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(15/02/2008 11:05:53)
Après AOL et Google, Yahoo se tourne vers News Corp
Bien décidés à ne pas se laisser avaler par Microsoft, les dirigeants de Yahoo ne savent plus vers qui se tourner. Après des rumeurs concernant Google, puis AOL et Time Warner, ils sont en discussion avec News Corp. La société détenue par le magnat des médias, Rupert Murdoch, prendrait une participation allant jusqu'à 20 % dans le capital de Yahoo. Et fusionnerait certaines de ses activités sur Internet, comme le réseau social MySpace, avec Yahoo. Celui-ci demeurerait indépendant. Pour autant, cette solution ne semble pas satisfaire certains actionnaires du groupe. L'un d'entre eux a ainsi affirmé au New York Times : « Aussi bien AOL que News Corps parlent depuis un an de fusionner AOL avec Yahoo ou MySpace avec Yahoo. Mais c'est trop tard. Ils ont laissé passer leur chance en n'agissant pas plus tôt. » Une réaction qui n'étonne pas les analystes financiers. Jordan Rohan, de RBC Capital estime en effet qu' « il est difficile d'imaginer que Rupert Murdoch veuille investir suffisamment d'argent dans cet accord pour la rendre intéressante pour les actionnaires de Yahoo ». Un avis que partage Mark Mahaney, de Citigroup : « Il semble que les options stratégiques de Yahoo soient relativement limitées. Il est dur d'entrevoir un scénario qui pourrait créer autant de valeur et aussi rapidement pour les actionnaires que l'offre de Microsoft. » Même s'il reconnaît que l'offre de News Corp pourrait booster la présence de Yahoo sur les réseaux sociaux, Haim Mendelson, professeur à la Standford Graduate School for Business, reconnaît que le montage financier sera difficile à réaliser. Pour lui, « Microsoft est dur à stopper à ce point des opérations. » D'autant que l'éditeur pourrait, selon certains analystes, relever son prix d'achat (actuellement à 31 $ par action) pour emporter l'affaire. (...)
(14/02/2008 16:58:47)La place de marché Wengo lève 6 millions d'euros
Le site français Wengo annonce une deuxième levée de fonds, d'un montant de 6 M€, auprès de son investisseur historique Neuf Cegetel (2 M€) et de la société de gestion Ventech (4 M€). La plateforme technique Wengo (à l'origine un « Skype » français) est maintenant une sorte de « place de marché » de mise en relation entre internautes et experts. Grâce à cette levée de fonds, le Français compte développer ses outils de communication et de marketing, ainsi que nouer des alliances stratégiques avec d'autres sites, comme il l'a déjà fait avec PriceMinister, Aufeminin ou encore CDiscount. Le principe de Wengo est simple : l'internaute à la recherche d'une réponse sur un sujet bien précis peut se connecter au site et sélectionner un expert. Une quinzaine de catégories sont répertoriées (finance, informatique, juridique, beauté, loisirs...). Wengo se charge ensuite de prévenir ce conseiller et d'organiser un rendez-vous téléphonique. Le montant de la prestation est déterminé par le conseiller et Wengo récolte 30% de la facture. Le fournisseur revendique 3 500 conseillers triés sur le volet et 160 000 inscriptions d'internautes. (...)
(14/02/2008 15:30:48)Malgré un fléchissement, Google toujours n°1 de la pub en ligne aux US
Pour la première fois en deux ans, Google a perdu des parts de marché dans la publicité en ligne au quatrième trimestre 2007 aux Etats-Unis, affirme le cabinet d'analystes IDC. Un fléchissement de 0,5 point par rapport au trimestre précédent, attribué au ralentissement de la croissance des ventes de publicités sur la période. La part de Google sur le marché américain s'établit désormais à 23,7% sur le trimestre. Si les ventes de publicités en ligne de Google ont progressé de plus de 40% sur le quatrième trimestre en un an, celles relevées au troisième trimestre avaient, elles, atteint un taux de croissance de 50%. Un léger retrait du géant de l'Internet qui s'inscrit dans un contexte bouillonnant de la publicité en ligne, marqué par une éventuelle fusion entre Microsoft et Yahoo. Si le rachat avait lieu, explique alors IDC, la nouvelle entité issue de la fusion occuperait 17% du marché américain selon les données récupérées au quatrième trimestre 2007. Ce qui placerait encore ce « Microhoo » derrière Google. Toutefois, la société occuperait une meilleure position pour aller contrarier Google, déclare en substance le cabinet d'analyses. Dans un autre rapport, IDC évaluait la part de marché annuelle de Google aux Etats-Unis à 33,4%, contre 21,4% pour une hypothétique fusion Microsoft/Yahoo. Une fois réalisées les fusions des plateformes de recherche, de publicité et des équipes d'ingénieurs, il faudra encore quatre ou cinq ans pour contrer Google. (...)
(14/02/2008 11:49:45)L'opérateur Tata Communications voit le jour
L'Indien Tata a regroupé hier l'ensemble de ses activités de fournisseur d'infrastructures de télécommunication sous la même casquette. Baptisée Tata Communications, la nouvelle entité fédère VSNL (Videsh Sanchar Nigan Limited, opérateur et FAI pour particuliers et entreprises), dont Tata est devenu actionnaire majoritaire cette année, Tyco Global Networks (fournisseur de câbles sous-marins) racheté en 2004, le canadien Teleglobe (fournisseur de services internationaux de voix, de sans-fil et de données sur Internet) acquis en 2006 et Cipris. « Cette étape nous permet d'accroître notre visibilité sur le marché, et de bénéficier de la notoriété du groupe Tata dans le monde », souligne Claude Sassoulas, directeur général Europe pour les services de données. La société se positionne sur trois secteurs. Elle propose aux opérateurs et aux fournisseurs d'accès Internet (comme Free ou NeufCegetel) une infrastructure haut débit riche de 200 000 km de câbles sous-marins à travers le monde. Tata offre également aux entreprises multinationales des solutions de communication (Ethernet, MPLS, voix, réseau privé virtuel...), « une activité que nous souhaitons développer, car les entreprises se tournent de plus en plus vers l'externalisation dans les pays émergents, notamment l'Asie et l'Afrique du sud, des territoires dont nous assurons la couverture haut débit », précise encore Claude Sassoulas. Tata Communications possède également une activité destinée au grand public, mais uniquement en Inde. Tata Communications compte par ailleurs se développer à l'international, et y réaliser les deux tiers de son chiffre d'affaires (pour rappel, en 2004 l'intégralité de ses revenus provenait d'Inde). En Europe, la Grande-Bretagne reste sa priorité, mais la France est en deuxième position devant l'Allemagne. La société souhaite étendre son réseau de fibre optique passant par Lisbonne, Madrid, Francfort, Amsterdam et Paris jusqu'à Marseille. « De cette manière, la boucle est bouclée », commente Claude Sassoulas. Tata Communications emploie 5000 personnes dans le monde, dont 35 en France. Son siège européen se situe à Londres. Le groupe Tata a réalisé un chiffre d'affaires de 29 Md$ en 2007. (...)
(14/02/2008 11:46:27)Google squatte certaines « erreurs 404 »
Les erreurs 404 continuent d'attiser la convoitise. Ces pages qui s'affichent lorsque l'adresse Web est erronée ou quand la page Web a été effacée ont été détournées, pour certaines d'entre elles, par la version bêta de la dernière Google Toolbar. Selon TechCrunch.com qui cite comme source les forums de DigitalPoints, certains internautes auraient remarqué des pages habituellement étiquetées « erreur 404 » habillées du logo et des couleurs de Google ainsi que du champ de recherche bien connu de la marque. Réponse officielle de Google, qui confirme incidemment l'information : cette procédure aide les internautes, et intervient uniquement lorsque le poids de la page 404 est inférieur à 512 octets. En clair, cela concerne toutes les pages qui n'ont pas été personnalisées par les webmestres et qui affichent dès lors le classique message d'erreur. Et Google n'est pas le premier à s'intéresser au Web qui n'existe pas. Verisign s'y est brûlé les ailes avec SiteFinder alors qu'Amazon a, de son côté, obtenu un brevet d'exploitation. Il faut dire qu'elles représentent un espace vierge prêt à recevoir un contenu « monétisable ». (...)
(13/02/2008 16:15:45)Wikimedia repose à plus de 80% sur ses donateurs
La fondation à but non lucratif Wikimedia, hébergeur de l'encyclopédie en ligne Wikipedia, a engrangé 2,7 M$ en 2007. Cette somme provient essentiellement de la part de donateurs, à hauteur de 81%, le reste étant financé par quelques sources régulières de revenus, comme diverses actions de sponsorings ou encore la vente de flux RSS. En novembre dernier, Florence Devouard, présidente de la fondation, avait fait appel à la générosité des membres de la communauté Wikipedia en leur rappelant : « nous avons besoin de votre soutien pour continuer à faciliter le partage et l'accès à la connaissance pour chaque citoyen, peu importe que le montant soit élevé ou non ». Sur la somme récoltée, 2,1 M$ (76 %) ont été dépensés. Les dons recueillis ont surtout servi à payer les salaires des permanents (20%) et à financer l'hébergement du site (18,7%). Wikipédia vers le 100% participatif La fondation se veut donc totalement collaborative, car non seulement ce sont les internautes qui fournissent le contenu de Wikipedia (un mode de fonctionnement d'ailleurs fortement controversé ces dernières semaines), mais ce sont également eux qui participent à son financement. En 2008, Wikimedia espère récolter plus de 4 M$. Cette somme lui servira à financer son évolution technologique (57%), notamment en investissant dans de nouveaux serveurs ou dans l'achat de bande passante, 15% pour la finance et l'administration et 11% pour les besoins de la direction. Wikimedia souhaite également développer son encyclopédie en ligne dans d'autres langues plus rares (Wikipedia est également disponible en 250 langues, selon ComScor). Pour l'anecdote, la fondation Wikimedia a également reçu le soutien de Google, qui lui a fait don de 681 actions. Fait assez étrange, car Google a récemment lancé Knol, sa propre encyclopédie collaborative en ligne... donc concurrente directe de Wikipedia. (...)
(13/02/2008 10:08:28)Avec Maven, Yahoo dope son offre publicitaire dans la vidéo en ligne
Yahoo, qui vient de refuser l'offre de rachat formulée par Microsoft, continue d'accroître son périmètre en procédant à l'acquisition de Maven Networks, une société américaine spécialisée dans la publicité issue des vidéos en ligne pour 160 M$. Plusieurs géants des médias d'outre-Atlantique ont recours à la plateforme de Maven - dont Fox News, CBS Sports ou Sony BMG - pour la gestion et la monétisation de leur contenu vidéo sur Internet. L'offre de la nouvelle filiale de Yahoo repose sur l'insertion de messages publicitaires dans les clips et inclue des outils de gestion et de reporting. Yahoo indique que cette acquisition lui permettra de proposer aux annonceurs d'afficher des publicités mieux ciblées. Ces derniers pourront acheter des vidéos et la publicité afférente - en plus des traditionnels outils de recherche - avec Yahoo comme seul interlocuteur. Lundi, après que le moteur de recherche eut repoussé les 44,6 Md$ que lui proposait Microsoft, ce dernier a évoqué une possible OPA hostile (...)
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