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Mobilité

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(31/05/2005 18:00:53)

Régulation du marché des mobiles : l'Arcep devra revoir son projet

L'Arcep, ex-ART, a retiré son projet de décision visant à imposer aux opérateurs mobiles l'obligation de faire droit aux demandes raisonnables d'accès des MVNO.

Le 14 avril 2005, l'Arcep notifiait à la Commission européenne son projet de décision fondé sur une analyse du marché des mobiles présentant une «situation d'influence significative conjointe» – comprendre entente tacite – des trois principaux opérateurs, Orange, SFR et Bouygues Télécom, au détriment des opérateurs alternatifs.

Or, face aux doutes exprimés par les experts de la Commission à propos de l'analyse de l'Autorité, celle-ci a décidé de retirer son projet. Selon les services européens, même si le marché de détail «est caractérisé par une faible pression concurrentielle», le constat de l'Arcep est erroné : avec l'arrivée de plusieurs MVNO, la domination des opérateurs historiques serait délicate à prouver. L'ex-ART devra donc revoir sa copie et la fonder sur une analyse du marché prenant en compte les changements survenus au cours des derniers mois.

Un nouveau projet de décision sera remis à la Commission au plus tard fin 2006. D'ici là, le gendarme des télécoms va placer le marché des mobiles sous surveillance et fournir à l'instance européenne un état des lieux trimestriels des marchés de gros et de détail. (...)

(30/05/2005 18:12:10)

Les ventes de mobiles devraient progresser de 13% en 2005

Les ventes mondiales de téléphones portables devraient atteindre 750 millions d'unités en 2005 selon le cabinet Gartner, ce qui représenterait une progression de 13% par rapport à l'année précédente.

Gartner, qui tablait jusqu'alors sur 720 millions de combinés vendus en 2005, a revu son estimation à la hausse après les résultats records du premier trimestre. Il s'est en effet écoulé 180,5 millions de combinés au cours des trois premiers mois de l'année, soit une augmentation de 17% par rapport à la même période de 2004. Le marché des mobiles a profité d'un large mouvement de renouvellement des appareils en Europe de l'Ouest et en Amérique du Nord, ainsi que de solides effets saisonniers en Asie, notamment pendant le nouvel an chinois.

Le Finlandais Nokia conserve et améliore son premier rang mondial. Ses résultats mitigés en Amérique ont été compensés par une bonne tenue des ventes dans la zone Asie-Pacifique, spécialement en Chine, où 5,6 millions de portables ont trouvé acquéreur au cours du trimestre. Nokia voit sa part de marché progresser de 2,2 points, à 30,4%. Motorola, avec 16,8% du marché, reste deuxième, devant Samsumg et ses 13,3%. Principal perdant du trimestre, l'Allemand Siemens recule de 8 à 5,5% du marché : il pâtit en effet de l'incertitude qui plane sur son avenir et signe l'un des plus mauvais trimestres de son histoire. (...)

(26/05/2005 18:11:33)

Bouygues Télécom inaugure son offre Edge pour les entreprises

L'opérateur de téléphonie mobile Bouygues Télécom vient à son tour de lancer son offre Edge pour entreprises, sa version du haut débit mobile. Les offres grand public devraient, quant à elles, suivre en octobre.
En terme de haut débit mobile, rappelons qu'Orange a devancé Bouygues en lançant dès avril sa propre offre Edge, espérant compléter ainsi son offre (et la couverture) UMTS, lancée en novembre. SFR, de son côté, a lancé son offre UMTS en novembre, faisant l'impasse sur Edge. Ne restait donc plus que Bouygues, qui, de son côté, préfère écarter l'UMTS de première génération au profit d'Edge, pour rebondir, courant 2007, vers la 3G de deuxième génération, le HSDPA. «Edge et HSDPA sont deux technologies complémentaires», explique Bouygues.

Au total, plus de 230 M¤ entre 2004 et 2005 ont été investis, en collaboration avec Nortel, Alcatel, Nokia, Ericsson et Sierra Wireless, pour moderniser le réseau, explique Gilles Pélisson, PDG de l'opérateur. Un travail de longue haleine, précise-t-il, qui aura vu, en douze mois, l'installation de vingt-sept mille cartes Edge. Au final, l'opérateur se targue de couvrir près de 85% de la population française. Et de pointer alors du doigt l'UMTS et sa couverture «aléatoire», limitée au grandes villes.
Rappelons au passage que le réseau Edge repose sur le réseau GPRS classique. Et peut atteindre un débit de 200 Kbit/s, contre 384 Kbit/s pour l'UMTS (débits théoriques). Il reste également moins coûteux à déployer qu'un réseau UMTS.

Une offre illimitée à 79¤ par mois
Côté offre, Bouygues inaugure un forfait Edge illimité, tant en volume de donnée qu'en durée, pour 79¤ par mois. S'échelonnent ensuite des forfaits mensuels, de 5¤ pour 5 Mo, 15¤ pour 20 Mo et enfin 25¤ pour 50 Mo. «Selon l'usage et les besoins.»
Pour l'heure, Bouygues dispose de cinq terminaux mobiles supportant Edge : les Nokia 6230, 6230i, 6020 et 5140 et, enfin, le Motorola V635. Enrichi par le Smartphone Nokia 9300 et par l'iPAQ hw6515 de HP (lancement dans le courant de l'été).
Les utilisateurs de PC portables pourront, quant à eux, se connecter au réseau Edge de l'opérateur via une carte quadribande compatible Edge et GPRS, Digital Haut Débit, de Sierra Wireless. (...)

(26/05/2005 18:07:19)

Bruxelles pourrait retoquer l'analyse du marché mobile de l'ART

Si l'on en croit un article de notre confrère Les Echos, la Commission européenne s'interroge sur la légitimité des mesures proposées par l'Autorité de régulation des télécoms (ART) pour faciliter l'accès au marché de la téléphonie mobile aux opérateurs virtuels (MVNO). Bruxelles doute de la capacité de l'ART de faire la preuve juridique que les trois opérateurs oligopolistiques, Orange, SFR et Bouygues Télécom, sont en situation de position dominante collective. Or, c'est justement sur cette analyse que s'appuie l'ART pour exiger des opérateurs mobiles qu'ils acceptent toute demande raisonnable de la part des candidats MVNO.

Bruxelles a jusqu'au mardi 31 mai pour opposer son veto à la proposition de l'ART ou pour lancer une enquête approfondie. Un choix qui pourrait être perçu comme un camouflet pour l'ART et le gouvernement et une victoire pour le lobby des opérateurs. La Commission peut aussi donner son feu vert à l'ART mais l'assortir de commentaires. (...)

(25/05/2005 18:05:28)

PalmSource perd son PDG

David Nagel vient de démissionner de son poste de président directeur général de PalmSource, sans communiquer les raisons de son départ. David Nagel est arrivé au conseil d'administration de Palm en septembre 2001 avant d'être nommé PDG de la filiale dédiée au développement de Palm OS en janvier 2002, lorsque Palm a décidé de séparer ses activités «logiciel» et «matériel». Cette scission devait encourager d'autres entreprises à prendre des licences pour PalmOS. En juin 2002, l'activité «matériel» a été rebaptisée PalmOne, tandis que le développement logiciel a été confié à PalmSource. Seuls Sony et Handspring ont cherché à dynamiser le marché des PDA en produisant des ordinateurs de poche sous Palm OS. Sony a abandonné l'an dernier, et Handspring a été racheté par PalmOne.
Récemment, PalmOne a pris le virage de Linux en achetant l'éditeur China MobileSoft, qui développe une distribution Linux pour téléphone mobile. La prochaine version de PalmOS, surnommée Cobalt, doit s'appuyer sur Linux et utiliser une couche d'émulation pour faire fonctionner les anciennes applications.
Patrick McVeigh, vice-président de PalmSource depuis février dernier, assure le remplacement de David Nagel à titre intérimaire.
Jusqu'à aujourd'hui, PalmOne et PalmSource se partageaient les droits sur la marque Palm. PalmOne vient de racheter les droits sur la marque Palm de PalmSource pour 30 M$ et prévoit de se rebaptiser Palm d'ici trois mois. (...)

(20/05/2005 17:26:17)

Internet : paiement en ligne sécurisé, mais arnaques multipliées

Selon l'observatoire de la cyberconsommation mis en place par le Forum des droits sur l'Internet, payer ses achats sur Internet par carte bancaire semble sûr. Ainsi, l'observatoire indique que «grâce aux nombreuses technologies et outils développés par le secteur bancaire et des prestataires, la France a réussi à faire diminuer fortement le niveau de la fraude bancaire à l'occasion de transactions réalisées en ligne», de 40% en volume et 57% en valeur depuis 2002. Toujours selon l'observatoire, le détournement du numéro de carte bancaire lors d'un achat en ligne relève du «mythe». Néanmoins, l'observatoire constate le développement de nouvelles techniques d'arnaque et souligne la nécessité de «développer la sensibilisation des internautes en matière de phishing [et] de réaliser des actions d'information du particulier sur la vulnérabilité de son ordinateur», faisant référence aux logiciels espions et autres numéroteurs, ces derniers représentant 24% des fraudes recensées par l'observatoire en 2004, contre 7% pour le phishing.
Pour autant, les organismes bancaires ne sont pas exempts de reproches. L'Association française des usagers des banques dénonce ainsi leur manque de réactivité dans le contrôle des chèques, source d'un nouveau type de fraude qui aurait généré deux cent cinquante plaintes et pourrait toucher trente mille personnes, selon l'association. (...)

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