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(21/10/2008 16:38:40)
SQLI intègre les Google Apps avec le système d'information
Après avoir expérimenté et lui-même installé en interne les logiciels Google Apps, le groupe français SQLI propose maintenant des services d'intégration et d'accompagnement autour de la mise en place de ces outils de collaboration en ligne. Par rapport aux autres intégrateurs des applications bureautiques de Google, parmi lesquels figure Cap Gemini, SQLI peut ainsi s'appuyer sur son propre retour d'expérience, fait remarquer Guillaume Plouin, responsable de la veille IT du groupe, « en particulier sur tous les aspects de gestion du changement, d'adoption des solutions et de réaction de la DSI ». La résistance peut effectivement venir des départements informatiques qui ne voient pas toujours d'un bon oeil l'arrivée d'outils hébergés qui les court-circuitent quelque peu. SQLI a d'abord mis à l'épreuve l'agenda, le carnet d'adresses, le calendrier et les outils bureautiques de Google dans le cadre de son programme d'industrialisation de l'innovation 6mmx (bâti pour tester des technologies ou des applications innovantes avant de les proposer aux clients). « Google propose aussi du stockage de fichiers et de vidéos « qui s'apparente à un YouTube privé », rappelle Guillaume Plouin. Sans oublier Google Apps Engine pour développer des applications et les héberger sur la plateforme de Google. Ou encore Google Site, présenté comme un outil de wiki, utilisé comme espace de partage documentaire dans le cadre de projets. Intégration autour des API de Google SQLI a déployé les Google Apps auprès d'une centaine de ses collaborateurs. D'ici à la fin de l'année, le déploiement devrait concerner les 2 000 salariés du groupe. Parmi les prestations proposées par la SSII autour de ces applications figure l'intégration avec le système d'information de l'entreprise, par le biais de trois interfaces de programmation développées par Google. D'une part, l'API de provisionning qui permet à une entreprise de créer un compte chez Google quand un nouveau collaborateur arrive et de le supprimer à son départ ; « une mise en oeuvre qui n'a rien de trivial », souligne Guillaume Plouin. D'autre part, une API de synchronisation permettant de relier le calendrier de Google à d'autres calendriers, MS Outlook, notamment. Enfin, l'API de reporting qui servira à établir des statistiques d'utilisation des Apps. Outre son offre d'intégration et de gestion du changement, SQLI a élaboré un plan de migration vers les Google Apps ; un plan en plusieurs étapes (pilote, expérimentation, déploiement progressif) qui inclut la synchronisation d'applications sensibles telles que la messagerie. (...)
(21/10/2008 16:18:05)Encore une vague de licenciements chez Yahoo
Quelques heures avant de publier ses résultats trimestriels, le spectre d'un nouveau plan de restructuration plane de nouveau sur Yahoo, selon le Wall Street Journal. Le moteur de recherche californien avait déjà supprimé 20% de ses effectifs en janvier dernier. Cette fois, ce sont entre 1000 et 3000 postes qui seraient menacés (sur un effectif total de 14 300 personnes), essentiellement dans les sites américains de Sunnyvale et de Santa Clara. Yahoo aurait également demandé aux équipes financières d'identifier les moyens de réduire les coûts de 15%. Une boulette côté utilisateurs Yahoo doit par ailleurs affronter la colère de certains utilisateurs qui affirment que le site n'a pas clairement expliqué ce que la mise à jour des profils créés sur Yahoo 360 allait entraîner. Certains d'entre eux affirment que leur profil (messages et historique compris) a purement et simplement été effacé. Yahoo s'est platement excusé vendredi dernier de ne pas avoir été « plus proactif » et transparent en annonçant à l'avance les changements concrets qui attendaient les profils utilisateurs. « Beaucoup d'entre vous ont exprimé leur inquiétude par rapport à la nouvelle version, nous sommes attentifs à vos commentaires, écrit Melissa Daniels (chargée de gérer la communauté de Yahoo) sur son blog. Nous savons que vous avez travaillé dur sur vos anciens profils et que vous voulez récupérer vos données." (...)
(21/10/2008 15:48:22)Une machine virtuelle Java réduite pour préparer l'arrivée de JavaFX
Mine de rien, la mise à jour numéro 10 de la version 6 de la plateforme d'exécution Java (JRE, Java runtime environment) prépare la voie à ce qui est en train de révolutionner la stratégie de Sun pour le poste de travail. Java Platform Standard Edition 6 Update 10 (ou Java SE 6u10 de son petit nom) réduit en effet considérablement le poids du plug-in à télécharger pour faire tourner les applications Java. Un préalable essentiel pour faire de Java une plateforme d'accueil pour les clients riches, par le biais de JavaFX. Alors que Sun était, avec Java, le premier à proposer une solution d'exécution de clients graphiques sur tous les postes connectés à Internet, il s'est largement fait devancer sur le terrain des RIA (applications Internet riches) par Adobe, avec Flash et Flex (et plus globalement Adobe AIR), et plus récemment par Microsoft, avec Silverlight. JavaFX est en quelque sorte la réponse de Sun. Présenté lors de la dernière conférence JavaOne, JavaFX devrait arriver dans sa version 1.0 « cet automne » selon Sun, en tout cas avant la fin de l'année. Télécharger le noyau Java, pas forcément le JRE entier JavaFX promet une richesse graphique comparable à celle de ses concurrents, mais la technologie était handicapée par le poids du JRE et (...)[[page]] JavaFX promet une richesse graphique comparable à celle de ses concurrents, mais la technologie était handicapée par le poids du JRE et une certaine lourdeur de la JVM (machine virtuelle Java). La 6u10 élimine ces obstacles : le client Windows, par exemple, passe de 15 Mo à 5 Mo (l'utilisateur charge un noyau, dit Java Kernel, d'autres éléments du JRE étant ensuite téléchargés en cas de besoin) et Sun assure qu'avec la technologie Java Quick Starter, le temps de lancement des appliquettes a été « radicalement amélioré ». Cette mise à jour procure d'autres avancées : un outil s'assurant que l'utilisateur dispose bien de la dernière version, la possibilité de glisser-déplacer une appliquette depuis le navigateur vers le poste de travail de façon à la faire fonctionner comme un widget, ou encore la capacité d'exécuter plusieurs machines virtuelles en parallèle. (...)
(21/10/2008 15:43:23)Viviane Reding excédée par la riposte graduée
Viviane Reding, la Commissaire européenne à la Société de l'information, montre peu de bienveillance envers Paris. Interrogée par Lemondeinformatique.fr, elle a la dent dure contre les démarches entreprises par Nicolas Sarkozy pour faire annuler un amendement adopté par les eurodéputés. Le chef de l'Etat s'était en effet tourné vers la Commission européenne pour qu'elle rejette le texte, qui condamnait le principe de riposte graduée tel qu'envisagé par le projet de loi français. Si, dans un premier temps, des sources avaient rapporté que Viviane Reding comptait combattre cet amendement, la Commissaire s'était rapidement rangée derrière la position défendue par José Manuel Barroso, le président de l'exécutif européen : la Commission n'interviendra pas et la demande de Nicolas Sarkozy est déplacée. « Je ne veux plus en entendre parler » [[page]] Viviane Reding se défend maintenant d'avoir abordé le sujet : « C'est très simple, je n'ai jamais parlé de la riposte graduée, explique-t-elle au Mondeinformatique.fr. J'ai parlé de la réforme du cadre télécoms. » Pourtant, elle n'hésite pas à désigner l'amendement combattu par Paris, comme « un amendement de compromis ». Gageons que Nicolas Sarkozy aurait choisi un autre adjectif pour qualifier le texte. Quant à une éventuelle intervention de la Commission pour rejeter l'amendement, comme l'avait demandé le président de la République, il n'en est toujours pas question : « la Commission doit respecter le Parlement. Elle transfère donc cet amendement du Parlement à l'autre institution, le Conseil des ministres. Elle attend ensuite ce que le Conseil en fait. Puis, les trois institutions commenceront à discuter ensemble. » Est-ce le sujet de la riposte graduée lui-même ou la multitude de questions auxquelles la Commissaire a dû répondre depuis quelques semaines, toujours est-il que Viviane Reding semble lassée par ce sujet : « D'ici là, je ne veux plus en entendre parler, lâche-t-elle. Maintenant, c'est au Conseil des ministres européens de décider ce qu'il veut faire. » Et, dans une dernière salve adressée à Paris : « Que les Français fassent leur projet de loi dans l'indépendance et sans instrumentaliser les uns et les autres. » (...)
(20/10/2008 17:46:36)Plan Besson : le haut débit universel en 2010
Ce devait être Nicolas Sarkozy puis Eric Besson. Finalement, ce ne fut qu'Eric Besson, le secrétaire d'Etat à l'Economique numérique qui a présenté seul, lundi 20 octobre, le plan de développement de l'économie numérique. Le président de la République, rattrapé par la crise financière et la préparation d'un conseil européen, avait donc confié au plus spécialisé de ses ministres la tâche de décrypter un plan qui doit « replacer la France au sein des grandes nations du numérique d'ici à 2012 ». « L'Economie numérique représente le secteur le plus dynamique de l'industrie mondiale mais ce gisement est insuffisamment exploité en France. En investissant davantage sur ce secteur, nous pouvons gagner un point de croissance » a expliqué, en préambule, Eric Besson. Un constat partagé par toute l'assistance qui attendait surtout de savoir comment le gouvernement allait mettre cela en oeuvre. Un inventaire à la Prévert Les idées en tout cas ne manquent pas puisque le plan présenté par le secrétaire d'Etat comporte 154 mesures qui brassent très large : équipement du grand public, fracture numérique, aide aux PME pour s'équiper, développement de l'industrie des logiciels... Personne n'est oublié dans cet inventaire à la Prévert où l'on retiendra cependant quelques idées fortes : le lancement d'un appel d'offres en 2009 pour un haut débit universel dans les zones blanches afin que tous les Français puissent accéder à cette technologie d'ici à 2010 pour moins de 35 euros par mois « matériel compris » ; la création « d'ambassadeurs du numérique » qui rencontreront personnellement les personnes de plus de 70 ans pour les familiariser aux nouvelles technologiques et surtout leur expliquer la fin du basculement de la télévision analogique en 2011 (qui nécessite une adaptation du matériel). A cette occasion, Eric Besson a confirmé que le basculement vers le numérique se fera bien à la date prévue (malgré le scepticisme de tous les acteurs du secteur). Toutes les options ouvertes pour la 4e licence mobile [[page]] Le secrétaire d'Etat a également confirmé qu'une partie des fréquences numériques libérées par la fin de la télévision analogique (la bande 790-862 MHz) sera bien affectée aux télécoms. Revenant sur la 4e licence de téléphonie mobile, Eric Besson a expliqué que « toutes les options sont ouvertes » et qu'un nouvel appel d'offres sera lancé au début 2009. Néanmoins, le gouvernement est resté plutôt flou sur les conditions d'attribution, ne précisant pas si les 15 MHZ disponibles seront découpées par lot ou vendus en bloc. Les entreprises qui concourront devront s'engager « à valoriser le patrimoine numérique, à assurer une couverture minimum et à rentrer dans un processus de concurrence (une référence au délit d'entente pour lequel les trois opérateurs ont été condamnés). Mais il faudra faire également une place pour les MVNO dont la situation « les empêche aujourd'hui d'être concurrentiels ». Interrogé à l'issue de la conférence, Xavier Niel, le fondateur de Free recalé lors du premier appel d'offres, s'est dit plutôt satisfait des propositions soulignant « que tout le monde peut être candidat et qu'apparemment il n'y aura pas un prix fixe comme la première fois mais plutôt un système d'enchères. » (...)
(20/10/2008 12:52:19)La prochaine génération de MID d'Intel embarquera la communication en 3,5G
La plateforme Moorestown, prochaine tentative d'Intel dans le monde du Mobile Internet Device (MID), embarquera une fonction de communication 3,5G (HSPA pour High Speed Packet Access). C'est la société belge Option N.V. et Ericsson qui mettront au point les modules idoines. L'appellation Mobile Internet Device (MID) recouvre une catégorie d eproduits légers et mobiles qui vont des PDA aux ultraportables. Intel a déjà annoncé son Evans Peak pour le Wimax, une technologie dont le fondeur est un des plus fervents promoteurs. Le fondeur, qui parlait jusque-là d'une disponibilité de la plateforme Moorestown pour 2009, évoque désormais plutôt la période 2009-2010. Moorestown succèdera à Menlow, commercialisée sous le nom de Centrino Atom depuis avril dernier. (...)
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