Flux RSS
Internet

5069 documents trouvés, affichage des résultats 2361 à 2370.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(05/03/2009 12:39:59)
Des voix dissonantes se font entendre à propos d'Hadopi sur les bancs de la majorité
L'adoption par l'Assemblée nationale du projet de loi favorisant la diffusion et la protection de la création sur Internet - dit Création et Internet, ou encore Hadopi - pourrait être plus compliquée que ne l'envisageait jusqu'alors le gouvernement. Le texte, qui prévoit de mette en place une haute autorité - l'Hadopi - chargée de réprimer le téléchargement illégal en suspendant l'accès à Internet des récalcitrants après les avoir avertis deux fois, semble faire grincer des dents au-delà des bancs de l'opposition. Plusieurs députés de la majorité font ainsi entendre leur voix, qui dissone avec la ligne officielle de l'UMP. Trois parlementaires issus du parti présidentiel - Lionel Tardy, Alain Suguenot et Marc Le Fur - ont ainsi déposé une batterie d'amendements que ne goûtera certainement guère Christine Albanel, la ministre de la Culture. Trois frondeurs à l'UMP Le plus gros pavé dans la mare est sans nul doute constitué par les amendements 121 et 122. Le premier tente d'amoindrir les pouvoirs de l'Hadopi en lui retirant la possibilité de prononcer des suspensions d'abonnement. Comme les parlementaires européens l'avaient fait l'an passé en adoptant le désormais célèbre amendement 138, les trois députés UMP estiment que la suspension de l'abonnement, en tant que sanction, ne saurait être décidée que par l'autorité judiciaire. L'amendement 122 suggère, quant à lui, de ne pas condamner les internautes à une suspension d'abonnement mais à une simple amende. Les élus considèrent que l'accès à Internet « doit être un service public universel » et qu'en priver les citoyens serait une hérésie au regard, par exemple, du nombre croissant de services public dématérialisés. En outre, les députés rappellent que « la coupure de l'accès Internet pose des difficultés techniques insurmontables ». Un dernier argument qui séduira les fournisseurs d'accès, qui ont souvent souligné les problèmes que leur poserait l'application de la loi telle que l'imagine le gouvernement. Mobilisation générale à droite [[page]]Pour ne pas rassurer les FAI, nos confrères des Echos révèlent que, selon un rapport du CGTI (Conseil général des technologies de l'information, dépendant du ministère de l'Economie), la mise en place des instruments permettant la riposte graduée coûterait quelque 70 M$ sur trois ans aux fournisseurs d'accès. Afin que les éléments soulevés contre le projet de loi ne sèment pas de doutes dans ses rangs, le groupe majoritaire à l'Assemblée mobilise ses troupes. Hier, Jean-François Copé réunissait ainsi autour de ses collègues parlementaires un aréopage d'artistes et d'industriels de la culture venus promouvoir la nécessité de sanctionner les fraudeurs. La veille, Christine Albanel faisait acte de prosélytisme auprès des élus du Nouveau Centre. Si les Sénateurs ont voté le projet de loi comme un seul homme, son adoption à l'Assemblée devrait donc être plus délicate. Gageons néanmoins qu'en dépit de débats qui s'avèreront certainement agités, d'amendements-surprises et de discours passionnés, les députés finiront par voter un texte proche de celui rédigé par le gouvernement. On se souvient que l'audace du Palais Bourbon lors des travaux sur la Dadvsi - les députés avaient adopté le principe d'une licence globale à la faveur d'un débat nocturne - avait fait long feu. La discussion sur le projet de loi favorisant la diffusion et la protection de la création sur Internet débutera le 10 mars. (...)
(04/03/2009 11:25:50)La publicité arrive sur Google News au grand dam des éditeurs de presse
Les éditeurs de presse le redoutaient, et apparemment à juste titre : Google vient de décider d'ouvrir son service Google News à la publicité. Jusqu'à présent, Google se défendait de vouloir manger la laine sur le dos des journaux en ligne et autres agences et blogs, et mettait plutôt en avant le fait qu'il rapportait à ces derniers des milliers et des milliers de visiteurs. C'est ainsi que le moteur avait convaincu les grandes agences de presse d'enterrer la hache de guerre, alors que les éditeurs belges avaient pour leur part refusé de figurer dans Google News. Le moteur de recherches avait annoncé en novembre dernier qu'il testerait aux Etats-Unis l'inclusion de publicités dans d'autres services que son index général : la recherche d'images, la recherche d'informations financières... C'est désormais au tour de Google News. Josh Cohen, chef produit, explique sur le blog officiel de l'entreprise que Google « a toujours dit que nous dévoilerions ces changements lorsque nous pourrions offrir une bonne expérience tant pour nos utilisateurs que pour les éditeurs et les annonceurs, et nous continuerons d'étudier les différents moyens de publier de la publicité pertinente pour les utilisateurs, et bonne pour les éditeurs ». Dans le cadre de ce qui est testé actuellement aux Etats-Unis pour Google News, la publicité n'apparaît pas sur la page d'accueil, mais sur la page de présentation des résultats de la recherche. A priori, les éditeurs de presse ne sont pas contre la chose, dans la mesure où ils seraient associés au revenu produit, explique Philippe Jannet, le président du Geste (Groupement des éditeurs de sites en ligne), dans une interview qu'il nous a accordée. « Notre sentiment, indique aussi de son côté Gilles Lambert, chargé de la veille technologique de la FNPS (Fédération nationale de la presse spécialisée), est le même que celui de l'ensemble des éditeurs de presse : on serait toujours preneur d'un partage des revenus publicitaires. » Mais ce qui fait grincer les dents de ces éditeurs, c'est que Google n'a aucune intention de partager le chiffre d'affaires issu de Google News. Responsable communication de Google France, Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce, précise que telle a toujours été la politique du moteur de recherches : « Il s'agit d'AdWords, à droite des résultats de recherche - qui n'interfèrent donc pas avec le contenu et ne sont pas intrusifs pour l'internaute - comme pour l'index général. Et nous n'avons jamais partagé le revenu des AdWords avec tous les sites apparaissant dans les résultats de recherche... » La réponse de Google aux éditeurs de presse : profitez des services Google pour monétiser vos contenus Pour Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce, les sites d'actualité auraient plutôt intérêt à tirer profit des nouvelles formes de monétisation que le moteur offre. D'abord « en incluant Google News dans leur stratégie », comme LeMonde.fr, explique Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce, pour qui Google News représenterait environ 10% du trafic. Ensuite, Google propose de numériser gratuitement les archives des journaux, ce qui leur fournirait plus de contenu à monétiser, et à Google plus de contenu à indexer. Dans tous les cas, Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce se défend de vouloir concurrencer les médias. « Contrairement à ce qu'on peut entendre, nous n'avons aucun intérêt à ce que la presse disparaisse, ce n'est pas notre métier de faire du contenu. Notre service nécessite un partenariat... je dirais symbiotique, avec les éditeurs de presse. » (...)
(03/03/2009 17:37:22)Tech for food invite les TIC au salon de l'agriculture (vidéo)
Le 25 février dernier s'est déroulée la troisième édition de Tech for food dans le cadre du Salon International de l'Agriculture. Organisé par Jean-Paul Hébrard, rédacteur en chef du magazine Agriculture et Nouvelles Technologies, cette journée était consacrée aux nombreuses expériences à travers le monde qui s'appuient sur les TIC pour accompagner les agriculteurs dans leur métier. Cette année, Tech for food a fait de l'Inde, pays à la fois agricole et féru de technologies numériques, son invité d'honneur. LeMondeInformatique.fr s'est rendu sur le salon pour réaliser un portrait vidéo de cette manifestation et s'est entretenu avec les responsables des projets les plus représentatifs. Selon Tech for food, les paysans représenteraient trois quarts des 940 millions de personnes malnutries. Une proportion suffisamment importante pour réagir. Or, du simple portail de téléphonie mobile jusqu'à l'observation par satellite en passant par les bases de connaissance, les TIC constituent un des moyens d'aider cette population à mieux semer, mieux protéger ses récoltes, mieux vendre ses produits, mieux négocier avec les banques, etc. C'est en tous cas sur cette idée que Jean-Paul Hébrard a appuyé les fondations de son initiative, dès 2002. Notre reportage vidéo sur Tech for food au Salon international de l'agriculture (...)
(03/03/2009 16:12:43)Cebit 2009 : Microsoft lance ses services en ligne pour les entreprises françaises
L'offre de services en ligne de Microsoft à destination des entreprises est désormais disponible dans une quinzaine de pays, dont la France, après avoir été lancée aux Etats-Unis en novembre 2008. L'éditeur illustre, avec cette initiative, l'importance qu'il accorde au modèle S+S (software + services), combinant les applications installées et soumises au paiement d'une licence ainsi que les outils accessibles en ligne sur abonnement. Le groupe de Redmond propose ainsi quatre applications dans le cadre de son offre Onlines Services : Exchange (messagerie), Sharepoint (portail collaboratif), Office Communications (communications unifiées) et Office Live Meeting (visio-conférence). Chacune de ces briques peut donc désormais être utilisée en mode Saas (software as a service, service applicatif en ligne) ou installée sur le serveur de l'entreprise, moyennant le paiement d'une licence. Les entreprises optant pour le modèle en ligne devront s'acquitter d'un abonnement mensuel compris entre 2,13 € par utilisateur (pour Office Communications) et 8,52 € (pour Exchange). Celles qui choisiront de s'abonner à l'ensemble des services bénéficieront d'une réduction de 38%, portant la facture totale à 12,78 € par mois et par utilisateur. Parallèlement aux services précités, les utilisateurs bénéficieront de 5 Go de stockage pour Exchange et 250 Mo pour Sharepoint. 18% de marge pour les revendeurs la première année [[page]] Microsoft s'adresse également aux utilisateurs occasionnels, qui ne disposent pas d'un PC en permanence mais souhaitent malgré tout accéder de temps en temps aux services en ligne. C'est par exemple le cas des employés municipaux d'une mairie ou des agents hospitaliers, explique l'éditeur. Pour ce public, Microsoft propose une version allégée de sa suite de services - rebaptisée pour l'occasion Deskless Worker - incluant les outils de messagerie et de collaboration. Le tout pour 2,56 € par mois et par utilisateur. Pour que ces deux offres soient adoptées par les entreprises, Microsoft compte sur la force de persuasion de son réseau de partenaires. Et entend motiver ces derniers en les intéressant aux abonnements qu'ils auront vendus. Ainsi, l'éditeur garanti aux revendeurs une marge de 18% la première année, qui sera suivie par le versement de 6% du montant des abonnements mensuels les années suivantes. Trois grands partenaires sont d'ores et déjà sur les rangs pour commercialiser les offres de services en ligne : Orange Business Sercices, Avanade (co-entreprise entre Microsoft et Accenture) et YouSaas. Microsoft indique que plus de 30 000 entreprises testent actuellement les services en ligne sur le site d'évaluation ouvert depuis la fin 2008 aux Etats-Unis. L'éditeur compte quelque 700 clients, dont une cinquantaine de grands comptes. Parmi eux, le laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline s'apprête à déployer la solution Online Services pour ses 100 000 salariés et table sur une réduction des coûts opérationnels de 30%. (...)
(03/03/2009 12:29:50)Microsoft teste Kumo, son futur outil de recherche
Live Search aura-t-il bientôt un remplaçant ? D'après un courriel interne cité par l'agence Reuters, Microsoft teste actuellement un nouvel outil de recherche, connu sous le nom de code Kumo. Celui-ci se présente comme une mouture de Live Search au look modernisé et intégrant des fonctionnalités supplémentaires : recherches localisées par pays, résultats accessibles par rubrique (image, musique, paroles, biographie pour une recherche sur une chanteuse par exemple), historique disponible en permanence, etc. Kumo est le deuxième outil de recherche en cours de test chez Microsoft. Lors du TechFest, l'éditeur avait déjà présenté Viveri, un outil beaucoup plus expérimental. Celui-ci devrait rester une boîte à idées, tandis que Kumo (sous ce nom, ou en conservant l'ancienne appellation Live Search) pourrait à terme être généralisé au grand public. Et relancer Microsoft à la conquête du marché de la recherche, face à Google et Yahoo. (...)
(02/03/2009 15:48:54)L'hébergeur OVH recrute une vingtaine d'informaticiens dans le Nord et à Paris
A l'heure où les acteurs de l'IT ont tendance à ralentir leurs embauches dans l'Hexagone, certains, comme l'hébergeur OVH, font figure d'exception en tablant sur des recrutements. Cette PME française (200 personnes) spécialisée dans l'hébergement et la fourniture de solutions Internet, vient en effet d'annoncer l'ouverture d'une vingtaine de postes pour son siège social de Roubaix (Nord) et ses bureaux parisiens. Les profils recherchés pour le Nord sont des candidats de niveau Bac +4/5 (école d'ingénieur ou équivalent) expérimentés, qui viendront renforcer les effectifs du laboratoire de R & D du groupe : il s'agit de chefs de projets/développeurs, de développeurs (PHP, Javascript, Ajax, Perl et XSLT) et d'administrateurs systèmes (VOIP). Des postes de conseillers techniques sont également ouverts à Roubaix aux candidats de niveaux Bac +2 spécialisés en informatique de gestion. Enfin, la société recrute des techniciens d'infrastructure pour ses bureaux parisiens. OVH propose également des offres de stages (avec possibilité d'embauche à la clé) en administration télécoms, systèmes et réseaux, développement et maintenance, à Paris et également dans le Nord. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |