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(06/02/2008 09:58:58)

IPv6 prend racine dans les DNS d'Internet

Depuis le 4 février, six des treize serveurs DNS racines qui ont en charge la redirection des requêtes vers les serveurs DNS qui gère les TLD (Top Level Domain, comme .com, .fr etc) admettent le protocole IPv6, alias IPng pour IP New Generation. Autrement dit, ils sont capables de recevoir une requête au "format" IP en version 6 et de la traduire en un nom de domaine. Des centaines de milliards d'adresses IP codées en 128 bits contre seulement quatre milliards codées en 32 bits, telle est l'amélioration la plus palpable du passage de la version 4 à la version 6 de l'IP (Internet Protocol). Mais IPv6, c'est aussi une "intelligence" accrue du protocole avec, en particulier, l'intégration de notion de sécurité et de qualité de service au niveau du protocole et une optimisation des en-têtes pour simplifier et accélérer le routage. (...)

(06/02/2008 09:30:59)

Google sécurise les courriels des entreprises

Alors que la version payante des Google Apps n'atteint pas le succès escompté aux Etats-Unis, le moteur de recherche va tenter de conquérir de nouveaux clients en lançant des outils de sécurisation des courriels. Une initiative qui, selon le géant de Moutain View, devrait convaincre les entreprises que ses produits bureautiques sont susceptibles de satisfaire leurs besoins. Les outils de sécurité - issus de la technologie de Postini, racheté l'an dernier pour 625 M$ - ne seront pas réservés aux entreprises qui utilisent Gmail, le service de courriel de Google, ou les autres briques des Google Apps. Ils pourront ainsi se marier avec Lotus Note, Microsoft Exchange ou Novel Groupwise. « Certains clients démontrent un intérêt pour les Google Apps, mais ne veulent pas toutes les utiliser. Ils veulent une approche taillée davantage sur mesure », explique un porte-parole. Le moteur de recherche lancera trois outils conçus pour sécuriser le courrier électronique, d'un filtre antispam à 3 $ par utilisateur et par an, à un logiciel d'archivage faisant également office d'antivirus à 25 $. Développer un modèle économique autour des courriels sans forcer les entreprises à tirer un trait sur leur messagerie favorite est une démarche censée, selon Nucleus Research. « Cela va aider Google à accroître le nombre de ses clients », commente Rebecca Wettermann, vice-présidente de l'institut de recherche. Reste que Google est encore loin d'être solidement installé en environnement professionnel. Parmi les défis à relever pour y parvenir, Nucleus Research fait du développement d'un mode hors ligne parfaitement fonctionnel une priorité, indispensable au succès des applications bureautiques. (...)

(05/02/2008 17:15:21)

Facebook veut multiplier par deux le CA et les effectifs en 2008

Habituellement plutôt discret pour tout ce qui concerne les résultats de Facebook, Mark Zuckerberg, a présenté la semaine dernière à ses salariés le chiffre d'affaires réalisé en 2007 : 150 M$. Le tout jeune fondateur (23 ans à peine) de l'un des réseaux sociaux les plus populaires au monde ne compte pas s'arrêter là. Pour 2008, il prévoit de réaliser un chiffre d'affaires de 300 à 350 M$, ainsi que de doubler les effectifs (1000 salariés, contre 450 aujourd'hui). Mark Zuckerberg a également annoncé que 200 M$ seraient réinjectés dans la société pour en renforcer l'infrastructure technique, en la dotant par exemple de nouveaux serveurs. Un détail qui ne semble pas troubler outre mesure les ambitions de Mark Zuckerberg. Il souhaite en effet développer Facebook en s'appuyant sur le soutien de Microsoft, qui a investit 240 M$ dans la société en octobre dernier, la survalorisant ainsi à 15 Md$ (soit cent fois plus que son chiffre d'affaires actuel !), ainsi que sur sa plateforme publicitaire Beacon. (...)

(05/02/2008 10:50:33)

Amazon obtient un brevet pour exploiter les erreurs 404

C'est en toute discrétion que le moteur de recherche A9, filiale d'Amazon, a reçu l'approbation de l'office américain des brevets (US Patent and Trademark Office - USPTO) pour une technologie de personnalisation des « erreurs 404 ». Ces dernières surgissent lorsque la page Web demandée par une URL a disparu des serveurs. Le navigateur affiche alors comme une simple alerte une page de remplacement issue par défaut des serveurs qui hébergent le site Web. Le brevet d'A9 s'attaque à cette page en proposant de la personnaliser, en affichant du contenu alternatif tiré par exemple du cache du moteur. Ou d'un contenu jugé similaire ou lié à la première requête. Dans la théorie, la technologie déposée par A9 dépasse le cadre du domaine Amazon. Si on tape www.lemondeinformatique.fr/actualite/lire-une-actu-qui-n-existe-pas-050208.html- , ce qui n'aboutit pas- , A9 sera susceptible de proposer du contenu en remplacement. Si, A9 n'a pas encore dévoilé ses intentions d'utilisation de son nouveau brevet, on peut toutefois supposer que l'affichage de publicité contextualisée reste possible. Si ce brevet peut paraître anodin, il rappelle toutefois qu'en 2003, Verisign avait proposé SiteFinder, un service qui après avoir tapé un DNS non enregistré, dirigeait l'internaute vers le site de la société où ce dernier proposait ses produits commerciaux ainsi que ceux de ses partenaires. SiteFinder avait suscité l'ire de l'Icann (Internet Corporation for assigned names and numbers). Le régulateur d'Internet avait fait fermer rapidement le service qui s'était ainsi éteint après trois semaines d'activité (du 15 septembre au 4 octobre 2003), l'Icann jugeant inacceptable l'exploitation commerciale de cette pratique alors que Verisign avait déjà la charge de la gouvernance technique des suffixes génériques .com et .net. (...)

(04/02/2008 15:34:54)

Microsoft/Yahoo : les défenseurs des libertés individuelles s'inquiètent

L'éventualité d'un rachat de Yahoo par Microsoft n'a pas manqué, outre-Atlantique, de susciter des réactions enflammées de la part des défenseurs des libertés individuelles, notamment du CDD (Centre pour la démocratie numérique, une association d'avocats) et de l'EPIC (Electronic privacy information center), deux des organismes qui s'étaient déjà insurgés, aux côtés d'US PIRG, contre la fusion Google/DoubleClick. Cette alliance pourrait « affecter de manière significative la confidentialité en ligne », selon Jeff Chester, directeur exécutif du CDD. Pour lui, il était évident que la fusion entre Google et DoubleClick ferait réagir Microsoft, « mais nous ne pensions pas que ce serait aussi rapide », commente-t-il. Dans le collimateur des deux organismes, on retrouve toujours les mêmes problématiques : la protection des données et de la vie privée des citoyens, le statut de l'adresse IP et le respect des règles de la concurrence. Pour Joseph Turow, doyen associé de l'école de communication Annenberg de l'Université de Pennsylvanie, « l'OPA de Microsoft est une réponse naturelle à l'incapacité du gouvernement américain à réglementer le rôle des conglomérats du Web. » Il déplore [[page]]l'approbation, par les autorités fédérales, du rapprochement entre Google et DoubleClick, une fusion qui, rappelons-le, n'a toujours pas été approuvée par Bruxelles. Course à la publicité ciblée Pam Dixon, directrice exécutive du World privacy Forum a quant à elle soulevé un autre point. Elle estime que Microsoft et Yahoo pratiquent des politiques de protection de la vie privée des internautes très différentes, Yahoo étant « moins transparent », avant de s'interroger « qui adoptera l'approche de l'autre en cas de fusion ? ». Le CDD et l'EPIC craignent que l'internaute soit finalement le grand perdant de cette bagarre sans pitié que se livrent les colosses d'Internet pour marquer leur suprématie sur le marché de la publicité et des services en ligne. « Microsoft et Google ont chacun la capacité d'emmagasiner une quantité phénoménale d'informations sur les internautes, puis de les revendre à tout un panel d'annonceurs », prévient encore Jeff Chester. Selon lui, cette acquisition ne fera que renforcer cette course à l'e-surveillance et à la publicité comportementale ciblée. Les deux organismes encouragent donc la FTC à ouvrir une enquête pour déterminer les implications de ce rachat sur le respect des données personnelles des utilisateurs. Marc Rotenberg, directeur de l'EPIC, confirme : « la FTC doit intervenir, et ne pas commettre la même erreur que lors de l'affaire Google/DoubleClick ». (...)

(04/02/2008 14:12:55)

Google veut faciliter la ré-utilisation des relations existant dans les réseaux sociaux

Comment récupérer et transmettre les nombreuses relations sociales nouées dans Facebook ou MySpace à d'autres applications sociales en ligne ? Une question sur laquelle s'est penchée Google. Et, dans la lignée d'OpenSocial - qui fournit une kyrielle d'API pour développer et croiser les applications de réseau social - , le géant de l'Internet publie Social Graph API. Des interfaces pour faciliter les travaux de développeurs pour relier, partager et intégrer des profils publiques FOAF (Friend of a friend) ou XFN (XHTML Friends Network) entre applications. Ces deux standards Web définissent les relations et les connections passées entre utilisateurs. En clair, Social Graph cartographie l'ensemble du réseau social de l'utilisateur pour l'exporter vers d'autres applications. Dans une vidéo, Brad Fitzpatrick explique comment récupérer les données publiques de MySpace, Twitter et de blogs, pour éviter de démarrer sans contact ni connexion lors de l'inscription dans de nouveaux réseaux sociaux. Une solution également aux nombreuses (re)invitations qu'un utilisateur doit effectuer à son arrivée dans un réseau social. (...)

(04/02/2008 12:50:28)

OPA sur Yahoo : Google s'inquiète, Microsoft le rassure

L'avenir de la compétition sur Internet serait-il menacé par l'OPA de 44,6 Md$ lancée par Microsoft sur Yahoo ? Oui, selon Google. C'est tout le contraire, répond Microsoft. D'un monopole à l'autre, les amabilités pleuvent. Sur le blog officiel de Google, David Drummond, vice-président senior et responsable des affaires juridiques (Chief Legal Officer) du moteur de recherches, écrit que l'OPA pose des questions inquiétantes, qui vont au-delà de la simple transaction financière : « Il s'agit de préserver les principes sous-jacents d'Internet : ouverture et innovation. » Et d'expliquer son inquiétude par le comportement passé de l'éditeur et ses pratiques monopolistiques : « Microsoft pourrait-il maintenant essayer d'exercer sur Internet le même genre d'influence déplacée et illégale ainsi qu'il l'a fait dans le monde du PC ? » Microsoft a vite répondu, par le biais d'un bref communiqué signé Brad Smith, conseiller aux affaires légales. Qui ne nie pas l'accusation... mais contre-attaque en accusant à son tour Google d'avoir établi un monopole sur les revenus publicitaires d'Internet : « Aujourd'hui, Google est l'entreprise dominante des recherches et de la publicité sur le Web. Google a amassé environ 75% des revenus liés aux recherches dans le monde, et sa part de marché continue de croître. Selon des sources publiques, Google dispose de plus de 65% de parts de marché aux Etats-Unis dans la recherche sur Internet, et de plus de 85% en Europe. » Les parts de marché combinées de Microsoft et Yahoo seraient, toujours selon Brad Smith, de 30% aux Etats-Unis et 10% en Europe. D'où son assertion : « La combinaison de Microsoft et Yahoo créera un marché plus compétitif en établissant un challenger attrayant pour la recherche et la publicité sur Internet. Les scénarios alternatifs mènent uniquement à moins de compétition sur Internet. » (...)

(04/02/2008 12:11:20)

La fusion Microsoft / Yahoo sous la loupe du Congrès américain

A coup sûr, la rachat de Yahoo par Microsoft pour 44,6 Md$ va remodeler le paysage d'Internet et de la publicité en ligne. A tel point que la commission des affaires judiciaires du Congrès américain a décidé d'ouvrir une audition pour consulter experts et spécialistes sur le sujet. Le 8 février, date fixée pour l'examen du dossier, seront examinés les termes d'une éventuelle fusion entre les deux groupes avec en ligne de mire, son influence sur le marché. « L'offre de rachat de Microsoft sur Yahoo est certainement une des plus importantes fusions du secteur et soulève d'importantes questions quant à l'environnement concurrentiel d'Internet », ont déclaré les membres du Congrès John Conyers et Lamar Smith à l'AFP. La commission devra déterminer si « cette consolidation échaude ou étend les principes fondamentaux d'un Internet concurrentiel ». (...)

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