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(08/02/2008 09:11:28)

Yahoo casse les limites du stockage en ligne pour les PME

Pendant que Yahoo réfléchit à l'OPA de Microsoft dont il fait l'objet, le spectacle continue. Le groupe vient ainsi de présenter une offre d'hébergement destiné aux PME, qui se caractérise par un espace de stockage illimité. Pour 11,95 $ par mois - le service est, pour l'heure, réservé au marché américain -, les entreprises pourront occuper autant d'espace disque sur les serveurs de Yahoo qu'elles ont de données à y stocker. Jusqu'alors, il leur fallait payer 12 $ mensuels pour 5 Go ou 40 $ pour 500 Go. Yahoo indique que son million et demi de PME clientes recevront prochainement les instructions nécessaires pour faire migrer leurs données. Et nulle crainte de voir les capacités de stockage du groupe atteinte : selon Guy Yalif, directeur des offres d'hébergement, Yahoo peut supporter sans coup férir les besoins croissants des entreprises. Toutefois, précise-t-il, l'offre ne doit pas être regardée comme un vaste disque dur, mais plutôt comme un outil conçu pour aider les PME à s'adapter rapidement à la croissance de la demande sur le Web. (...)

(07/02/2008 17:35:21)

Yahoo traine des pieds devant l'offre de rachat de Microsoft

Le PDG de Yahoo, Jerry Yang, a fait parvenir hier un mail à l'ensemble des salariés, indiquant que la société « n'était pas parvenue à une décision au sujet de l'acquisition par Microsoft, et envisageait d'autres alternatives stratégiques ». Jerry Yang a également précisé dans son mail que le conseil d'administration prendrait son temps, afin de faire les choses dans les règles de l'art. En laissant poireauter Microsoft, Yahoo espère peut-être faire monter les enchères, voire trouver un soutien auprès d'un rival du géant de Redmond - Google par exemple. Eric Schmidt, CEO de Google, aurait d'ailleurs, selon le Wall Street Journal, déjà offert ses bons offices. Selon certains analystes, il est toutefois peu probable qu'une autre société soit prétendante au rachat du Yahoo, car le montant proposé par Microsoft est si exorbitant (44,6 Md$) qu'il paraît difficile de surenchérir. Quant à un rachat par Google, les analystes se montrent extrêmement sceptiques, car un tel rapprochement soulèverait encore une fois la problématique de la suprématie de Google sur le marché de la publicité en ligne. Pour rappel, Bruxelles n'a toujours pas approuvé le rachat de DoubleClick par Google. (...)

(07/02/2008 17:15:48)

Time Warner veut scinder AOL en deux

Alors qu'en France, AOL n'est plus, depuis octobre 2006, qu'un fournisseur de contenu dont la partie « accès à Internet » a été rachetée par Neuf Cegetel, au niveau mondial, les deux activités continuaient à coexister. Plus pour très longtemps. Durant la dernière présentation des résultats financiers trimestriels de son groupe, Jeff Bewkes, PDG de Time Warner, a annoncé son intention de se séparer de son activité fournisseur d'accès (principalement aux Etats-Unis et en bas débit) pour se concentrer sur celle d'un portail de contenu aux revenus générés par la publicité. Il faut dire que cette activité est en perte constante. Si en 2002, AOL se vantait d'avoir 22 millions d'abonnés, en 2007, ils n'étaient plus que 9,3 millions. Et AOL a vu son chiffre d'affaires baisser de 32 % sur le quatrième trimestre 2007. Avec cette annonce, Time Warner veut renforcer AOL dans sa position de portails d'accès au contenu, derrière Yahoo et MSN de Microsoft. Même si sur ce secteur, AOL ne croît pas aussi rapidement que ses concurrents. Ainsi, ses revenus générés par la publicité ont cru de 18 % au dernier trimestre 2007, alors qu'en moyenne la croissance de ce secteur était de 25 % pour l'IAB (International Advertising Bureau) à la même période. Pour autant, Jeff Bewkes n'a pas donné d'échéances pour la vente des activités FAI de AOL. Mais pour Jeff Martin, directeur financier de Time Warner, de la prise de décision à la séparation effective, il pourra s'écouler un bon nombre de mois, en raison de la complexité du montage à mettre en place. (...)

(07/02/2008 15:16:22)

Google Apps Team Edition, le travail collaboratif sans administrateur

Comment contourner les directives drastiques des services informatiques d'une entreprise pour s'imposer chez ses employés ? Une question à laquelle a répondu Google, en dévoilant la Google Apps Team Edition. Son principe : fournir les services clés des applications bureautiques de la marque couplés à une offre de travail de groupe, sans avoir recours à une phase d'intégration avec le système de l'entreprise. L'offre « s'adresse aux employés qui sont intéressés par les Google Apps mais dont les employeurs refusent de souscrire à l'offre », résume en substance Rajen Sheth, chef de produit Google Apps. Ce qui devrait faciliter grandement l'utilisation de la Team Edition dans les PME et TPE. A l'inverse des autres éditions Standard, Premier ou Education, Team Edition se dédouane techniquement du domaine Internet de l'entreprise. Ce qui, par conséquent, rend impossible - du moins pour l'heure, assure Google - l'usage de la messagerie Gmail, qui reste encore sujette à l'intervention d'un intégrateur. Team Edition ne nécessite qu'une seule adresse email valide qui reprend le domaine de l'entreprise. Le service en ligne offre un outil de collaboration et de gestion de groupes rapide à mettre en place. « Une fois enregistrés, les utilisateurs ont accès aux autres comptes qui appartiennent ainsi à la même entreprise, et peuvent en inviter d'autres. » Mais, là où ce service effraie les services IT, c'est [[page]]dans sa capacité à se greffer dans le panel d'applications utilisées par les employés d'une entreprise, sans que cette dernière soit finalement au courant. Un phénomène courant, souligne toutefois Forrester, qui rappelle que ce ne serait pas la première application hébergée utilisée en interne sans l'accord de la DSI. Les documents créés seront ainsi hébergés sur les serveurs de Google, posant notamment des soucis de sécurité. Autre point d'intérêt : cette édition, comme la standard, reste gratuite. Ce que Google considère d'ailleurs comme une porte de sortie pour les entreprises souhaitant regagner ou préserver le contrôle sur leur parc applicatif. « Les services IT ont toujours la solution de souscrire à l'offre Standard, elle aussi gratuite, s'ils veulent avoir le contrôle dessus », insiste Rajen Sheth. Puis, éventuellement, cela peut servir de tremplin vers les autres éditions, comme la formule Premier commercialisée 50$ par an et par utilisateur. Cela s'inscrit d'ailleurs dans une politique plus globale de Google, qui peine encore à imposer ses Apps dans les entreprises. Le géant s'appuie ainsi sur l'élan des particuliers pour s'ouvrir le monde de l'entreprise. Et le groupe redouble d'effort. Hier, mercredi 6 fevrier, les Apps se paraient d'un outil de sécurisation d'email issu du rachat de Postini. Une brique essentielle pour séduire les sociétés. (...)

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