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Open Source

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(30/09/2010 18:08:00)
OWF 2010 : Le Libre multiplie les modèles économiques
« Ce qui m'a frappé, en préparant l'Open World Forum cette année, c'est de constater à quel point le logiciel libre est partie prenante de la révolution numérique dans tous les domaines, qu'il s'agisse du cloud computing, de la mobilité, du Web 3.0, de l'Internet des objets, ou encore de l'embarqué et des systèmes critiques, par exemple dans l'industrie aéronautique et la Défense », souligne Philippe Montargès, président de l'Open World Forum (OWF) 2010. Il fait remarquer que cette troisième édition de l'événement consacré aux logiciels libres et Open Source est particulièrement orientée sur l'ouverture de l'écosystème.
« L'infusion du Libre s'est finalement faite, à la fois sous l'angle technologique, mais aussi, et c'est là le plus intéressant, sous l'angle culturel. L'angle technologique correspond en partie à une logique économique de banalisation d'un certain nombre de logiciels qui sont réutilisés pour accélérer l'innovation. Mais désormais on voit aussi, culturellement, l'infusion du modèle Open Source ». Philippe Montargès explique que l'OWF 2010 a souhaité mettre l'accent sur cet aspect. « Le Libre se propage avec des solutions, des composants techniques, mais aussi par ce qu'il génère comme nouvelles possibilités dans des secteurs extrêmement variés. A côté des acteurs technologiques classiques, des 'pure players', de nouveaux modèles apparaissent. » Des acteurs industriels viennent se plaquer sur ces modèles culturels, constate le président de l'OWF : « Et nous sommes là, vraiment, dans l'émergence de nouvelles réussites économiques ». Il cite en exemple l'ouverture qui s'est opéré du côté des médias avec les réseaux sociaux, les Web TV, la production de contenus ouverts. « Cela permet de créer des modèles économiques qui n'existaient » et fait éclore « une nouvelle génération d'entrepreneurs», note-t-il.
Une logique de destruction créatrice
Philippe Montargès regrette qu'il n'y ait pas plus de reconnaissance du rôle du libre sur ces aspects-là : « Ce modèle génère de la création de valeur. Directement, bien sûr, parce qu'il fabrique des composants qui sont robustes, accessibles, interopérables et économiques. Mais aussi par ce qu'il représente comme révolution culturelle sous-jacente qui fait émerger de nouvelles tendances. Nous sommes vraiment là dans une logique de 'destruction créatrice' au sens où l'entend l'économiste Joseph Shumpeter »
Dans un premier temps, on a cru que le Libre, par son côté générique, se construisait aux dépens de l'économique classique traditionnelle. « En fait, non, il génère de nouveaux modèles et il est donc par là même créateur de valeur », insiste le président de l'OWF 2010.
Cette année, le vent du cloud computing ne manque pas de souffler parmi les acteurs de l'Open Source réunis sur l'événement parisien. Une des principales conférences est consacrée à ce thème et des acteurs comme Red Hat, Canonical et Microsoft, parmi d'autres, abordent le sujet. « Le cloud computing constitue un enjeu fort pour les acteurs du Libre. Sur bien des aspects, son émergence a été facilitée par de nombreux composants libres », rappelle Philippe Montargès, en évoquant le risque de voir ces composants monétisés ou transformés en composants propriétaires.
Compatible One, l'un des projets phares du cloud
Se préparent en ce moment de grands projets qui peuvent être financés dans le cadre du grand emprunt dont Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat au développement de l'économie numérique, a parlé en ouverture du Forum, ce matin. Philippe Montargès cite en particulier 'Compatible One', l'un des projets phares du cloud, porté par le pôle de compétitivité francilien Systematic, mais soutenu par tout l'écosystème du logiciel libre. « L'objectif du projet consiste à fabriquer la boîte à outils du cloud, libre, Open Source, afin de permettre à de nombreux acteurs d'accéder à ce marché-là. Un marché fabuleux parce qu'il révolutionne la consommation de logiciels et de services informatiques ».
Interrogé sur la participation de Microsoft à l'OWF 2010, Philippe Montargès ne tique pas. Il rappelle juste que l'événement est porté par l'écosystème du logiciel libre, en France et en Europe, avec l'appui des pôles de compétitivité, de la région Ile-de-France et de la Ville de Paris. « Nous accueillons tous ceux qui veulent participer au Forum, dans cet esprit ». Mais il ajoute, à titre personnel, ne pas souhaiter en revanche que Microsoft puisse faire partie de l'organisation du Forum ou soit considéré comme un contributeur de l'événement. « Il vient pour donner son avis, mais il n'est pas contributeur. L'OWF est un événement multi-communautaire, multi-contributeur. Nous souhaitons garder cet esprit-là ».
(...)(30/09/2010 11:11:42)Fedora 14 teste la virtualisation de bureau
Plus précisément, cette mise à jour sera la première à intégrer la totalité des Spice (Simple Protocol for Independent Computing Environments), autrement dit les infrastructures de bureau virtuel VDI (Virtual Desktop Infrastructure) de Red Hat. Ainsi, cette version bêta de Fedora permettra d'héberger des bureaux virtuels et de les rendre accessibles via le réseau. "À long terme, Spice permettra à Fedora de fournir une meilleure expérience utilisateur en matière de virtualisation de bureau. Dans le court terme, Fedora s'enrichit d'une intéressante technologie Open Source que de nombreuses personnes ont envie d'essayer," peut-on lire dans la documentation de Fedora.
En plus de Spice, Fedora 14 expérimente plusieurs autres technologies. Elle comprend par exemple le framework Meego qui permettra aux utilisateurs de tester l'interface Meego présente sur certaines tablettes tactiles. Elle inclut également une version de démonstration du logiciel Sugar CRM, ainsi qu'un ensemble d'outils de développement Sugar. Le logiciel fournit également des briques pour l'exécution du langage de programmation objet D, et une version bêta de Perl 6, surnommée Rakudo Star.
Fedora 14 sera également compatible avec le logiciel de gestion serveur à distance IPMI (Intelligent Platform Management Interface) d'Intel. Il comprend aussi la prochaine génération du gestionnaire de session Linux systemd, qui devrait être intégré par défaut dans la version 15 de Fedora. Le logiciel offrira enfin la version 4.5 de KDE et pourra exécuter le noyau Linux 2.6.35.
Une base de tests pour la distribution entreprise de Red Hat
C'est en 2003 que Red Hat a initié le programme Fedora, en fait une version Open Source de son OS RHEL, destinée à être utilisée pour tester de nouvelles fonctionnalités. Jusqu'à présent, selon Red Hat, plus de 20 000 personnes ont contribué au projet. Des portions de Fedora sont ensuite incorporées dans RHEL, ainsi que dans la distribution Linux d'Oracle, qui emprunte beaucoup à RHEL.
Comme avec n'importe quel logiciel en version bêta, Fedora souffrira probablement encore de quelques bugs, de sorte qu'il ne devrait pas être utilisé en production, au moins avant la version finale. Les développeurs espèrent que les utilisateurs feront remonter les bogues afin qu'ils puissent être corrigés.
La version finale de Fedora 14 devrait être livrée en novembre, juste avant un certain nombre de mises à jour de distributions Linux, dont Ubuntu 10.10 de Canonical, RHEL 6 et Debian 6, prévues pour la fin de l'année.
(...)(29/09/2010 11:40:07)Selon Markess International, l'Open Source reste un vecteur d'innovation dans le secteur public
Plus de flexibilité dans les nouveaux usages
L'Open Source permet, pas sa culture propre, de faciliter le travail collaboratif et l'organisation horizontale (par opposition à une vision hiérarchique du travail). La grande flexibilité qu'elle offre amène également à tester de nouveaux usages sans investir lourdement dans des outils propriétaires aux coûts initiaux importants (notamment via des licences onéreuses). Ainsi, la culture propre de l'Open Source est un facilitateur de la méthode itérative de création d'un outil informatique. Markess International juge ainsi : « nombreux sont les responsables d'administrations ayant tirés partie de l'Open Source pour stimuler le lancement de projets qui ne l'auraient peut-être pas été sans ce recours. » Et le cabinet cite les exemples des applications métiers dans les collectivités territoriales et des ENT (environnements numériques de travail).
Le recours au cloud encore marginal
L'autre grande innovation de ces dernières années, l'informatique en nuages, semble destinée à se combiner avec l'open-source. Si seulement 6% des répondants déclarent déjà héberger des applications open-source dans le cloud (avec une avance des collectivités locales sur les administrations centrales), c'est une possibilité qui éveille de l'intérêt chez la plupart des responsables interrogés par Markess International. Ils privilégient d'abord le SaaS open-source et seulement en second lieu l'IaaS.
L'Open Source continue sa croissance dans les budgets informatiques du secteur public avec une valeur de 16% du budget global (soit environ un milliard d'euros) et il devrait croître de 15% par an dans les prochaines années.
La Fondation Codeplex se rebaptise Outercurve
Créée à l'automne 2009 à partir du portail communautaire de Microsoft, la Fondation Codeplex cherche à prendre quelques distances avec son géniteur. Elle vient de changer officiellement de nom pour devenir la Fondation Outercurve. Paula Hunter, sa directrice exécutive, espère que cette modification dissipe un peu la confusion qui s'opère entre son organisation et Codeplex.com, le site de Microsoft hébergeant les projets Open Source de l'éditeur de Windows. « Nombreux sont ceux qui ont associé les activités de ce site aux nôtres et vice-versa », a-t-elle admis.
La Fondation CodePlex avait été constituée comme un relais entre les communautés Open Source et commerciales. Depuis, l'organisation à but non lucratif a cherché à s'écarter de l'influence de Microsoft en se mettant en quête de financement externe et en insistant sur sa neutralité vis-à-vis de la plateforme.
Paula Hunter rappelle que l'objectif de la Fondation consiste à favoriser la collaboration entre développeurs sur les projets Open Source, que ces développeurs soient des familiers du libre, qu'ils évoluent dans le monde des logiciels commerciaux ou, encore, au sein des entreprises. « Nous nous occupons de l'administration IT et de la supervision et les développeurs se concentrent sur le code associé au projet », explique-t-elle.
Une fondation toujours présidée par Sam Ramji
Toutefois, les racines même de l'organisation, tout autant que l'intérêt de Microsoft pour l'Open Source, ont toujours constitué un sujet de controverse. On a notamment reproché à la Fondation son conseil d'administration, jugé trop proche de Microsoft. Il est notamment présidé par Sam Ramji, désormais vice-président de la start-up Sonoa, mais qui fut jusqu'en novembre 2009 le patron Open Source de Microsoft. En mai, la Fondation a recruté Stephen Walli au poste de directeur technique, encore une fois un ancien collaborateur de l'éditeur.
Pour l'instant, CodePlex gère sept projets Open Source, parmi lesquels Ajax Control Toolkit, CoApp, ou encore Orchad, destiné à fournir des composants réutilisables pour la plateforme ASP.net. D'autres doivent être prochainement annoncés, a indiqué Paula Hunter.
Pour créer son nouveau nom, l'organisation a consulté la société bostonienne Protobrand, spécialiste des marques. La directrice exécutive de la Fondation Outercurve reconnaît que ce fut une tâche difficile. « Trouver une dénomination est devenu délicat ces temps-ci, souligne-t-elle. Il faut non seulement que le nom choisi n'ait pas été déjà déposé comme marque ou protégé par copyright, mais aussi que l'adresse web soit encore disponible. Outercurve convenait dans les trois cas et il sonnait bien.
Android a le vent en poupe chez les développeurs
Un article paru sur le blog d'Appcelerator, détaillant les résultats de l'enquête, illustre la bataille que se mènent Android et iOS. "L'une des conclusions les plus discutées de l'enquête réalisée par Appcelerator en juin 2010 concerne les perspectives à long terme des deux plateformes, considérées meilleures sur Android par 54 % des développeurs contre 40,4% pour iOS. En trois mois, malgré le lancement réussi de l'iPhone 4 et la récente annonce d'Apple selon laquelle elle assouplirait les restrictions relatives au développement, cet écart s'est creusé de 10,1 points. Aujourd'hui 58,6 % des personnes interrogées lors d'un nouveau sondage pensent qu'Android a de meilleures perspectives à long terme que iOS (34,9 %)." Il y a un an, un tel résultat aurait pu paraître ridicule - voire même frauduleux. La iCulture Apple était solidement ancrée et disposait d'une confortable avance. Même avec son succès de départ dépassant les BlackBerry et les plates-formes de téléchargement d'applications WebOS, l'Android Market de Google faisait figure de piètre challenger face au formidable succès de l'App Store d'Apple.
Appcelerator explique "que les développeurs déclarent à 72 % leur préférence pour Android, contre 25% pour iOS," parce qu'ils estiment que la plateforme de Google sera la mieux placée dans l'avenir pour alimenter un grand nombre et une grande variété d'appareils mobiles." De plus, une majorité d'entre eux considère qu'" Android est la plateforme la plus ouverte, même après les récents changements dans la politique d'Apple qui a clarifié son processus d'approbation et a ouvert iOS à d'autres outils et langages de développement."
Des développeurs pragmatiques
Les résultats du sondage semblent indiquer que les développeurs ont un point de vue pragmatique et prennent en compte qu'un jour Android dominera iOS comme Windows domine Mac OS X sur le marché des PC. Même si les aficionados des deux plates-formes continueront à s'opposer pour expliquer les subtilités qui les différencient et fondent la supériorité de l'une ou sur l'autre, la victoire attendue d'Android repose plus sur le volume et la logistique que sur la suprématie technique du système d'exploitation. Le statut de plate-forme mobile Open Source pour Android signifie aussi que son potentiel se trouve essentiellement entre les mains des développeurs, et que ses limites dépendront de la créativité de ceux qui s'emploieront à construire et à développer ses capacités.
Comparativement, iOS est fermé et propriétaire. Ses capacités sont limitées à la manière dont Apple les définit, son potentiel limité aux périphériques que la firme de Cupertino juge digne de lui associer, et son utilisation protégée par des accords de licence et de droits d'auteur. De la même manière que le business modèle d'Apple a limité le potentiel de Mac OS X, le caractère restrictif d'iOS garantit pratiquement à Android de dépasser le système d'exploitation mobile de son concurrent pour devenir la plate-forme mobile dominante. Cela dit, malgré ses 5% de part de marché dans le secteur des ordinateurs, Apple continue à avoir ses fidèles, comme elle continuera probablement à avoir un public pour son iPhone et son iPad, et à générer des revenus substantiels et des bénéfices. Même si, éventuellement, elle risque de perdre la guerre des parts de marché sur le terrain des systèmes d'exploitation mobiles.
(...)(27/09/2010 10:23:27)OpenIndiana se pose en remplaçant de Solaris 11
Alasdair Lumsden, directeur général d'une société d'hébergement, EveryCity, est un des protagonistes du projet. « Nous avons utilisé Solaris 10 au sein de mon entreprise et Sun a commencé à facturer des suppléments pour la sécurité. Nous sommes donc passés à OpenSolaris, mais après le rachat d'Oracle, cela est devenu très cher. Alors, avec quelques personnes de la liste de diffusion, nous avons travaillé sur une version Open Source. » EveryCity a été utilisé pour l'hébergement, mais le projet reste un élément indépendant de son activité.
Alasdair Lumsden estime avoir bien anticipé l'abandon d'OpenSolaris. « Il y a un mois, une note de service à partir d'Oracle a été divulguée, révélant que l'éditeur arrêtait le développement d'OpenSolaris en se concentrant sur ses offres commerciales. ». Le dirigeant pense que le projet n'entre pas en conflit avec celui déjà existant Illumos, basé sur le noyau OpenSolaris. « Je vois des similitudes avec Linux dans la manière de diversifier les distributions comme Red Hat autour d'un même noyau. Il y aura aussi plusieurs distributions OpenSolaris » confirme-t-il avant d'ajouter : « OpenIndiana offre quelque chose de différent. Les autres projets tournent depuis longtemps autour de la question, mais notre projet a été spécialement conçu pour remplacer Solaris 11. ».
OpenIndiana utilise la licence CDDL pour construire son « système d'exploitation à partir du code source d'OpenSolaris ». Alasdair Lumsden a déclaré que le logiciel ne devrait pas faire face à plus de difficultés juridiques que Google avec Android. « Oracle n'a rien pour nous poursuivre », dit-il. « La seule chose qui nous préoccupait était le nom, car nous ne devions pas utiliser Solaris dedans. » conclut-il.
Le programme a été lancé la semaine dernière et a été téléchargé 2 000 fois dès le premier jour.
JavaOne 2010 : Oracle dévoile ses ambitions pour Java
La conférence JavaOne, désormais orchestrée par Oracle, s'est déroulée cette semaine à San Francisco (19-23 septembre) dans le cadre d'OpenWorld. Les développeurs ont été accueillis dans l'un des hôtels de la ville, à quelques pas du grand rassemblement annuel d'Oracle qui se tient traditionnellement au Moscone Center (avec le rachat de Sun, 41 000 personnes y étaient attendues cette année). L'ouverture de JavaOne a néanmoins eu les honneurs de la grande salle du Moscone, lundi soir, où il est revenu à Thomas Kurian, vice-président exécutif, responsable du développement produits d'Oracle, de présenter les évolutions programmées. « Je me rends à JavaOne depuis 1997 », a-t-il d'abord confié en ajoutant que cette année était particulière puisqu'Oracle était maintenant responsable de Java : « Nous voulons que chaque développeur sache très clairement comment nous voyons évoluer la plateforme Java. » Les différentes déclinaisons du langage sont concernées, ce qui, outre Java SE (Standard Edition), inclut Enterprise Edition et JavaFX, la plateforme destinée aux applications Internet riches. « Nous nous concentrons sur les serveurs comme sur les desktops, a souligné Thomas Kurian en rappelant que l'avenir de Java ne se bornait pas à Oracle, mais concernait la communauté des développeurs, leur contribution au langage et la qualité des applications qu'ils réalisaient avec.
Améliorer la productivité des développeurs
Parmi les objectifs figurent en bonne place l'amélioration de la productivité des développeurs et l'intégration de la modularité dans les machines virtuelles Java, avec les projets Coin (code plus concis), Lambda (closures pour Java) et Jigsaw. « Nous cherchons également à optimiser le langage pour les nouveaux processeurs multi-coeurs, les mémoires importantes et les réseaux rapides, avec le framework Fork/Join. » Thomas Kurian a également évoqué le support de différents langages par Java VM.
Deux nouvelles versions d'OpenJDK, les 7 et 8, sont respectivement prévues pour 2011 et 2012. Les versions 7 et 8 du kit de développement Java (Oracle JDK) continueront à se baser sur la version libre du langage de programmation. La communauté participe aux décisions concernant les fonctionnalités à inclure aux JDK 7 et 8, ne manque pas de rappeler l'éditeur. Des détails sur les fonctionnalités approuvées pour le JDK 7 sont consultables à l'adresse http://openjdk.java.net/projects/jdk7/.
Combiner Java, JavaFX et HTML 5
Du côté du client Java, aucun doute pour Thomas Kurian, « HTML 5 est le prochain environnement pour le navigateur ». Oracle prévoit un modèle de programmation qui combinera Java et JavaFX avec des capacités HTML5, JavaScript et CSS Web, qui offrira des performances graphiques 2D et 3D avancées. Les outils seront délivrés via NetBeans dont deux mises à jour sont prévues pour 2011.
Du côté serveurs, deux évolutions de GlassFish sont également programmées pour l'an prochain. Des détails et la feuille de route sont disponibles à l'adresse suivante : https://glassfish.dev.java.net/roadmap/
Oracle prévoit par ailleurs de faire converger les machines virtuelles Java (JVM) HotSpot et JRockit JVM pour bénéficier des meilleures fonctions de chacune d'elles. Les résultats de la combinaison seront versés dans le projet OpenJDK.
(...)(22/09/2010 10:28:20)Pour mieux gérer ses données Plastic Omnium passe à l'Open Source
Plusieurs solutions d'intégration ont été testées par les équipes de Plastic Omnium. L'entreprise a finalement choisi Talend Open Studio. Outre l'orientation Java bien appropriée pour s'intégrer à un SI comportant du Websphere ou de l'Alfresco, Plastic Omnium a apprécié un mode de facturation au nombre de développeurs, plus économique dans le cas de ce groupe que d'autres modes de licencing proposés par d'autres éditeurs. Plusieurs pilotes ont été réalisés avant de décider du déploiement. Le coût du projet n'a pas été spécifié.
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