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(09/01/2009 16:58:04)
Paris veut son nom de domaine personnalisé
Paris, comme d'autres métropoles (Barcelone, Hambourg, Berlin ou New-York) regroupées au sein du GIC (Groupement d'intérêt commun) « DotCities », souhaite disposer rapidement de sa propre extension sur Internet : le .paris, à l'instar des .com, .fr ou .net. La capitale française entend pour cela profiter de la prochaine ouverture de noms de domaine personnalisés (gTLD, generic Top level domains). Interrogé par l'AFP, Jean-Louis Missika, adjoint au maire de Paris en charge de l'innovation, a confirmé qu'une candidature sera déposée à cet effet en février auprès de l'Icann (Internet corporation for assigned names and numbers). Il s'agirait selon lui de capitaliser sur la réputation internationale de ces « villes globales » pour localiser sur la Toile toute une gamme de services et des biens. Cette extension devrait être ouverte aux entreprises, aux particuliers et aux établissements publics (lycées, musées, administrations), explique Stéphane Van Gelder, directeur général d'Indom, la société spécialisée dans l'enregistrement et la gestion de noms de domaine chargée du dossier par la ville de Paris. Après le dépôt de candidature en février 2009, la ville devrait remettre un dossier final le 30 septembre 2009 et obtenir son nom de domaine dès le premier trimestre 2010. A condition toutefois qu'elle trouve un accord sur les prix avec l'Icann. En effet, cet organisme réclame 185 000 $ (environ 137 000 €) pour les frais de dossier, et 75 000 $ (environ 55 500 €) de redevance annuelle. Paris et les autres villes de DotCities trouvent ce tarif trop élevé. Ils proposent de verser 50 000 $ pour l'instruction du dossier et 15 000 $ de redevance annuelle. Le marchandage peut commencer. (...)
(09/01/2009 16:01:09)Le plan de relance d'Obama s'appuie sur les technologies
Barack Obama, qui prêtera serment comme président des Etats-Unis le 20 janvier, a dévoilé un ambitieux plan de relance pour son pays qui devrait coûter près de 1 000 milliards de dollars. Comme évoqué par le candidat démocrate durant sa campagne électorale, ce programme s'appuie pour une bonne part sur le renforcement des TIC dans la société : dossier médical informatisé, écoles high-tech, réseau électrique intelligent. La santé et l'école sont deux domaines auxquels la prochaine administration américaine a en effet décidé de donner une orientation résolument high-tech. « Pour améliorer la qualité de notre système de santé tout en réduisant ses coûts, a déclaré Barack Obama, nous allons faire des investissements immédiats pour s'assurer que, dans les cinq ans à venir, l'ensemble des dossiers médicaux d'Amérique soient informatisés. Cela réduira le gâchis, éliminera la paperasserie et diminuera le besoin de refaire certains tests médicaux coûteux. » Après avoir évoqué ses projets pour la santé, Barack Obama a évoqué ceux qu'il destine à l'enseignement. « Pour donner à nos enfants la chance de vivre leurs rêves dans un monde qui n'a jamais été plus compétitif, nous équiperons des dizaines de milliers d'écoles, d'universités publiques et privées avec des classes, des laboratoires et des bibliothèques du 21e siècle. Nous fournirons de nouveaux ordinateurs et de nouvelles technologies, et nous donnerons de nouvelles formations aux enseignants pour que les étudiants de Chicago et de Boston puissent rivaliser avec les enfants de Pékin dans les métiers high-tech et bien payés du futur. » Un réseau électrique intelligent pour économiser l'énergie [[page]] Mais Barack Obama a aussi demandé au Congrès américain d'approuver le financement du déploiement du haut-débit dans les zones non desservies, sans donner davantage de détails. Plusieurs entreprises du secteur ont ainsi réclamé des mesures complémentaires telles que des crédits d'impôt et des prêts pour les fournisseurs qui amèneront le haut débit jusque dans ces régions. Cette démarche a aussi pour but de mettre en oeuvre une politique énergétique plus efficace. Le futur président n'oublie pas, en effet, que la technologie peut aussi aider à économiser l'énergie. Il préconise ainsi un réseau électrique intelligent. Nous allons « faire évoluer notre façon de produire de l'électricité en commençant par construire une 'grille' intelligente pour économiser de l'argent, protéger nos sources d'énergie des black-out et des attaques, et fournir des formes alternatives et propres d'électricité dans tout le pays. Cela veut dire qu'il va falloir étendre les lignes à haut-débit partout en Amérique de façon à ce qu'une petite commune rurale puisse se connecter et concurrencer ses homologues partout dans le monde.» Sans surprise, l'industrie high-tech se réjouit du plan Obama Le réseau électrique intelligent permettrait de surveiller en temps réel la consommation électrique de chacun via Internet. Cela devrait aussi réduire cette consommation, si l'on en croit les partisans de la mesure. Cela permettrait aux fournisseurs d'énergie de la distribuer plus efficacement et d'encourager les propriétaires à installer chez eux des générateurs d'énergies alternatives comme les panneaux solaires puis de revendre l'énergie excédentaire pour la réintégrer dans le réseau. Sans surprise, l'industrie high-tech se réjouit de ces annonces. L'Information Technology Industry Council (ITI), qui regroupe des grands du secteur, s'est félicité du plan Obama. C'est un "excellent point de départ" a déclaré son président, Dean Garfield. "Nos entreprises savent que les investissements technologiques constituent le moyen le plus rapide de remettre l'économie sur la bonne voie. » Toutes les propositions du plan de relance qui y font appel sont « des moyens intelligents de garder une Amérique compétitive tout en créant de l'emploi et de la dépense. » (...)
(08/01/2009 16:57:00)Google entretient le mystère sur le nombre de ses sous-traitants remerciés
Tout n'irait finalement pas pour le mieux au pays merveilleux de Google. Le géant des moteurs de recherche cessera-t-il ou non de collaborer avec ses prestataires ? La question se pose de façon de plus en plus pressante. Mais l'Américain aurait refusé de s'exprimer sur le nombre exact de sous-traitants concernés par des suspensions, et même la SEC (Securities and Exchange Commission), le gendarme de la bourse américaine, ne serait pas davantage parvenue à faire la lumière sur le sujet. C'est ce qu'indique le site du San Jose Mercury News, situé dans la Silicon Valley. En novembre dernier, une rumeur circulait déjà sur la toile, signalant que Google avait décidé de stopper sa collaboration avec quelque 10 000 sous-traitants. Une information aussitôt démentie par la direction de la firme de Mountain View. Sergey Brin, l'un des cofondateurs jugeant le nombre de sous traitants évoqué beaucoup trop élevé. Toutefois, dans un courriel adressé à la rédaction de Lemondeinformatique.fr, le service communication précisait : «Nous réduisons le nombre de nos sous-traitants depuis déjà un an et nous y travaillons toujours. Et même si nous pensons maintenir la collaboration avec nos prestataires, nous estimons cependant que nous pouvons en réduire le nombre en décidant, par exemple, de ne pas renouveler certains contrats. » D'après un document transmis par Google à la SEC, l'entreprise emploierait actuellement environ 4 300 collaborateurs externes et temporaires. Reste qu'il est difficile d'évaluer le nombre exact de collaborateurs externes qui oeuvrent pour le compte de Google, la liste incluant toutes les personnes qui sont employées par des sociétés externes, depuis le jardinage jusqu'à l'assistance technique ! Mais certaines choses sont sures, selon le Mercurynews : Google a fermé plusieurs de ses célèbres cafétérias, annulé un fastueux voyage de ski d'entreprise, et cessé de verser à ses salariés une prime de Noël de 1 000 $... (...)
(07/01/2009 09:58:26)MacWorld : Apple offre une ultime cérémonie d'ouverture bien terne
La dernière édition de MacWorld Expo à laquelle participe Apple s'est ouverte mardi sur un 'keynote' terne, loin des conférences enthousiasmantes qu'avait pu animer Steve Jobs ces dernières années. En 2009, avant qu'Apple ne délaisse définitivement l'événement, Philip Schiller, vice-président chargé du marketing, a revêtu le costume de maître de cérémonie, le fondateur d'Apple ayant dû renoncer pour raisons médicales. Un unique MacBook Pro au rayon materiel Las pour les adorateurs de la marque à la pomme, les exclusivités présentées cette année ne suffiront pas pour faire de la cuvée 2009 de MacWorld Expo un grand cru. Pas de nouvel iPhone, nulle trace d'un iMac rajeuni, la principale innovation est à chercher du côté des ordinateurs portables, avec la présentation d'un MacBook Pro 17 pouces. Construit sur le même modèle - coque 'unibody' en aluminium - que ses petits frères de 13 et 15 pouces, il embarque un Core 2 Duo à 2,66 ou 2,9 GHz, et une double carte graphique nVidia (9400 M et 9600 M GT). Pour le prix, Apple annonce 2500 € avec 4 Go de mémoire vive pour le modèle à 2,66 GHz avec un disque dur classique de 320 Go. Un SSD de 256 Go est également disponible en, option pour un surcoût de 810 €. Mais le point le plus étonnant de ce notebook reste qu'il s'appuie sur une batterie non amovible (compter 179$ pour son remplacement en SAV), qui disposerait d'une autonomie de 8 heures. Elle pourrait en outre être rechargée mille fois, le triple de ce qu'autorise la plupart des batteries traditionnelles. Après un premier test plus ou moins réussi sur le MacBook Air, Apple retente le coup sur un modèle plus imposant. Mais ce qui était compréhensible pour un modèle ultraslim, l'est un peu moins pour un notebook accusant 3 kg sur la balance ! Au rayon matériel, l'inventaire s'arrête ici pour cette édition 2009 de MacWorld Expo. Du côté des logiciels, rien de bien renversant en l'absence de Snow Leopard, la prochaine version du système d'exploitation Mac OS X. Philip Schiller s'est contenté de dévoiler une version rafraîchie de la suite multimédia iLife, comprenant notamment les derniers opus d'iPhoto, d'iMovie et de Garageband 09. Le géotaging fait son apparition dans iPhoto avec le concours de Google Maps, des nouveaux effets et transitions sont proposés dans iMovie et Garageband s'enrichit de leçons de piano et de guitare. Autre nouveauté logicielle, la suite bureautique iWork intègre désormais iWork.com, qui ajoute une touche de Web 2.0 en permettant aux utilisateurs de partager leurs documents en ligne, sur le même modèle que celui de Google Docs. L'outil est proposé gratuitement pendant sa phase de bêta et deviendra payant dans sa version finale. La fin des DRM sur iTunes Enfin, pour conclure ce 'keynote' peu mémorable, Apple a annoncé la fin des DRM sur 8 millions de titres vendus sur la plateforme de téléchargement iTunes Store. Fin mars, ce seront les 10 millions de morceaux proposés aux internautes qui seront débarrassés de leurs verrous numérique. Revers de la médaille, le prix unique des titres (0,99$ / 0,99 €) disparaît, les éditeurs ayant obtenu de pouvoir voir leurs oeuvres vendues entre 0,69 $ et 1,29 $ (prix en euro non précisé). Par ailleurs, il est possible depuis 2007, de débarrasser de leur protection les titres déjà téléchargés, pour 0,30€ par morceau. (...)
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