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(29/09/2008 14:15:31)

Larry Ellison conspue le battage autour du Cloud computing

Fidèle à sa réputation de polémiste, Larry Ellison, PDG d'Oracle, n'a pas mâché ses mots pour conspuer le Cloud Computing. En marge de sa conférence annuelle OpenWorld, devant un parterre d'analystes financiers pliés de rire, ce qui doit être rare ces temps-ci, il a utilisé des termes comme idiotie, charabia, stupidité, folie et m... pour décrire la frénésie actuelle autour de Cloud computing.

Bien sûr, la vindicte du patron d'Oracle s'adresse à tous ceux qui "découvrent" le Cloud computing et qui y mettent tout à sa sauce. En substance, il a déclaré, "ils utilisent ce terme pour y inclure tout ce que nous (Oracle) faisons déjà". Oracle sur le cloud d'Amazon D'ailleurs, pendant que Larry Ellison disait pis que pendre du Cloud Computing, sa société annonçait un mode de facturation à l'utilisation de son SGBD 11g et Secure Backup Cloud Module , déclinaison d'Oracle Secure Backup. Des offres à exploiter sur la plateforme Amazon EC2 (Elastic compute cloud) dans un premier temps. Et sur d'autres plateformes dans un proche avenir.

(...)

(29/09/2008 12:32:16)

L'Hadopi compte sur les finances publiques... et les FAI

Le ministère de la Culture vient de détailler les chiffres clés de son budget pour 2009, qui s'attarde notamment sur les modalités de mise en oeuvre de la future loi Internet et Création. Destiné à faire respecter les droits des acteurs de l'industrie culturelle, le texte s'appuiera sur un financement public de 6,7 M€. Rappelons que la loi Création et Internet prévoit des mesures destinées à lutter contre le téléchargement illégal de contenus soumis au droit d'auteur. Les internautes s'adonnant à une telle pratique pourront voir, après plusieurs avertissements, leur abonnement à un FAI suspendu ou résilié. Un mécanisme plus connu sous le nom de riposte graduée, contre lequel se sont exprimés récemment les députés européens. Une autorité administrative, l'Hadopi (Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet), sera chargée d'orchestrer l'ensemble du dispositif. Ayants droit et FAI appelés à mettre la main à la poche A cette fin, le budget 2009 prévoit une enveloppe de 6,7 M€ pour le fonctionnement de l'instance. L'outil de lutte contre « le pillage des oeuvres musicales, cinématographiques et audiovisuelles sur les réseaux numériques » reposera donc sur les finances publiques. Ce qui n'exclut pas une participation d'acteurs privés. Le budget compte ainsi sur les ayants droit pour mettre la main à la poche afin de repérer et signaler les actes de piratage. Logique, quand on considère qu'ils seront les premiers bénéficiaires de la lutte contre le téléchargement illégal. Ce qui coule moins de source, en revanche, est le volet concernant les fournisseurs d'accès. La rue de Valois envisage en effet de leur faire supporter le coût d'identification des internautes indélicats, sans faire mention d'une éventuelle indemnisation ultérieure. Il est peu probable que les FAI apprécient d'être sollicités de la sorte. On se souvient, qu'en juillet dernier, ils avaient déjà fait part de leurs doutes en s'inquiétant de ce que « le projet reste muet quant à la prise en charge financière des frais supportés par les opérateurs ». (...)

(26/09/2008 12:32:39)

Google crée un site pour expliquer l'accord avec Yahoo

Afin de balayer les confusions et les interrogations concernant l'accord publicitaire passé en juin dernier avec Yahoo, Google a lancé un site où il détaille les termes de l'alliance. La transaction n'est pas une fusion, elle n'empêche pas Yahoo de nouer des partenariats avec d'autres sociétés et en aucun cas elle n'est synonyme de prise de participation de Google dans le capital de Yahoo, peut-on y lire. On y trouve également une présentation visuelle des futures pages de Yahoo intégrant les publicités sélectionnées par Google, un question/réponse et quelques vidéos de dirigeants défendant bec et ongles le bien-fondé du partenariat. « Cette entente est bénéfique pour les consommateurs, les annonceurs et les éditeurs », affirme Google. Google ne manque pas de mettre délicatement les points sur les i en ce qui concerne Microsoft et ses manoeuvres pour faire échouer l'accord avec Yahoo. Mais Google ne se mouille pas : il se contente de citer des articles parus dans quelques magazines fleurons de la presse américaine. Deux semaines avant la mise en application de l'accord, Google a donc décidé de mettre les bouchées doubles pour défendre son bébé. Il y a quelques jours, Hal Varian , économiste en chef de la société, puis son PDG, Eric Schmidt, sont tous deux montés au créneau pour plaider en faveur de l'alliance avec Yahoo. Cet accord a en effet soulevé les protestations d'autres acteurs du Web et poussé les autorités américaine puis européenne à en disséquer les termes, afin de vérifier qu'il ne portait pas atteinte au droit de la concurrence. (...)

(26/09/2008 12:27:01)

Steve Ballmer se donne 5 ans pour concurrencer Google

Microsoft est peut-être la seule société capable de représenter une vraie concurrence pour Google, a expliqué Steve Ballmer, CEO de Microsoft, lors d'un dîner du Churchill Club, dans la Silicon Valley. Mais l'éditeur devra d'abord trouver un moyen d'y parvenir. « Nous devons travailler afin de réinventer de fond en comble le modèle économique de la recherche sur Internet. On ne peut pas s'imposer de force sur un marché. On n'a des grandes avancées que si on parvient à redéfinir le domaine aux yeux des utilisateurs. » En tout cas, Microsoft entend se donner le temps et les moyens de son ambition. Steve Ballmer a expliqué que cette tâche prendrait quelque cinq années. Et l'éditeur a déjà prévenu ses actionnaires qu'il était prêt à perdre 5 à 10% de son revenu opérationnel pendant plusieurs années pour financer ses tentatives dans le domaine de la recherche sur Internet. Le projet de 'cloud computing' Red Dog sera dévoilé à la PDC Steve Ballmer n'a fait qu'effleurer les autres sujets. Il veut notamment laisser aux développeurs qui assisteront à la conférence PDC de Los Angeles, fin octobre, la primeur de découvrir ce que recèle le projet Red Dog, une offre de 'cloud computing' apparemment proche de ce que propose Amazon avec son EC2. Concernant la virtualisation, le patron de Microsoft a répété que son ambition était de démocratiser la technologie - une pique habituelle à destination de VMWare. Steve Ballmer a par ailleurs prédit des lendemains difficiles aux fabricants de smartphones comme Nokia, RIM ou Apple, qui proposent des plateformes matérielles et logicielles étroitement liées. A terme, s'affronteront Windows Mobile, Symbian et Linux [[page]] Commentant les 30% de parts de marché de Nokia, Steve Ballmer a expliqué que « si vous voulez aller au-delà, il faut découpler le matériel du logiciel ». De façon bien sûr à ce que davantage de mobiles puissent tourner sous Windows Mobile... A terme, a-t-il dit, la compétition pour ce marché devrait voir s'affronter Windows Mobile, Symbian et Linux. Pour la même raison, Steve Ballmer estime qu'Apple ne constituera pas une grande menace dans le domaine professionnel. « Apple est une belle société », a-t-il dit, mais sa stratégie exclut les partenaires. Or, a continué Steve Ballmer, c'est la symbiose entre Microsoft et les fabricants de PC qui a assuré le succès de Windows en entreprise. Retard avoué sur Linux et PHP dans les serveurs Web En ce qui concerne les relations avec les développeurs, Steve Ballmer décerne plutôt un bon point à Microsoft, mais relève deux faiblesses : le domaine du calcul scientifique (Windows HPC vient juste de sortir) et celui des serveurs Web, où les technologies Microsoft sont devancées par Linux et PHP. « 40% des serveurs sont sous Windows, 60% sous Linux. [...] Cela ne me plaît pas, nous avons du travail à faire. » Interrogé sur la façon dont les entreprises du secteur IT voient la crise financière aux Etats-Unis, Steve Ballmer s'est voulu plutôt rassurant. « Au moins pour le moment, les gens à qui je parle dans le secteur son plutôt... je ne dirais pas optimistes, mais au moins plus sereins que ce qu'on pourrait penser en regardant [la chaîne d'informations américaine] CNBC toute la journée. » (...)

(25/09/2008 12:03:04)

Digg lève 28,7 millions de dollars

Digg, site communautaire sur lequel les internautes peuvent publier et noter des articles dans différentes catégories (technologies, politique, loisirs..), vient de réaliser une troisième levée de fonds, d'un montant de 28,7 M$, auprès de quatre sociétés d'investissement. Les levées précédentes datent d'octobre 2005 (2,8 M$) et de décembre 2006 (8,5 M$), le site ayant été créé en 2004. Digg se servira de ces fonds pour doubler ses effectifs, en passant de 75 à 150 salariés, pour s'étendre à l'international en déclinant le site dans d'autres langues que l'anglais, ou encore pour améliorer l'ergonomie du site. Le réseau communautaire poursuit donc son chemin en préservant son indépendance, et semble démentir les rumeurs de rapprochement avec Microsoft ou Google, qui avaient inquiété les membres du site en mars dernier. Digg affirme que son trafic a doublé en un an et qu'il attire 30 millions de visiteurs uniques chaque mois. En raison de son succès, Digg a été copié à maintes reprises par d'autres sites, baptisés des Digg-like. Même Yahoo s'y est mis, en ouvrant son service Buzz à tous les internautes. (...)

(24/09/2008 16:30:47)

Yahoo reprend les pourparlers avec Time Warner

Fraîchement élu, le conseil d'administration de Yahoo - qui compte désormais le milliardaire Carl Icahn dans ses rangs - aurait entamé hier de nouvelles discussions avec Time Warner, propriétaire d'AOL, selon le Financial Times. Les deux groupes s'étaient déjà rapprochés en avril dernier, alors que Yahoo bataillait ferme pour échapper aux griffes de Microsoft. Le géant de Redmond avait fini par retirer son offre, et le duo Yahoo/AOL n'avait rien donné. Pour le moment les négociations ne sont pas actives, modère le Financial Times, mais si elles devaient aboutir, elles permettraient à Time Warner de se débarrasser d'une filiale aux allures de gouffre financier. Depuis quelques mois, le PDG du groupe Jeffrey Bewkes ne cache pas son impatience de régler le cas AOL. Il avait déclaré lors de la 21e édition de la Bear Sterns Media Conference (qui réunit les grands noms des médias américains) que la société souhaitait se défaire d'AOL. (...)

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