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Mobilité

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(09/04/2008 09:26:59)

4e licence 3G : de la vente à l'encan à la vente à la découpe

Alors que l'annonce de la mise aux enchères de la quatrième licence 3G semblait imminente, le gouvernement pourrait s'engager dans une autre voie et choisir de ne pas voir apparaître un quatrième opérateur UMTS. Selon les informations de la Tribune, la vente à l'encan de la licence pourrait en effet céder la place à une vente à la découpe, permettant à plusieurs acteurs de prendre part au marché de la 3G aux côtés du triumvirat SFR-Orange-Bouygues. Un trio - condamné en 2005 pour entente illicite - peu désireux de voir débarquer un concurrent de poids à ses côtés. Iliad semblait pourtant proche de décrocher la quatrième licence. En février, le Conseil d'Etat rendait ainsi un avis favorable à l'attribution du sésame à Free - filiale d'Iliad. Le juge administratif prenait à contre-pied l'Arcep, qui avait refusé, en octobre 2007, de délivrer la licence au groupe de Xavier Niel en raison de sa volonté d'en étaler le paiement. Si la décision de Matignon - prise à l'Elysée, selon la Tribune - de découper la quatrième licence était confirmée, Iliad pourrait tirer un trait sur ses ambitions de devenir un géant sur le marché de la mobilité. Et il en irait de même pour l'ensemble des opérateurs, placés de fait dans l'impossibilité de faire de l'ombre au trio SFR-Orange-Bouygues. Une situation néfaste pour les consommateurs, selon l'association UFC-Que Choisir qui, dans un communiqué s'emporte contre ce qu'elle qualifie de « très mauvaise nouvelle pour la concurrence ». Le rapport Attali, remis en janvier au Président de la République, préconisait, quant à lui, l'attribution en un seul lot de la licence. Pourtant, une décision de l'exécutif aboutissant à une vente à la découpe aurait des partisans. A commencer par les trois géants qui, en plus d'être à l'abri de l'irruption d'un solide concurrent, pourraient également se porter candidats pour les lots mis en vente après la division du spectre encore disponible. Même Free n'est pas attristé par l'éventualité d'une vente par lots. Le groupe estime ainsi pouvoir composer avec seulement une partie des fréquences : « nous n'avons pas l'obsession de construire un réseau », a même affirmé Maxime Lombardini, le DG d'Iliad, à l'AFP. (...)

(07/04/2008 09:55:03)

RIM a vendu 4,4 millions de terminaux sur le trimestre

Research in Motion (RIM) a annoncé hier avoir vendu 4,4 millions de terminaux Blackberry sur son quatrième trimestre fiscal (échu au 1er mars 2008) et 14 millions d'exemplaires sur l'ensemble de son exercice 2008. En complément, le fournisseur a enregistré 2,18 millions d'abonnements à son service de messagerie, ce qui porte à 14 millions le nombre total de ses abonnés dans le monde. L'iPhone n'est donc pas parvenu à faire de l'ombre au Blackberry. D'après le cabinet d'études Canalys, RIM a décroché 41% des parts de marché des smartphones [sur le marché américain au quatrième trimestre 2007], devant l'iPhone (28%) [au niveau mondial, Nokia dominait toujours avec 52,9%, suivi de RIM avec 11,4% et d'Apple avec 6,5%]. Le Blackberry, initialement destiné aux entreprises, a réalisé avec succès son virage vers le grand public, amorcé il y a plus d'un an et demi, avec la sortie de Pearl, lancé en septembre 2006. La société canadienne a publié des résultats supérieurs à ses prévisions. Le chiffre d'affaires du quatrième s'est élevé à 1,88 Md$ et le bénéfice net à 412,5 M$. Sur l'année, le chiffre d'affaires a doublé, à 6 Md$, de même que le bénéfice net à 1,29 Md$. « Nous n'avons observé aucun ralentissement de notre activité », a déclaré Jim Balsillie, co-PDG de RIM, et ce malgré le climat incertain engendré par la crise des subprimes aux Etats-Unis. (...)

(02/04/2008 09:36:05)

Les PC à bas coût offrent un sursis à Windows XP

30 juin 2008. C'est à cette date que le marché de l'IT devait théoriquement faire ses adieux à Windows XP, Microsoft ayant prévu d'en cesser la commercialisation par son réseau de distributeurs. L'éditeur, qui ne jure que par Vista, avait tout juste consenti à prolonger jusqu'au 31 janvier 2009 la possibilité laissée aux OEM de vendre les derniers exemplaires de l'OS. Les consommateurs avaient beau jeu de protester et de clamer leur attachement à l'antique XP - la pétition lancée par nos confrères d'Infoworld réunit plus de 110 000 signatures - Microsoft n'en démordait pas : XP, c'est terminé. Les PC à bas coût chamboulent tout Sauf que l'engouement exceptionnel pour les PC à bas coût vient chambouler la donne. Selon IDG News Service, l'éditeur prévoit en effet d'accorder un sursis à Windows XP, une décision qui pourrait être annoncée à l'occasion de l'Intel Developer Forum, cette semaine à Shangai. La manifestation fera la part belle aux PC bon marchés afin, notamment, de promouvoir Atom, les processeurs pour plateformes ultra-mobiles du fondeur. Le succès des Eee PC et autres Cloudbook est celui de machines aux performances insuffisantes pour Vista, qu'il s'agisse des capacités de stockage - souvent limitées à quelques Go - ou de mémoire vive. [[page]]Quand bien même, les PC à bas coût seraient aptes à supporter Vista, le prix de l'OS constituerait un autre frein à sa diffusion sur ce créneau. Il augmenterait en effet sensiblement la facture présentée aux acquéreurs de machines censées être peu dispendieuses. Même Vista Starter, version développée pour les marchés émergents, ne pourrait convenir aux PC bon marché, son installation nécessitant près de 15 Go d'espace libre. Ne pas cannibaliser Vista Par conséquent, les constructeurs n'ont d'autre choix que d'équiper leurs machines d'une distribution Linux ou, comme Asus avec son nouvel Eee PC, de Windows XP. Il apparaît alors évident que Microsoft n'a aucun intérêt à abandonner définitivement ce dernier, ce qui reviendrait à tirer un trait sur le juteux marché des OS pour PC à bas coût. Windows XP Starter Edition sera ainsi en vente jusqu'au 30 juin 2010. Mais si l'éditeur prolonge la vie de XP, il n'entend pas cesser ses efforts pour faire adopter Vista : les ventes du premier ne doivent donc pas cannibaliser celles du second. En d'autres termes, si l'on excepte les versions préinstallées sur les PC à bas couts, certaines licences dans les pays émergeants, et les dérogations accordées à certains OEM... on ne devrait plus trouver XP à la vente après le 30 juin prochain. (...)

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