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Open Source

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(03/03/2005 18:19:24)

L'OSC aide les entreprises européennes à s'ouvrir à l'Open Source

L' OSC (Open Source Consortium) débute en Grande-Bretagne un service d'aide pour les entreprises à la recherche d'information sur l'Open Source. L'objectif est de fournir aux sociétés une « première porte d'entrée » au monde du libre. Cela se traduira d'abord par une prise de contact sur le site Internet du consortium, puis via une numéro téléphonique de type help-line (disponible dès la fin mars). Les entreprises pourront récolter ainsi des informations sur la législation (un aubaine en pleine tourmente autour des brevets de logiciels), sur le support technique, ainsi que sur les formations.
Pour Mark Taylor, directeur exécutif de l'OSC, le service devrait intéresser les administrations (généralement très attirées par le modèle Open Source), ainsi que les PME.
Si le projet est un succès, indique-t-il, l'OSC devrait l'étendre sur la France et l'Allemagne. (...)

(02/03/2005 18:30:15)

Brevets logiciels : La Commission ne relancera pas la directive

La Commission européenne a décidé de ne pas relancer le processus légal d'adoption de la directive sur les brevets logiciels. Balayant ainsi d'un revers de la main, la demande unanime du Parlement de refondre complètement la très controversée directive.
José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, s'est exprimé dans une lettre adressée au Président du Parlement européen : « La Commission n'a pas l'intention de reformuler une proposition de directive au Parlement ainsi qu'au Conseil de ministres.» Et d'ajouter : « la Commission attend du Conseil une formalisation de la proposition de mai 2004, aussitôt que possible, afin de poursuivre le processus d'adoption. »
Le Luxembourg, qui préside actuellement l'Union européenne, a déclaré par ailleurs qu'il essaierait de passer la directive à l'ordre du jour du Conseil de compétitivité, le 7 mars. (...)

(01/03/2005 18:48:36)

Open Source : Stallman veut un Bios libre

A l'occasion d'un discours donné à Bruxelles, Richard Stallman, président de la Free Software Fondation, a lancé un appel aux développeurs Open Source, ainsi qu'à la communauté du libre : militer pour le développement d'un Bios libre, livré en standard dans les PC. Selon lui, le Bios constitue un composant « dont les mécanismes restent secrètement détenus par les constructeurs, ou quelques éditeurs spécialisés, peu enclins à dévoiler leur technologie ». Notamment au niveau des mises à jour, toujours livrées sous forme d'exécutable, dont le code reste « caché ». Son objectif : donner le contrôle du Bios aux utilisateurs, et surtout en faire un standard.
Stallman rappelle par ailleurs l'existence du projet LinuxBIOS (développé depuis 1999). Et d'encourager ouvertement l'utilisation de produits qui le supportent.
De façon plus militante, il s'élève contre Intel, incitant la communauté à acheter du matériel AMD qui supporte, quant à lui, le projet d'un Bios Open Source. Dernière recommandation : écrire aux constructeurs, les exhortant à soutenir la campagne, et à ouvrir leurs spécifications. (...)

(01/03/2005 18:41:39)

Développement: JBoss mise sur ses clients et partenaires

Les 1er et 2 mars, l'éditeur Open Source JBoss a organisé sa première conférence utilisateurs à Atlanta. Pour la société de Marc Fleury, cet événement fut l'occasion de rappeler que sa définition de l'Open Source est compatible avec la constitution d'une communauté rassemblant clients et partenaires. En lançant la Fédération Open Source JBoss, l'éditeur veut rassembler des projets capables de s'intégrer de manière fiable avec sa plate-forme JBoss Enterprise Middleware System (JEMS) construite autour de son serveur d'applications J2EE. Les projets fédérés partageront leurs informations à travers une infrastructure de développement collaboratif. L'accès aux services commerciaux et au support de JBoss est également prévu. Quatre partenaires ont déjà rejoint la fédération : Funambol, qui met en oeuvre le protocole de synchronisation à distance SyncML, les outils de reporting JasperReports, la solution de gestion de contenus XWiki et enfin une console d'administration pour les serveurs JBoss conçue par Unisys. En fédérant plusieurs projets autour du socle JEMS, JBoss s'inspire des grandes communautés Open Source comme Eclipse ou Apache, et élargit la diversité des briques technologiques fonctionnant sur sa plate-forme.
Les clients ne sont pas oubliés. Avec JBoss Network, l'éditeur met à leur disposition une plate-forme de support unifiée, qui réunit une base de connaissance, des fonctions de distribution des mises à jour et correctifs, et enfin un outil gérant le déploiement des grappes de serveurs. L'accès à certaines fonctions sera plus ou moins limité en fonction des contrats de support. (...)

(01/03/2005 19:09:39)

Freescale signe avec le gouvernement chinois pour la promotion de Linux sur PowerPC

FreeScale, l'ex-division semi-conducteurs de Motorola, et le ministère de l'Information et de l'Industrie chinois viennent de signer un accord pour encourager le développement de Linux sur la plate-forme PowerPC. Le CSIP (China Software and Integrated Circuit Promotion Center) va établir un laboratoire commun avec Freescale pour améliorer la stabilité et la compatibilité de Linux sur les plates-formes PowerPC mais aussi pour porter des applications chinoises sur la plate-forme processeur de Freescale, tant dans le domaine de l'informatique embarquée que des plates-formes bureautiques.
La plate-forme PowerPC est traditionnellement associée à l'univers Macintosh mais elle est aussi très largement déployée dans le domaine des télécommunications et de l'informatique embarquée, deux secteurs qui font un usage de plus en plus intensif de Linux. L'intérêt de Freescale pour Linux rappelle aussi celui de l'autre pilier de la plate-forme PowerPC, IBM, qui depuis plusieurs mois a intensifié ses efforts pour démocratiser l'utilisation de Linux sur ses serveurs Power et PowerPC.
L'un des points intéressants à noter dans le cas de Freescale est l'accent porté sur le rapport performance/consommation de ses puces. Du fait de son savoir-faire en matière de processeurs embarqués, Freescale veille à maintenir la consommation plafond de ses puces PowerPC sous la barre des 15 W, soit à un niveau bien inférieur à celui des processeurs x86 de classe équivalente. Le dernier-né de la famille e600 chez Freescale propose ainsi un coeur PowerPC de classe G4 cadencé à 1,5 GHz, un bus système à 1 GHz et embarque un contrôleur PCI Express ainsi qu'un contrôleur mémoire DDR2. D'ici le début 2006, il devrait être remplacé par une puce 32/64 bit et bicoeur (gamme e700) dans la même enveloppe de consommation et à une fréquence d'horloge de l'ordre de 2 GHz. De quoi répondre à la plupart des besoins informatique modernes, mais aussi de quoi fournir une alternative crédible au PowerPC 970 d'IBM pour les prochaines générations de portables de la firme à la pomme, ou pour de futurs PC chinois sous Linux à base de PowerPC... (...)

(28/02/2005 18:45:18)

Interview : Montavista le champion du Linux embarqué

A l'occasion du récent 3GSM World Congress, "Le Monde Informatique" a récemment pu rencontrer James Ready, le CEO et fondateur de Montavista, et Kelly Herrel (ex-Cobalt) , le directeur de la stratégie de l'éditeur. L'occasion de faire le point sur l'un des distributeurs Linux les plus discrets mais aussi parmi les plus appréciés par les équipementiers et constructeurs d'équipements embarqués.

Montavista est fréquemment cité par les grands équipementiers télécoms qui utilisent Linux dans leurs équipements opérateurs. D'où vient votre succès sur ce marché ?
K.H. : Nous sommes le leader mais comme dans tout marché porteur nous avons des concurrents. Notre premier produit carrier grade n'a pas eu de concurrents pendant deux ans. Cela nous a permis d'acquérir de l'expérience. Notre produit originel n'a rien a voir avec notre produit actuel. Un de nos clients Linux a ainsi mis le logiciel en test intensif pendant 6 mois, puis l'a retesté 6 mois avec ses applications. A l'arrivée nous avons un produit à l'épreuve du feu comme celui que nous proposons à Alcatel. C'est un marché énorme. Et nous en connaissons bien les exigences...

D'où proviennent aujourd'hui les revenus de Montavista
K.H. : Comme la plupart des fournisseurs dans l'embarqué, nous avons deux modèles. Le premier est un modèle développeur. Nous avons aussi un modèle de facturation par unité. Un dollar par unité est la seule chose que nous demandons.

C'est plus cher que Microsoft ?
J.R. : Je ne suis pas sûr que Microsoft puisse durablement facturer sous le prix de Linux. D'ailleurs nos prix peuvent être bien inférieurs à un dollar, fonction du volume. De plus il y a bien d'autres paramètres à considérer que le prix, notamment en termes d'indépendance, de fonctionnalité et de sécurité. Par exemple avec Symbian, votre fournisseur d'OS est aussi votre concurrent. Dans le cas de Microsoft, rien ne différencie un téléphone Windows d'un autre. L'interface doit se conformer à une spécification.

K.H. : Avec Linux, les constructeurs sont libres de personnaliser l'interface. C'est ce qui explique qu'un constructeur de terminaux comme Motorola est autant intéressé par Linux.

Un jeu dans l'industrie est de fournir des plates-formes complètes. Qu'en est-il de Montavista.
K.H. : C'est un des objectifs de l'initiative Mobilinux, de développer un écosystème complet pour raccourcir le temps de développement d'un téléphone (NDLR : Mobilinux réunit ARM, Intel, Motorola, NEC, NTT DoCoMo, OpenWave, Panasonic, TI, TTPCom, PalmSource et RealNetworks). Traditionnellement, l'une des difficultés pour construire un téléphone était de personnaliser les OS embarqués dans les terminaux. Avec Mobilinux, cette limitation disparaît, puisque les constructeurs pourront puiser dans un large portefeuille de composants applicatifs, telles que les machines virtuelles Java, navigateurs Web, PIM... Linux est donc libérateur pour les fabricants de terminaux.... Pour les opérateurs, la perspective d'utiliser Linux comme plate-forme pour uniformiser leur service est également extrêmement tentante.

Les opérateurs semblent avoir choisi Java comme plate-forme favorite pour la distribution d'applications, jeux... Imaginez-vous Linux concurrencer un jour Java pour cet objet?
J.R. : L'un des problèmes avec Java sur les téléphones est que l'on n'est jamais assuré que l'application fonctionnera sur tous les terminaux. Avec Linux, on peut assurer la portabilité des applications d'une plate-forme à l'autre, PowerPC, ARM MIPS. Pour nous toutes les plates-formes sont identiques.

Ce qui veut dire à terme un packaging "Fat binary" afin de distribuer des applications capables de fonctionner sur toutes les plates-formes ?
K.H. : C'est une des possibilités. Les opérateurs souhaitent opérer une "delabélisation" de leur catalogue. Linux est le "délabelizer" pour les opérateurs.

Lorsque l'on discute avec Symbian ou Microsoft, ces éditeurs visent à effectuer le minimum d'optimisation et conservent une approche assez générique
J.R. : C'est un des avantages de Linux. Avec Intel, nous avons par exemple passé des mois à optimiser le noyau et des librairies spécifiques pour l'architecture Xscale. Lorsque l'on travaille avec les gens des semi-conducteurs, ils nous poussent au maximum à optimiser pour leurs architectures par exemple en termes de multimédia, de gestion de l'énergie. Dans le cas d'Intel, ils nous ont stressés jusqu'au bout (NDLR : Intel est avec NTT DoCoMo l'un des investisseurs dans Montavista)...

De quoi apprendre la paranoïa ?
J.R. : Oui en fait j'ai eu l'occasion de dîner avec Andy Grove. On peut donc dire que j'ai appris d'un maître...

Qu'en est-il de Linux et du temps réel ? Habituellement il y a deux OS sur les terminaux et on parle aujourd'hui de design monochip avec un seul OS.
K.H.: c'est un enjeu de réduction de coût. Un seul processeur et un seul OS permet de réduire la facture de composant d'un terminal.
J.R. : On me disait, c'est impossible avec Linux. L'an passé j'avais un déjeuner avec des responsables de l'industrie des semi-conducteurs et ils me disaient : Jim, il faut absolument résoudre les problèmes de temps réel et de Linux. Nous avons dit OK, on le fera. Nous avons des experts des systèmes temps réel au sein de Montavista et nous avons commencé à travailler il y a plus de trois ans sur le sujet. Nous savions que c'était possible.

Un an après, ce problème est réglé. Linux peut être l'OS unique gérant la partie radio et les applications sur un téléphone. Un de nos partenaires fera d'ailleurs une annonce en ce sens au second trimestre. (...)

(28/02/2005 18:31:17)

BEA va intégrer WebLogic Workshop au framework Eclipse

BEA Systems va baser la prochaine mouture de son atelier de développement Java WebLogic Workshop sur la plate-forme d'outils Open Source Eclipse. L'éditeur a confirmé ce virage lors de son ralliement à la fondation Eclipse la semaine dernière.
La prochaine mouture de son atelier de développement, connue sous le nom de code Daybreak et attendue pour l'automne, s'intégrera au framework Eclipse. BEA de son côté devient coresponsable du projet "Eclipse Web Tools Platform".
De son côté, Borland a annoncé un renforcement de sa participation dans Eclipse. L'éditeur a vu son rang élevé au statut de "strategic developer" et va chapeauter un projet destiné à renforcer les capacités de modélisation de l'arsenal technologique d'Eclipse. Le projet s'appuiera sur le standard Unified Modeling Language (UML) 2.0. (...)

(25/02/2005 18:45:44)

Mandrakesoft acquiert Conectiva

L'éditeur français de distributions Linux Mandrakesoft va procéder à l'acquisition de son homologue brésilien Conectiva. Dans un communiqué, François Bancilhon, directeur général de Mandrakesoft, explique que "l'addition des deux entreprises permet d'étendre notre portefeuille d'offres et de servir plus d'entreprises, en combinant nos atouts commerciaux et R&D". Pour Jaques Rosenzvaig, PDG de Conectiva, "cette fusion [...] nous renforce en créant de la valeur commerciale et technologique". Derrière cette annonce, apparaît en filigrane la volonté des deux anciens partenaires de raviver des projets moribonds d'un Linux unifié. Ainsi, Mandrakesoft et Conectiva rappellent dans leur communiqué leur appartenance au Linux Core Consortium, initiateur du développement d'une implémentation commune de la Linux Standard Base. Et de souligner que leurs prochains produits pour les entreprises s'appuieront sur les travaux du Linux Core Consortium.
Les promesses du Linux Core Consortium, fondé en novembre dernier, ont un vague air de déjà-vu : elles rappellent celles de UnitedLinux. Cette association, lancée en mai 2002 par Conectiva et TurboLinux ainsi que SuSE et Caldera (devenu SCO depuis), a implosé fin janvier 2004 sous l'effet de la croisade anti-Linux de SCO.
Selon les termes de l'accord, Mandrakesoft va acquérir l'intégralité des parts de Conectiva pour un montant de 1,79 M¤ en actions. (...)

(23/02/2005 18:44:00)

Open Source : levée de bouclier contre la politique de brevet de l'Oasis

Les principaux leaders de l'Open Source et du logiciel libre, notamment Red Hat et Apache, accompagnés de Richard Stallman - fondateur de la Free Software Fondation - et d'Eric Raymond, ont appelé au boycott de la nouvelle politique de brevet d'Oasis. Dans une lettre de contestation, les gouroux du logiciel libre demandent de ne pas implémenter les standards brevetés (non-ouverts), et surtout pressent l'Oasis à revoir sa copie. Leur motivation : rejeter la « licence » Rand (*) qui selon eux, discrimine les logiciels Open Source et libres, et surtout menace les standards ouverts - et donc l'interopérabilité des applications.
Selon eux, « accepter de breveter des standards reviendrait à adopter des spécifications qui ne peuvent pas être implémentées dans des logiciels Open Source et libres, qui, eux-mêmes, ne peuvent pas être distribués selon les termes des licences Open Source ».
La lettre est hébergée sur le site www.growlaw.net.

(*) La nouvelle réforme de l'Oasis classe les spécifications selon trois types de fonctionnement : Rand (Reasonable And Non Discriminatory), RF on Rand terms, et RF (Royalty-Free) on Limited Terms. (...)

(23/02/2005 18:55:36)

Novell affiche des résultats en hausse de 8,5 %

Les résultats de Novell pour le premier trimestre fiscal 2005 (clos le 31 janvier) font apparaître un chiffre d'affaires de 290 M$, en hausse de 8,5 % par rapport à la même période de l'année précédente. A périmètre comparable, le bénéfice net reste stable à 10 M$. Ce chiffre exclut toutefois les gains réalisés sur l'arrangement légal passé avec Microsoft, qui s'élèvent à 448 M$.
Novell estime à 10 M$ l'impact des effets de change sur le CA.

Les revenus générés par l'activité Open Source continuent de ne représenter qu'une faible part du chiffre d'affaires. Ainsi, 15 M$ seulement du CA proviennent des ventes de SuSE Linux, dont 7 M$ sont issus des licences de SuSE Linux Enterprise Server. Ce produit s'est vendu à 21 000 exemplaires, soit exactement autant qu'au trimestre précédent. (...)

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