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Middleware et serveurs d'application

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(21/02/2005 18:40:12)

WebEx revisite MediaTone

WebEx, spécialiste des solutions de visionconférence, annonce la mise à jour de sa plate-forme de conférence en ligne, MediaTone. Au programme : une API étendue, l'apparition d'une appliance, et un remodelage de l'interface utilisateur.
WebEx a ainsi doté sa plate-forme d'une API qui autorise désormais la connexion de MediaTone au back-end des entreprises (comme, notamment intégrer une messagerie instantanée dans un outil de workflow). Autre nouveauté : Extended MediaTone Exchange (EMX), un boîtier autonome auto-géré qui héberge les services MediaTone.
Côté ergonomie, l'éditeur a doté MediaTone de PowerPanels, qui permet de personnaliser l'interface. (...)

(10/02/2005 18:36:45)

Macromedia dope ColdFusion MX 7 à la mobilité

L'éditeur Macromedia annonce la disponibilité de son serveur d'application ColdFusion MX 7, nom de code Blackstone. Au menu des nouveautés, l'éditeur indique que cette mouture autorise désormais le développement d'applications Internet destiné à des téléphones mobiles, via SMS ou messageries instantanées. Et propose également un système de création de formulaire, ainsi qu'une méthode d'impression de documents dynamiques au format FlashPaper ou PDF.
Macromedia rappelle que ColdFusion fonctionne également sur les serveurs d'applications J2EE, notamment WebLogic (BEA) ou IBM WebSphere.
La version 7 est disponible en anglais en version standard à 1 299 $ HT. L'édition Entreprise coûte quant à elle 5 999 $ HT. (...)

(09/02/2005 19:27:38)

BEA prépare une suite middleware pour les opérateurs télécoms

BEA Systems vient de lancer une version de son serveur d'applications spécialement conçue pour les opérateurs télécoms. Le nouveau logiciel, baptisé WebLogic SIP Server, fournit l'ensemble des briques logicielles pour le support de SIP (session initiation protocol), le protocole montant pour les communications IP. S'appuyant sur la spécification SIP Servlets, définie par le JCP, WebLogic SIP Server a pour objectif de simplifier le déploiement de services de voix sur IP par les opérateurs.

WebLogic SIP Server est la première composante de la gamme WebLogic Communications Platform destinée aux opérateurs et que BEA a présenté en fin d'année 2004 sous le nom de code Projet Da Vinci. Un second logiciel, baptisé WebLogic Network Gatekeeper, est attendu pour le mois de juin. Son objectif est d'aider les opérateurs à traiter des problèmes de qualité de service et de facturation. Il fournit aussi une plate-forme d'intégration de services avec des fournisseurs tiers.

BEA a misé une partie de son avenir son initiative Télécom. Son succès est donc essentiel alors que BEA perd du terrain face à ses concurrents IBM et Oracle et que plusieurs de ses dirigeants de premier plan ont quitté la société, comme le CTO Scott Dietzen ou l'architecte en chef Adam Bosworth. (...)

(16/11/2005 12:54:10)

IBM travaille à une nouvelle mouture de WebSphere

IBM travaille actuellement sur une mise à jour à son serveur d'applications J2EE, WebSphere, intégrant les dernières spécifications de services Web et bâtie sur son bus d'entreprise ESB (enterprise service bus).
La prochaine mouture de WebSphere, connue sous le nom de code Pyxis, et qu'IBM pourrait finalement nommer WebSpherre 7, est attendue pour la fin de l'année 2005 ou pour le tout début 2006. Son objectif est de faciliter l'intégration d'applications et de données d'origines disparates.
En attendant le lancement de cette version, IBM devrait commercialiser avant la fin de l'année plusieurs éditions de WebSphere optimisées pour certains usages métiers. (...)

(01/02/2005 18:41:14)

Jonas premier serveur J2EE Open Source non commercial certifié J2EE

Jonas, le serveur d'applications J2EE réalisé sous l'égide du consortium ObjectWeb, vient d'obtenir sa certification J2EE, à l'instar des grands produits commerciaux du secteur, comme ceux d'IBM et de BEA. Comme le clame le consortium, Jonas devient ainsi le « premier serveur d'applications Open Source non commercial » à décrocher ce label. Une phrase qui vise à la fois JBoss, intronisé en juillet dernier, dont l'éditeur se revendique clairement d'un modèle « Open Source commercial », et Geronimo, de la fondation Apache, en cours de certification.
Alors que JBoss a dû renforcer ses capitaux pour faire face aux efforts demandés pour passer les 24 000 ou presque tests de la certification J2EE, Apache et ObjectWeb ont bénéficié de leur côté d'une bourse octroyée par le JCP, l'organisme de standardisation de Java, eu égard à leur caractère non commercial.
Pour ObjectWeb, cette certification sanctionne la capacité de l'Open Source à se confronter à un mode de développement industriel, exigeant sur la qualité, les délais, la confidentialité... Il n'est pas sûr, nous indiquait en mai dernier John Rymer, vice-président de Forrester, que ce label suffise pour ouvrir en grand à Jonas les portes des entreprises. Jonas a toutefois commencer à y percer : il compterait 30 000 téléchargements par mois, et Bull dit fournir du support à plus de 60 clients.
Jean-Pierre Laisné, président du consortium formé par Bull, l'Inria et France Telecom R&D, refuse néanmoins de parler de parts de marché, terme qui convient, selon lui, à un produit comme JBoss. Alors que « Jonas est un projet, une implémentation pur sucre du standard, dont chaque acteur fait ensuite ce qu'il veut ».
Bull et Red Hat, qui ont déjà intégré Jonas à leur offre, ne manqueront pas de leur côté d'essayer d'en faire un succès commercial : ils sont les plus gros contributeurs du projet, avec respectivement 14 et 6 développeurs sur la trentaine qui a gagné la certification. L'effort de développement et de certification de Jonas représente, indique Jean-Pierre Laisné, l'équivalent de 3 millions d'euros. (...)

(31/01/2005 18:45:13)

Sun fait évoluer son middleware Java et lance des packs verticaux moins chers

Sun Microsystems devrait annoncer mardi 1er février la disponibilité de Java Entreprise Sytem 3.0, la dernière mouture de son offre de middleware J2EE. Disponible sous Linux, Solaris, mais aussi Windows et HP-UX, la nouvelle mouture est gratuite pour les abonnés actuels du logiciel mais coûte désormais 140 $ par an et par employé pour les nouveaux clients, contre 100 $ précédemment. Elle embarque les dernières versions du serveur d'applications Java de Sun et du logiciel de "provisioning" N1, ainsi que des versions améliorées des outils de gestion d'identités maison.
Selon Sun, ces nouveautés se traduisent par des performances en hausse, mais aussi par une simplification des grands déploiements. Le système "N1 grid service provisioning" permet en effet de piloter les installations de la pile middleware de Sun depuis un point centralisé ou d'orchestrer depuis une console unique les mises-à-jour du logiciel au sein du datacenter.

Nouvelles offres verticales et solutions en grille
En parallèle de JES 3.0, Sun annonce aussi les Java System Suites, des packs verticaux limités à un besoin comme la gestion d'identités, la messagerie et le travail collaboratif ou les applications Web transactionnelles. Ces packs, qui sont en fait des sous-ensemble de JES 3.0, ont pour objectif d'abaisser le prix d'entrée du logiciel pour les entreprises qui ne nécessitent pas la totalité des fonctions de JES. Les Java System Suites sont vendues par abonnement annuel au prix de 50 $ par employé.

Séparément, Sun a formé une nouvelle division en charge de ses offres de "grid computing" et devrait présenter la nouvelle entité mardi 1er février. La division est en charge des services grid de Sun et devrait notamment profiter de l'annonce pour présenter un nouveau service de stockage en grille ainsi qu'une offre de calcul en location payable à l'usage, N1 Pay-Per-Use Grid Computing Service. (...)

(18/01/2005 19:06:42)

La productivité des systèmes logiciels confiée à un consortium mené par Thales

20 millions d'euros sur deux ans : c'est la somme que vient de budgéter la Commission européenne pour l'affecter à un projet de recherche piloté par Thales consacré à la productivité des systèmes logiciels baptisé Modelware (MODELling solution for softWARE systems). Objectif du projet : fournir un cadre rigoureux et cohérent pour améliorer les processus d'ingénierie, automatiser la production de la plupart des logiciels objets (tests, documentations, codes…). En fait, il s'agit de pouvoir concevoir des logiciels de meilleure qualité, plus complexes et plus fiables tout en réduisant les coûts et les délais de développement. Modelware s'appuie essentiellement sur une avancée scientifique et technique récente, le MDD (Model Driven Development). Cette technique a recours à des niveaux d'abstraction poussés sur le développement de modèles pour la spécification et la conception des logiciels. Les outils orientés MDD ou MDA (Model driven architecture) génèrent ensuite les applicatifs depuis le modèle en fonction de la plate-forme de déploiement visée.
Le consortium réunit dix-neuf partenaires technologiques à forte composante logicielle venant de toute l'Europe : Adaptive Limited (Royaume-Uni), AS Aprote (Estonie), Enabler Informàtica (Portugal), ESI (Espagne), France Telecom, Fraunhofer Fokus (Allemagne), IBM (Royaume-Uni et Israël), Imbus AG (Allemagne), l'Inria, Schlumberger WesternGeco (Norvège), Sintef (Norvège), Softeam (France), les Universités Polytechnique de Madrid, Pierre et Marie Curie LIP6 et de York (Royaume-Uni), Zühlke Engineering (Allemagne) et enfin Thales, chargé donc de la coordination de l'ensemble. (...)

(18/01/2005 19:04:38)

Les conséquences pas si limitées des brevets « libérés » par IBM

Le monde de l'open source considère généralement la « libération » de 500 brevets par IBM comme ayant peu d'intérêt. Or, IBM s'arroge insidieusement une place déterminante dans le développement logiciel par cette politique et les informaticiens européens sont tout à fait concernés. « Parmi les brevets en question, 10 à 20% sont étendus en Europe et donc en vigueur chez nous. Certains sont tout à fait techniques [donc valides, même sans recours au « brevet logiciel », NDLR] : ce qui concerne la gestion de mémoire, le multiprocessing, la compression de données… », affirme ainsi Pierre Breese, président du cabinet de conseil en propriété industrielle Breese, Durambure & Majerowicz.
Rappelons que les programmes ne peuvent pas être brevetés «en tant que tels» en Europe mais que, à l'heure actuelle, il est possible de breveter des éléments ayant des « effets techniques » comme la compression d'un signal, un protocole de télécommunication, etc.
Or, IBM ne renonce pas à ses brevets mais s'engage à ne pas poursuivre ceux qui les utiliseraient dans le cadre de développements open source. « De ce fait, si vous effectuez des travaux dérivés à partir des brevets d'IBM en question, vous pourrez certes breveter vos propres avancées, mais vous ne pourrez pas opposer aux tiers vos propres brevets à moins d'enfreindre les conditions fixées par IBM, qui se retrouve ainsi en position de juge arbitre d'une grande famille de développements », souligne Pierre Breese.
La politique d'IBM pourrait-elle brutalement changer ? Pierre Breese répond : « IBM n'a pas inclus de clause de prudence et ne peut donc pas a priori remettre en question ses déclarations, du moins pour durcir ses conditions. Bien que, en France, une licence portant sur un brevet nécessite un document écrit, il semble difficile pour IBM de remettre en cause ici des engagements pris dans le cadre du droit américain. » (...)

(24/12/2004 17:18:58)

Sun développe une appliance d'indexation pour les contenus d'entreprise

Sun Microsystems vient de basculer une vingtaine de chercheurs de ses laboratoires vers sa division stockage dans le but de développer une nouvelle appliance destinée à simplifier l'indexation des contenus d'entreprise.

A la base de ce futur serveur de stockage se trouve le projet HoneyComb, testé notamment avec l'Université de Californie. Né au sein des Sun Labs, HoneyComb met en oeuvre de nouvelles techniques d'indexation et de stockage afin de simplifier et d'accélérer les recherches parmi les contenus stockés sur les ressources de stockage de l'entreprise. "Il permet en fait aux utilisateurs de fiare des recherches à la Google sur leurs données d'entreprise", explique James Whitemore, le directeur du marketing stockage de Sun. Assemblées à partir de composants banalisés (serveurs Opteron, disques S-ATA haute capacité), les premiers prototypes d'appliances HoneyComb assemblés par Sun tiennent dans un rack 3U et embarques 4 noeuds serveurs à base d'Opteron chacun équipé de 4 disques durs S-ATA de 400 Go. Le logiciel HoneyComb indexe les données sur l'appliance elle-même, constituant ainsi une base de données distribuée recensant les informations stockées par l'entreprise. Selon Sun, plusieurs appliances HoneyComb peuvent être mises en réseau pour indexer jusqu'à 1 Petaoctet de données. (...)

(15/12/2004 19:36:27)

Microsoft veut pousser les utilisateurs d'iSeries à migrer vers le couple .Net/Ws 2003

Le n°1 du logiciel Microsoft envisagerait de s'allier à quelques constructeurs et intégrateurs autour d'un projet baptisé MAP (Midrange Alliance Program). Objectif de cette alliance qui compte notamment parmi ses membres Fujitsu, EDS, Asna, HCL, Geniant, Born et Covansys : imposer la plate-forme Windows Server 2003/.Net sur le marché des serveurs milieu de gamme, et surtout chez les utilisateurs des serveurs iSeries d'IBM, à base d'AS/400, OS/400, et WebSphere.
L'éditeur de Redmond met ainsi en avant l'absence d'évolution d'OS/400 (OS intégré à l'AS/400), « les développeurs ayant stopper leurs travaux ». Pour lui, il s'agit d'offrir aux utilisateurs AS/400, « un moyen de moderniser leur système ». Et de leur proposer de porter leurs applications tournant sur AS/400-OS/400, sur un environnement WS Server 2003/.Net, « sans avoir à redévelopper les applications ».
MAP devrait dans un premier temps publier un liste de livres blancs, d'études de cas depuis le site de Microsoft.
IBM, de son côté, rétorque que ses iSeries font encore des émules, notamment « pour leur fiabilité et leur sécurité ». Le constructeur vient par ailleurs de créer une co-entreprise avec le Chinois China Great Wall Computer, pour la fabrication des serveurs sur l'Asie. (...)

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