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Infrastructure serveur

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(24/08/2010 12:24:17)
Le cloud vecteur d'idées innovantes
Le rapport établit que les infrastructures IT traditionnelles et rigides entravent l'innovation car le déploiement et les tests sont longs à mettre en place. De son côté, les services informatiques à la demande bénéficient d'une plus grande rapidité de mise en oeuvre et d'exécution.
« Souvent les coûts et le temps nécessaires pour tester un produit ou service innovant, pour éprouver une méthode marketing sont si inabordables qu'ils découragent les entreprises avant même d'essayer », informe l'étude. « Mais le cloud computing offre un moyen peu coûteux et flexible de déployer l'infrastructure nécessaire pour expérimenter les idées ». Par exemple, le rapport mentionne que l'entreprise 3M utilise la solution Azure de Microsoft pour analyser rapidement des concepts sur les produits destinés aux consommateurs tandis que la société McKesson utilise l'outil « Analytics Cloud » de SAS pour étudier les données marketing.
Toutefois, PWC reconnaît dans son étude que le cloud computing accroît les problèmes de sécurité, tout comme ceux de conformité réglementaire et ceux liés aux aspects économiques et financiers. (...)
Lancement du « Start-up Challenge » d'Amazon Web Services
Pour la quatrième année consécutive, Amazon Web Services (AWS) lance son concours « Start-up Challenge », ouvert aux jeunes entreprises basant leur activité sur ces services cloud. Les candidats vont être jugés sur la façon dont ils utilisent cette plateforme (stockage, puissance de calcul, bases de données). Les années précédentes, le concours a par exemple mis en avant la société MileMeter, vendant des assurances auto au kilomètre. Pour la première fois le concours offrira des prix récompensant des gagnants différents pour le continent Américain, l'Europe et l'Asie Pacifique. Au final donc, 5 demi finalistes de chaque région seront sélectionnés et dotés, pour finir à 6 finalistes et un grand gagnant mondial. Lancé ce 23 août, le concours recevra les candidatures jusqu'au 31 octobre prochain. La finale se tiendra à Palo Alto, en Californie, début décembre et sera diffusée en direct sur Internet.
Quelques obligations pour participer
Les jeunes entreprises qui viseraient le grand prix devront répondre à certains pré-requis pour être sélectionnées. Le premier critère consiste évidemment en l'utilisation d'Amazon Web Services par la start-up, vérifiable par la possession d'un compte sur les plateforme EC2 ou S3. Les autres pré-requis sont quant à eux plus libres d'interprétation, et stipulent que l'entreprise doit avoir une activité un minimum originale ou créative, qu'elle doit posséder une viabilité à long terme sur le marché et qu'elle répond à un besoin effectif sur celui-ci. Autres conditions, comme toujours dans ce type de concours, il ne faut pas que l'entreprise ait dépassé un certain seuil de chiffre d'affaires pour être éligible, seuil ici fixé à 10 millions de dollars maximum, et qu'elle n'ait pas reçu plus de la même somme en financements externes. Il faut enfin que la société soit privée et que son siège social soit situé nécessairement dans l'un des pays participant au concours, dont la France.
Des récompenses sous la forme de services
Outre le grand gagnant mondial, qui recevra un chèque 50 000 dollars, ainsi que 50 000 dollars en crédits de services AWS, des services de support, un tutorat technique d'un an et une offre d'investissement de la part d'Amazon, les gagnants « intermédiaires » recevront leurs lots sous la forme de crédits AWS. Déjà, tout participant éligible recevra pour 25 dollars de ces crédits. Les cinq demi-finalistes régionaux se verront dotés de 2 500 dollars à dépenser sur la plateforme, tandis que les six finalistes disposeront de 10 000 dollars utilisables de la même manière.
Ce genre d'initiatives commence à réellement se développer chez la plupart des grands acteurs du marché. Entre IBM qui a récemment lancé son concours « Global Entrepreneur » et Microsoft qui depuis 2 ans propose le programme « BizSpark » qui soutient les start-ups, ces jeunes entreprises disposent de divers moyens pour arriver à maturation avec l'aide de ces grands groupes. Les critères d'originalité et de viabilité économique des projets sont en règle générale le dénominateur commun de ces différents concours. (...)
Un téléphone Android aussi puissant qu'un supercalculateur
Après une série de simulations effectuées sur le supercalculateur Ranger, les scientifiques ont généré un "modèle réduit" de l'application qu'ils ont transféré sur un smartphone. Ils sont ensuite parvenus à résoudre certains problèmes liés à la taille de l'écran pour visualiser les résultats à la volée.
Le HPC en mobilité
Le projet a révélé la capacité et la méthode pour porter des simulations de calculs complexes fiables et en temps réel sur des appareils de poche. Ce n'est pas la première fois que des petits terminaux sont utilisés pour effectuer de telles opérations. Mais les travaux du MIT montrent qu'il est possible d'implémenter un système de gestion d'erreurs par un algorithme plus adapté au terminal. "Il n'est pas nécessaire d'avoir un ordinateur très puissant à disposition," a déclaré David Knezevic, post-doctorant en génie mécanique au MIT. "Une fois que vous avez créé le modèle réduit, vous pouvez faire tous les calculs sur un téléphone. Nous avons évalué la limite du modèle réduit en terme de précision, c'est pourquoi nous pouvons affirmer avec toute la rigueur qui s'impose que nous sommes capables de faire du calcul intensif sur un smartphone."
Crédit Photo: TAAC
(...)(20/08/2010 12:03:11)Trimestriels Dell : le marché entreprises en forte hausse
La croissance de Dell pour le second trimestre de son année fiscale, par rapport aux résultats de l'an dernier, est généralisée. Le chiffre d'affaire annoncé s'élève à 15,5 milliards de dollars, soit une hausse impressionnante de 22% sur la même période, et qui dépasse les estimations de Thomson Financial qui s'attendaient à 15,2 milliards. Dell note une importante progression de ce chiffre dans les pays du BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine), qui représente 12% des revenus totaux, et donc une augmentation de 52%. Le bénéfice net de l'entreprise suit la même tendance, passant de 472 millions de dollars pour le second trimestre de l'année précédente à 545 millions pour celui-ci, grimpant donc de 16%. Le revenu par action est pour sa part majoré de 0,4 $, s'affichant désormais à 0,28 $.
Des chiffres très positifs pour les produits professionnels
Le marché des entreprises a très largement contribué à de tels résultats. Celles-ci ont en effet, d'après Dell, procédé mondialement à un rafraichissement de leurs équipements informatiques, qu'il s'agisse de serveurs, de réseaux, de stockage ou bien même juste des PC portables et de bureau. Les ventes de serveurs et réseaux, justement, ont bondi de 35% pour atteindre 1,89 milliards de dollars notamment grâce à de fortes livraisons de blades. Les équipements de stockage ont opéré une hausse de 13%, représentant 624 millions de revenus, contre 1,9 milliards pour les servicesen hausse de 57%. Le renouvellement des PC d'entreprises a lui aussi globalement fait flamber les ventes. Les ordinateurs de bureau ont compté à hauteur de 3,87 milliards de dollars (+17%) du CA, tandis que les notebooks se sont élevés à 4,7 milliards (+21%). Des responsables de Dell prévoient que ce cycle de renouvellement perdurera pendant encore 24 mois. Le principal moteur de cette embellie est la mise à niveau du parc informatique vers Windows 7.
Le grand public stagne pour le moment
Néanmoins, le marché à destination des consommateurs est resté pour sa part relativement stable, à 2,9 milliards de dollars. « Nous avons en effet vu la demande s'affaiblir vers la fin du trimestre » confirme Brian Gladden, directeur financier du groupe. Il estime toutefois que ce marché devrait reprendre vers la fin de l'année, et note que sur les huit derniers mois, les prix de vente des PC est resté stable. Le PDG de la société, Michael Dell, a lui même annoncé que des produits à destination des consommateurs étaient prévus pour les prochains mois, sans donner de détails, mais précisant tout de même que l'entreprise soutenait l'OS Android de Google, déjà utilisé par la tablette Streak.
Ces chiffres doivent faire plaisir à Michael Dell, récemment réélu à la tête du groupe et ce malgré le désaveu de nombreux actionnaires remettant en question ses capacités à diriger efficacement. 25,2% d'entre eux se sont en effet refusés à soutenir cette réélection durant le vote.
Illustration : Michael Dell
Crédit Photo : D.R.
Les opérateurs télécoms domineront le marché du cloud d'ici 2 ans
Les « Telcos » devraient prochainement être les acteurs principaux du cloud computing. Peter Hall, analyste du marché chez Ovum affirme en effet que les utilisateurs de ces services devraient croître rapidement durant les prochaines années. « Nous nous attendons à ce que l'intérêt grandisse vivement pendant les deux ou trois prochaines années, il est donc temps pour les opérateurs de développer des stratégies concernant leur entrée sur le marché ».
Selon lui, cette avancée est logique pour ces fournisseurs qui utilisent actuellement des datacenters pour stocker leurs données. « Ils ont un historique, du moins pour les plus importants, en matière de mise à disposition des services et hébergements gérés par des datacenters, et ont combiné ceci avec leur expertise en réseau et en sécurité pour fournir à leur clientèle des services sur le cloud ».
Un rapport documenté
Ce rapport se base sur l'étude mondiale de 150 entreprises de plus de 1 000 salariés, et intègre des contributions d'Orange Business Services, AT&T et Verizon. Peter Hall précise que chaque société interrogée était bien consciente du lien direct entre le cloud computing et leur coeur de métier. « Tous les acteurs en question ont vu que le cloud pouvait profiter à leurs compétences de base, et Orange a même appliqué le terme « opérateur IT » pour refléter cette évolution de son rôle de fournisseurs de services IT, et ce par analogie à son rôle d'opérateur télécom. ». L'analyste veut néanmoins rassurer ceux qui n'auraient pas encore développé de stratégie cloud, les utilisateurs finaux étant encore prudents face à ce marché « embryonnaire ».
Crédit Photo : D.R.
Brocade prêt pour le 100G Ethernet pour les datacenters
Le standard 802.3ba a été ratifié en juin dernier en définissant les spécifications de la connectivité 40 et 100 G Ethernet. Les équipementiers réseaux travaillent rapidement pour intégrer notamment le 100 G Ethernet, réclamés par les besoins de capacités de certaines grandes entreprises. Cisco et Juniper avaient choisi d'intégrer des modules 100 G Ethernet en mode draft en attendant la ratification des spécifications.
Brocade devrait donner plus de détails sur le module le mois prochain, où Dave Stevens, CTO, fera une présentation à la presse au siège de la société à San José. Le NetIron MLX 32, haut de gamme de la famille 32 ports MLX, devrait selon le dirigeant, embarquer 32 ports 100 G Ethernet. Actuellement, il peut être équipé de 256 ports 10 G Ethernet ou 1 536 ports Gigabit Ethernet.
L'équipementier utilise deux MLX 32 pour son récent datacenter de San José. Cela lui a permis de consolider les ressources qui étaient auparavant réparties sur 3 établissements. Les commutateurs MLX permettront à Brocade de supprimer la couche agrégation, ou la commutation « top of rack » au niveau réseau du datacenter. «Cela laissera plus d'espace pour les serveurs tout en réduisant les besoins en énergie », souligne Dave Stevens. D'autres fonctionnalités ont permis à la société de réduire de 37% la consommation d'énergie, par rapport à celle utilisée par les 3 autres centres de calcul.
Illustration: Brocade Datacenter
Crédit Photo: Brocade Photos
(...)(19/08/2010 11:33:58)Intel s'approprie des parts de marché d'AMD sur les serveurs
Intel a gagné des parts sur le marché des microprocesseurs pour serveur, prenant avantage de la lenteur de renouvellement des produits d'AMD si l'on en croit des chiffres publiés mercredi par IDC. Le fondeur de Santa Clara a fourni 93,5 % de ces processeurs au second trimestre, contre 89,9 % à la même époque en 2009, tandis qu'AMD est passé de 10,1 % à 6,5% sur cette période. Cette perte de parts de marché s'est principalement produite entre le premier et le second trimestre. Il paye le retard des fabricants de serveurs à proposer les processeurs Opteron série 6000. « Intel a vu ses ventes augmenter grâce aux produits Xeon DP 32 nanomètres et Xeon MP 45 nanomètres. Par comparaison, tandis qu'AMD lançait ses processeurs Opteron 8 et 12 coeurs, les OEM ne se sont pas rués dessus, et ne les ont livrés qu'en faible quantité au second trimestre. Je pense que cela devrait changer durant le troisième » a déclaré Shane Rau, analyste pour IDC. « On peut présumer que leurs chiffres ne seront pas autant plombés par ces problèmes de transition durant les deux derniers trimestres de l'année fiscale » a confirmé Dean McCarron, analyste chez Mercury Research.
Des chiffres pas si mauvais pour AMD
Sur le marché global des x86, incluant les serveurs, les ordinateurs de bureau et les processeurs mobiles, les chiffres sont plus positifs pour AMD, sa part de marché étant passée de 18,8 % à 19 % des processeurs livrés entre les deux premiers trimestres. Les parts sur les puces à destination des notebooks ont elles aussi augmentées sur cette période, de 12,1 % à 13,7 %, là où Intel a perdu du terrain, ses parts tombant à 86,1 % alors qu'elles s'élevaient à 87,8 % au premier trimestre.
Pour les processeurs de PC de bureau, Intel a néanmoins gagné un demi point, grimpant à 72,2 % des livraisons. Via Technologies représentait quant à elle, au second trimestre, 0,3 % des livraisons totales de processeurs, contre 0,2 % au premier, mais surtout contre 0,5 % à la même période en 2009. Les livraisons totales, tous fournisseurs confondus, étaient en hausse de 30,8 % d'une année sur l'autre pour le second trimestre, marquant le retour des investissements en équipement informatique. Le marché des mobiles a connu la plus forte hausse, suivi ensuite par celui des serveurs.
Crédit Photo : D.R.
Le cloud d'Amazon propose la réservation d'instances de base de données
Avec Reserved Database Instances, Amazon Web Services propose une nouvelle manière d'utiliser sa base de données relationnelles (RDS). Désormais, les utilisateurs peuvent payer en une fois et à l'avance pour réserver une base de données dans une région donnée pour une durée de deux ou trois ans. En contrepartie, Amazon leur octroie une remise sur le tarif horaire. Les coûts pour réserver une base de données s'échelonnent entre 227,5 dollars pour une année et 350 dollars pour trois ans, plus 0,046 dollar par heure au lieu de 0,11 dollar, correspondant au taux horaire normalement appliqué, d'après la liste des tarifs établis par Amazon. Dans le cas où la solution Reserved Database Instance est choisie pour toute la période, la réduction peut atteindre jusqu'à 46 %, selon l'éditeur.
Les utilisateurs peuvent réserver jusqu'à 20 bases de données, sans avoir à fournir de justificatifs. Au delà, ils doivent remplir un formulaire de demande, comme l'indique une FAQ d'Amazon. Si les utilisateurs souhaitent faire passer leur base de données à une classe supérieure, c'est à dire avec plus de mémoire et plus de puissance de traitement, le tarif bascule vers les taux horaires standards.
Sur le plan pratique, Amazon Reserved Database Instance et On-Demand DB sont identiques. Elles permettent toutes deux l'accès à une base de données MySQL. Le code, les applications et les outils utilisés aujourd'hui avec les bases de données MySQL fonctionnent avec Amazon RDS. De la même manière, l'éditeur procède aux mises à jour automatiques du logiciel. Pour l'instant le service est encore indiqué comme fonctionnant en version bêta.
SAP propose trois tarifs de démarrage pour Business ByDesign 2.5
La suite de gestion en ligne SAP Business ByDesign est disponible dans sa version 2.5 depuis fin juillet. Son accès est toujours limité aux clients des six pays, dont la France, où elle est commercialisée depuis son lancement. D'un point de vue technologique, cette application « à la demande » fonctionne désormais en mode multitenant, ce qui, pour SAP qui en assure l'hébergement dans son datacenter, en facilite sensiblement l'administration. L'éditeur peut maintenant supporter les déploiements en volume sur sa plateforme en limitant ses propres coûts de gestion.
Le nombre de clients exploitant Business ByDesign ne regroupait jusque-là qu'une centaine de clients. Avec cette version, le fournisseur établit aussi une tarification bien cadrée, comportant un coût de mise en place fixe (suivant les fonctionnalités choisies), auquel s'ajoute un abonnement par personne accédant au logiciel, avec un minimum de dix utilisateurs.
Parmi les apports fonctionnels, déjà annoncés et présentés par SAP en mars dernier, au Cebit de Hanovre, puis en mai, sur SapphireNow, les utilisateurs bénéficient maintenant de capacités d'analyse des données en mémoire en temps réel. La version 2.5 fournit aussi le support des terminaux mobiles, ainsi que des outils pour personnaliser l'interface utilisateur d'origine, ainsi que les rapports et les formulaires.
Trois tarifs pour démarrer
Plusieurs tarifs de départ sont proposés aux entreprises pour utiliser Business ByDesign en fonction du cadre fonctionnel dans lequel elles comptent déployer l'application. Une méthodologie adaptée et des outils de formation sont proposés en ligne. Le périmètre de l'application s'étendra à d'autres fonctionnalités de la suite en fonction des besoins ultérieurs.
Trois « Starter packages » ont été définis. Le premier concerne la gestion de la relation client (CRM). Il couvre le suivi des opportunités commerciales depuis la génération de « leads » jusqu'à la signature de l'affaire. Outre la mise en place (facturée 9 900 euros) qui peut s'effectuer en trois semaines, estime SAP, l'abonnement est fixé à 79 euros par mois par utilisateur.
La deuxième solution, « ERP starter package », porte sur les outils de gestion comptable et financière. Elle se déploie en six semaines, toujours selon l'éditeur, pour environ 24 900 euros. L'abonnement revient généralement à 149 euros par utilisateur.
La troisième offre s'adresse aux entreprises de services. Le PSP (Professional service provider) starter package requiert davantage de temps pour son installation : huit semaines environ, facturée environ 34 900 euros. Le prix de l'abonnement est fixé à 149 euros par utilisateur. (...)
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