Flux RSS

Internet

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

5069 documents trouvés, affichage des résultats 3631 à 3640.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(23/11/2007 17:44:40)

Blogorama crée le billet payant avec Allopass

Alors que la rémunération des blogueurs par les marques est au coeur de vives polémiques dans la blogoshère, la plateforme Blogorama.fr vient de s'allier au spécialiste du micro-paiement en ligne Allopass pour inaugurer le billet payant. La formule repose sur la possibilité de configurer son blog en utilisant son compte Allopass et de rendre payant, ou non, un billet lors de sa publication. Une solution à la carte qui donne aux blogueurs la possibilité de commercialiser son article au prix de 2 €, qui seront au final répartis entre l'opérateur télécom, Blogorama et le blogueur - qui pourra récupérer ses gains à partir de 5 €. A la différence des plateformes ebuzzing et payperpost, qui vient d'être sanctionné par Google, le système de paiement de billet à la carte de blogorama ne fait pas intervenir de marques dans le processus de rédaction des billets. Selon Yannick Touchard, directeur d'Hi-Media Publishing qui édite Blogorama.fr, « cette nouvelle fonctionnalité est une occasion pour les blogueurs de Blogorama.fr de gagner de l'argent tout en partageant leur passion sans connaissance technique et sans frais d'hébergement ». (...)

(23/11/2007 12:39:21)

Internet souffle ses 30 bougies

Le 22 novembre 1977, un van circulant dans la baie de San Francisco, conduit par quelques ingénieurs illuminés, établit le dialogue entre trois réseaux (ARPANET, satellite et radio) à la vitesse fulgurante de ... 100 kbits/s ! L'accouchement est difficile et les parents sont indécis puisqu'il faudra attendre encore 15 années avant qu'ils ne baptisent leur nouveau né. Mais le petit « Internet » est déjà prometteur et son évolution, certes confidentielle au départ, va bouleverser progressivement le monde. Au milieu des années 90, Internet étend ses ramifications au-delà des échanges militaires et universitaires auxquels il était jusqu'alors cantonné. Les entreprises l'adoptent, puis c'est au tour du grand public de se pencher sur ce qui est aujourd'hui bien plus qu'une simple infrastructure de réseau. En grandissant, Internet est devenu un média qui bouleverse les modèles économiques et culturels. Rebondissant sur cette infrastructure publique, synonyme de réduction des coûts et de déploiement simplifié, les sociétés découvrent le concept d'entreprise entendue, optimisent le dialogue et les échanges avec leurs filiales et leurs partenaires. Coté grand public, les usages se multiplient : courriers électroniques, forums, P2P, albums photos partagés en ligne, blogs...Les réseaux sociaux apparaissent pour tisser, à travers le monde, des liens entre des individus qui ne se seraient probablement jamais adressés la parole en d'autres temps. Tout s'accélère, l'attente est devenue intolérable, seul le temps réel est acceptable. En moins de 30 ans, on est passé des échanges en 100 kbits/s de départ à une profusion de bande passante se chiffrant désormais en Go. L'écran noir sur lequel s'affichait un code inaccessible au commun des mortels a été remplacé par des applications graphiques, riches en vidéo, en musique ... Si les parents d'Internet auraient eu bien du mal à prédire cette évolution, il faut avouer que nous sommes tout aussi incapables de dire à quoi ressemblera Internet dans trois décennies. Une chose est sure, le petit arrive à maturité et sa vie d'adulte est jonchée de difficultés : vides juridiques, saturation des infrastructures techniques, raz le bol des hommes qui veulent retrouver une communication plus « humaine » etc. Sa prochaine conquête sera certainement celle de la maison : la fiancée s'appelle domotique et le mariage ne devrait pas tarder à être consommé, donnant naissance à une nouvelle génération d'appareils communicants ... (...)

(23/11/2007 10:43:40)

Le côté Big Brother de Facebook commence à énerver des utilisateurs

Des internautes adeptes de Facebook sont en train de se rendre compte que le site utilise et partage à des fins commerciales leurs données personnelles. Une pétition a même été lancée aux Etats-Unis pour obliger Facebook à respecter la vie privée des gens et à ne pas exploiter leurs informations personnelles sans leur consentement explicite. Le réseau social Facebook permet aux internautes âgés de 13 ans et plus de s'inscrire gratuitement, en créant un profil, dont une partie sera publique et l'autre privée. Et certains utilisateurs ont eu la mauvaise surprise de découvrir que sur leur profil public s'affichaient des informations sur leurs achats effectués sur des sites de commerce électronique tiers. Un tour de magie signé Beacon, un utilitaire que Facebook met à disposition des autres sites Web. Certainement, comme il est dit dans les règles concernant la vie privée du réseau social, afin de pouvoir fournir « une expérience plus personnalisée ». Charlene Li, vice-présidente et analyste principale chez Forrester, explique ainsi sur son blog avoir acheté un objet sur Overstosk.com, et constaté ensuite, en se connectant sur Facebook, que cet achat figurait en tête du flux d'information de son profil. Elle écrit que, à supposer qu'on lui ait laissé le choix, elle n'aurait pas accepté que le site rapporte son achat à Facebook : « J'étais plutôt surprise de voir cela, parce que je n'ai eu aucune notification, quand j'étais sur le site d'Overstock, qu'ils avaient installé Beacon. S'ils l'avaient fait, je l'aurais désactivé. » Facebook explique que ses règles sont claires Cela soulève un autre problème, note Charlene Li : Beacon s'appuie sur des éléments qui n'identifient pas formellement l'utilisateur de l'ordinateur au moment précis de l'achat. On peut imaginer les situations incongrues - mais pas forcément drôles - qui pourraient en résulter. L'agence de presse AP cite d'autres utilisateurs de Facebook qui ont eu de mauvaises surprises similaires, avec Overstock mais aussi avec un site de vente de tickets de cinéma en ligne. L'un d'eux se félicite d'ailleurs de ne pas avoir choisi de voir un film trop ridicule cette fois-là. Facebook se veut de son côté relativement transparent. Le site explique bien que Beacon couvre « l'achat d'un produit, la signature pour un service, l'ajout d'un objet et plus ». Et que si les utilisateurs peuvent limiter la quantité d'informations personnelles qu'ils souhaitent voir ainsi exposées, ils ne peuvent s'exclure de ce programme. Il existe toutefois, rappelle le réseau social, de multiples garde-fous. Dans le descriptif de Beacon, Facebook précise par exemple que les internautes ont une opportunité de refuser le transfert d'informations une première fois sur le site de e-commerce, et une seconde fois en se connectant sur Facebook. Ce à quoi les utilisateurs répondent que les deux avertissements peuvent être aisément manqués, pour peu qu'on clique un peu vite sur un objet à acheter ou sur le profil d'un ami. Ces utilisateurs mécontents ont lancé une pétition sur le site MoveOn.org (nous en parlions il y a deux jours)... et créé un groupe sur Facebook. Récemment, c'est l'utilisation des données personnelles par Facebook à des fins publicitaires qui soulevait la polémique. (...)

(22/11/2007 17:00:52)

Etudier la danse des abeilles pour optimiser le rôle des serveurs Web

Sans intelligence centralisé, les abeilles ouvrières arrivent à communiquer efficacement pour accomplir des tâches complexes comme indiquer aux autres où se trouvent les fleurs, récolter du pollen et le transformer en nectar. A partir de ces observations, deux chercheurs de l'institut de technologie de Géorgie, Craig Tovey, entomologue amateur, et Sunil Nakrani, détaché de l'université d'Oxford, ont conçu une méthode pour améliorer l'efficacité des serveurs Web. En effet, les abeilles et les serveurs Web sont confrontés au même type de problème. Chaque essaim n'a qu'un nombre limité d'ouvrières pour accomplir toutes les tâches nécessaires à sa survie, qu'il y ait une abondance de fleurs sur lesquelles collecter le pollen ou non. De même, chaque site Web dépend d'un nombre fini de serveurs ou de ressources informatiques quels que soient le nombre de visiteurs à un instant T et leurs demandes (accéder à une vidéo ou effectuer un achat). Pour pallier ce problème, les abeilles ont un système de danse dans lequel l'éclaireuse indique aux autres ouvrières le lieu de récolte (la direction prise par la danseuse), la distance par rapport à la ruche (le nombre de détours) et la richesse potentielle de la récolte (la durée de la danse). Les deux chercheurs se sont inspirés de ce modèle pour créer un « parquet de danse » virtuel où les serveurs Web peuvent s'échanger des informations sur les tâches à accomplir. Il s'agit de placer une « publicité » interne à un pool de serveurs pour indiquer une tâche à accomplir. Plus longtemps cette publicité reste affichée, plus elle est urgente et potentiellement rentable. Et donc plus de serveurs inactifs l'accompliront. Testé dans des conditions réelles de trafic, ce parquet de danse a pu augmenter l'efficacité des sites de 4 à 25 %. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >