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(16/03/2007 12:33:49)
Steve Ballmer tacle la stratégie de Google
Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, estime que la stratégie mise en place par Google, reposant presque exclusivement sur les revenus publicitaires de la recherche en ligne, n'est pas la bonne. Au contraire, il loue Microsoft d'avoir su se réinventer plusieurs fois tout au long de son histoire. Lors d'une conférence, donnée ce 15 mars à l'Université américaine de Standford, Steve Ballmer a expliqué qu'une entreprise réellement entreprenante se doit d'inventer quelque chose, de bâtir une activité autour de cette trouvaille et de lancer un cercle vertueux. Ce que, d'après le patron de l'éditeur de Redmond, Google n'a pas su faire, le moteur restant cantonné à la recherche et aux revenus publicitaires inhérents. A l'inverse, explique Steve Ballmer, Microsoft a commencé avec un système d'exploitation puis s'est tourné vers les serveurs, Internet et, plus récemment, l'électronique grand public avec la Xbox. Au cours d'un entretien accordé à nos confrères d'IDG News Service, le PDG de Microsoft reconnaît toutefois que l'acquisition de YouTube par Google en 2006 pourrait constituer une seconde vague d'innovations. Et d'ajouter, un brin ironique : « Bravo à eux d'essayer de commencer une seconde activité. Mais c'est une activité liée à la première, et pas une totale nouveauté ». On ne critique que ceux qu'on craint et l'homme fort de Microsoft semble oublier que Google tend à chasser sur les terres du géant du logiciel. Notamment avec le lancement, il y a quelques jours, de la suite logicielle Google Apps Edition Premium. Si Microsoft estime que cette offre ne vient pas concurrencer la suite Office - de fait, les fonctionnalités du produit Microsoft sont bien plus vastes - Google lance son offre à destination des grandes entreprises et ne se contente plus des particuliers ou des plus petites structures. Steve Ballmer a également critiqué la volonté de Google de croître trop rapidement. Alors qu'il a fallu plus de vingt ans à Microsoft pour atteindre 75 000 salariés, le pantagruélique moteur « veut doubler de taille en un an ». Un but « insensé », aux yeux du patron de Redmond, qui se modère toutefois, ajoutant : « ça ne veut pas dire qu'ils ne vont pas y arriver ». (...)
(15/03/2007 14:23:13)Les Français de plus en plus connectés
Médiamétrie vient d'annoncer les résultats de l'Année de l'Internet 2006. A cette occasion, l'institut a fait le bilan des grandes tendances de l'année passée. « Le fait marquant de 2006 est l'explosion de la création et du partage de contenus numériques audiovisuels, avec le succès des sites communautaires et des plates-formes d'échange de fichiers vidéo » a déclaré Benoit Cassaigne, directeur du département Internet de Médiamétrie. Et l'autre grande tendance de l'année est la progression de l'e-commerce. Les Français de plus en plus connectés « Plus d'un foyer sur deux possède un ordinateur » annonce Médiamétrie. « Au quatrième trimestre, ils sont 13% de plus à en posséder par rapport à l'année précédente. C'est l'augmentation la plus élevée depuis 2003 ». La France compte désormais 28,6 millions d'internautes, dont 83,8% ont choisi le haut débit pour surfer sur Internet. Enfin, les retraités ne sont pas en reste, ils contribuent même à l'augmentation de la population des internautes puisqu'ils sont 47% de plus à surfer sur le Web par rapport à 2005 ! Par ailleurs, il n'y aura bientôt plus de disparité d'âge entre les personnes connectées : « On observe également une augmentation de plus d'un quart (27%) des internautes de 35-49 ans au 4ème trimestre 2006 par rapport à 2005 ». La population des internautes ne cesse d'augmenter, et touche désormais toutes les générations ! De nouveaux usages 2006 restera aussi marquée par les nouveaux usages d'Internet. En effet, aujourd'hui, les internautes ne se contentent plus de surfer de pages en pages, ils participent activement au contenu du Web. Le Web 2.0 connaît un succès grandissant ! « En plus des sites Internet classiques, les contenus numériques prennent désormais des nouvelles formes collaboratives: podcast, flux RSS, blogs, vlogs, wiki, forums." précise Médiamétrie. 31,4% des internautes assidus sont des créateurs de contenus multimédias (« Ils diffusent leurs propres contenus audio et vidéo, possèdent leur blog ou site personnel, ou ont créé leur forum ») et 81,1% des internautes assidus sont des contributeurs (« ils votent en ligne pour des sites, donnent leur avis sur des produits ou des services, écrivent des commentaires sur des blogs, contribuent aux wikis »). Enfin, plus de 4 millions d'internautes ont créé un blog, dont 75,5% ont moins de 25 ans. La vidéo, grande gagnante de l'année Les sites communautaires et de partage (audio, vidéo) ont été les grands succès de l'année 2006 : DailyMotion annonce 18 fois plus de visiteurs en un an, YouTube en a attiré onze fois plus et MySpace neuf fois plus que l'année passée. Même Wikipédia qui était déjà une institution du Web peut s'enorgueillir d'avoir « plus que doublé son audience en 2006 ». Pour un nombre de plus en plus important d'internaute, le Net devient un support de communication de contenus audio et vidéo : « près de 11 millions d'internautes ont consulté un site vidéo ou cinéma en décembre 2006, soit une progression de 75% par rapport à décembre 2005 ». Ils sont 27% à écouter la radio sur Internet, et environ 1/3 ont consulté des vidéos sur le dernier mois. Le commerce électronique poursuit sa progression Enfin, les Français achètent de plus en plus souvent en ligne. « Au 4ème trimestre 2006, plus de 6 internautes sur 10 (61,6%) ont déjà acheté en ligne, soit 1/3 de la population française. Cela correspond à une progression de près d'1/3 (32%) du nombre d'acheteurs en un an ». Surtout, la plupart des internautes (6 internautes sur 10) se servent d'Internet pour rechercher des informations sur les produits avant d'acheter, que cet achat soit effectuer en ligne ou dans le commerce traditionnel. Médiamétrie conclut ainsi qu'Internet prend de plus en plus de place dans « la vie quotidienne, sociale, et pour les loisirs et divertissements » des Français. Qu'en sera-t-il de 2007 ? (...)
(15/03/2007 10:15:06)Iliad confirme la bonne santé de Free
En complément des chiffres publiés il y a un mois (un CA record de 950 M€), Iliad annonce un résultat net consolidé de 124 M€ pour l'année 2006. Ce chiffre est en hausse de 80% par rapport à l'année dernière. La maison mère de Free affiche également un résultat d'exploitation consolidé de 331,6 M€, en progression de 47,8%. En 2006, Iliad a recruté 683 000 nouveaux abonnés, un record jamais atteint par l'opérateur. Il détient désormais un parc de 2,278 millions d'abonnés, se positionnant, selon ce critère, comme le premier opérateur alternatif adsl. Parmi ces clients, ils sont 1 730 000 à être dégroupés, dont 1 003 400 le sont totalement. La marge brute moyenne par abonné dégroupé est quant à elle supérieure à 20 euros. Les perspectives d'Iliad à court terme sont claires : le groupe veut «dépasser les 2,8 millions d'abonnés adsl à la fin 2007 tout en continuant d'accroître la proportion d'abonnés dégroupés jusqu'à 80% au 31 décembre 2007». Concernant son projet FTTH, l'investissement s'élèvera à 150 millions d'euros cette année. Ce budget est dédié au déploiement parisien ainsi que dans quelques autres villes. Enfin, la maison mère de Free maintient son intérêt pour la quatrième licence UMTS, remettant toutefois en cause leurs conditions d'attribution. Seule ombre au tableau, la branche téléphonie traditionnelle qui poursuit son déclin. Onetel, filiale d'Iliad, a perdu 78 000 abonnés en un an, à 220 000 clients. Les revenus de ce pôle d'activité chutent de 27,3% entre 2005 et 2006, à 108 M€. Iliad se trouve à la croisée des chemins. Après 7 ans de bons et loyaux services à la tête de Free, Michaël Boukobza quittera le groupe Iliad d'ici à cet été. Une des figures nationale du haut débit s'en va la tête haute. Il souhaite se consacrer à des projets personnels... à suivre de près. Il sera remplacé par Maxime Lombardini, actuel directeur général de TF1 Production. Et l'opérateur alternatif qui a su s'imposer, derrière les grosses capitalisations que sont France Télécom et Cegetel, pourrait dans les mois qui viennent être la cible d'un rachat. Il y a un mois la Lettre de l'Expansion annonçait que le fonds d'investissements Cinven souhaitait lancer une OPA amicale, via le câblo-opérateur Numericable Noos dont il est l'actionnaire majoritaire. (...)
(14/03/2007 16:42:25)Trois frameworks PHP distingués par le guide comparatif de Smile
La SSII Smile, connue notamment pour ses réalisations de sites Web, propose en téléchargement un livre blanc sur les frameworks PHP. Ce document de 77 pages fait le point sur l'utilité de ces frameworks et indique pour chacun ses forces, ses faiblesses et ses domaines d'utilisation à privilégier. Par framework, on entend un cadre applicatif structurant, fournissant à la fois un ensemble de composants et une structure pour le développement de l'application. Recourir à un tel outil, indiquent les auteurs du livre blanc, évite de réinventer la roue, et améliore la productivité (le développeur est guidé), la qualité (le code fourni a été testé par toute une communauté) mais aussi au final les performances, puisque le code est a priori optimisé. Smile fait toutefois entrer dans son étude des bibliothèques de composants, dans la mesure où elles peuvent compléter certains frameworks (on pense à Pear, largement utilisé par les projets de frameworks) ou s'avérer utiles pour ajouter de nouvelles fonctions à des projets de développement existants pour lesquels les frameworks ne conviendraient pas - le rôle d'un framework étant justement d'être structurant, son utilisation est plus appropriée lors du démarrage d'un projet. Zend Framework et ezComponents sont ainsi recommandés pour enrichir des projets PHP. Wact et Zoop sont déconseillés Côté frameworks véritables, Smile conseille trois outils adaptés à des projets de grande envergure, « qui démontrent que le langage PHP n'est plus réservé aux petits développements ». Il s'agit de CakePHP, Prado et Symfony. Deux sont déconseillés : Wact (pas à jour, peu de fonctions proposées) et Zoop (mature, mais souffre d'un manque de fonctions). La partie guide comparatif de l'ouvrage cite encore : Seagull (mature, mais pas idéal pour des développements très spécifiques ou recourant beaucoup à Ajax), PHPonTrax (à utiliser avec des composants complémentaires, pour des projets de petite envergure), CodeIgniter (jeune, plutôt pour des projets de petite envergure), Copix (mature, mais en attente de mise à jour avec une version 3 imminente) et Jelix (un dérivé de Copix, donc meilleur, mais encore très jeune). (...)
(14/03/2007 14:52:39)Un moteur de recherche pour sonder le « Web profond »
Un moteur de recherche basé sur l'intelligence artificielle est commercialisé aux Etats-Unis. Destiné à l'origine à lutter contre le terrorisme et la criminalité, Fetch a été développé dans le courant des années 90 par des chercheurs du département Sciences de l'Information de l'Université de Californie du Sud, soutenus par l'US Air Force, le ministère de la Défense et plusieurs agences gouvernementales. Il s'agissait pour ses promoteurs de sonder le « Web profond », c'est-à-dire d'obtenir des informations stockées sur les bases de données, mais n'apparaissant pas lors d'une consultation utilisant les moteurs de recherche traditionnels tels que Google ou Yahoo. Très utilisé en situation de crise par les agences fédérales, l'usage du produit s'étend désormais aux entreprises. Une société a d'ailleurs été créée dans ce but. Ainsi, une agence de voyage utilise Fetch pour agréger des informations provenant de différentes sources (tarifs, listes d'hôtels, informations touristiques). Le produit est également employé par quelques entreprises pour leurs opérations marketing. « Une recherche portant sur les Toyota Camry ne donnera dans Google que des informations très généralistes alors que la même requête sur Fetch permettra de compiler les numéros de châssis, les couleurs et de fournir la description de tous les modèles de Camry présents sur le marché US », argumente Robert Landes, CEO de Fetch. (...)
(14/03/2007 12:31:40)Presque la totalité des entreprises françaises connectées à Internet
Selon un rapport de l'Insee, 94 % des entreprises d'au moins 10 salariés étaient connectées à Internet en 2006. La France se situe ainsi dans la moyenne européenne, seules la Suède (96%), l'Allemagne et la Belgique (95%) faisant légèrement mieux. L'ADSL est largement répandu puisque 86% des entreprises en disposent. Elles sont même 26% à bénéficier d'une liaison de 2 Mbit/s ou plus. Si l'usage principal du Web est la recherche d'information, les trois quarts des entreprises affirment l'utiliser pour leurs opérations bancaires. Elles sont presque aussi nombreuses (70%) à avoir adopté la dématérialisation des échanges et les téléprocédures. Il faut sans doute voir là le résultat de la politique gouvernementale en la matière. Enfin, deux sociétés sur trois ont à présent leur propre site Web (ce qui représente une progression de 12 points par rapport à 2003). Quant au commerce électronique, il concernerait désormais 21% des entreprises. Les achats sont cependant plus répandus que les ventes puisque 28% des entreprises les pratiquent, 26% de ces dernières déclarant traiter par Internet et 6% par EDI. Bien entendu, le recours aux TIC croît avec la taille des établissements. Ainsi 56% des entreprises de plus de 250 salariés utilisent un PGI, même si beaucoup d'entre elles n'exploitent que partiellement ces progiciels. Ces dernières disposent généralement d'un site (92%), d'un réseau local (88%) et d'un intranet (86 %). L'appartenance à un groupe constitue aussi un facteur important de développement des TIC puisque les petites entreprises de moins de 20 salariés détenues par un groupe ont un niveau d'équipement équivalent à celui des établissements indépendants de 50 à 249 salariés. Ainsi, 63% de ces filiales utilisent un réseau local. Un chiffre qui tombe à 36% lorsqu'il s'agit de petites entreprises indépendantes. (...)
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