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Mobilité

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(17/09/2009 17:15:56)

La norme 802.11n est enfin ratifiée

Deux ans après la Wi-Fi Alliance, l'IEEE (Institute of Electrical and Electronical Engineers) vient enfin de ratifier la norme de communication sans fil 802.11n et d'en faire un standard utilisable par tous. Il aura fallu six ans d'efforts et une douzaine de drafts, pour que cette déclinaison du Wi-Fi soit officiellement acceptée. Celle-ci permet un débit théorique allant jusqu'à 300 Mbit/s et une portée allant jusqu'à 91 mètres à l'intérieur et 182 mètres en extérieur. En pratique, le débit oscille plutôt entre 100 et 120 Mbit/s et la portée ne dépasse pas les 80 mètres. Cette ratification ne devrait pas changer grand-chose pour les produits déjà en vente. Depuis 2007, la Wi-Fi Alliance a certifié plus de 600 appareils (routeurs, ordinateurs, téléphones, etc.) avec le standard 802.11n, sous réserve qu'ils puissent être mis à jour quand l'IEEE aurait donné son verdict. L'organisme vient d'annoncer qu'il n'y aurait pas besoin de mise à jour pour la plupart des produits déjà certifiés. Les plus anciens devraient pouvoir être mis en conformité par un simple changement de firmware. Pour l'institut ABI Research, les équipements en 802.11n représenteront jusqu'à 45 % des ventes de produits Wi-Fi en 2009, et devraient dépasser la barre des 60 % dès 2012. (...)

(15/09/2009 11:43:41)

L'équipe JRuby travaille au support d'Android

Les développeurs JRuby disposeront bientôt d'outils spécifiques pour développer des applications pour Android, le système d'exploitation de Google pour les smartphones. Charles Nutter, architecte JRuby, a indiqué hier que son équipe travaille au support d'Android. Elle devrait notamment ajouter des capacités de packaging particulières pour la plateforme mobile. Dans la mesure où Android accueille des applications Java, et où JRuby est l'implémentation du langage Ruby pour les machines virtuelles Java, la compatibilité est a priori assurée. Sauf que, explique Charles Nutter, pour l'instant le développement reste très complexe, et les applications JRuby actuelles pour Android très rudimentaires. Son but est de simplifier le développement pour voir apparaître à l'avenir des applications plus élaborées sur Android, comme un client Twitter ou un gestionnaire de contacts. Charles Nutter, qui travaillait sur JRuby au sein de Sun, a récemment quitté l'entreprise californienne, inquiet de ne pouvoir mener ses projets à bien avec l'acquisition par Oracle. (...)

(09/09/2009 13:00:12)

Le trafic Internet depuis les mobiles multiplié par 6 en un an

Cet été, les visites de sites Internet en provenance de terminaux mobiles (téléphones mobiles, smartphones, baladeurs Wi-Fi, etc.) ont été multipliées par 6 (+493%) par rapport à août 2008, selon les dernières mesures CybereStat du trafic Internet publiées par l'institut Médiamétrie. Les vacances loin de tout PC aidant, le trafic des accès mobiles a représenté en août 2009 1,3% des visites globales contre seulement 0,3% il y a un an. Dans le même temps, le trafic Internet global, quel que soit le système d'exploitation utilisé (accès PC, mobiles, consoles, etc.), a enregistré une progression de 36% par rapport à août 2008. A noter que plus de 6 visites sur 10, 63% des accès mobiles exactement, proviennent de l'iPhone ou de l'iPod Touch d'Apple. Parmi les sites les plus visités au mois d'août, on retrouve en tête Skyrock.com avec près de 161 millions de visites, devant L'Equipe.fr et 60,3 millions de connexions, et Lo.st avec 58,4 millions de visites. (...)

(09/09/2009 12:58:00)

MonExTel propose une réutilisation durable des téléphones mobiles

La jeune pousse française Recommerce Solutions incubée par l'Institut Télécom, accompagnée par la start up Tic Ethic, a mis au point le système MonExTel pour donner une deuxième vie aux mobiles (mise à jour). Il suffit à l'internaute d'enregistrer son mobile sur le site pour en connaître la valeur, pour faire bénéficier une association des fruits de cette vente et d'envoyer sans frais son téléphone vers un circuit de réutilisation qui emploie des personnes handicapées. Modèle économique durable, réduction de l'impact environnemental et accompagnement social, tous les ingrédients du green IT sont là. Et la démarche s'applique aussi bien aux entreprises qu'aux particuliers. L'internaute qui souhaite se débarrasser de son portable sans le jeter à la poubelle, ni le voir partir dans des circuits de recyclage qu'il ne maîtrise pas, commence par saisir les caractéristiques sur le site MonExTel. Un moteur de calcul établit alors la valeur de reprise de l'appareil. « Cette technologie de Real-Time Pricing, explique Benoît Varin, gérant de Tic Ethic et fondateur de MonExTel, analyse de manière automatique les transactions effectuées sur les différentes places de marché C2C comme eBay et B2B. Une approche sémantique permet d'identifier les spécificités de chaque vente et le prix d'un même modèle peut varier sensiblement en fonction d'une multitude de facteurs tels que l'état, la garantie, les accessoires fournis, le 'désimlockage' éventuel, etc. » « Favoriser le réemploi des téléphones et rendre facile le geste de renvoi du produit » Les téléphones sont vendus au prix ainsi déterminé à des boutiques d'occasion, à des associations d'insertion ou encore à des pays en développement en particulier en Afrique. Le produit de la vente est presque totalement reversé à l'association préalablement choisie par l'internaute parmi celles proposées par MonExTel. L'autre partie de la somme sert à rembourser les frais de fonctionnement et de logistique de la jeune pousse. Les associations inscrites (une dizaine actuellement) sont sélectionnées pour leurs actions environnementales, sociales, humanitaires, etc. Le propriétaire du mobile reçoit ensuite rapidement une enveloppe pré-affranchie (il peut aussi imprimer un bordereau d'affranchissement) dans laquelle il glisse le mobile sans autre frais avant de le renvoyer. Le matériel arrive alors dans un atelier de tri (recyclage ou réemploi) qui n'emploie que du personnel handicapé. Bien sur, conformément à la directive européenne sur les DEEE (déchets d'équipements électriques et électroniques), les distributeurs de produits électroniques ont l'obligation de reprendre, pour le compte des fabricants, les anciens mobiles lors d'un nouvel achat. Mais Benoît Varin rappelle que rien ne leur impose d'envoyer les produits vers un circuit de réutilisation. « Notre initiative vise justement à favoriser le réemploi de téléphones portables usagés, explique-t-il, mais aussi à rendre facile le geste de renvoi d'un produit. » Le principe (rachat de téléphone, envoi de dons aux associations, etc.) existe déjà par exemple sur le site « mobile-recyclage »mais il s'appuie généralement sur des points de collecte physiques, obligeant le propriétaire du téléphone à s'y rendre. « Au sein de Tic Ethic, nous développons cinq ou six autres projets dans les mêmes domaines de déchets électroniques, raconte Benoît Varin. Nous en étudions tous les enjeux juridiques, économiques, techniques, organisationnels et autres. » L'entreprise, créée en 2005, a développé une expertise du sujet qui lui vaut d'être consultée par l'Ademe, le Programme des Nations-Unies pour l'environnement (PNUE), et même de piloter pour l'Unesco un programme concernant le recyclage des PC. (...)

(08/09/2009 16:15:06)

Le cloud computing modifiera radicalement les applications pour mobiles, selon ABI Research

Les utilisateurs de téléphones mobiles abonnés à des applications en ligne (modèle Saas, software as a service, avec des applications hébergées dans le cloud) vont passer, dans le monde, de 42,8 millions en 2008 à 998 millions en 2012, selon le cabinet d'études américain ABI Research. Aujourd'hui, ils ne pèsent que 1,1% de l'ensemble des abonnés mobiles ; dans cinq ans, ils en représenteront presque 19%. Dans son étude « Mobile Cloud Computing », récemment publiée, ABI Research détaille les applications et les modèles qui devraient entraîner le développement de ce marché. Pour l'auteur de l'étude, Mark Beccue, ce sont les services de géolocalisation qui vont tirer la demande d'ici à 2010, notamment les solutions de navigation et de cartographie. Selon lui, 60% des abonnés mobiles à une application cloud accéderont à des fonctions de géolocalisation. Mais l'analyste voit apparaître d'autres catégories, plus originales. Il cite le fabricant de serrures Schlage dont le service LiNK permet à ses abonnés de vérifier à distance le verrouillage de leur porte d'entrée, de contrôler leur système de chauffage, leurs caméras de sécurité et leur éclairage à partir d'un PC ou de leur téléphone portable. Un marché d'applications hébergées pour mobiles de 20 Md$ en 2014 ABI Research s'attend à ce que les principaux opérateurs de PaaS -platform as a service- que sont Amazon (avec AWS), Google et Salesforce.com (avec Force.com), commercialisent leur offre de façon beaucoup plus agressive à partir de 2010. Pour Mark Beccue, le développement des services en ligne pour mobiles devrait supplanter le téléchargement d'applications. L'analyste note que l'engouement suscité par l'iPhone a favorisé l'ouverture de boutiques en ligne offrant des applications à télécharger. Mais ces logiciels requièrent souvent des terminaux dotés de solides capacités, ce qui limite le marché potentiel. Dans cette perspective, une architecture reposant sur des logiciels hébergés en cloud changera radicalement la façon dont les applications mobiles vont être développées, achetées et utilisées. ABI Research estime que l'actuel modèle pourrait être remplacé d'ici cinq ans, créant un marché que le cabinet évalue à quelque 20 Md$ d'ici à fin 2014. Pour l'instant, les développeurs d'applications mobiles doivent choisir entre différents systèmes d'exploitation, souligne Mark Beccue : « Ils écrivent pour un seul OS ou doivent créer plusieurs versions de leurs logiciels pour les diverses plateformes. En développant pour le cloud, leurs applications ne s'exécuteront plus sur le terminal mais sur le serveur et une seule version suffira. » (...)

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