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(30/03/2007 18:03:42)
Une peinture contre le piratage sans fil
Puisque les clés de cryptage peuvent se casser, le meilleur moyen pour une entreprise de s'assurer que personne ne pirate son réseau sans fil est de le contenir entre ses murs. Une utopie ? Selon la société américaine EM-SEC, plus vraiment. Celle-ci vient de mettre au point une barrière électro-magnétique liquide. Se présentant sous la forme d'une peinture pour les murs et les plafonds, ce EM-SEC Coating empêche la transmission d'ondes radio, qu'il s'agisse de Wi-Fi ou du réseau GSM, au-delà de la surface où il est appliqué. Cette barrière fonctionne dans les deux sens, empêchant les ondes de s'échapper des locaux, mais aussi d'y pénétrer. En revanche, à l'intérieur du local, les réseaux sans fil fonctionnent sans problème. Cette peinture - à l'eau - est basée sur un polymère breveté et peut s'appliquer sur tous les types de matériaux : maçonnerie, papier peint, bois, métal, plastiques, etc. Développé à l'origine pour répondre à la demande de l'armée américaine, le EM-SEC est désormais en vente libre pour les sociétés privées. D'après son fabricant, une seule couche de cette peinture suffirait pour transformer un local en « forteresse électromagnétique » imprenable. Outre la sécurité informatique, cette peinture pourrait également être utilisée dans les théâtres, les hôpitaux ou tout autre endroit utilisant habituellement des brouilleurs d'ondes. Etant une protection passive, elle ne pose pas les mêmes problèmes de légalité qu'un brouillage actif. (...)
(30/03/2007 16:45:12)Un site pour tester l'éligibilité ADSL/SDSL/Fibre
Le grand public peut depuis longtemps tester gratuitement en ligne l'éligibilité d'une ligne téléphonique à l'ADSL. L'opérateur Celeste, qui revendique 10 000 utilisateurs en France et à l'étranger, propose désormais un service équivalent aux entreprises. Il s'agit cette fois de tester, sur Celeste.fr, l'éligibilité d'une ligne non seulement à l'ADSL mais aussi au SDSL et à la fibre. Le service se base sur la situation géographique du détenteur de la ligne pour déterminer son éloignement par rapport au DSLAM (pour le raccordement en ADSL et SDSL) et par rapport au réseau de fibres optiques. « On estime qu'une entreprise est éligible lorsqu'elle est à moins de 200 mètres d'un réseau de fibres optiques, explique le gérant de Celeste, Nicolas Aubé. Au-delà, le coût du raccordement est trop élevé. » Selon les politiques de subvention éventuelles de la part des collectivités locales, le coût du raccordement à la fibre peut se situer bien en dessous de 3000 euros, indique Nicolas Aubé. Donc clairement moins que ce doivent coûter les travaux de génie civil. (...)
(30/03/2007 11:11:27)Alcatel-Lucent atteint 25,6 Térabits/s sur une fibre optique
Lors de la conférence OFC/NFOEC d'Anaheim en Californie, Alcatel Lucent a annoncé que ses équipes de R&D avait atteint les 25,6 Tbit/s sur une seule fibre, en utilisant 160 canaux en multiplexage en longueur d'onde WDM. Le test a été effectué sur 3 tronçons de 80km. L'équipementier pulvérise ainsi le record du monde fixé depuis septembre 2006 à 14 Tbit/s. "Les réseaux optiques représentent un facteur clé dans la révolution du haut débit sur IP à laquelle nous assistons aujourd'hui dans le monde entier," a affirmé Romano Valussi, président des activités optiques d'Alcatel-Lucent. "L'expérience que nous acquérons lors de ces essais aidera Alcatel-Lucent à concevoir les systèmes dotés de la plus grande densité spectrale d'information et de la plus large bande passante possibles dont nos clients bénéficieront lorsque des réseaux de ce type seront déployés », conclut-t-il. (...)
(28/03/2007 17:44:50)Gmail frappé d'indisponibilité partielle pendant une journée
Gmail, le service de messagerie email de Google, aurait hoqueté durant la journée du mardi 27 mars et enregistré des problèmes de disponibilité. Selon un porte-parole de la société, l'incident a été remonté le mardi matin et est resté actif jusqu'au mardi soir. Les versions gratuites et payantes de Gmail, également intégrées dans Google Apps, sont concernées. "Un nombre d'utilisateurs Gmail ont rencontré quelques difficultés à relever et envoyer des emails et nous travaillons aussi rapidement que nous le pouvons à résoudre le problème. Quelques comptes Google Apps sont également touchés", a-t-il confirmé dans un email à nos confrères d'IDG News Service. L'incident a été une première fois communiqué sur le forum Google Apps vers 10h (heure de la côte est des Etats-Unis). Un responsable Google qui poste des messages sous le nom Google Guide a alors transmis l'information aux services concernées vers 13h10. Il publiait à 16h un message indiquant que l'incident perdurait. Les problèmes semblaient réglés vers 23h35 pour certains utilisateurs, selon un message de Google Guide. (...)
(27/03/2007 17:17:22)SFR décline son offre fixe+mobile pour les entreprises
En parallèle à l'extension de son offre Happy Zone pour les particuliers (un forfait unique pour ADSL, fixe et mobile), SFR lance une offre entreprise, Office Zone. Le principe est simple : le nombre d'appels émis par les collaborateurs, depuis les téléphones mobiles et sur les sites de l'entreprise (mono ou multi-sites) est illimité, sous certaines conditions. L'offre est un forfait d'appels illimités, vers tous les fixes et les mobiles SFR de l'entreprise 24h/24 et 7j/7, vers les fixes nationaux en semaine, de 8h à 20h et vers l'international Zone 0 en semaine de 8h à 20h (Europe des 27, Suisse, Norvège, Taiwan, Singapour, Australie, USA, Chine et Canada). Le service est facturé 30E HT par mois et par ligne. Au delà des sites de l'entreprise, SFR propose des pack allant de 50 minutes pour 6E à 800 minutes pour 72E. Ce crédit temps est mutualisé entre tous les collaborateurs. Enfin, l'opérateur inclut nativement l'option PABX Mobile à l'offre Office Zone. Elle permet de retrouver les fonctionnalités du poste fixe sur le terminal mobile : transfert d'appel, gestion des appels entrants, mise en conférence, renvoi d'appel ou encore gestion de groupes d'appels. (...)
(27/03/2007 16:42:55)Citizendium inaugure son alternative à Wikipedia
:"Le monde a besoin d'une meilleure encyclopédie gratuite". Le décor est planté. Citizendium vient officiellement de faire son apparition dans le circuit fermé des encyclopédies en ligne. Et prend bien pour cible Wikipedia, icône du secteur. Son fondateur, Larry Sanger, également un des fondateurs de Wikipedia, s'est fixé pour objectif d'améliorer la fiabilité du concept et des contenus. Et de regagner la confiance des internautes, effritée depuis quelques mois. Un premier projet pilote a été inauguré en novembre et a permis de fédérer quelque 180 experts éditeurs et quelque 800 auteurs qui travaillent sur 1 100 articles (chiffre publié le 25 mars par Citizendium). Citizendium, à l'image de Wikipedia, fonctionne sur un système de Wiki, qui autorise les internautes à écrire ou modifier les articles, avec toutefois des niveaux de validation pour la publication finale. "Le modeste succès de notre projet pilote démontre qu'il reste de l'espoir quant à corriger les formes d'abus que nombre de personne associent au Web 2.0", déclare Larry Sanger. Des demissions dans la fondation Wikimedia A l'image d'un fork (ou dérivé) dans le modèle Open Source, Citizendium doit en gros reprendre les travaux réalisés par un autre et en améliorer le code et le concept. Citizendium, de son côté, prend davantage à bras le corps l'organisation et la hiérarchisation de ses contributeurs pour ainsi mettre en avant la fiabilité de ses contenus. Et à l'inverse de Wikipedia, les contributeurs de Citizendium utiliseront leur vrai nom, explique l'organisation sur son site. La fiabilité et l'exactitude des contenus de Wikipedia avaient en effet été mises à mal, récemment, lorsqu'un des contributeurs phares de l'encyclopédie s'était fait passer pour un professeur de religion, mais n'était qu'un simple étudiant de 24 ans, ayant falsifié son identité. Ce qui avait eu pour conséquence de créer un malaise auprès de la communauté des membres. En parallèle, la semaine dernière les démissions de deux responsables de la Wikimedia Foundation, hébergeur de Wikipedia, étaient également venu noircir le tableau. D'abord le n°2 Danny Wool et ensuite Brad Patrick, directeur exécutif, qui annoncèrent sur la liste de diffusion de la fondation leur départ, sans donner véritablement de raisons officielles. (...)
(27/03/2007 15:36:41)Croissance de 32% de la fibre en Europe en 2006, selon l'Idate
L'Idate (Institut de l'Audiovisuel et des Télécommunications en Europe) a profité du séminaire qu'elle organise avec Aromates sur la FTTH (Fiber to the home) pour faire le point sur le développement de cette technologie dans 28 pays d'Europe (les 25 pays membres de l'Union en 2006 plus la Norvège, la Suisse et l'Islande). En juin 2006, l'institut a identifié 139 projets dont 66% étaient le fait de collectivités locales ou de fournisseurs d'énergie. Un état des lieux qui n'a rien de surprenant. En effet, si les premières souhaitent offrir du haut débit à leurs administrés tout en gardant la maîtrise de leur sous-sol, les secondes sont habituées aux travaux de génie civil. Ces travaux représenteraient d'ailleurs 70% des coûts d'infrastructure. Toujours à fin juin 2006, on comptait environ 820 000 abonnés FTTx en Europe, ce qui représente une croissance de 32% par rapport à mi-2005, et près de 2,74 millions de foyers et bâtiments raccordables (une autre étude réalisée par le cabinet Informa Telecoms and Media fait état, de son côté, d'un million de souscripteurs fin 2006). Près de 96 % des abonnés sont toutefois localisés dans 5 pays (Suède, Italie, Danemark, Pays-Bas et Norvège). En Suède, près de 56% des foyers étaient ainsi raccordables contre près de 38% au Danemark et un peu moins de 1 % en Italie. Chez nous, moins de 40 000 clients pouvaient alors opter pour la fibre. Certains opérateurs (Deutsche Telekom, Belgacom Eircom, KPN, TDC et Swisscom) ont choisi une infrastructure FTTN (Fiber to the node) complétée par du VDSL, ce qui permet un déploiement plus rapide et moins coûteux. La Belgique et la Suisse devraient ainsi offrir du très haut débit à respectivement 50% et 60% de leurs foyers d'ici la fin de l'année. La France, qui s'apprête à investir plus de 10 milliards € d'ici 2015 a, de son côté, privilégié la FTTB (Fiber to the building) - c'est le choix d'Erenis - ou la FTTH. Cette dernière technologie s'avère toutefois chère puisqu'elle nécessite un investissement d'environ 900 € par immeuble et de 2 000 € par souscripteur. Un opérateur qui investit cette somme aujourd'hui, peut dégager un résultat positif en 2012, à condition que chaque abonné consomme en moyenne pour 50 € de services par mois. Free, Neuf Cegetel et France Telecom ont fait ce pari. (...)
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