parallèle) ne dissipe quasiment aucune chaleur, un avantage redoutable au coeur d'un datacenter.
La semaine prochaine, Azul devrait dévoiler un partenariat avec IBM et la firme est aussi en discussion avec Microsoft pour adapter sa technologie à la plate-forme .Net. Selon Dewitt, une appliance Azul devrait coûter environ 1 000 $ par processeur. La cible du constructeur est le marché des serveurs d'applications, un marché qui représente aujourd'hui 40 % des ventes de serveurs mondiaux. (...)
IBM conserve son rang sur le marché EMEA des serveurs
Selon Gartner, IBM est parvenu à conserver la tête du marché des serveurs en 2004 pour la région Europe, Moyen-Orient, Afrique (EMEA), avec 32,9 % de parts de marché et près de 5,2 Md$ de chiffre d'affaires. Néanmoins, le constructeur est talonné par HP dont la part de marché a progressé de près de 11 % par rapport à 2003 à 31,3 %. Les autres constructeurs se placent loin derrière avec Sun à 10,8 %, Fujitsu-Siemens à 8,2 % et Dell à 7,3 %. Le chiffre d'affaires de ce dernier sur ce marché a cependant progressé de 25,6 % en 2004 à 1,155 Md$.
En volume, IBM se fait devancer par HP qui s'est octroyé 37,7 % du marché à 765 200 unités vendues, 18,3 % de mieux qu'en 2003. IBM n'a atteint que 17,5 % de parts de marché à 355 000 unités, soit tout de même 24,7 % de mieux qu'en 2003. Dell semble avoir profité de la forte demande pour des serveurs d'entrée de gamme relevée par Gartner ; le constructeur a livré 318 000 serveurs dans la région EMEA en 2004, soit 31,5 % de mieux qu'un an plus tôt.
Au total, plus de deux millions de serveurs ont été vendus dans la région EMEA en 2004, soit 20,6 % de mieux qu'en 2003, pour un chiffre d'affaires de 15,7 Md$. (...)
Les résultats d'Informatica impactés par des provisions exceptionnelles
Editeur dans le domaine de l'intégration de données, Informatica a récemment annoncé ses résultats pour l'année 2004. Son chiffre d'affaires atteint 219,5 millions de dollars pour l'année, en hausse de 7 % par rapport à 2003, avec malgré tout une perte nette de 111,5 millions. Didier Guyomarc'h, directeur général de la filiale française, précise que cette perte est liée à des provisions exceptionnelles, dues à un déménagement du siège social aux Etats-Unis. Actuellement, la société négocie la sortie de son précédent contrat de bail. « Les règles comptables américaines nous imposent, en tant que société cotée au Nasdaq, d'intégrer la totalité des provisions sur un même exercice fiscal », ajoute Didier Guyomarc'h. L'éditeur précise que sans ces provisions, son résultat d'exploitation atteint 13,7 millions de dollars, soit 16 cents par action. (...)
(22/02/2005 18:39:19)IBM prépare l'architecture de ses futurs serveurs xSeries
IBM vient de présenter X3, la dernière génération de son architecture Enterprise X-Architecture lancée initialement en 2001. X3 est conçue pour optimiser les performances des processeurs Intel Xeon sur les serveurs en embarquant quatre et plus. Dans un communiqué, IBM revendique un gain de performances pouvant atteindre 38 % pour un serveur quadri-Xeon. Cette nouvelle architecture a nécessité trois ans de développement et un investissement de plus de 100 M$, selon IBM. Elle s'appuie notamment sur le savoir-faire acquis par le constructeur dans le cadre de ses activités de production de mainframes et de supercalculateurs.
IBM destine notamment son architecture X3 à des applications de consolidation de serveurs, soulignant notamment la capacité de ses futurs serveurs multi-Xeon à faire cohabiter applications 32 et 64 bit.
IBM a également présenté le chipset XA-64e, jusqu'ici connu sous le nom de code Hurricane. Dédié à l'architecture X3, il doit équiper les prochains serveurs xSeries de Big Blue animés par un maximum de 32 processeurs. Hurricane supporte notamment Active PCI-X jusqu'à 266 MHz, trois ports d'extension affichant des taux de transfert de 6,4 Go/s et le système de mémoire tampon Virtual XceL4v Dynamic Server Cache offrant, selon IBM, « des temps de latence suffisamment faibles pour rendre inutile un cache de niveau 4 ». (...)
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