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(06/10/2009 11:12:26)
Avec Native Client au coeur de Chrome, Google fait un pas de plus vers un futur OS
En annonçant Chrome OS, son futur OS pour netbooks et smartphones connectés en permanence au Web, Google avait fait couler beaucoup d'encre. Pourtant, rien de concret n'a suivi cette annonce. L'arrivée de Native Client directement dans Chrome - à l'occasion de la sortie il y a quelques jours de la toute dernière version 4.0.220.1 - pourrait changer la donne. Cette technologie Open Source permet d'exécuter du code x86 en mode natif dans des applications Web au lieu de les retranscrire en JavaScript ou en Flash. Jusqu'à présent, les développeurs - et les utilisateurs intéressés - devaient installer Native Client sous forme d'un module dédié dans leur navigateur (Firefox, Chrome, Safari ou Opera). Native Client n'est pour l'instant pas activé par défaut dans Chrome mais par l'entrée d'une ligne de commande spécifique. En théorie donc, le module reste réservé aux développeurs voulant tirer partie de toute la puissance des processeurs pour leurs applications Web. Mais certains fabricants chinois parlent déjà de lancer des netbooks avec une version de Chrome OS installée dès la fin du mois. Google se refuse pour l'instant à tout commentaire et maintient sa sortie prévue de Chrome OS pour la seconde moitié de 2010. (...)
(02/10/2009 16:43:19)iNotes LotusLive, un webmail sécurisé signé IBM
Après Google et Microsoft, IBM lance à son tour un service de webmail avec agenda et système de gestion des contacts. Baptisée iNotes LotusLive, cette plateforme payante vient concurrencer Gmail et Exchange avec un abonnement commençant à 3 $ par utilisateur et par mois. Pour mémoire, le service Google Apps Premier Edition est facturé 50 $ par utilisateur et par an. Reposant sur la technologie Outblaze, rachetée à une compagnie de Hong Kong, iNotes LotusLive répond aux besoins des grandes entreprises qui désirent migrer leur service de messagerie vers une solution de type SaaS (Software as a Service). Une solution particulièrement bien indiquée pour tous les travailleurs nomades qui ne sont pas attachés à un bureau. IBM espère également convaincre de plus petites sociétés intéressées par les offres de logiciel à la demande, mais refroidies par les problèmes de sécurité et de pannes de service tels que ceux subis par Gmail ces derniers mois. «Ce que nous avons ajouté à la technologie Outblaze correspond à la qualité de service que vous pouvez attendre d'IBM en termes de sécurité, de fiabilité et de confidentialité", a déclaré Sean Poulley, vice-président de l'activité collaboration en ligne chez Big Blue. Tout en faisant allusion aux pannes récurrentes de Google Gmail, Sean Poulley reconnait qu'aucune société ne peut garantir à une disponibilité de 100 % avec des applications en ligne. Mais pour offrir une meilleure qualité de service que Gmail, IBM peut compter sur sa grande expérience dans la gestion et la maintenance des systèmes critiques précise-t-il. Avec cette offre, Big Blue compte bien récupérer les clients de Microsoft qui ne désirent pas migrer vers Exchange 2010. Une solution qui demande énormément d'ingénierie et d'investissements selon Sean Poulley. "Globalement, le principal point d'intérêt de cette nouvelle offre IBM est son prix", avance Matt Cain, analyste chez Gartner. "Tout comme Google et Microsoft, la société Outblaze propose depuis longtemps des webmails professionnels très bon marché." Avec son offre iNotes LotusLive, le géant d'Armonk rattrape simplement son retard". Toutefois, cela ne veut pas dire que l'impact de la marque IBM sur le logiciel n'apporte pas une certaine valeur, ajoute Matt Caïn. "Du point de vue de l'entreprise, il est toujours préférable d'acheter un service email à IBM plutôt qu'à une société appelée Outblaze". Il est toutefois peu probable que la politique de prix serrés de Big Blue incitera les concurrents à baisser le tarif de leurs offres, souligne Matt Cain. "Microsoft, par exemple, propose déjà un service mail à 2 $ par mois et par utilisateur avec Exchange Online, une option baptisée «travailleurs nomades (deskless worker)" pointe Matt Caïné. (...)
(02/10/2009 16:19:49)Firefox et Chrome continuent de grignoter Internet Explorer
Le navigateur de Microsoft, Internet Explorer, perd encore des parts de marché face à ses concurrents Firefox de Mozilla et Chrome de Google, selon Net Applications qui produit entre autres des études de marché. IE est tombé à son plus bas niveau historique avec 65,71% de part de marché. L'outil de Microsoft a perdu 8,5 points dans les 12 derniers mois et 2,6 points dans les trois derniers mois seulement. Sauf si Microsoft arrive à enrayer ce phénomène, son navigateur devrait descendre sous la barre des 50% dans les deux prochaines années. Et ce sont toujours Firefox et Chrome qui sont la cause des déconvenues du géant de Redmond. Le navigateur de Mozilla a vécu sa plus forte hausse mensuelle depuis novembre 2008 avec 0,8 points de plus pour atteindre 23,75% de parts de marché. Le petit panda roux n'a pas encore récupéré de la chute de sa part de marché en mai et juin derniers, mais il pourrait retrouver dès le mois prochain le record atteint en avril avec 23,84%. Le tout jeune Chrome de Google - en version 3.0 depuis mi-septembre- se fait quant à lui petit à petit une jolie place au pays des navigateurs Internet. Il a de nouveau fait un bond record en septembre avec +0,3 point et 3,17% du gâteau. La croissance du navigateur dans les trois derniers mois s'est placée à près de 0,8 points, plus de la moitié de la poussée de Mozilla sur la même période. Bientot plus d'IE8 que d'IE7 Safari a gagné 0,45 point à 4,24% de parts avec une forte proportion d'utilisateurs sur Mac. Le navigateur d'Apple gagne surtout des points grâce à la vente de ses machines. Quant au Norvégien Opera dont la version 10 est disponible depuis début septembre, il ne compte que pour 2,19% du marché. Du côté d'Internet Explorer, IE6 représente 24,4%, IE7 est tombé à 19,4% et IE8 est grimpé à 16,8% contre 3,6% en avril dernier. La dernière version du navigateur de Microsoft devrait dépasser son prédécesseur dès ce mois d'octobre. Même tendance chez Mozilla dont la mouture la plus récente, Firefox 3.5 a été lancée en juin. En septembre, pour la première fois, les utilisateurs de cette dernière ont représenté une proportion plus importante des adeptes de Firefox que les utilisateurs de la 3.0. Pour évaluer ce marché, Net Applications identifie les navigateurs utilisés par les internautes qui visitent les 40 000 sites suivis pour ses clients, ce qui représente une base de près de 160 millions de visiteurs uniques par mois. (...)
(02/10/2009 15:25:09)Google affine encore ses recherches
Google a annoncé de nouvelles options pour filtrer ses recherches : par fil d'actualité, en provenance de blogs, ou sur une période bien précise (une option propose même d'afficher les informations apparues « durant la dernière heure »). Ces filtres sont accessibles, depuis la version américaine du site, en cliquant sur le lien « Show Options » en haut à droite au dessus des résultats. En mai dernier, la société avait déjà proposé de filtrer les recherches en les classant par vidéos, par discussions sur les forums ou par avis. Pour Nundu Janakiram, responsable produit Recherche chez Google, ces options vont apporter aux internautes plus de pertinence de façon plus rapide. Et au passage de mettre en évidence ses performances techniques. « Ces fonctions mettent en exergue la rapidité des agents de Google et la fraîcheur des résultats fournis. Nous remontons souvent des informations dans les minutes qui suivent leur mise en ligne sur Internet. » Pour l'instant, aucune date n'est disponible pour ces filtres dans la version francophone du moteur de recherche. (...)
(01/10/2009 17:18:37)Open World Forum : Jacques Attali appelle à la numérisation de l'Etat
Invité d'honneur de l'édition 2009 de l'Open World Forum, Jacques Attali, présenté comme un "prospectiviste", a discouru quelques minutes au matin de la première journée pour égrener quelques-uns de ses thèmes de prédilection. Il est ainsi revenu sur les propositions que la Commission de libération de la croissance française, qu'il présidait, avait formulées en matière de nouvelles technologies. Notamment, il a regretté que l'Etat n'ait pas entrepris sa réforme et cherché à numériser ses échanges - "hormis pour le paiement des impôts...", a-t-il ajouté. Jacques Attali a également coiffé sa casquette de patron de Planet Finance, ONG de microcrédit, pour expliquer - comme Michel Rocard l'avait fait il y a quelques jours - que le Grand Emprunt ne pourra être grand, et qu'il devra être consacré à des projets susceptibles de créer les conditions de son remboursement. Pour Jacques Attali, qui préconisait de réserver 20% des commandes publiques aux logiciels Open Source, ces derniers devraient bénéficier de l'emprunt. L'ancien conseiller de François Mitterrand a terminé son allocution par une petite pique, qui lui a sans doute aliéné une grande partie de l'auditoire : "Je suis toujours très méfiant quand je vois employé le mot libre, [...] un logiciel libre, cela correspond à une mystification. On peut dire logiciel ouvert, gratuit, libre de droit... Soyez gentils de ne pas utiliser à tort et à travers le mot, ce sont les gens qui sont libres, pas les choses." De façon plus constructive, Jacques Attali a aussi mis le doigt sur la nécessité d'améliorer la gouvernance et la transparence des projets et des entreprises autour du Libre. "Des gens gagnent leur vie avec, et c'est tout à fait normal, respectable". Mais, a-t-il souligné, il faut que cela ne soit pas bâti ou perçu comme une exploitation indue du travail fourni de façon bénévole par des milliers de contributeurs, car cela pervertirait le modèle. Ou plutôt, pour résumer en reprenant la grandiloquence de Jacques Attali, cela irait à l'encontre des fondements de la démocratie. (...)
(01/10/2009 16:16:11)SAP et Salesforce.com montrent des applications exploitant Google Wave
La plateforme de collaboration Wave, de Google, suscite aussi l'intérêt d'éditeurs d'applications professionnelles tels SAP et Salesforce.com. Tous deux viennent en effet de montrer des prototypes d'applications qui exploitent cet environnement combinant des fonctions de partage de documents et de messagerie instantanée pour communiquer en temps réel. Comme prévu, Wave a été livré hier, mercredi 30 septembre, à quelque 100 000 utilisateurs. Jusque-là, seuls les développeurs pouvaient y accéder.
SAP Research, l'entité de recherche de l'éditeur allemand d'ERP, a ainsi créé avec l'équipe de développement de SAP NetWeaver une application, baptisée Gravity. Alexander Dreiling, directeur de programme au sein de SAP Research, a publié une vidéo en ligne pour en illustrer le fonctionnement.
Gravity permet de développer des modèles de processus dans le cadre d'une fusion entre deux entreprises (dans l'exemple choisi, une compagnie d'assurance et une banque). Les modèles sont ensuite exportés dans la solution de gestion des processus métier (BPM) de SAP pour y être peaufinés.
De son côté, Salesforce.com a conçu une extension à son offre qui se sert de Wave pour le service client. Là aussi, c'est une vidéo qui détaille l'information sur le blog des développeurs de l'éditeur californien, spécialisé dans les outils de CRM en ligne.
On y voit de quelle façon un client qui contacte un service de support va utiliser Wave pour engager un dialogue avec un robot. Dans la foulée, l'application ouvre un dossier d'incident dans Salesforce. Si le robot ne peut pas répondre à la question du client, ce dernier pourra demander à entrer en contact avec un agent qui rejoindra la « conversation ».
Wave n'est pas encore prêt pour l'épreuve du feu
Sur le blog de l'équipe de développement de Wave, Stéphanie Hannon, responsable produit, révèle que Google réfléchit déjà à une extension de la plateforme permettant de vendre ces applications en ligne.
L'analyste Stephen O'Grady, du cabinet RedMonk, reconnaît que la technologie Wave est plutôt intéressante, même si, en l'état actuel des choses, il considère qu'elle ne répond pas véritablement aux besoins des entreprises. « Sa prise en main doit être améliorée, tant pour les éditeurs indépendants que pour les entreprises », juge-t-il en ajoutant qu'il s'agit encore d'une technologie peu abordable pour des utilisateurs peu techniques. « Google devrait travailler avec des partenaires pour en extraire les éléments inutilement complexes et exposer uniquement les fonctionnalités métiers nécessaires ».
Google a admis, dans un blog interne, que Wave en était toujours au stade du développement et n'était pas encore prêt pour l'épreuve du feu. Certaines fonctionnalités doivent encore être ajoutées. (...)
L'Icann prend ses distances avec le gouvernement américain
L'Icann, l'autorité de régulation d'Internet, a annoncé hier 30 septembre qu'elle avait trouvé un nouvel accord avec le ministère américain du commerce. Le réexamen de l'engagement qui les liait depuis onze ans donne davantage d'indépendance à l'Icann et permet à d'autres pays d'exercer aussi une surveillance sur l'organisation. Depuis un certain temps, de nombreux pays souhaitaient voir se desserrer l'emprise du gouvernement américain sur l'Icann. En mai dernier, la Commissaire européenne Viviane Reding avait notamment exprimé le souhait que l'organisation devienne totalement privée et soit surveillée par un G-12 pour la gouvernance d'Internet. L'engagement signé hier prévoit que l'activité de l'autorité de régulation d'Internet soit contrôlée tous les trois ans conjointement par des membres des comités de conseil de l'organisation, par des experts indépendants et par le Ministère américain du commerce (Department of Commerce). Ce dernier continuera à s'impliquer dans le comité gouvernemental de conseil (GAC) de l'Icann bien que le nouvel accord reconnaisse à l'autorité son statut d'organisation de droit privé. Les autorités américaines disposent « d'un siège » dans le cadre de ce contrôle, a indiqué le patron de l'Icann, Rod Beckstrom, l'Américain qui a pris la succession de l'Australien Paul Twomey en juin dernier. L'ensemble des vérifications effectuées sera publiquement soumis aux commentaires de la communauté internationale et il n'y aura pas de rapport livré de façon séparée au gouvernement américain, a-t-il insisté : « tout sera publiquement communiqué, voilà où réside le réel changement ». (...)
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