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(20/03/2007 13:41:33)

Pas de nouvelle bulle Internet estiment les Américains

Sept ans très exactement après l'explosion de la bulle Internet, le magazine américain Computerworld (Groupe IDG) a interrogé un certain nombre de spécialistes pour savoir si un scénario semblable pouvait se renouveler aujourd'hui. Tous sont unanimes: aucun plan catastrophe n'est à prévoir malgré la nouvelle ruée sur les start-ups déclenchée par la révolution Web 2.0. Si les experts constatent bien une certaine effervescence, ils pointent surtout des différences. Le montant des investissements est beaucoup plus faible que dans les années 90 et les entreprises, qui bénéficient de levée de fonds, ont plus qu'un « business plan Power Point », estime Andrew Mac Afee, professeur associé de l'université d'Harvard. « S'ils n'ont quelquefois pas de revenus, du moins ont-ils un produit et des clients », insiste ce dernier. Quant à Gina Bianchini, co-fondatrice et CEO de la société californienne Ning (qui développe des outils de création de sites communautaires), elle estime que le coût du passage au Web 2.0 est sans commune mesure avec les droits d'entrée d'hier. « Ce n'est pas la même chose pour une société de gaspiller éventuellement 30 $ par mois pour un nouveau produit que d'en brûler 50 millions ». David Kirsch, assistant à l'université de Maryland, conclut de son côté: « les entreprises du Web 1.0 ont assuré la survie des jeunes pousses actuelles en ayant mis en place les infrastructures utilisées par le Web 2.0 ». (...)

(20/03/2007 11:55:23)

Cebit 2007 : voix sur IP et messagerie unifiée en démonstration

Thème majeur du Cebit, qui se tient à Hanovre jusqu'au 21 mars, au côté du mode de vie numérique, le thème des communications est surtout articulé autour de la voix sur IP (VoIP). Autour d'un village intitulé IPcentral, accueillant pléthore de petits acteurs de ce marché, les grands acteurs déploient sur de grands stands leurs solutions pour la VoIP et ce qu'elle rend possible, en premier lieu la messagerie unifiée. LG-Nortel et Alcatel-Lucent, par exemple, ont sorti tous leurs téléphones VoIP et organisent des démonstrations à tour de bras. Les appels entrants étant gérés par un logiciel serveur de messagerie commun, les messages vocaux peuvent être intégrés à des emails qui seront remis aux destinataires. Plus besoin d'interroger sa boîte vocale à distance. On peut de même définir des règles de routage pour les appels et courriels entrants à l'aide de la même interface. Et éventuellement se faire lire ses emails par un système de text-to-speech (synthèse vocale). Test et supervision de la qualité de service De leur côté, Polycom ou Snom présentent tout un éventail de terminaux, dont les plus évolués proposent, outre un mini-navigateur en guise d'écran, du son haute définition (HD), un port USB « pour de futures applications » ou encore la possibilité de se connecter en mode Power-over-Ethernet (l'alimentation électrique provenant alors du réseau local). Snom présente aussi des terminaux VoIP en mode DECT. En sus des passerelles SMC Networks ou Funkwerk, on peut aussi croiser dans les halls consacrés aux communications des solutions de test, comme celle de JDSU, qui indique pouvoir analyser « les sept couches de service », ou des solutions « intelligentes » de gestion de la qualité de service, comme chez Meru Networks. En revanche, pour constater de visu l'intégration des téléphones VoIP avec les nouvelles solutions de communication de Microsoft, Office Communications Server et Office Communicator, mieux vaut se rendre sur le stand principal de Microsoft. Ces produits, encore en versions bêta, intègrent la gamme Office, Exchange Server 2007 et la voix sur IP. A condition de disposer d'une passerelle de VoIP compatible, Dialogic ou Audiocodes. L'exemple le plus évident est donné avec Outlook 2007 - pour le côté client - et Exchange - pour le côté serveur. Les fonctions de messagerie unifiée s'y retrouvent et, à terme, il sera possible de dialoguer avec le serveur Exchange pour piloter sa boîte de réception et définir ses règles de routage. Regardez notre reportage vidéo sur les solutions de VoIP et de messagerie unifiée au Cebit (...)

(20/03/2007 11:23:34)

Adobe livre une version alpha de son lecteur universel Apollo

Adobe vient de mettre à la disposition des développeurs une version alpha de son lecteur universel, connu sous le nom de code Apollo. La vocation de ce produit, qui exploite notamment les technologies Flex et Flash issues du rachat de Macromedia, est de permettre l'exécution d'applications Internet « riches » en ligne et hors connexion. Ces applications pourront tirer parti des formats d'affichage et langages de développement Flash, Flex, HTML, JavaScript et Ajax. La version alpha, proposée pour les postes sous Windows ou MacOS, s'accompagne d'un kit de développement apportant un set d'outils fonctionnant par lignes de commandes pour développer et exploiter des applications Apollo. Adobe indique qu'il est par ailleurs possible d'utiliser l'environnement de développement intégré de son choix. L'un des intérêts du moteur d'exécution Apollo, c'est de pouvoir exécuter hors ligne, sur le poste de travail, des applications réalisées avec des technologies Internet standard. Kevin Lynch, senior vice président d'Adobe, architecte logiciel en chef, précise que la version alpha permet de recourir à HTML, Flash et Ajax pour bâtir des applications, mais qu'elle ne dispose pas de toutes les fonctionnalités de la version définitive, prévue pour le second trimestre de cette année. Il ajoute que le support d'Ajax sera notamment amélioré dans le produit final. Une version bêta d'Apollo sera proposée dans l'intervalle, cet été. Apollo a déjà été utilisé par la société EffectiveUI, afin de construire, pour le compte du prestataire eBay, une application à exploiter hors ligne. Celle-ci permet d'utiliser le site d'enchères sans être connecté à Internet. Mais elle est automatiquement mise à jour dès que la connexion est rétablie. Sur le même sujet : -Pas d'Apollo pour Linux dans un premier temps -Rencontres développeur Adobe
(...)

(19/03/2007 18:03:26)

Accès Internet : 51% de plaintes supplémentaires en 2006

L'Afutt (Association française des utilisateurs des télécommunications) publie son observatoire annuel (2006) des plaintes et des insatisfactions dans le secteur des communications électroniques (fixe, mobile et internet). En 2006, l'association a reçu près de 12 000 plaintes, en hausse de 35% par rapport à 2005 et 106% par rapport à 2004. « Incontestablement, ces chiffres sont le reflet d'une certaine dégradation de la qualité de service » relève l'Afutt. Tous secteurs confondus, les litiges portent prioritairement sur la qualité de fonctionnement, la livraison, l'installation et les interruptions de services (voir tableau). Les FAI mauvais élèves Peu de surprise, la majorité des griefs porte sur les services triple play des FAI (64%), suivi de loin par les plaintes envers les opérateurs mobiles (21%) et les services fixes traditionnels (15%). Le secteur Internet est en forte hausse. Le sujet apparaît comme « préoccupant » selon l'Afutt. La téléphonie mobile quant à elle, en baisse depuis quelques années, repart à la hausse tirée par les plaintes envers les MVNO (+ 555% !). Alice, peut mieux faire Sur l'Internet et services IP associés, l'essentiel des plaintes porte sur la qualité de service (débit, qualité audio, indisponibilité du service...) et les problèmes d'installation. L'Afutt relève notamment de graves dysfonctionnements sur les procédures de dégroupage et comptabilise de nombreux « écrasements à tort ». Viennent ensuite les problèmes de résiliation, de facturation, de vente forcée et de services clients. Alice se classe première du podium des générateurs de plaintes (ratio plaintes/parc de 2,80), suivie de près par Free (1,98) et Club Internet (1,92). Orange fait figure de bon élève (0,26). Les plaintes sont diluées dans le nombre d'abonnés. Alice a dû notamment faire face à une évolution technique de son réseau et à une croissance exponentielle de son activité. Les choses devraient s'améliorer courant d'année. Polémique sur le 100% illimité de France Télécom Sur le fixe classique (réseau téléphonique commuté), les litiges portent essentiellement sur les problèmes de facturation, notamment les fraudes des kiosques micro (ou "dialers"). L'Afutt relève aussi des contestations contractuelles, dues notamment à l'offre « 100% illimité » de France Télécom, commercialisée puis subitement retirée du marché. La vente forcée, comme toujours, revient régulièrement chez les opérateurs alternatifs. Les MVNO plombent les résultats du mobile Afin de dégager des tendances globales par secteurs (fixe, mobile, internt), l'Afutt a calculé un ratio plaintes/parc qui permet de faire ressortir les mauvais élèves de chaque groupe. Sur le mobile, pas de surprise, les MVNO tous confondus arrivent en tête (18,8) suivis de très très loin par Bouygues Télécom (1,015), SFR (0,671) et Orange (0,666). Les motifs sont principalement liés aux conditions de résiliations anticipées, les litiges sur les contrats (notamment chez NRJ Mobile), les facturations non justifiées, le recouvrement et le SAV. Globalement, l'Afutt critique des pratiques commerciales trop agressives et des technologies pas toujours bien maîtrisées. (...)

(19/03/2007 14:36:48)

SaaS Summit 2007 : Microsoft reprend le refrain SaaS

Même si Microsoft n'est pas encore au centre de l'arène Saas (Software as a service) dans laquelle évoluent les éditeurs qui fournissent leurs applications en ligne et à la demande, comme un service, l'éditeur de Windows envisage cette façon de vendre ses logiciels comme un bon moyen d'augmenter son chiffre d'affaires. C'est en substance les propos tenus par l'un de ses représentants, à l'occasion du SaaS Summit 2007 qui s'est tenu à Monterey (Californie), du 14 au 16 mars. Cliff Reeves est responsable chez l'éditeur de l'équipe chargée de découvrir de nouveaux gisements de développement. Pour lui, Microsoft est bel et bien un acteur de la sphère SaaS. Entre des applications comme la plateforme Office Live, les services hébergés autour de la messagerie Exchange et le futur Dynamics CRM Live (présenté au même moment par le PDG Steve Ballmer à la conférence utilisateurs Convergence), Microsoft possède déjà un ensemble important de produits délivrés sous forme de services. « Un éventail plus significatif que la plupart des autres acteurs intervenant sur le marché SaaS, juge Cliff Reeves. C'est une source de croissance financière énorme pour nous. » Il évoque aussi une autre piste qui conduirait Microsoft à développer des versions hors-ligne pour les applications SaaS. Microsoft prévoit des partenariats pour fournir d'autres types de services applicatifs. Cliff Reeves cite des accords avec Rearden Commerce qui propose de gérer les achats de fonctionnement (procurement) en ligne, ainsi qu'avec American Express qui complète cette offre avec des outils d'analyse de données. Etre capable de transformer un essai d'utilisation en abonnement payant Pour preuve de l'intérêt des grandes fournisseurs pour les applications en ligne, alors que le SaaS Summit battait son plein, Cisco annonçait son intention de racheter, pour 3,2 milliards de dollars, la société WebEx qui délivre des services de collaboration en ligne sur le modèle SaaS. « La démarche SaaS va plus loin que la simple fourniture de logiciel à un client, estime Treb Ryan, PDG d'OpSource, organisateur du SaaS Summit et lui-même hébergeur et pourvoyeur de services pour les éditeurs souhaitant proposer leurs produits en ligne. Selon lui, un fournisseur de solutions SaaS doit penser comme une entreprise dont le modèle d'activité repose sur le Web, c'est-à-dire être sans cesse à la recherche de meilleurs modes de fonctionnement, recourir aux développements itératifs, mettre l'accent sur le marketing et la recherche de nouveaux utilisateurs. « Les meilleurs éditeurs SaaS sont ceux qui offrent le plus de facilités aux entreprises et aux utilisateurs pour accéder à leurs produits et les tester et qui, ensuite, sont capables de transformer cet essai en abonnement payant. » Le mode SaaS permet aussi aux utilisateurs de se conformer aux réglementations légales ou administratives (celles imposées par la loi Sarbanes-Oxley, par exemple). Treb Ryan pointe aussi l'intérêt du concept SaaS 2.0 qui permet aux applications SaaS d'être reliées à d'autres services sur le Web pour disposer de fonctions comme la facturation et la gestion de documents. « Cela permet aux éditeurs de logiciels en ligne de se concentrer sur les domaines qu'ils maîtrisent le mieux ». Distribution indirecte : des services à la clé Pour Ken Rudin, PDG fondateur de LucidEra, fournisseur de fonctions décisionnelles en ligne, le modèle SaaS, ou « à la demande », dépasse largement la notion d'hébergement de logiciel. L'hébergement consiste simplement à déplacer le lieu d'exploitation du logiciel, des locaux de l'entreprise à ceux de l'hébergeur. Or, fournir un logiciel « à la demande » ne se limite pas à cela. Ce type d'application se doit avant tout d'être simple dans sa mise en route, dans son utilisation et dans son mode d'achat. Quand on lui demande quels sont les logiciels qui conviennent le mieux à ce mode d'utilisation, il répond par une question : « je demanderais plutôt, quels sont les produits dont l'exploitation ne se ferait pas plus facilement sous forme de service ? ». Argument que réfute Mark Binford, responsable du développement commercial chez BMC. « Je ne partage pas l'idée selon laquelle n'importe quelle solution serait plus facile à utiliser sous forme de service. Les logiciels installés de façon classique, dans l'entreprise, vont continuer à être utilisés sous cette forme pendant très longtemps, selon moi. » BMC édite des logiciels de gestion des services et voit surtout dans le mode SaaS un moyen d'accéder au marché des PME. Sur le plan de la commercialisation des logiciels, enfin, le modèle SaaS pose quelques problèmes lorsqu'il s'agit de s'appuyer sur un réseau de distribution indirect. Les revendeurs ont l'habitude de vendre le logiciel en réalisant une marge. Or, dans un monde SaaS, il faut passer de la vente de licence classique à la fourniture d'un contrat de valeur globale. Pour s'y retrouver, les revendeurs doivent donc apporter en plus des prestations de conseil. (...)

(16/03/2007 17:20:21)

Un standard pour le CPL en 2008

L'IEEE veut standardiser le CPL. Depuis sa création en 2005, l'IEEE P1901 a élaboré près de 400 critères définissant les conditions de la transmission de données à haut débit, aussi bien sur les lignes haute tension que sur les réseaux domestiques. Il lance aujourd'hui un appel à projet afin de construire des solutions techniques basées sur ces critères Il s'agit de définir d'ici à l'année prochaine la première ébauche d'un standard d'interopérabilité des équipements. Jusqu'à aujourd'hui, deux familles de produits malheureusement incompatibles s'affrontaient, ceux de l'alliance HomePlug, qui regroupe une grande majorité d'acteurs essentiellement anglo-saxons, et le clan DS2, beaucoup plus performant, mené par l'espagnol DS2. Les deux familles font désormais partie de l'alliance P1901, qui regroupe une cinquantaine de membres. Celle-ci est présidée depuis septembre 2006 par le Français Jean-Philippe Faure, responsable de la standardisation chez ILEVO, une spin off d'Ericsson qui fait désormais partie du groupe Schneider. L'appel à projet se termine le 4 juin. (...)

(16/03/2007 17:04:58)

Cybersquatting : des parlementaires veulent légiférer

Les députés se penchent sur le cybersquatting et entendent en faire interdire la pratique. Plusieurs élus ont ainsi déposé une proposition de loi visant à pénaliser le dépôt de noms de domaines appartenant à une entreprise « afin de profiter du trafic qui se crée spontanément autour de celui-ci », explique l'exposé des motifs. Le texte prévoit de punir de 45 000 € d'amende et de deux ans d'emprisonnement « le fait de demander à l'Association française pour le nommage Internet en coopération (Afnic), l'enregistrement d'un nom de domaine de deuxième niveau » dont le choix porte atteinte à une entreprise ou une personne physique. Cette mesure ne s'appliquerait qu'aux noms de domaine déposés auprès de l'Afnic, donc en .fr. Reste que le texte n'est qu'une proposition présentée par des députés et que ces derniers ne maîtrisent pas l'ordre du jour de l'Assemblée nationale. Sans compter que certains auteurs du texte pourraient ne plus siéger lors de son examen : la prochaine session parlementaire aura lieu après les élections législatives de juin. (...)

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