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(03/10/2008 16:22:52)

Le gouvernement lance une consultation publique sur le déploiement de la fibre

Français, exprimez-vous ! C'est le message qu'entend faire passer le gouvernement en lançant une consultation publique sur le très haut débit. La loi du 4 août 2008, plus connue sous le nom de LEM (Loi de modernisation de l'économie) prévoit plusieurs mesures censées favoriser le déploiement de la fibre. Reste maintenant à en publier les décrets d'application. C'est sur le contenu de ces décrets que les internautes sont invités à exprimer leur avis. La publication des décrets est importante à plusieurs titres. D'abord parce que sans eux, la loi ne produit aucun effet pratique. Ensuite, car il devient pressant d'encadrer la mise en oeuvre du très haut débit, qui se déroule pour l'heure de manière désordonnée, les initiatives des uns déplaisant fréquemment aux autres. C'est notamment le cas avec le récent accord signé entre SFR et Orange, qui suscite l'ire de Free. Enfin, parce que l'accès au très haut débit par le plus grand nombre de Français est un objectif que s'est fixé Nicolas Sarkozy et qu'a rappelé à de maintes occasions Eric Besson, le secrétaire d'Etat au développement de l'Economie numérique, comme dans son discours inaugural des Assises du numérique. Particuliers, propriétaires, opérateurs et collectivités concernés au premier chef [|page]] La teneur des décrets d'application intéressera les particuliers dans la mesure où la loi instaure un droit au très haut débit sur le même principe du droit à l'antenne. Les bailleurs et propriétaires trouveront également un intérêt à participer à la consultation. Les décrets devront en effet prévoir dans quels cas ils peuvent s'opposer au raccordement de leurs immeubles, ou comment doivent se dérouler les travaux de raccordement. De même, les textes préciseront le contenu des conventions qui, comme l'impose la LME, seront nécessairement signées entre les propriétaires et les opérateurs. Les deux catégories d'acteurs pourront faire part de leurs points de vue en ce qui concerne les modalités d'accès aux bâtiments, la durée des travaux ou les responsabilités diverses. Des principes à définir pour la mutualisation des installations Les bailleurs pourront également s'exprimer sur le pré-câblage des logements neufs. Si cette disposition ne soulève pas d'objection - la loi impose le raccordement de tous les immeubles neufs de plus de 25 logements en 2010 - il est néanmoins nécessaire d'en préciser les modalités. Et notamment de paver la voie menant à la mutualisation des installations, en prévoyant par exemple la présence de boîtiers autorisant le raccordement de plusieurs opérateurs. Enfin, les collectivités locales sont elles aussi concernées par cette consultation. La LME les autorise à demander aux opérateurs de leur communiquer des informations sur les réseaux et infrastructures déployés sur leur territoire. Les décrets viendront définir les données qui peuvent être communiquées, le délai de transmission, etc. La consultation court jusqu'au 15 octobre. Une adresse électronique a été mise en place pour recevoir les opinions des participants. (...)

(02/10/2008 16:11:39)

Microsoft implante une partie de sa R&D pour la recherche sur Internet à Issy-les-Moulineaux

C'est finalement en région parisienne, à Londres et à Munich que Microsoft entend intensifier ses efforts de R&D en matière de recherche sur Internet. Steve Ballmer, CEO de Microsoft, avait déjà laissé entendre cet été que l'Europe accueillerait ce centre de R&D. Il a fait le déplacement à Paris pour le confirmer : un « centre technologique européen » viendra compléter le dispositif R&D de Microsoft en Europe, qui compterait déjà quelque 2000 ingénieurs et chercheurs. En France, c'est Issy-les-Moulineaux, déjà choisi par Microsoft France pour devenir son siège social (au premier semestre 2009), qui abritera logiquement les futurs ingénieurs. Dans sa présentation, Steve Ballmer a insisté sur les talents et les capacités d'innovation des sociétés européennes, rappelant que Microsoft en a racheté plusieurs ces dernières années - « ce qui est bien la preuve ». Le patron de Microsoft a aussi insisté sur l'importance du domaine de la recherche sur Internet, « un espace où Microsoft est un challenger, et où il y a beaucoup de place pour l'innovation ». Il y a quelques jours, Steve Ballmer expliquait qu'il se donnait 5 ans pour devenir concurrentiel dans ce domaine, quitte à perdre 5 à 10% de son revenu opérationnel. A terme, « plusieurs centaines d'ingénieurs et développeurs » Le but de ce centre de R&D sera de « fournir les résultats de recherche les plus pertinents, simplifier l'expérience utilisateur et développer de nouveaux modèles économiques ». Il sera dirigé par le Dr Jordi Ribas, auparavant directeur de la stratégie dans la division Microsoft Windows Digital Media, et accueillera, « dans les prochaines années, plusieurs centaines de personnes ». Il s'agit là du seul chiffre avancé, Steve Ballmer expliquant que « en matière de R&D, on ne mesure pas les investissements en coût pour les immeubles et les installations, mais en nombre de développeurs et d'ingénieurs. » Christine Lagarde heureuse que Microsoft vote pour la France [[page]] Par la suite, Christine Lagarde, ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, a évoqué le chiffre d'une centaine de chercheurs devant s'installer à Issy, une précision que Microsoft France s'est bien gardé de confirmer ou d'infirmer. Bien évidemment, Jose Manuel Barroso, président de la Commission européenne et Eric Besson, secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique, se sont réjouis, par voie de communiqué, de cette annonce. De même que Christine Lagarde, qui a écrit : « C'est une bonne nouvelle pour l'Union européenne, qui a pris depuis longtemps, avec la stratégie de Lisbonne, le virage de l'économie de la connaissance. Et c'est une bonne nouvelle pour la France, qui s'est donné les moyens d'attirer et d'accueillir les activités à haute valeur ajoutée, notamment grâce à son système de crédit d'impôt-recherche parmi les plus avantageux au monde. » La ministre de l'Economie vante le système français de crédit impôt-recherche La ministre, qui doit assister ce jeudi après-midi aux journées parlementaires de l'UMP, a toutefois bousculé son agenda - Steve Ballmer l'a souligné en la remerciant - pour venir dire quelques mots de bienvenue. Christine Lagarde a à son tour remercié André Santini, maire d'Issy-les-Moulineaux et secrétaire d'Etat chargé de la Fonction publique, pour avoir fait le choix du numérique pour sa ville et su attirer Microsoft. La ministre a ensuite remercié Microsoft d'avoir choisi la France en dépit de sa prétendue mauvaise image auprès des entreprises : « L'image de notre pays est parfois associée à certains clichés, je suis heureuse que vous veniez démontrer le contraire », a-t-elle dit à Steve Ballmer, expliquant que « si la France est le 3e pays d'accueil des investissements étrangers », c'est entre autres parce que « les gens travaillent plus de 35 heures », les transports publics sont performants et le système de crédit impôt-recherche est très attractif : « L'Etat rembourse 30 quand l'entreprise investit 100. » Microsoft se dit plus attiré par les talents que par les incitations fiscales [[page]] Ni Steve Ballmer, ni Christine Lagarde - encore moins André Santini qui n'a pas eu droit à la parole - n'ont toutefois abordé explicitement la question des aides publiques accordées à l'éditeur. La ministre a simplement évoqué les efforts déployés par la France pour que Microsoft « effectue un choix judicieux », tandis que le CEO de Microsoft indiquait qu'il aurait choisi de venir ici « même sans incitation fiscale ». Dans une interview accordée après cette présentation, Jean-Philippe Courtois, ancien dirigeant de la filiale française et aujourd'hui président de Microsoft International, a confirmé que Microsoft a noué des partenariats étroits avec des établissements de recherche et d'enseignement en France, et que l'assurance de trouver des gens talentueux a nettement joué dans le choix d'y installer une partie de la R&D. L'autre grande raison est l'importance cruciale de la compréhension du langage pour le marché de la recherche sur Internet. « Il ne s'agit pas de juste traduire un menu, mais bien de linguistique. C'est pourquoi nous commençons par installer des centres dans les trois plus grands pays européens. » (...)

(02/10/2008 11:44:12)

Le plus gros centre européen de R&D de Microsoft s'installe à Issy-les-Moulineaux, Londres et Munich

C'est finalement entre Paris, Londres et Munich que Microsoft va déployer son tout nouveau Centre Technologique Européen. C'est Steve Ballmer en personne, PDG de Microsoft, qui est venu l'annoncer dans la capitale française en présence de Christine Lagarde, ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi. Cette entité de R&D travaillera exclusivement sur les moteurs de recherche et sera dirigée par Jordi Ribas, ancien directeur de la stratégie dans la division Microsoft Windows Digital Media. Les locaux français seront situés tout près de la capitale, à Issy-les-Moulineaux, où l'éditeur inaugurera bientôt son nouveau siège. Le Centre Technologique Européen rejoint les 40 autres centres de R & D que Microsoft compte sur le Vieux Continent. Ceux-ci regroupent 2 000 chercheurs et ingénieurs avec un budget annuel supérieur à 600 M$ par an. Etudier les modèles économiques associés à la publicité sur les moteurs de recherche Parmi les travaux menés par ce Centre, Microsoft évoque l'étude de résultats de recherche plus pertinents, la simplification de l'expérience utilisateur et le développement de nouveaux modèles économiques. Il va s'agir, par exemple, d'adapter les requêtes en ligne en fonction des pays et des langues, d'intégrer des images, des vidéos, des sons ou la localisation géographique, ou encore d'étudier les modèles de publicité idoines. (...)

(01/10/2008 16:56:12)

Signal Spam et la Cnil s'attaquent aux entreprises émettrices de spam

La lutte contre les pourriels adopte enfin une attitude volontariste. L'association Signal Spam et la Cnil, partenaires depuis octobre 2007, sont en effet sur le point de s'attaquer frontalement aux entreprises émettrices de spams et d'aboutir éventuellement sur des sanctions. Les deux organisations s'appuient pour cela sur des extensions aux principaux clients de courriels permettant aux internautes de signaler en un clic les pourriels qu'ils reçoivent. « A ce jour, nous comptons environ 41 000 utilisateurs, qui signalent entre 20 000 et 25 000 spams chaque jour. Au total, notre base de données recense plus de 11 millions de messages non sollicités », explique Francis Bouvier, chef de projet au sein de Signal Spam. Chaque pourriel signalé est analysé puis transmis aux partenaires de l'association, notamment les FAI qui peuvent fermer les comptes des émetteurs ou procéder au blocage des spams sortants. Depuis le début 2008, les pourriels les plus signalés sont également communiqués à la Cnil. Si, jusqu'à présent, la Commission nationale de l'informatique et des libertés n'intervenait pas directement, les choses ont changé. Le mois de septembre 2008 marque en effet le passage à l'offensive pour l'autorité administrative. Elle mène ainsi « un travail de contrôle qui peut aboutir à des condamnations », indique Francis Bouvier. Plus précisément, la Cnil s'intéresse aux entreprises à l'origine de larges envois de spams. Des enquêteurs se déplacent dans les sociétés suspectes afin de contrôler les méthodes de collecte des adresses électroniques utilisées, le respect de l'opt-in (consentement préalable des personnes démarchées) et du droit de s'opposer à la réception de nouveaux messages. Bien entendu, seules les entreprises françaises sont susceptibles d'être contrôlées. Le spam franco-français ne représente qu'entre 5 et 8% de la totalité, « mais s'y attaquer et parvenir à l'endiguer serait déjà une belle victoire », souligne le chef de projet. « Pour l'heure, il n'y a pas encore de condamnation car les contrôles ont lieu depuis seulement quelques semaines, rapporte Francis Bouvier. Mais, la Cnil va s'autosaisir et pourra prononcer des sanctions allant jusqu'à 300 000 € d'amende. » Sans compter, dans les cas les plus sérieux, que le parquet peut être contacté pour des suites pénales. (...)

(01/10/2008 16:30:31)

Le CCE de SFR s'oppose au projet de réorganisation de SFR/Neuf Cegetel

Avis défavorable : c'est le verdict rendu par le comité central d'entreprise (CCE) de SFR à propos du projet de réorganisation du nouvel ensemble SFR/Neuf Cegetel . Le CCE a rendu son avis en fin de semaine dernière, par opposition aux mesures d'accompagnement proposées par le groupe et à ses conséquences sociales. Le CCE constate au vu des conclusions de l'expert comptable - que la direction n'aurait pas remises en cause - que le projet de suppression de postes n'a pas vocation à permettre à SFR de financer ses investissements futurs (FTTH ou 4G-LTE). D'après le comité central, le groupe SFR - Neuf Cegetel dispose largement des moyens financiers nécessaires, indépendamment de cette réduction de sa masse salariale. En outre, les économies nettes attendues de l'application du plan de départs volontaires (21 M€) seraient marginales par rapport aux synergies recherchées dans le cadre du rapprochement entre SFR et Neuf Cegetel (315 M€) : elles sont estimées, par le CCE, à 6% du total sur la période 2008 -2010. La révision à la baisse des objectifs de suppressions de postes, proposée par l'expert du CCE, n'aurait donc pas de conséquence significative sur la capacité de SFR à maintenir ou développer une profitabilité déjà très élevée (38% du CA au niveau de SFR). Des suppressions inégales selon les régions Même si la qualité des informations sociales s'est améliorée, le CCE estime que les données sociales ne comprennent pas toutes les suppressions de poste : elles seraient en fait supérieures à 500, compte tenu des suppressions de postes vacants. De plus, des incertitudes demeurent sur la pérennité de certaines équipes en régions. Le CCE rappelle en effet que 43% des suppressions brutes des postes sont envisagées, au niveau du groupe SFR - Neuf Cegetel, dans des catégories professionnelles où plus d'un tiers des salariés devront se porter volontaires pour que les objectifs soient atteints. Au niveau des sites de Toulouse, Metz et Nantes le taux de suppressions nettes est supérieur à 56%. Il est de 100% pour le site de Pau (11 salariés), et de 43% pour Aix et Marseille. Le volontariat n'a donc pas le même sens en fonction des sites. (...)

(29/09/2008 18:04:07)

Yahoo ouvre un centre de R&D à Grenoble

L'agglomération grenobloise confirme son statut de terre d'accueil des entreprises technologiques. Yahoo vient ainsi d'inaugurer un centre de R&D à Grenoble, en présence de Christine Lagarde, la ministre de l'Economie et de l'Industrie. Egalement présent, John Linwood, le directeur de l'ingénierie internationale du portail, a justifié le choix de cette implantation par l'affluence d'ingénieurs dans la région, qu'il a qualifiée de future « Silicon Valley de l'Europe ». Un centre qui stimulera l'innovation européenne Le centre R&D grenoblois aura pour mission de « stimuler l'innovation technologique de Yahoo dans toute l'Europe », à travers notamment la mise au point d'outils de recherche sémantique et le développement de Yahoo Answers (outil de questions-réponses entre internautes). Le site devrait compter plus de 200 salariés, ce qui en fait le plus grand centre de recherche de Yahoo en Europe. Le portail était déjà présent en Isère avant cette implantation à travers son rachat de Kelkoo en 2004. Le comparateur de prix est installé à Echirolles, une commune jouxtant Grenoble. (...)

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