Flux RSS

108538 documents trouvés, affichage des résultats 1081 à 1090.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(06/01/2012 17:21:20)
Des interfaces plus élaborées avec Netbeans 7.1, souligne Oracle
Oracle a livré hier la version 7.1 de l'environnement intégré NetBeans pour le développement d'applications web et mobiles en Java, en PHP et en C/C++. L'IDE supporte désormais entièrement JavaFX 2.0 et le JDK7, ainsi que la version 12c du serveur d'application WebLogic, compatible Java EE6, annoncée début décembre.
Oracle s'est concentré sur la mise à jour des outils et bibliothèques permettant de bâtir des interfaces utilisateurs plus élaborées, ainsi que l'a souligné le vice président Bill Pataky, responsable de la gestion de produits chez Oracle. « Il y a de nombreuses nouveautés réparties à travers l'IDE, mais l'essentiel de l'effort a porté sur l'amélioration des interfaces, à la fois sur le desktop et sur le client web ». Ainsi, pour le poste de travail, outre le support de JavaFX utilisé pour les applications RIA, NetBeans 7.1 a mis à jour le logiciel Matisse editor qui utilise maintenant la dernière version de la bibliothèque Java Swing pour concevoir des interfaces. L'IDE comprend aussi un debugger visuel pour Swing et JavaFX qui, selon Bill Pataky, améliore sensiblement l'identification de problèmes difficiles à repérer dans le code des applications pour desktop.
Du côté des clients web, l'environnement a étendu son support des bibliothèques JSF (Java Server Faces) et tire parti de la version 3 de CSS (cascading style sheets). Les développeurs web pourront accéder à des fonctions utilisées depuis longtemps pour les applications desktop (code completion, coloration de la syntaxe).
Intégration avec Git
NetBeans est l'une des nombreuses technologies acquises par Oracle lors de son rachat de Sun Microsystems début 2010. L'éditeur a continué à proposer le logiciel gratuitement et à publier le code source. C'est, avec Eclipse, IntelliJ de JetBrain et le propre JDeveloper d'Oracle, l'un des environnements principaux de développement écrits pour Java et pour d'autres langages basés sur JVM, la machine virtuelle Java. Il s'utilise sur Solaris, sur différentes distributions Linux, sur Windows et Mac OS.
Parmi les autres nouveautés figure l'intégration avec le système de contrôle de versions Git, qui permet à plusieurs développeurs de travailler sur le même programme à la fois. On peut voir les précédentes versions d'un programme à l'aide d'une interface à onglets. Le logiciel accepte aussi la gestion des branches avec Mercurial, pointe Bill Pataky, les versions expérimentales d'un programme pouvant être créées et supprimées si elles ne fonctionnent pas. Le débogage PHP a également été amélioré.
Nuage, une alternative cloud au projet Andromède
Dans l'appel d'offres relatif au cloud computing au sein du Grand Emprunt, le projet Nuage décide de sortir de l'ombre et de communiquer. Il est composé de 7 PME : Celeste, FAI et concepteur de datacenter ; Non Stop Systems, SSII spécialisée en solutions d'infrastructures sécurisées ; Oodrive éditeur de solutions professionnelles de sauvegarde et de partage de fichiers en ligne ; DotRiver qui propose des solutions de virtualisation et de centralisation de poste de travail ; Network Consulting, hébergeur ; New Generation SR, conseil en responsabilité sociale des entreprises.Deux équipes des projets REGAL (répartition et gestion des applications à large échelle) et PHARE (sur les futurs générations des réseaux télécoms) du laboratoire LIP6 de l'université Pierre et Marie Curie.
Selon Nicolas Aubé, PDG de Celeste, « l'idée est de créer le cloud computing de demain : ouvert à des composantes matérielles et logicielles externes, réparti sur un maillage régional français, et hébergé dans des datacenters écologiques, faiblement consommateurs d'énergie ». Le groupe souligne aussi l'importance de la localisation des données sur le territoire français.
Open Source et datacenter pilote
Concrètement, il s'agit d'un projet de R&D qui doit durer deux ans avec une forte connotation Open Source, pour trouver des solutions alternatives à celles existantes. Pendant cette durée, un datacenter pilote va être créé pour proposer des offres clouds. Nicolas Aubé indique « nous souhaitons travailler sur des datacenters évolutifs avec des modules verticaux optimisant mieux la consommation d'énergie. Les entreprises pourront s'interconnecter pour chercher des ressources ou des services ». Sur la partie du matériel utilisé, le dirigeant que rien n'a été encore choisi, mais il souhaite que les solutions proposées par Nuage soit compatible avec le plus grand nombre de constructeurs.
Sur le plan du financement, un investissement de 10 millions d'euros est prévu (5 en subventions de la part du FNSN de la Caisse de Dépôts et 5 de la part des membres du consortium). Nicolas Aubé rappelle que cela va créer 50 emplois, principalement des ingénieurs. Au terme des 2 ans, Celeste va investir 5 millions d'euros pour la commercialisation des résultats de Nuage. Ce dernier est un concurrent direct d'Andromède en proie à quelques difficultés de financement après le départ de Dassault Systèmes.
Les utilisateurs d'iPhone consomment plus de données mobiles
Le succès des smartphones entraîne une explosion du trafic mobile à travers le monde. Selon une étude de la société Arieso, publiée le vendredi 6 janvier, 1% seulement des utilisateurs monopoliseraient à eux-seuls la moitié de la bande passante disponible. Il ressort aussi que les nouvelles générations de smartphones, à commencer par l'iPhone 4S, sont particulièrement gourmandes.
L'étude d'Arieso compare les données selon les modèles de téléphones utilisés, et certains se révèlent bien plus sollicités. En prenant comme base de calcul la consommation de données internet d'un iPhone 3G (100%), l'utilisateur d'un iPhone 4S télécharge l'équivalent de 276%, et celui d'un Samsung Galaxy S 199%. En données sortantes, ce sont le HTC Desire S (323%), puis à nouveau l'iPhone 4S (320%) qui envoient le plus de données.
CES 2012 : Une puce Marvell ARM pour relancer la plate-forme Google TV
Marvell a annoncé une puce à base de processeur ARM pour équiper les téléviseurs. Celle-ci supporte Android et permet de faire tourner la plateforme logicielle Google TV. Marvell comble ainsi un vide laissé par Intel, qui a décidé en octobre de quitter le marché de la télévision. « La plate-forme ForeSight intègre un processeur ARM dual-core. Elle sera utilisée dans les téléviseurs, les décodeurs et autres appareils compatibles avec le logiciel de Google, » a déclaré Edward Silva, chef de produit senior chez Marvell. Le fondeur compte montrer des prototypes de téléviseurs et de décodeurs intégrant sa puce au Consumer Electronics Show de Las Vegas qui ouvrira ses portes le 10 janvier prochain. La puce Marvell destinée à ces appareils supporte Android 4.0, aka Ice Cream Sandwich, et exécute la dernière version du logiciel Google TV.
Jusqu'à présent, Google TV tournait uniquement sur des téléviseurs et des décodeurs équipés de processeurs x86 d'Intel, les plus connus étant les téléviseurs de Sony et le boitier Revue de Logitech. Mais, au mois d'octobre, Intel a fait savoir qu'il prendrait ses distances avec le secteur de la télévision et qu'il développerait des puces TV au cas par cas, un changement de stratégie dont Marvell a voulu profiter. « Nous avons été choisis pour équiper la nouvelle série d'appareils Google TV qui seront mis sur le marché cette année, » a déclaré le chef de produit de Marvell.
Une puce capable de décoder les flux HD 1080p
« La puce dual-core Marvell Armada 1500, au coeur de la plate-forme ForeSight, intègre un moteur graphique capable de lire les vidéos en 1080p, » a expliqué Edward Silva. « Marvell a travaillé avec Google sur le développement des logiciels, et nous prévoyons que des télévisions intégrant notre puce sortiront plus tard cette année, » a encore ajouté Edward Silva. Mais celui-ci n'a pas voulu révéler les noms des fabricants qui proposeront des matériels basés sur la puce ARM de Marvell.
« Google et Marvell ont associé leurs efforts pour produire des technologies combinant software et hardware afin de proposer davantage d'appareils compatibles Google TV, » a déclaré Mario Queiroz, vice-président du management Google TV, dans un communiqué publié par Marvell. « Les solutions Google TV utilisant la technologie Marvell va contribuer à mettre sur le marché des produits performants à des prix attractifs, » a ajouté Mario Queiroz.
Des Google TV attendues chez LG notamment
Pour l'instant, Google TV a du mal à séduire les consommateurs et Logitech a même décidé d'arrêter la production de son boitier Revue en novembre, soit un an à peine après sa mise sur le marché. Toutefois, M. Silva reste optimiste. Celui-ci estime que Google TV n'en est qu'à ses débuts et que la plate-forme va dans la bonne direction. C'est aussi une bonne opportunité pour Marvell de montrer les capacités de sa puce.
Au CES 2012, Marvell montrera des jeux optimisés sur les prototypes des téléviseurs intégrant sa puce et fera la démonstration d'accessoires, des télécommandes avec accéléromètre notamment, qui peuvent servir pour des jeux et d'autres activités. Google n'a pas fait encore de commentaire en ce qui concerne la sortie d'appareils intégrant la puce de Marvell. Cependant, dans une vidéo postée sur YouTube le mois dernier, Larry Yang, le chef de produit de Google TV a déclaré que Google travaillait sur une nouvelle version du logiciel Google TV et que l'entreprise livrerait plus de détails à ce sujet dans un proche avenir.
(...)(06/01/2012 15:42:03)Un patch Tuesday record et novateur pour janvier
Les 7 mises à jour proposées par Microsoft constituent un démarrage rapide pour 2012. Les premiers mois de l'année sont traditionnellement faibles en nombre de mises à jour. L'éditeur avait publié deux bulletins en janvier 2011, 2010 et 2008, une en janvier 2009.
Une des sept mises à jour a été étiquetée «critique», le classement le plus élevé des menaces de Microsoft, tandis que les autres ont été marquées « important », second dans le classement, même si certaines des menaces pourraient éventuellement être exploitées par des pirates pour injecter des logiciels malveillants sur les PC. Au total, trois des mises à jour ont été classées comme vecteurs « d'exécution de code à distance», ce qui signifie qu'ils pourraient être utilisés pour pirater un système non patché. La deuxième mise à jour est la plus intéressante car elle est associée pour la première fois au statut « Security Feature Bypass ». Angela Gunn, un porte-parole du Microsoft Security Response explique dans un blog que ce statut s'applique aux méthodes qui faciliteraient l'intrusion d'un pirate ». Elle évoque notamment des éléments vulnérables dans l'UAC (User Account Control), amenant les utilisateurs à installer des logiciels malveillants, malgré la présence dans Windows de deux technologies anti-intrusion DEP et ASLR »
Qui se cache derrière FSB et le patch de BEAST attendu
Dans un email, Paul Harvey, un analyste de la sécurité chez Lumension, soupçonne que derrière cette catégorie se cache « une mise à jour de la technologie SEHOP (Structured Exception Handler Overwrite Protection) pour améliorer la capacité de défense en profondeur dans les applications existantes ». SEHOP est une technologie anti-intrusion qui a été conçue pour bloquer une technique de piratage découverte en 2003 que Microsoft a détaillé sur un post datant de 2009. L'éditeur a ajouté SEHOP dans le SP1 de Windows Vista et il est présent dans Windows 7, Server 2008 et Server 2008 R2. Microsoft souligne que cette défense est désactivée par défaut sur Windows Vista SP1 et 7 pour des raisons de compatibilité. Il est possible que le patch prévu mardi prochain active ce système de défense. La firme de Redmond a déclaré qu'elle publierait plus d'informations sur la mise à jour SBF la semaine prochaine.
Pour Andrew Storm, il ne faut peut-être pas s'attendre à une pérennité de cette catégorie : « je pense qu'ils avaient une méthode qui ne rentrerait dans aucune catégorie et ils ne savaient pas quoi faire avec elle. Plutôt que d'essayer de la pousser dans une catégorie existante, comme l'exécution de code à distance ou une élévation de privilèges, ils ont décidé d'en créer une nouvelle ».
Microsoft a refusé de dire si dans les mises à jour proposées se trouve un correctif lié à l'outil BEAST, capable de contourner le protocole SSL et et TLS. Un patch avait été initialement prévu pour sortir en décembre 2011, mais Microsoft l'avait suspendu après que SAP lui ait signalé des problèmes de compatibilité. Dave Forstrom, directeur du groupe Microsoft Trustworthy Computing, indique que « nous continuons de travailler pour publier une mise à jour dans le cadre de nos agendas traditionnels ». « Cela devrait imminent » souligne Andrew Storm.
Des subventions pour les PME des TIC en Ile-de-France
Les PME franciliennes du secteur des technologies de l'information et de la communication peuvent adresser jusqu'au 25 janvier à la région Ile-de-France un dossier de candidature dans le cadre de l'appel à projets PM'up 2012 qui s'est ouvert le 6 décembre dernier. Outre les TIC, l'appel en cours concerne quatre autres secteurs : les éco-activités et enjeux énergétiques, la santé et les sciences de la vie, le transport et la mobilité durable, enfin, la création, la culture et les loisirs. Pour la première fois, un deuxième appel à projets sera lancé en juin pour la création numérique, les hautes technologies, les besoins sociétaux et la performance industrielle et l'environnement.
PM'up peut accorder jusqu'à 250 000 euros aux entreprises éligibles lorsqu'elles sont engagées dans d'importants efforts d'investissement. Mais, en moyenne, la subvention accordée aux dossiers de candidature retenus s'élève à 135 000 euros. Avec ce programme, la région Ile-de-France explique vouloir aider les PME locales ayant un fort potentiel de croissance à atteindre une taille critique pour exporter et, à terme, à créer des emplois sur le territoire francilien. D'ici 2015, son objectif est d'aider 500 entreprises à dépasser les 50 salariés. En retour, les PME soutenues doivent engager, au minimum, trois actions pour améliorer leurs pratiques dans les domaines de l'insertion et de l'emploi, de l'environnement, de la vie du territoire et du tissu économique.
187 000 euros pour Kobojo sur 3 ans
En 2008, parmi les bénéficiaires du programme de subvention figuraient des sociétés telles que Moviken (solutions web et mobiles pour les voyageurs) et KTM Advance (e-learning et serious game). En 2011, PM'up a retenu la société Kobojo (création de jeux gratuits pour les réseaux sociaux). La subvention prévue sur trois ans pour Kobojo s'élève à 187 250 euros. Elle viendra appuyer la création de nouveaux jeux et d'applications sur smartphones (*).
Pour soumettre un dossier, l'entreprise doit être implantée en Ile-de-France, avoir au moins un exercice, être en bonne santé économique, compter de 5 à 250 salariés et réaliser moins de 50 millions d'euros de chiffre d'affaires (ou 43 M€ de bilan). L'appel 2012 s'intéresse aux projets de protection de la propriété intellectuelle, de développement à l'international, de renforcement des ressources humaines et d'investissements. Sont également concernés par l'appel à projets les dossiers portant sur la consolidation de la stratégie, sur l'amélioration de l'organisation et sur les démarches de développement durable.
Depuis le lancement de PM'up, 539 PME ont déjà été retenues sur 1 200 candidatures. Selon les chiffres communiqués par la région, près de 1 800 emplois ont été créés dans ces entreprises.
Mieux comprendre les aides publiques
Une enquête menée par Sogedev, un cabinet spécialisé sur l'accès aux aides publiques, a récemment montré que les PME qui investissaient en R&D avaient ressenti la réduction de certains dispositifs, comme le crédit impôt recherche (CIR) et le statut de la JEI. Cette étude a amené Sogedev à dresser un portrait des entreprises françaises innovantes. Celles-ci sont présentes dans toutes les régions (Rhône-Alpes et Ile-de-France en tête). Près des trois quarts viennent de l'industrie manufacturière (chimie/pharmacie, fabrication de produits informatiques, électroniques, optiques...), puis des services (13% et du secteur de la communication et de l'information (10%).
Près de 56% des répondants ont déclaré mener des projets collaboratifs, pour un tiers avec des structures publiques. Le CIR est l'aide gouvernementale la plus utilisée par les PME sondées. 45% en bénéficient, tandis que 27% sont aidées par Oséo et que 4% accèdent au statut JEI (jeune entreprise innovante), la plupart accédant à plusieurs dispositifs. Sogedev ajoute que 18% des entreprises sondées ne bénéficient toujours pas d'aides publiques malgré leurs dépenses en R&D, principalement en raison du manque de temps qu'elles peuvent consacrer à leur obtention.
Financement : un site d'information ouvert par l'Afdel et PNO
A noter que, dans ce domaine, l'Afdel et le cabinet de conseil PNO ont ouvert un site d'information sur le financement de l'innovation (www.investirdanslenumérique.fr) pour « accélérer la compréhension » de ces dispositifs : CIR, JEI, aides Oséo, ANR (Agence nationale de la recherche), FUI (Fonds unique interministériel) ou européennes (programmes Eurekâ et Eurostars, 7ème PCRDT). On y retrouve aussi les appels à projets du Grand emprunt (les Investissements d'avenir) sur huit priorités : le cloud computing, le logiciel embarqué et la nanoélectronique, la numérisation des contenus scientifiques éducatifs et culturels, la sécurité des réseaux, l'e-éducation, l'e-santé, la ville numérique et les systèmes de transport intelligents.
(*) Dans le secteur des TIC, la promotion 2010-2011 soutiendra aussi les sociétés Alliance Services+, CLT Services, Eolen, FHM Solutions, Insia, Prophessi, Réseau 19, Anatole, Backelite, CashSolve, Cedralis, CSE, Diademys, Itop Education, MBDSys, Mondeca, OpenBridge, Quadrille Ingénierie, RunMyProcess, Telemetris, Cryptolog, Henix, IP-Label, Kalis, Merethis, NBS, Olfeo et Qualixo.
QuarkXPress 9.2 : une mise à jour orientée ePUB et iPad
Quark a mis à jour son outil de création graphique et de publication de documents. La version 9.2 ajoute plus de 25 fonctionnalités et optimise la création de livrets et d'apps iPad. Notamment, celle-ci apporte des fonctionnalités pour ePUB, le format standard de publication de livres électroniques, plus le support des formats audio et vidéo ePUB 3 qui permet, entre autres, de mélanger du texte, de l'audio, de la vidéo et des animations, et ainsi que davantage d'options pour Quark Studio App.
App Studio est un élément clé de QuarkXPress 9. En effet, il offre aux concepteurs un outil très rentable pour créer et publier du contenu riche et interactif pour les terminaux mobiles, l'iPad en particulier. Dans QuarkXPress 9.2, les templates d'App Studio prennent en chargent le Kiosque d'iOS 5 et sont conformes aux nouvelles directives d'Apple pour le stockage iCloud.
Plus d'animations et de commandes interactives
QuarkXPress 9.2 et App Studio incluent désormais de nouvelles Actions pour les apps iPad comme Jouer/Pause/ Stop/Basculer. Celles-ci offrent aux développeurs la possibilité de créer des boutons pour piloter d'autres éléments multimédias comme le son et la vidéo. Une autre option « Cacher les commandes pour le son et la vidéo » leur permet de rendre invisible la barre de contrôle du lecteur. Enfin, une option de lecture en boucle (« Loop ») permet de forcer la lecture d'un élément sonore ou vidéo en boucle.
En outre, trois différents styles sont disponibles : classique, centré, et plein écran, qui permettent aux utilisateurs de sélectionner la vue plein écran, de faire défiler et de zoomer dans les affichages PDF optimisés. Cette fonctionnalité permet également d'avoir accès à d'autres types de contenu disponibles dans le WebKit d'iOS, par exemple les documents Microsoft Office (Word, Excel et PowerPoint), iWork (Pages, Numbers et Keynote), et RTF. Cette version permet également d'exporter des fichiers AVE-MAG en limitant leur taille.
Ajout d'audio et de vidéo
QuarkXPress 9 avait introduit la possibilité pour les designers d'exporter facilement des mises en page au format ePUB et de créer des e-books traditionnels. Avec QuarkXPress 9.2, ceux-ci peuvent désormais, en plus de la possibilité de convertir un document pour impression en un document au format ePUB, de créer un projet directement au format ePUB.
Avec la nouvelle mise à jour, il est désormais possible d'ajouter de l'audio, des vidéos et des hyperliens à un livret ePUB, de créer de nouveaux articles, de recadrer les images et de redécouper des composants texte dans un article redistribué. Les utilisateurs peuvent repositionner les composants par glisser-déposer dans la palette Balisage de Redistribution, créer des tables des matières hiérarchiques, et gérer le format et la résolution des images globalement ou image par image. La mise à jour permet également de spécifier le sens de narration par défaut pour les livrets ePUB en langues asiatiques.
En ce qui concerne la nouvelle fonctionnalité ePUB, QuarkXPress 9.2 prend également en charge l'audio et la vidéo pour ePUB 3, la dernière version de la norme ePUB reposant sur le HTML5, CSS3 et javascript, et qui permet de créer des médias riches. La liste complète des améliorations ePUB est disponible auprès de Quark. La mise à jour 9.2 est gratuite pour tous les utilisateurs actuels de QuarkXpress 9.
(...)(06/01/2012 12:28:47)Le code source de Norton Antivirus volé par des hackers indiens ? (MAJ)
Petit coup de froid pour Symantec, après l'annonce par un groupe de pirates qui utilise le nom « Les Seigneurs de Dharmarâja », ces derniers indiquent avoir volé le code source et de la documentation de produits de l'éditeur depuis des serveurs de l'IMI (Indian Military Intelligence). Le groupe a indiqué mercredi dans un post sur Pastebin « à partir de maintenant nous commençons à partager avec tous nos frères et disciples les informations récoltée sur les serveurs de l'IMI ». Il ajoute « jusqu'ici, nous avons découvert au sein du logiciel espion indien les codes sources d'une douzaine d'éditeurs de solutions qui ont signé des accords avec le programme TANCS Indien et le CBI (Central Bureau of Investigation).
Le message original a été supprimé de Pastebin, mais il était encore disponible dans le cache de Google. Il contient un projet de document décrivant des procédures sur des API pour générer la définition des virus par Symantec. Selon l'éditeur, la documentation publiée date d'avril 1999 et n'est plus pertinente dans ses produits actuels. Cris Paden, responsable de la communication de Symantec précise « ce document explique comment le logiciel est conçu pour fonctionner (quelles sont les entrées acceptées et quelles sont les sorties sont générées) et il contient les noms de fonctions, mais il n'existe pas de code source actuel ». Il rassure en disant « les informations contenues dans le document de 1999 n'ont aucune incidence sur nos produits actuels »
Le code source de Norton Antivirus bientôt publiée ?
Les pirates ont également revendiqué la possession du code source de Norton AntiVirus, qu'ils prévoient de dévoiler prochainement. « Nous travaillons sur des sites miroirs à partir de maintenant, car nous connaissons les extrêmes pressions et la censure des agences américaines et indiennes ».
Pour étayer leur revendication, les « Seigneurs de Dharmarâja » ont posté un second message sur Pastebin avec une liste des fichiers que seraient un package du code source de Norton Antivirus. Symantec ne pouvait pas confirmer cette liste correspondait effectivement au code source de l'antivirus. « Un deuxième demande a été faite par le même groupe concernant le code source, nous étudions actuellement » explique Cris Paden. Il reste maintenant à voir si les informations publiées par le groupe de pirates sont réelles et quelles versions de Norton Antivirus seraient affectées le cas échéant. Les pirates pourraient dans ce cas trouver des moyens de contourner la détection du logiciel, mais cela donnerait aussi des indications aux concurrents de Symantec sur les technologies utilisées.
Si la fuite se révèle être vraie, Symantec ne serait pas le premier éditeur d'antivirus à faire face à un tel incident. En janvier 2011, le code source d'une ancienne version de Kaspersky Antivirus a été téléchargé sur un site de torrent. Le code avait été volé au début 2008 par un ancien employé de Kaspersky qui avait tenté de la vendre sur Internet. Il a été condamné en Russie à une peine de trois ans de prison avec sursis.
MAJ : Symantec a confirmé qu'une partie du code source de deux anciennes solutions professionnelles (Symantec Endpoint Protection 11.0 et Antivirus 10.2) a été accessible. L'une de ces solutions n'est plus disponible sur le marché et le code concerné date de quatre et cinq ans. Cela n'affecte pas les produits Norton destinés au grand public, rassure l'éditeur. Il explique aussi que les données volées ne proviennent pas des serveurs de Symantec, mais d'un hébergeur tiers sans donner d'informations techniques sur le piratage des informations. Il ajoute aussi ne pas pouvoir confirmer l'impact de la divulgation du code sur les fonctionnalités ou la sécurité des solutions Symantec.
CES 2012 : Google relance sa TV connectée
La dernière mise à jour du service de TV connectée de Google sera en démonstration au CES 2012 de Las Vegas (du 10 au 13 janvier) sur les stands des constructeurs LG, Samsung et Sony, selon un communiqué publié le jeudi 5 janvier par Michael Kim, le responsable des partenariats pour Google TV.
Google TV a subi de nombreuses modifications, intégré de nouvelles applications (plus de 150 entièrement dédiées disponibles). Toutes ces nouveautés seront présentées en exclusivité au CES de Las Vegas sur les stands de leurs partenaires, à commencer par LG, Samsung et Sony, mais aussi Marvell, MediaTek et Vizio.
Dans son communiqué, Michael Kim explique que Google TV continuera à servir de passerelle entre les services web et les programmes télévisés et s'invitera dans de nouvelles contrées dès cette année. Le service est toujours très attendu en Europe.
Le marché du CRM en pleine croissance en 2011 selon IDC
Par segment, trois composantes fonctionnelles du CRM, ventes, marketing, et gestion client, ont réalisé une croissance à deux chiffres en 2011. La partie centre de contact, en baisse de 3,6% en 2010, récupère son retard. Plus généralement, note Mary Wardley, vice-présidente du cabinet, chargée du CRM, ce marché s'élargit et connaît un regain performances organisationnelles. Les réseaux sociaux et la mobilité apportent une modification des expériences. « Par conséquent, note Mary Wardley, nous allons aboutir à une modernisation du processus orientés clients, ce qui implique un investissement accru dans le soutien des systèmes tels que les applications de CRM. »
IDC a également étudié les fournisseurs de CRM. 18 d'entre eux figurent dans l'étude. Ils réalisent 63% du marché, le reste s'éparpille entre 170 sociétés. Oracle garde la tête du classement, sa croissance est supérieure à la moyenne, c'est le seul à détenir une part de marché à deux chiffres : 13,2%. Pour la 1ère fois, SalesForce est n°2 avec 22,6% de croissance. SAP et NICE Systems étaient les autres fournisseurs qui ont connu la plus forte croissance
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |