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(16/04/2007 10:52:47)

Neuf Cegetel dément avoir racheté Club Internet

Alors que nos confrères des Echos, citant des sources industrielles, affirment ce matin que Neuf Cegetel a mis la main sur Club Internet pour « 430 à 460 M€ », l'emportant contre Free qui aurait proposé « 380 à 400 M€ », l'opérateur a fait parvenir aux rédactions un communiqué ce matin pour démentir : « Suite aux informations publiées ce matin dans un quotidien économique français, le groupe Neuf Cegetel précise qu'il n'a, à ce jour, conclu aucune transaction concernant l'acquisition de Club Internet. » Le groupe de télécoms ne dément pas en revanche être en négociations. Suite, donc, prochainement. (...)

(13/04/2007 12:16:38)

Présidentielle : l'Afnet lance son pacte pour doper l'usage du numérique en France

L'Agence régionale de développement d'Ile de France et l'Association francophone des utilisateurs du Net viennent de lancer un appel aux candidats à la magistrature suprême visant à accroître la place accordée au numérique dans les échanges économiques et citoyens. Le Pacte numérique pour une France compétitive et solidaire propose une série de mesures pour permettre à l'Hexagone de « préserver et développer son niveau de vie et son influence en Europe et dans le monde, mieux innover et être plus compétitive pour créer des emplois, apporter de meilleurs services aux citoyens, réduire les inégalités ». Les prétendants à l'Elysée sont invités à signer le pacte, tout comme les électeurs qui expriment ainsi leur volonté de voir appliquées les mesures énoncées. Des mesures qui concernent non seulement l'action de l'Etat, mais aussi les entreprises et les citoyens. Parmi les propositions, citons la mise en place d'incitations juridiques et fiscales pour favoriser la création d'entreprises innovantes, le développement du numérique dans les échanges clients/fournisseurs (présenté comme un facteur clé de la compétitivité), la mise en oeuvre de mesures réglementaires permettant la signature de contrats en ligne ou l'adoption d'une fiscalité offrant à chacun (citoyens et PME) la possibilité de se doter des outils numériques minimaux. Selon les organismes à l'origine du pacte, il y a urgence : le retard d'investissement et d'usage des TIC coûterait ainsi « au moins 0,5% du PIB par an, qui se traduisent directement en écart de croissance et de création d'emplois ». Sur le même sujet : -Le Syntec Informatique propose un pacte au futur président de la République -Quinze mesures pour réduire la fracture numérique -Le Pacte PME revu par ses initiateurs, version campagne électorale -Le rapport Rocard recommande un accès ADSL à tarif social (...)

(12/04/2007 15:42:17)

Premier anniversaire du .eu : les Français ont boudé le nom de domaine

Un an après l'ouverture des enregistrements par l'Eurid, les noms de domaine en .eu s'arrogent la troisième position des TLD (top level domain) en Europe. Un succès inégalement partagé entre les pays du Vieux continent, la France se montrant par exemple peu enthousiasmée par les .eu. En un an, 2,574 millions de .eu ont été enregistrés, selon Martin Selmayr, un porte-parole de la Commission européenne. Un chiffre qui place le TLD en troisième position des noms de domaines du continent, derrière le .de (près de 10 millions) et le .uk (environ 5 millions). Au niveau mondial, « nous sommes proches des .info et déjà à la moitié des .org », précise Martin Selmayr. A titre de comparaison, environ 50 millions de .com sont enregistrés. En ce qui concerne les pays qui ont choisi d'adopter le .eu, c'est l'Allemagne qui s'arroge la première place avec 31% des enregistrements (soit 769 000). Suivent le Royaume-Uni et les Pays-Bas avec respectivement 17% et 12% des .eu. La France n'arrive qu'en quatrième position, à égalité avec l'Italie, et ne compte que 5% des .eu déposés depuis un an. Ce faible succès hexagonal pourrait s'expliquer par l'ouverture du .fr aux particuliers en quelques semaines seulement après celle du .eu. Face à cette concomitance, les Français semblent avoir préféré se tourner vers l'extension nationale plutôt que vers le TLD européen. (...)

(11/04/2007 15:32:04)

La VoIP pas prête pour le grand public, juge Forrester

Les services de VoIP sur le poste de travail sont trop compliqués à utiliser pour s'imposer de façon massive auprès du grand public. C'est la conclusion principale de l'étude « The VoIP customer experience : work in progress », menée par l'institut Forrester sur la pénétration des services de voix sur IP. Si la moitié des internautes européens connaissent le terme VoIP, ils sont seulement 8% à avoir essayé ce mode de communication. Certains d'entre eux n'ont pas transformé l'essai et, au final, seuls 4% continuent d'utiliser la VoIP sur leur PC pour leurs appels personnels. L'utilisateur type est un homme, ayant suivi des études supérieures et assoiffé de technologie. Si les applications permettant de communiquer oralement et à moindre frais depuis un ordinateur sont légion - les poids lourds étant Google Talk, ICQ, Windows Live Messenger, Skype et Yahoo Messenger - et même si l'installation et l'utilisation de ces logiciels tendent vers davantage de simplicité, Forrester les estime incapables de s'attirer un large public. Zayera Khan, analyste pour l'institut d'études, explique que les utilisateurs se sentent perdus entre des menus parfois confus voire abscons et des éléments clicables - boutons, icones, etc. - peu clairs. Des efforts louables chez Microsoft Autant d'éléments qui expliquent, selon l'étude Forrester, pourquoi seuls 4% des internautes plébiscitent la VoIP à partir de leurs messageries instantanées. Et ce chiffre n'est pas propre à l'Europe : en Amérique du Nord, 5% des connectés au Web utilisent la VoIP pour communiquer de PC à PC, et un petit pour cent pour passer des appels depuis un PC vers une ligne téléphonique classique. Parmi les applications disponibles, Forrester estime que celle de Microsoft déploie les efforts les plus louables pour séduire le grand public. A l'inverse, ICQ apparaît comme la moins susceptible d'attirer les masses : « ICQ semble tout simplement ne pas vouloir séduire un large public », juge Forrester. A côté des grands acteurs émergent des projets alternatifs misant sur une utilisation facile pour s'octroyer des parts de marché. Citons, parmi eux, Jajah, SightSpeed ou Gizmo Project, trois outils disponibles en français. (...)

(06/04/2007 16:55:36)

Le rapport Rocard recommande un accès ADSL à tarif social

Michel Rocard a remis hier à Ségolène Royal le rapport sur la société de l'information que la candidate lui avait demandé il y a deux semaines. Le rapport, intitulé 'République 2.0' et sous-titré « vers une société de la connaissance ouverte », formule 94 recommandations dessinant, explique son auteur, « les contours d'un véritable programme d'action gouvernemental ». On y lit quelques mesures concrètes, comme la mise en place d'un fonds numérique, afin de financer un « tarif social de l'accès haut débit [...] d'environ 5 € par mois », sur le modèle « du tarif social de l'abonnement au téléphone (6,49 € par mois) ». De même, ce fonds pourrait aider les opérateurs à fournir à la fois accès ADSL et équipement informatique, comme le propose déjà Neuf Telecom (mais pour près de 40 € par mois). « Un niveau cible de 15 à 20 € par mois tout compris semble atteignable dans le cadre du tarif social », écrit Michel Rocard. Dans le même chapitre, le député socialiste européen s'appuie sur les conclusions de l'association Renaissance numérique pour recommander lui aussi d'adapter la fiscalité afin de « faciliter la réutilisation des ordinateurs par donation et recyclage ». Le rapport se fait concret encore lorsqu'il s'agit de tacler des initiatives du gouvernement, comme la mise en place de la carte d'identité électronique, dont « les avantages en matière de sécurité (sur lesquels portent des doutes sérieux) ne justifient pas la constitution d'une base de données biométriques (centralisée, de surcroît) ». De même, Michel Rocard demande instamment de ne pas basculer vers le vote électronique, arguant que son principal argument, « l'augmentation de la participation électorale », « n'a jamais été démontré ». Alors que « l'opacité et la technicité du système rendent impossible son contrôle par les assesseurs et les électeurs présents dans le bureau de vote ». Surtout des principes généraux L'Europe n'est pas laissée pour compte. Ainsi, sur le chapitre consacré à la filière du jeu vidéo, qu'il faut aider plus largement, recommande le rapport, il est écrit: « Un crédit d'impôt a été voté par le Parlement français en janvier 2007 : sa mise en oeuvre est conditionnée à un accord de la Commission de Bruxelles, qui s'interroge gravement depuis plus d'un an sur le sujet. L'Europe semble sur le point de tirer contre son camp : la seule distorsion de concurrence réelle est celle qui oppose l'Europe et le reste du monde. » De même, Michel Rocard invite la candidate socialiste à se prononcer contre les brevets logiciels, et à demander de remettre à plat la directive Dadvsi. [[page]] La plupart des recommandations s'en tiennent toutefois à des principes généraux : « la France doit jouer un rôle actif dans la définition et la promotion de standards ouverts », « faire converger les leviers dont disposent les pouvoirs publics dans le domaine du logiciel », « adapter le dispositif de type Small Business Act prévu dans le pacte présidentiel aux spécificités des entreprises numériques », « encourager les logiques de type 'business angels' », « assurer la sécurité juridique des échanges sur Internet », « faire valoir nos atouts dans la concurrence mondiale », « assurer l'indépendance de la Cnil », « défendre des actions de diffusion en accès libre des contenus culturels européens »... Créer un poste de délégué interministériel aux technologies de l'information Au total, ce rapport de 73 pages « identifie cinq grands chantiers : - reprendre pied dans l'économie numérique - le numérique, une chance pour la culture - faire entrer les services publics dans le XXIe siècle - éducation : changer de logiciel - le progrès numérique pour tous, avec l'objectif de porter de 44% à 75% la part de foyers équipés d'un ordinateur et connectés à Internet ». Pour coordonner les actions à mener dans ces chantiers, le rapport recommande in fine la mise en place d'un « Conseil interministériel présidé par le Premier ministre ». Quant au pilote du programme d'action gouvernemental, Michel Rocard écrit : « l'hypothèse d'un secrétariat d'Etat aux technologies numériques a été envisagé. Par expérience, je suis plutôt réservé devant la multiplication des secrétariats d'Etat sans compétence claire, ni services, ni budget. Toutefois, je suis parvenu à la conclusion qu'un programme de cette ampleur, ancré comme il l'est dans les enjeux d'avenir, justifiait la création d'une Délégation interministérielle. » (...)

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